« Mes jumelles auraient 40 ans si elles n’avaient pas été avortées — un jour, je les rencontrerai au paradis »
Chaz Horn.
Par Chaz Horn (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Mes jumelles auraient 40 ans aujourd’hui. Mais leur vie a été étouffée avant de pouvoir en profiter.
Il y a quarante ans.
C’était mon droit et mon choix. Je savais au fond de moi que c’était mal, et je l’ai dit à leur mère. Mais lorsque les choses se sont précipitées, j’ai été faible et égoïste, et je l’ai soutenue dans sa décision.
Je l’ai accompagnée à la clinique et je n’oublierai jamais le moment où j’ai franchi la porte d’entrée du bureau. J’ai eu l’impression de pénétrer dans un nuage de ténèbres spirituelles.
Assis dans la salle d’attente, j’ai regardé autour de moi, me demandant à quoi je participais... J’ai regardé les gens aux visages inanimés et je suis entré dans mon film d’horreur personnel.
Ce jour-là a changé ma vie pour toujours.
Lire la suiteL’un de ses jumeaux ayant été jugé trop malade pour vivre, on lui a conseillé de l’avorter. Était-ce nécessaire ?
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
À 12 semaines de grossesse, Ashley Brandt, de Dallas (Texas), a appris que l’une des jumelles identiques qu’elle portait était atteinte d’acranie, une maladie rare dans laquelle les os plats de la voûte crânienne sont partiellement ou totalement absents. Sans ces os, le cerveau en croissance du bébé n’est pas protégé et ne peut pas se développer correctement. Les enfants atteints de cette maladie meurent souvent au cours de la première semaine qui suit la naissance, et Brandt et son mari Marcus auraient été informés qu’un avortement était nécessaire.
Plus précisément, les médecins ont conseillé à Brandt de subir un avortement « de réduction » — dans lequel un jumeau serait avorté et l’autre non — afin de protéger le jumeau « sain » du risque de fausse couche et autres complications potentielles. Comme elle vit dans l’État du Texas, qui protège la plupart des enfants à naître contre l’avortement, les médecins ont dit à Mme Brandt qu’elle devrait se déplacer pour subir l’avortement.
« Elle a dû avorter l’autre [jumeau] qui souffrait d’une maladie mortelle appelée acranie », affirme Now This. « Ashley Brandt était ravie d’être enceinte de jumeaux en même temps que sa belle-sœur, mais lorsque le point gris flou de l’échographie s’est avéré être une condamnation à mort garantie, elle a été dévastée. Pire encore, elle se trouvait dans un État qui ne lui permettait pas de sauver l’autre fœtus par un avortement de réduction. Si le fœtus non viable était resté dans son corps, il aurait pu déclencher une fausse-couche et elle les aurait perdus tous les deux ».
Lire la suiteNombre record de bébés jumeaux sauvés de l’avortement lors des 40 Jours pour la Vie
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Art man/Adobe Stock
Imaginez l’échographiste de Planned Parenthood, formé pour minimiser l’effet émotionnel de l’échographie. La procédure standard consiste à détourner l’écran de la femme, à indiquer l’âge gestationnel du fœtus et à confirmer une grossesse in utero normale.
Mais lorsque deux bébés apparaissent à l’écran, comment l’échographiste signale-t-il la présence d’un fœtus supplémentaire ? L’échographiste peut annoncer « deux fœtus », mais la patiente interprétera quand même la déclaration comme étant des jumeaux.
Un nombre record de jumeaux sauvés a été célébré par 40 Jours pour la Vie ce printemps. Le précédent record était de trois duos de jumeaux, ce printemps il était de cinq.
« Les jumeaux humanisent les enfants à naître », a déclaré Shawn Carney, président et directeur général des 40 Jours pour la Vie, à Pregnancy Help News.
« Dans tous ces cas — qui se situent dans des endroits très divers —, les femmes étaient allées se faire avorter », a expliqué Carney. « Elles ont ensuite découvert qu’elles allaient avoir des jumeaux et c’est ce qui a déclenché l’idée qu’elles ne pouvaient pas aller jusqu’au bout ».
M. Carney a souligné l’état d’esprit qui consiste à considérer l’avortement d’abord comme une simple « procédure », puis tout à coup comme « vos enfants ».
« C’est vraiment magnifique », a déclaré Carney.
« C’est arrivé au Kansas, en Indiana et en Croatie », dit-il. « Il y a eu également des jumeaux sauvés en Colombie, ce qui fait que les lieux sont très diversifiés, et ce sur une période de 40 jours ».
Lire la suiteUne petite fille à qui l’on avait donné 30 minutes à vivre fête son premier anniversaire
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une petite fille a déjoué les pronostics et survécu après que les médecins eussent initialement prédit qu’elle ne vivrait que peu de temps après sa naissance en raison d’une grosse tumeur dans sa poitrine détectée lors d’une échographie.
La petite Lily Rudd et sa sœur jumelle Frances viennent de fêter leur premier anniversaire — une étape remarquable pour la petite Lily, qui est née avec une tumeur de la taille d’un pamplemousse dans la poitrine, écrasant son cœur et ses poumons. Selon 7News, les médecins avaient prédit qu’elle ne vivrait qu’environ 30 minutes après sa naissance. Son état était si rare que des cas comme celui-ci n’ont été observés que 30 fois dans le monde.
« On nous avait dit que Lily ne vivrait qu’une demi-heure », a déclaré son père James. « C’est tout ce qu’ils pensaient que nous aurions ».
Mais après la naissance, les médecins ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour la sauver. Lily a été transportée au Royal Children’s Hospital pour y subir une intervention chirurgicale d’urgence. L’énorme tumeur maligne avait poussé son cœur sur le côté et il a fallu huit heures aux chirurgiens pour l’enlever. Lily est restée sous assistance respiratoire pendant les deux mois qui ont suivi l’opération.
Lire la suiteUne mère refuse la suggestion des médecins d'avorter l’une de ses jumelles
Par Right to Life UK — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dasha Petrenko/Adobe Stock
Une mère de Southampton a fait part de son expérience : on lui a dit d'avorter l'une de ses jumelles peu de temps après avoir fait une fausse couche de l'autre.
Elaine Avery, 37 ans, était ravie d'avoir des jumeaux, mais on lui a dit très tôt que sa grossesse était à haut risque.
Ses filles, qu'elle a appelées Aurélia et Aurora, étaient des jumelles identiques monochoriales-diamniotiques, ce qui signifie qu'elles partageaient le même placenta et présentaient donc un risque plus élevé de complications telles qu'un faible poids à la naissance ou une naissance prématurée. À 21 semaines, Elaine a également découvert que les jumeaux souffraient du syndrome de transfusion de jumeau à jumeau, ce qui signifie que le flux sanguin n'est pas partagé de manière égale entre les deux bébés.
Elaine a déclaré : « J'ai dû subir une intervention chirurgicale d'urgence pour séparer les vaisseaux sanguins qui les reliaient. Lorsqu'on m'a parlé des complications, j'ai eu très peur et je me suis sentie seule ».
Lire la suiteUn prêtre assiste la naissance de jumeaux d’une femme sans-abri : « C’était une expérience surréaliste »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Campagne Québec-Vie — Photo : Art man/Adobe Stock
Au mois de septembre dernier, un prêtre de l’État de Washington a aidé une femme sans-abri à mettre au monde ses jumeaux. Selon Catholic Extension, le père Jesús Mariscal était sorti du presbytère pour acheter des beignets en vue d’une réunion de préparation au mariage avec un couple de fiancés lorsqu’il a vu une femme sans-abri qui semblait en détresse.
La femme se tenait près d’une statue de Marie, Notre-Dame de l’Immaculée Conception, qui se trouve sur le terrain de la cathédrale Saint-Paul de Yakima, dans l’État de Washington. Il a remarqué du sang aux pieds de la femme qui criait : « J’ai besoin d’aide ! Je vais avoir un bébé ! Je vais l’avoir maintenant ! Je vais l’avoir maintenant ! »
Le père Mariscal a appelé le 911 et a aidé la femme à s’allonger. Mettant son téléphone sur haut-parleur, il a suivi les instructions du répartiteur du 911. Selon lui, ce n’est que quelques secondes plus tard que la femme a donné naissance à un petit garçon.
Lire la suiteDes parents du Missouri attendent l’arrivée de jumeaux handicapés, avec une confiance inébranlable en Dieu
La famille DeWitt.
Par Kelli Smith — Traduit par Campagne Québec-Vie
22 août 2023 (LifeSiteNews) — Gemma DeWitt et son mari Aaron sont des catholiques fidèles qui assistent à la messe latine traditionnelle dans le Missouri central. Ils sont mariés depuis 14 ans et ont 4 enfants, Rachele (13 ans), Moses (11 ans), Ezykiel (7 ans) et Jeremiah (5 ans). Gemma est une mère au foyer qui fait l’école à la maison, et Aaron travaille dans l’industrie informatique.
Les deux plus jeunes enfants, Ezykiel et Jeremiah, sont atteints d’un syndrome extrêmement rare, le syndrome d’Allan-Herndon-Dudley (SAHD). Ce syndrome est un trouble du développement cérébral qui ne touche qu’un petit nombre d’enfants dans le monde. Ce syndrome touche exclusivement les garçons. Il entraîne une déficience intellectuelle modérée à sévère et des problèmes de motricité. Ezykiel et Jeremiah sont tous deux en fauteuil roulant et incapables de parler ou de marcher. Leur espérance de vie est malheureusement très limitée.
Aaron et Gemma sont des parents extrêmement compétents qui s’occupent avec constance et amour de tous leurs enfants, en particulier de leurs deux fils ayant des besoins spéciaux. Bien qu’Ezykiel et Jeremiah n’aient jamais été capables de communiquer au sens traditionnel du terme, j’ai personnellement été témoin des regards d’amour indéniables qui brillent dans leurs yeux — et de leurs sourires heureux et sincères — lorsqu’ils interagissent avec leur famille, assis dans leurs fauteuils roulants, pendant et après la messe.
Gemma et son mari sont toujours restés ouverts à une nouvelle vie si c’est la volonté de Dieu. Gemma (39 ans) a subi de multiples fausses couches, mais elle a gardé une confiance inébranlable en Dieu. Récemment, après avoir reçu la bénédiction de leur curé, Aaron et Gemma se sont réjouis lorsqu’ils ont découvert que non seulement ils attendaient à nouveau un heureux événement, mais que Gemma avait la chance d’être enceinte de jumeaux !
Lire la suiteDes frères jumeaux identiques accueillent leurs petits-enfants le même jour
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Abby Lancaster et Rachel Timmons ont toujours été proches en tant que cousines. Cela s’explique en partie par le fait que leurs pères, Alan Wells et Brian Wells, sont jumeaux identiques. Mais la surprise a tout de même été grande pour toute la famille lorsque les deux jeunes femmes ont donné naissance à leur premier enfant exactement le même jour, le 16 juin 2023.
Les deux familles ont appris la grossesse de l’une et de l’autre lors d’un appel Zoom à l’occasion de la fête de l’Action de grâce. « Nous ne savions pas que Rachel était enceinte et Rachel ne savait pas qu’Abby était enceinte », a déclaré Alan au Fairfax Times.
« Elle m’a appelée et m’a dit : “Nous avons des nouvelles”, et je lui ai répondu : “Vous avez des nouvelles ? Quelles sont vos nouvelles ? ” Elle m’a dit : “Éric et moi attendons un bébé”. J’ai répondu : “Arrêtez, je suis enceinte !” », a déclaré Rachel à WBNS.
En plus de se l’annoncer le même jour, les deux femmes ont appris qu’elles devaient accoucher à deux jours d’intervalle. « Je devais accoucher le 18 juin et elle le 16 juin », a expliqué Abby.
Abby et Rachel, qui sont nées à quelques mois d’intervalle et se sont mariées à quelques mois d’intervalle, ont également découvert qu’elles attendaient toutes deux une fille. « Ce serait fou si nous d’accouchions le même jour », se souvient Abby.
Au fur et à mesure que les dates d’accouchement approchaient, il semblait que la probabilité d’un double accouchement serait faible, puisque Rachel était programmée pour un déclenchement le 15 juin. Cependant, lorsqu’Abby a commencé à ressentir des pics de tension artérielle, son médecin a décidé de la déclencher plus tôt, le même jour que Rachel.
Bien que les cousines soient à des kilomètres l’une de l’autre — Abby vit à Reston, en Virginie, et Rachel à Indianapolis —, leurs hôpitaux ont même participé à l’excitation, les infirmières encourageant leur patiente à accoucher en premier. Jess Norman, directeur commercial du centre hospitalier de Reston, a noté que, dans le cadre de cette rivalité amicale, Alan et Brian s’envoyaient régulièrement des textos pour savoir laquelle des deux filles progressait le plus vite dans le travail et accoucherait la première.
En fin de compte, Abby a donné naissance à sa fille Georgia en premier, et Rachel a accouché de sa fille Delilah Lynn exactement deux heures plus tard. Il est surprenant de constater que les deux bébés mesuraient 20,5 pouces de long et que la différence de poids n’était que de trois onces.
M. Norman a déclaré que le lien entre les deux familles est extraordinaire à voir. « On dit toujours que les vrais jumeaux ont un lien entre eux, mais qui aurait cru que cela se répercuterait sur leurs enfants et petits-enfants ? »
Des jumeaux de 25 semaines survivent à une naissance prématurée
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michaela/Adobe Stock
Au Royaume-Uni, des bébés jumeaux ont été qualifiés de « miracles » après avoir survécu à un accouchement extrêmement prématuré à seulement 25 semaines.
Toni Lacey, mère de quatre enfants, a déclaré au Mirror qu’elle avait été ravie d’apprendre qu’elle était enceinte de jumeaux après une fausse-couche en juillet dernier, mais qu’en janvier, une échographie de routine avait révélé qu’elle souffrait d’une déhiscence utérine, une complication rare et potentiellement mortelle qui se traduit par une déchirure de la paroi utérine. Elle a été hospitalisée et, trois semaines plus tard, ses fils Arley et Ayden Bowles sont nés.
« Les médecins ont été honnêtes avec nous et nous ont prévenus qu’ils pourraient ne pas survivre, que le parcours serait très long et difficile », a déclaré Mme Lacey.
Les deux garçons pesaient moins d’une miche de pain à la naissance, Arley ne pesant qu’un kilo et demi et Ayden un kilo 600g.
« Ils étaient absolument minuscules. Ma main couvrait tout leur corps lorsqu’ils étaient en couveuse, et l’une de leurs mains tenait à peine autour d’un seul doigt de leur père », raconte Lacey.
Lire la suiteDes jumelles conjointes nées d’une mère qui refusait l’avortement ont été baptisées avant leur mort
Austin et Nicole LeBlanc, et leurs filles conjointes Maria There et Rachel Claire.
« Elles ont respiré jusqu’à leur dernier souffle et sont maintenant dans les bras de Notre Seigneur. »
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nicole LeBlanc/Twitter
17 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les jumelles conjointes de Nicole LeBlanc, mère catholique, sont nées, ont été baptisées et confirmées avant de mourir mardi. Elles ont été nommées Maria Thérèse et Rachel Claire.
Le 16 mai 2023, Maria Therese et Rachel Clare sont nées, ont été baptisées et confirmées. Elles ont vécu environ une heure et jouissent maintenant des splendeurs de la Vision Béatifique. Mes belles Saintes du Ciel, priez pour nous.
— Nicole LeBlanc (@nicolita_d) 17 mai 2023
Originaire de Detroit, Nicole LeBlanc a participé à l’émission The John-Henry Westen Show en mars pour parler de sa grossesse « 1 sur 100 000 », qu’elle a décrite sur Twitter après avoir appris que ses bébés partageaient non seulement un cœur, mais aussi des poumons et d’autres organes vitaux.
« Cela a été une expérience très émouvante », avait-elle déclaré à LifeSite à l’époque.
Mme LeBlanc, 23 ans, a résisté aux pressions exercées par les professionnels de la santé pour qu’elle avorte ses filles.
« Mon mari [Austin] et moi-même avons fermement dit : “Absolument pas. C’est tout à fait impensable. C’est brutal et c’est le meurtre de mes propres enfants. Pourquoi ferais-je cela ?” »
Lorsque les médecins m’ont annoncé leur diagnostic, ils m’ont dit : « Vous allez faire une fausse couche. Et si vous ne faites pas de fausse couche, l’autre option devrait être l’interruption de grossesse, parce qu’on ne s’attend pas du tout à ce qu’ils vivent longtemps ».
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