Une mère s’est battue pour ses jumelles en danger de mort alors que les médecins suggéraient l’avortement
Lydia Crandall et ses filles jumelles.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lydia Crandall, 29 ans et déjà mère de deux enfants, fut ravie lorsqu’elle découvrit qu’elle était enceinte. Malgré son mariage en difficulté, période assez turbulente, elle se réjouissait de la nouvelle vie qui grandissait en elle. À sa grande surprise, elle a développé un ventre de grossesse dès le début et elle s’est demandé si elle ne portait pas des jumeaux. Une échographie réalisée à neuf semaines de grossesse a confirmé qu’elle attendait bien deux bébés, mais elle a aussi révélé quelque chose d’inquiétant.
Les médecins lui ont recommandé à plusieurs reprises d’avorter, mais elle a refusé
Mme Crandall a déclaré à Live Action News : « Au début, on m’a dit que mes bébés avaient des marqueurs du syndrome de Down, mais il a été confirmé par la suite qu’ils étaient atteints du syndrome de transfusion gémellaire (TTTS), un trouble du partage du sang dans lequel un jumeau ne reçoit pas assez de nutriments et l’autre en reçoit trop. Il s’agit d’une maladie grave qui affecte les deux bébés ».
À la suite du TTTS, le jumeau donneur a souffert d’un collapsus de la vessie et le jumeau receveur a eu une attaque dans l’utérus à cause d’un flux sanguin trop important.
Les médecins ont dit à Mme Crandall que l’état des jumeaux était fatal à 80-100 % et lui ont conseillé d’avorter. Cette option n’était pas acceptable pour Mme Crandall, qui a toujours cru au caractère sacré de la vie. Elle était déterminée à mener ses bébés à terme. Mais les spécialistes lui répétaient que la situation était grave et qu’elle devait envisager l’avortement.
Elle a tenu bon, et ils lui ont finalement parlé d’un traitement délicat, effectué in utero sur le placenta, qui consiste à sectionner les veines et les artères à l’origine de la maladie.
Une délicate intervention in utero pourrait sauver les jumeaux
L’opération était relativement nouvelle à l’époque et seul un petit nombre de chirurgiens la pratiquait dans tout le pays. Désespérée de sauver la vie de ses bébés, Mme Crandall s’est rendue à l’hôpital pour enfants de Philadelphie pour y subir l’intervention.
Lire la suiteLes parents de jumelles conjointes séparées avec succès disent que l’avortement n’a jamais été une option pour eux
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Castle/Facebook
Dwight et Stephanie Castle disent qu’avoir mis au monde des bébés jumeaux conjoints est la chose la plus difficile qu’ils aient jamais faite. Pourtant, pour eux, l’avortement n’a jamais été une option, et ils continuent de croire que Dieu les aidera à s’en sortir.
Les Castle étaient déjà parents de trois enfants lorsqu’ils ont appris qu’ils attendaient de nouveau un enfant ; quelques semaines plus tard, ils ont découvert que c’étaient des bébés jumeaux. Mais lors de leur rendez-vous à 12 semaines, ils ont appris que les bébés jumeaux étaient conjoints. « Nous n’avons rien dit pendant très longtemps », a raconté Dwight, qui est pasteur. « Nous avons simplement pleuré ». confie-t-il à WORLD
L’avortement n’était « même pas une pensée dans leur tête », mais cela ne voulait pas dire qu’ils n’avaient pas peur. « J’essayais de croire à la bonté de Dieu dans tout ça », a poursuivi Dwight. « Je crois en sa puissance, en sa capacité à sauver, en sa souveraineté sur tout. Mais comment cela pouvait-il être bon ? »
Pour Stephanie, c’est le soutien de leurs amis qui les a aidés à traverser cette épreuve. « Et c’est comme ça que ça s’est passé », a déclaré Stephanie. « Quand nous sommes faibles, les autres autour de nous sont forts ».
Originaires de Birmingham, en Alabama, les Castle ont été envoyés à l’hôpital pour enfants de Philadelphie (CHOP), un établissement qui reçoit des jumeaux conjoints du monde entier. À 34 semaines, les jumelles — Elizabeth et Susannah — sont nées. Après la naissance, AL.com a rapporté que les filles avaient chacune un cœur bien distinct, ce qui facilite les chances de séparation.
Lire la suiteLes médecins disaient qu’ils n’avaient aucune chance de survivre, mais ces jumeaux nés à 22 semaines défient les probabilités
Harley et Harry Crane.
Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La valeur des bébés à naître est de plus en plus évidente à mesure que des bébés prématurés de plus en plus petits survivent.
Il y a quelques décennies, la viabilité se situait à environ 28 semaines de grossesse, puis elle a reculé à 24. Aujourd’hui, grâce aux progrès de la médecine moderne, ce point s’est déplacé encore plus tôt, et des bébés de 21 et 22 semaines survivent.
Ces derniers jours, le Daily Mail a mis en lumière l’histoire des jumeaux Harley et Harry Crane, qui sont considérés comme les jumeaux les plus prématurés à avoir jamais survécu au Royaume-Uni.
Les jumeaux Crane sont nés à 22 semaines et cinq jours de grossesse, et les médecins de leur mère l’ont avertie que leurs chances de survie étaient nulles, selon l’article.
Mais les médecins avaient tort, et maintenant les parents Steve et Jade Crane, de Derby, en Angleterre, se préparent à ramener leur fils et leur fille de l’hôpital.
« Je suis tellement fière de mes bébés. Ce sont de petits combattants », a déclaré leur mère. « Ils se portent à merveille. Ils font toutes les choses qu’on nous avait dit qu’ils ne feraient pas : ils pleurent, ils survivent. »
Les Cranes ont déclaré avoir passé 11 ans à essayer d’avoir un bébé. Après l’échec de plusieurs traitements de fécondation in vitro (FIV) et trois fausses-couches, le couple était anxieux lorsque Jade est devenue enceinte de jumeaux.
« J’avais tellement peur de faire une fausse-couche ou que quelque chose se passe mal. C’est pourquoi je n’ai littéralement rien fait pendant la grossesse. J’étais encore incrédule lorsque nous sommes arrivés à 20 semaines... » raconte Jade Crane.
Lire la suiteDes jumelles conjointes séparées après une opération complexe : « Dieu nous a donné ces filles pour une raison »
Dom et Maggie Altobelli avec leurs filles Adison et Lilianna.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Maggie Altobelli était enceinte de 20 semaines lorsqu’au cours d’une échographie de routine, les médecins lui ont annoncé une nouvelle surprenante : elle et son mari Dom attendaient des jumelles ─ et ces jumelles étaient conjointes au niveau de l’abdomen et de la poitrine.
« C’était une surprise et aussi un très grand choc », a déclaré Mme Altobelli à Today Parents. « Mais nous avons pensé que Dieu nous avait donné ces filles pour une raison ».
Les Altobelli étaient déterminés à faire tout ce qu’ils pourraient pour s’assurer que leurs filles, Addison et Lilianna, seraient bien soignées. Ils ont donc dû quitter leur maison de Chicago pour s’installer à Philadelphie afin qu’elles puissent être soignées au Children’s Hospital of Philadelphia (CHOP) [l’hôpital pour enfants de Philadelphie] où les médecins ont l’habitude de séparer des jumeaux conjoints.
Maggie Altobelli a déclaré dans une vidéo diffusée par l’hôpital : « Nous avons dû déménager, nous avons dû consacrer nos vies à mettre ces filles au monde et à leur donner une bonne vie et une bonne chance, et c’est ce que le CHOP nous a donné, cette chance ».
Les tests prénataux ont révélé que les jumelles partageaient le foie et le diaphragme, mais pas le cœur. C’était une bonne nouvelle, car cela donnait aux médecins l’espoir que les jumelles pourraient être séparées avec succès. « Les “scans” sont vos premiers indices pour savoir si les bébés vont pouvoir être séparés ou non », a déclaré le Dr Holly Hedrick, l’un des chirurgiens, à Today Parents. « Le facteur le plus important est vraiment le cœur et [surtout de savoir] si le cœur est conjoint ». Pourtant, les Altobellis savaient que les filles faisaient face à une opération à haut risque.
Lire la suiteUn avortement devant tuer un jumeau malade, tue le jumeau sain
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kmpzzz/AdobeStock
Le National Health Service du Royaume-Uni a révélé qu’un avortement destiné à tuer un jumeau malade a été bâclé et a tué accidentellement le jumeau sain que les parents avaient l’intention de garder.
L’avortement bâclé a été découvert dans le cadre d’une enquête menée au titre de la loi sur la liberté d’information, qui a mis en évidence 700 décès dus à des erreurs de base qui auraient pu être évitées. Selon The Sun, les bébés jumeaux avaient reçu un diagnostic de « croissance restrictive ». Il s’agit vraisemblablement d’un retard de croissance intra-utérin sélectif (RCIU), un problème qui survient dans environ 10 à 15 % des grossesses gémellaires. En cas de RCIU, le jumeau dont la croissance est limitée ne reçoit pas suffisamment de nourriture du placenta et la différence de poids entre les jumeaux est supérieure à 20 %.
Le Birmingham Women's and Children’s NHS Foundation Trust a pratiqué l’avortement dans le but d’aider le jumeau le plus sain à survivre à la grossesse. « La restriction sélective de la croissance du fœtus est une condition qui se produit dans environ 10 à 20 % des grossesses gémellaires, lorsque l’un des bébés ne reçoit pas assez de nourriture via le placenta pour se développer à un rythme normal », a déclaré un porte-parole du Royal College of Obstetricians and Gynaecologists dans un communiqué. « Dans les cas les plus graves, l’interruption sélective de grossesse peut améliorer les chances de survie du fœtus dont la croissance est normale, au détriment du co-jumeau dont la croissance est gravement limitée. »
Pourtant, selon des organisations de soins de santé respectées, comme Children’s Minnesota, Johns Hopkins et l’hôpital pour enfants de Philadelphie, il existe des options pour la gestion et le traitement du RCIU. Une étude a révélé un taux de survie allant jusqu’à 90 % chez les deux jumeaux.
La mère s’est-elle vu proposer des interventions ou des options de traitement qui auraient donné une chance de survie aux deux enfants ? Ce n’est pas clair, mais le Royaume-Uni est connu pour son attitude coercitive à l’égard de l’avortement, en particulier pour les enfants à naître atteints de handicaps. Dans ces circonstances, le programme « Antenatal Results and Choices » (ARC) ne fournit des ressources et un soutien aux parents que s’ils choisissent d’avorter après un diagnostic prénatal. Il n’est pas clair si cela a été le cas pour cette famille.
Dr Fiona Reynolds, médecin en chef du Birmingham Women's and Children’s NHS Trust, a qualifié d’« erreur fatale » la faute commise au cours d’une « procédure fœtale hautement spécialisée ».
Pourtant, il ne s’agissait pas d’une procédure de soins de santé hautement spécialisée ─ c’était un avortement, qui vise à tuer intentionnellement un être humain. Dans le cas présent, le problème est qu’un enfant a été délibérément tué en raison d’un état d’esprit eugéniste.
Des jumelles siamoises nées vivantes, après que les médecins aient conseillé aux parents de les avorter
Lakelyn et Laylie Hickey, sœurs siamoises.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Mise à jour 1er septembre 2021 : Les jumelles conjointes Lakelyn et Laylie sont nées mercredi à 32 semaines de gestation et elles ont remarquablement survécu à la naissance. Les filles pèsent 1,3 kg chacune et mesurent 35,5 cm de long. Leur page Facebook, Hickey Conjoined Twins, a annoncé leur arrivée et a déclaré que les deux filles respirent par elles-mêmes et se portent bien jusqu’à présent.
31 août 2021 : Un couple du Kentucky qui attend des jumelles conjointes est déterminé à donner à ses enfants une chance de vivre, malgré le fait que les médecins ont déclaré qu’il y avait peu de chances que les bébés survivent après la naissance.
Dans une entrevue, Charla Cook a déclaré à WLKY qu’elle était à plus de la moitié de sa grossesse lorsqu’elle et son mari Logan ont découvert qu’ils attendaient des jumelles lors d’une échographie de routine. Les médecins ont rapidement déterminé que les bébés étaient fusionnés et qu’ils partageaient plusieurs organes, dont le foie. Pour cette raison, de nombreux professionnels de la santé estiment qu’il est pratiquement impossible de séparer les bébés une fois qu’ils sont nés.
Charla a déclaré que les médecins, estimant que les jumelles avaient si peu de chances de survie, ont proposé l’avortement comme alternative. Un GoFundMe pour la famille a déclaré qu’on leur a donné peu d’espoir ou d’aide en leur apprenant le diagnostic.
Lire la suiteUne mère texane donne naissance à de rares jumeaux après une grossesse à haut risque
Raya et Naya, jumelles de Rima Aldebbeh et Rami Ramadan.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Rima Aldebbeh, une mère texane, a eu un grand choc lors de sa première échographie prénatale : celle-ci a révélé qu’elle attendait des jumeaux, mais ce n’était pas sa seule surprise. L’échographie a également montré que les deux bébés partageaient le même sac amniotique et le même placenta, un phénomène connu sous le nom de jumeaux monochoriaux-monoamniotiques, qui se présente dans moins de 0,1 % de toutes les grossesses.
« Cela se produit dans moins de 1 % de toutes les grossesses de jumeaux identiques et dans moins de 0,1 % de toutes les grossesses en général », a déclaré à NBC 5 le Dr Julia Flowers, gynécologue-obstétricienne et présidente du département d’éthique médicale au Baylor Scott & White Medical Center-Grapevine. « C’est une grossesse très risquée. Le risque d’avoir des problèmes avec les cordons ombilicaux est élevé. Comme vous pouvez l’imaginer, ils sont dans le sac ensemble et il y a plus de chances qu’ils s’emmêlent et que l’approvisionnement en sang soit coupé. »
Aldebbeh, qui a trois autres enfants, a raconté qu’elle était submergée par la peur que quelque chose arrive à ses bébés à naître. « Trop de choses me passaient par la tête, surtout les mauvais scénarios comme “Que va-t-il se passer” ou “Vont-ils vivre ?” a-t-elle dit. » Elle a également confié que c’est son mari, Rami Ramadan, qui lui a permis de garder son calme. « C’est bon. Tu dois juste prier et tout ira bien », lui disait-il.
En raison de son état à haut risque, Aldebbeh a été admise à l’hôpital à peu près au milieu de sa grossesse. Cela a été réconfortant pour sa famille de savoir qu’elle recevrait des soins immédiats en cas de besoin, mais aussi difficile car les restrictions covid signifiaient qu’ils étaient séparés pendant une longue période.
Le Dr Flowers a fait une déclaration à Fox News sur le traitement d’Aldebbeh pendant cette période. « Lorsque nos patientes font face à des grossesses difficiles et à haut risque, notre équipe fait preuve d’amour et de compassion tout en appliquant la formation et les meilleures pratiques pour offrir le meilleur résultat possible », a-t-elle déclaré.
Les jumelles, Raya et Naya, ont finalement été mises au monde sept semaines avant terme pour leur sécurité. Malgré tout, elles étaient en bonne santé et se portent bien. Après un séjour de trois semaines à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN), elles sont sorties de l’hôpital et sont maintenant chez elles avec leur famille.
« Nous ne pouvons pas être plus heureux », a déclaré M. Ramadan à Fox News. « Nous avons réussi à traverser cette période difficile. Maintenant, les filles sont enfin là, elles sont en bonne santé, elles sont sorties de l’USIN, la famille est réunie. C’est une bénédiction. »
Une sénatrice du Minnesota ignora les médecins conseillant d’avorter un jumeau: «Nous sommes incroyablement pro-vie»
Les bébés du sénateur Julia Coleman.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le sénateur Julia Coleman du Sénat du Minnesota raconte au The Catholic Spirit les difficultés de sa grossesse, durant laquelle elle portait des jumeaux, et comment les médecins lui avaient recommandé d'avorter l'un des deux jumeaux afin que l'un d'eux ait plus de chances de survivre — ce qu'elle refusa fort heureusement pour les deux jumeaux sont nés bien vivants, selon LiveActionNews :
Lire la suitePendant la grossesse où elle portait Charles et James, Charles a été diagnostiqué comme souffrant d’un retard de croissance intra-utérin sélectif (RCIU) et il ne grandissait pas correctement. Les deux garçons ont également fait l’objet d’un suivi pour détecter le syndrome de transfusion entre jumeaux (TTTS), qui peut mettre en danger la vie de l’un ou des deux bébés. Mme Coleman a également commencé à montrer des signes de travail prématuré et elle a fini par travailler à l’hôpital.
« Les médecins se sont inquiétés de deux problèmes différents pour nos garçons : le syndrome de transfusion entre jumeaux (TTTS), qui nous oblige à vérifier leur niveau de liquide deux à trois fois par semaine, et le retard de croissance intra-utérin sélectif (sIUGR), pour lequel nous vérifions leur taille une fois par mois », a écrit Mme Coleman sur la page Caring Bridge des jumeaux.
« Nous sommes heureux de vous annoncer que les choses se sont remarquablement améliorées en ce qui concerne le TTTS, Charles ayant doublé la quantité de liquide qu’il a en lui », poursuit-elle. « James a également vu sa quantité de liquide augmenter considérablement, ce qui l’a amené bien au-delà de la quantité maximale que [les médecins] souhaitaient voir, mais son grand et solide cœur semble bien gérer ce surplus de liquide. »
Des jumelles nées à 22 semaines n’avaient que 50 % de chances de survie ― elles se portent à merveille
Loren (la mère), Billie et Bonnie (ses jumelles) Lyon.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― (LifeNews)
Les jumelles prématurées Billie et Bonnie, originaires d’Écosse, sont nées quatre mois avant terme et n’avaient que 50 % de chances de survie. Dix-neuf mois plus tard, ce sont des bambines heureuses et en bonne santé.
La mère, Loren Lyon, de Falkirk, n’a pu tenir dans ses bras ses chères jumelles que plusieurs semaines après leur naissance.
Billie et Bonnie sont arrivées quatre mois d’avance et ne pesaient que 2 lb 2 oz à elles deux. Elles étaient les plus petites jumelles d’Écosse.
Après leur naissance, les deux filles ont été placées dans des sacs spéciaux pour maintenir leur chaleur corporelle. On leur a donné une chance « très faible » de survie.
Loren se souvient : « La première fois que je les ai vues, elles avaient l’air si mal en point. Je me souviens avoir pensé : “Vont-elles s’en sortir ?” Elles étaient si petites ».
Pendant leurs 89 jours d’hospitalisation, les jumelles ont lutté contre des infections et d’autres complications liées à leur naissance prématurée qui comportait notamment une rupture de la membrane [de la mère].
Lire la suiteDes jumelles prématurées survivent à leur naissance à 22 semaines de grossesse
Par Paul Smeaton — Traduit par Campagne Québec-Vie
Caroline du Nord, 29 avril 2020 (LifeSiteNews) — La mère des bébés venant en seconds parmi les plus prématurés au monde, à survivre hors de l’utérus, révéla aux journalistes qu’elle se sentait bénie, les médecins avaient pourtant affirmé que ses jumelles identiques n’avaient aucune chance de survivre.
« J’ai tellement de chance et je sais que c’est un miracle absolu. Je me sens bénie », dit la mère des deux filles, Tracey Hernandez, au journal The Metro après avoir communiqué d’incroyables photos de ses enfants recevant des soins urgents des mains des médecins en Caroline du Nord.
« Elles sont une création de Dieu et je les ai vues se développer en dehors du ventre de leur mère », déclara-t-elle.
Les jumelles Makenzie et Makayla sont nées à seulement 22 semaines de grossesse, Makenzie pesant moins d’une livre et une once, et Makayla une livre et trois onces.
Mme Hernandez raconta aux journalistes : « Quand l’accouchement commença, ils me dirent que le taux de survie était de zéro pour cent. Ils m’affirmèrent que les bébés nés à moins de 23 semaines ne s’en sortaient pas ».
Les jumelles sont nées le 8 décembre 2019. Après des mois d’hospitalisation avec des traitements dont les opérations du dos et du cœur, elles devraient bientôt rentrer chez elles.
« Elles m’ont toutes deux étonnée et elles continuent de m’étonner », confia Mme Hernandez. « Elles sont une bénédiction pour moi et je suis très fière de pouvoir m’appeler leur mère ».