Un couple rejette l’avortement pour leur jumeau anencéphale : «C’est notre bébé»
Gary, Lauren et Albi
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le couple britannique Lauren et Gary étaient excités d’apprendre qu’ils attendaient des jumeaux, qu’ils ont nommés Bobby et Albi. Lauren savait que la vie allait être occupée, mais elle avait hâte. Puis le couple apprit que l’un des garçons souffrait d’anencéphalie, une malformation qui fait en sorte que le sommet du crâne ne se forme pas correctement, et n’allait pas survivre. Le couple, qui a une fille de 18 mois, a raconté leur histoire dans une émission de la BBC intitulée Hospital.
« Quand il naîtra, il vivra peut-être une heure, quelques jours. Ils ne peuvent pas me le dire », a déclaré Lauren, âgé de 27 ans, dans l’émission.
Les médecins dirent au couple au cœur brisé qu’ils pouvaient faire avorter Albi. Lauren avait 15 semaines et trois jours. Les médecins précisèrent qu’ils pouvaient injecter de la digoxine dans le cœur d’Albi pour le tuer, puis elle l’aurait accouché avec Bobby, mais mort. Ou elle pouvait les garder jusqu’à la naissance avec un risque d’accouchement prématuré, ainsi que la possibilité qu’Albi meure in utero.
Lire la suiteElle refuse d’avorter : on l’accuse d’être «inhumaine»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les médecins de Hannah Morris lui avaient prédit que ses jumeaux mourraient ou naîtraient avec d’horribles déformations, ce qui n’arriva pas, et que de ne pas avorter était « incroyablement inhumain et la pire chose à faire ». Encore une bande d’Esculapes ne proposant au prime abord que l’avortement et ne projetant sur l’avenir que de sombres tableaux. Extrait de Gènéthique :
A seulement 16 semaines de grossesse, Hannah Morris a perdu ses eaux suite à une infection à l’E. coli. Les médecins lui ont alors déclaré qu’il y avait « 100 % de chances que ses bébés ne survivent pas » ou naissent handicapés. Comme seule solution, ils lui proposent un médicament pour provoquer le travail. La jeune maman raconte avoir réagi d’« instinct ». « J’ai dit que si je devais les perdre, je les perdrais naturellement et je laisserais la nature suivre son cours », explique-t-elle […] Ils lui ont prédit « que leurs poumons ne se développeraient pas, ni leurs reins », ajoutant que ne pas avorter était « incroyablement inhumain et la pire chose à faire ».
[…]
Contre toute attente, Hannah Morris atteint les 34 semaines et donne naissance par césarienne à George et Alfie. « Bien qu’Alfie soit né avec des trous dans le cœur et que George ait un système immunitaire affaibli en raison de sa naissance prématurée », les deux enfants âgés de quelques mois sont maintenant en pleine forme.
Le poids de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Phnh Phng/Pixnio
Les partisans de l’avortement ont généralement l’habitude de nier que celui-ci ait des effets néfastes tant physiques que psychologiques (et spirituels) sur les femmes. Or, voici le témoignage, comme tant d’autres, d’une jeune femme qui montre la vraie face de l’avortement : le regret, l’angoisse, les problèmes psychologiques, etc.
La jeune femme, qui se présente sous le nom de Clém, a 26 ans et vit avec un homme de 41 ans avec lequel elle a eu un enfant. L’homme en question avait déjà une fille, aussi sont-ils quatre dans la même maison. Elle explique, d’après La Mariée en Colère :
Tout a commencé il y a un an, à cette période j’ai senti en moi un changement inhabituel, au fond de moi et étant passée par là l’année précédente, je savais plus ou moins qu’un petit être avait pris place en moi pour faire son nid pour les 9 prochains mois. Or dans ma tête j’avais le sentiment que ce n’était pas le bon moment pour l’accueillir pour de multiples raisons (financières, professionnelles) et je savais que Papa n’était pas prêt pour un 3ème enfant puisqu’il n’en désire plus à 41 ans.
La jeune femme prit un test de grossesse qui s’avéra être positif. Partagée entre la joie et l’inquiétude, elle se rendit chez son médecin, puis prit un rendez-vous pour une échographie qui lui révéla qu’elle était enceinte de jumeaux. Dans la même journée, elle révéla à celui avec qui elle vivait l’état des choses :
J’ai donc pris mon courage et annoncé « Je suis enceinte » sans réaction de sa part et une tête d’enterrement figée sur son visage, j’ai ajouté « Et ils sont 2 ». A ce moment-là, j’ai vu que cette nouvelle ne lui plaisait pas du tout. C’est alors avec le cœur serré et une boule dans la gorge que je l’ai rassuré « Ne t’inquiète pas je vais interrompre la grossesse » et là il m’a répondu « OK ça va aller alors ! ».
Quelques jours plus tard, elle avorta par le moyen de la pilule abortive :
Sans entrer dans les détails, sachez que j’ai mieux vécu mon premier accouchement que cette IVG.
Suite à ça, oui je suis passée par une période de soulagement, mais la réalité m’a très vite rattrapée : mon anxiété s’est accentuée, j’ai découvert les crises d’angoisse et les crises de nerfs […]
Je l’assume et le dis haut et fort, oui j’ai le sentiment d’avoir tué mes enfants ! Croiser une femme enceinte, une poussette ou un nouveau-né est devenu pour moi une terrible torture…
Aujourd’hui à l’âge de 26 ans je suis sous antidépresseur, somnifère, anxiolytique et consulte depuis plusieurs mois un psychiatre et psychologue qui tentent de m’apporter du soutien et des solutions pour retrouver ma joie de vivre et goût à la vie, mais pour moi ça semble peine perdue je n’arriverai pas à oublier, à les oublier…
Je n’ai pas osé dire ce que je désirais au fond de moi et je les ai perdus pour toujours…
Vidéo : Des jumeaux en pleurs se réconfortent après la naissance
Les frères jumeaux Weston et Caleb Lyman, peu de temps après leur naissance.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Nous savons tous que les jumeaux créent des liens dans le ventre de leur mère, et que ces liens peuvent perdurer toute leur vie. Une paire de jumeaux nous montre à quel point cette connexion de « jumeau à jumeau » peut être forte et que l’humain est un être social, et ce, bien avant la naissance.
Weston et Caleb Lyman venaient tout juste de naître lorsque leur père Dane a enregistré un moment charmant entre les deux bébés, après que ces derniers aient été séparés durant l’accouchement. Comme n’importe quel nouveau-né, les deux petits criaient, mais ils étaient en bonne santé et l’accouchement s’était bien déroulé. Lorsque les deux frères ont été réunis à nouveau, ils se sont instantanément calmés.
Dane Lyman raconte au News Center Maine : « Tout de suite après l’accouchement, j’ai suivi les garçons pour découvrir leur taille et leur poids. C’est à ce moment que j’ai pu capturer la scène ; c’était l’une des plus belles choses à regarder et je suis si heureux d’avoir eu la chance de la filmer. »
Lire la suitePressée d’avorter une de ses jumelles de façon sélective, Heather a plutôt choisi la vie
Cora et Daisy Heather.
Par Feleica Langdon (Life Defenders) — traduit par Campagne Québec-Vie
Je m’appelle Heather. Nous nous sommes rendus compte, mon mari et moi, que nous attendions notre deuxième enfant après avoir traversé deux années d’infertilité secondaire. Nous étant fait à l’idée que notre enfant de trois ans que nous avions eu l’opportunité d’éduquer serait notre unique enfant, nous étions absolument ravis et agréablement surpris.
En février, j’avais des symptômes importants tels que de brèves pertes de mémoire et ce sentiment d’avoir été frappée par un camion Mack chaque jour au travail. À cause de mon historique de fausse couche, de la gravité de mes symptômes actuels et de l’intensité physique de mon travail, mon gynécologue me rencontra quelques semaines avant ma première visite prénatale. Elle décida d’avoir un aperçu de mon état et de celui du bébé grâce à une échographie. Je n’avais vraiment aucune idée du moment de sa conception étant donné que j’avais perdu espoir…
Mon mari et notre enfant de trois enfants m’attendaient dans le corridor et j’attendais nerveusement que le médecin trouve le battement cardiaque. Je pense que beaucoup de femmes enceintes qui ont subi une fausse couche dans le passé se demandent avec anxiété si le battement de cœur sera trouvé.
Lire la suiteUne mère courageuse, atteinte du cancer, refuse l'avortement et donne le jour à des jumeaux en bonne santé
La courageuse mère Becky et ses jumeaux Preslee et Buddy
Par la Lifesitenews traduit par Campagne Québec-Vie
26 Mai, 2017 (SPUC) -- Becky Anderson a rejeté les conseils du médecin et sauvé ses jumeaux à naître, en dépit du fait que son médecin lui ait dit que son cancer du col de l’utérus pouvait la tuer.
Becky, de Portsmouth, qui était déjà mère de deux enfants, Morgan,18 ans et Phinley, 9 ans, a découvert qu’elle était enceinte, au mois de mai 2016. Mais à peine deux mois plus tard, une biopsie donna un résultat anormal, et on lui apprit alors qu’elle avait le cancer du col de l’utérus.
D'autres tests, lorsque Becky était à sa quinzième semaines de grossesse, montrèrent que le cancer se limitait au col de l'utérus et qu’elle n’aurait pas besoin de chimiothérapie.
Elle a déclaré au Sun: « C’était un tel soulagement d’entendre que le cancer ne s’était pas propagé. Mais dès que la nouvelle tomba, mon premier souci fut pour mes jumeaux à naître. J’ai demandé au docteur si tout était beau de leur côté.
Lire la suiteUne vidéo intra utérine de jumeaux, qui offre un aperçu époustouflant à l’intérieur de l’utérus
Le petit visage d'une des jumelles peut être vu dans cette capture d'écran de la vidéo.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Depuis la légalisation de l’avortement, il y a de cela 40 ans, la technologie a fait beaucoup de progrès. Dans les années 70, la femme enceinte moyenne ne savait pas à quoi son enfant ressemblait, aux diverses étapes de son développement. Puis les échographies sont devenues une pratique standard, et comme la technologie s’améliorait, notre habileté à voir dans l’utérus aussi. Aujourd’hui, c’est une évidence absolue que tous les fœtus sont humains à 100%, qu’ils sont à 100% vivants et surtout à 100% de mériter les mêmes droits que nous, qui avons eu le privilège de naître. Une vidéo de jumeaux dans le placenta, prouve que la vie commence bien avant la naissance normale.
Cette vidéo partagée par la Twins and Multiple Births Association (Tamba, une association pour grossesses multiples), a été filmée en 2014 à 22 semaines de gestation. Sarah et Dan Maund étaient à l’hôpital St Georges de Londres pour une ablation chirurgicale au laser sur leurs jumeaux, qui avaient le syndrome de transfusion foeto-fœtale (en anglais TTTS).
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