Jonathan « Jessica » Yaniv récidive
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock
Le transgenre Jonathan « Jessica » Yaniv, homme se prétendant femme, connu pour avoir tenté d’organiser une fête-baignade pour 12 ans et plus, mais à laquelle les parents n’étaient pas admis… Il s’était aussi illustré dans un procès, qu’il a par ailleurs perdu, dans lequel il se plaignait que des esthéticiennes eussent refusé d’épiler ses parties masculines intimes. Entre autres... Maintenant, cet infatigable transgenre a tenté de se faire servir comme patiente à un cabinet de gynécologie, lui qui n’est en rien une femme et qui a tous les organes qui caractérisent un homme (sans compter la génétique), pour être refusé, et pour cause ! ce dont il se plaint. D’après Summit News :
Maintenant, l’activiste trans est excédée de ce que les gynécologues refusent de servir les patientes transgenres.
« Ainsi, un cabinet de gynécologie auquel j’ai été référé m’a littéralement dit aujourd’hui : » nous ne servons pas les patients transgenres », disait Yaniv sur Twitter.
« Et moi, étant moi, je suis choquée... et troublée... et blessée. Ont-ils le droit de le faire, légalement ? N’est-ce pas contre les pratiques du collège [des médecins] ? demanda-t-elle.
Y aura-t-il un autre procès ?
Justice : des esthéticiennes ne sont pas obligées d’épiler les parties intimes d’un transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik
Un transgenre, un homme qui se prétend femme, à ne pas confondre avec l’autre sorte, la femme qui se croit homme, avait porté plainte devant les tribunaux de ce que des esthéticiennes eussent refusé d’épiler ses parties intimes, arguant qu’« elle » (puisque qu’il se dit femme) en avait le droit. La Cour qui s’est charger de cette affaire a heureusement statué que ces femmes étaient dans leur droit en refusant. (Mais pourquoi donc ce tribunal a-t-il seulement accepté d’entendre une plainte pareille ?)
Le sieur Jonathan « Jessica » Yaniv s’est donc vu non seulement débouté, mais condamné à verser 2000 $ à deux de ses victimes. Extrait de LifeSiteNews :
Le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique a statué aujourd’hui contre le militant transgenre Jonathan « Jessica » Yaniv qui avait déposé des plaintes officielles de « discrimination » contre un certain nombre d’esthéticiennes, celles-ci ayant refusé d’épiler ses parties intimes, plaintes qu’il base sur un prétendu droit en tant que « femme » de bénéficier de ces soins. Le tribunal a statué que ces esthéticiennes qui travaillent à domicile ont le droit de refuser de manipuler des parties intimes masculines.
« La législation sur les droits de la personne n’exige pas qu’un fournisseur de services épile un type de parties intimes pour lequel il n’a pas été formé et pour lequel il n’a pas consenti à épiler », déclare la décision.
La décision a également statué que M. Yaniv s’était « conduit de façon inconvenante », qu’il avait « déposé des plaintes à des fins inappropriées » et que son témoignage était « malhonnête et intéressé ».
Le Tribunal a finalement noté que Yaniv s’est montré « évasive, querelleuse et s’est contredite [sic] » dans son témoignage.
Le sombre portrait de Jonathan « Jessica » Yaniv, activiste « transgenre »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Avertissement, les sujets abordés sont choquants à lire, bien que je m’efforce de les aborder d'une façon respectant le plus possible la pudeur. — A. H.
Jonathan Yaniv dit « Jessica » est un homme qui se dit « femme transgenre » et lesbienne, mais qui n’a pas subi d’opération pour se démasculiniser (opération qui ne rend pas femme pour autant), ce qui se fait assez couramment chez les « femmes transgenres » quand ils veulent ressembler à de vraies femmes.
Yaniv s’est récemment illustré en demandant à la municipalité de Langley en Colombie-Britannique la permission d’organiser une fête-baignade à la piscine municipale, lors de laquelle les personnes admises pourraient être d’un âge aussi bas que celui de 12 ans, mais de laquelle les parents seraient exclus. De plus, le code vestimentaire de l’éventuelle fête indiquerait que les participants n’étaient uniquement requis que de couvrir les parties intimes en dessous de la taille… Heureusement, le Conseil municipal de Langley a décidé de reporter à septembre leur réponse à cette inquiétante requête ; dommage qu’il n’est pas tout simplement dit « Non ! »
Yaniv s’est aussi distingué (si l’on peut dire) dans les médias, parce que portant 16 motifs de plainte devant les tribunaux contre des esthéticiennes qui avaient refusé d’épiler ses parties intimes. Qu’un tribunal accepte d’écouter une plainte aussi monstrueuse dépasse l’entendement.
Par ailleurs, Yaniv poursuivrait aussi l’activiste chrétien Bill Whatcott, qui est connu pour être la cible de la persécution LGBT, demandant 35 000 $ pour avoir parlé de lui comme d’un homme et pour avoir dit qu’il était « un “travesti déviant” qui “cible les femmes biologiques* vulnérables” », d'après LiseSiteNews.
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