Est-ce vrai que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine sont entachées d'avortement, tout comme les vaccins covid ?
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Rumble
15 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Comme vous le savez tous, LifeSiteNews a pris une position très claire sur l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement, c’est-à-dire les vaccins qui ont employé des cellules fœtales avortées dans leur production, ou leurs tests ou les deux.
Cette position perdure depuis des années et nous l’avons maintenue récemment encore concernant les soi-disant « vaccins » contaminés par l’avortement. Nous avons également produit des articles sur l’utilisation de l’ivermectine comme traitement au COVID-19 et des complications liées aux vaccins.
Mais ces dernières semaines, nous avons vu une liste circuler parmi les catholiques; une liste de produits médicaux qui sont soi-disant contaminés par le mal de l’avortement, tout comme ces vaccins COVID — en particulier par la lignée cellulaire fœtale HEK-293, qui est dérivée d’un avortement pratiqué en 1973.
Cette liste comprend divers médicaments communs, ainsi que des traitements pour la COVID tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Lire la suiteLes vaccins covid-19 et l’utilisation de cellules problématiques, prélevées sur des bébés avortés, pour leur développement
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (rognée) : Freepik
Voici un article complémentaire de Pamela Acker, où elle fournit ses source. ― A. H.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale, à quelques détails près, de la transcription de l’entretien réalisé par John-Henry Westen de LifeSiteNews avec Pamela Acker, spécialiste des questions vaccinales. Cette jeune femme, remarquablement structurée dans sa tête, apporte des réponses claires et pertinentes sur la dangerosité et les risques de différents vaccins COVID, de leur mode d’élaboration et de leurs effets secondaires insuffisamment connus sur la durée.
Surtout, elle évoque la question de l’utilisation de cellules fœtales obtenues à partir d’avortement (et pas qu’un seul !), à la fois dans la phase de développement et de contrôle qualité, que dans le vaccin lui-même, s’agissant des vaccins développés par Astra Zeneca et Johnson & Johnson.
Est-il moral d’avoir recours à ces vaccins ? C’est une question sur laquelle je reviendrai dans les jours à venir, notamment avec le concours de Mgr Athanasius Schneider qui rejette les arguments de ceux qui n’y voient qu’une très, très lointaine coopération au mal.
Chose à laquelle on ne pense pas souvent dans ce dossier, ce n’est pas un bébé qui a été avorté pour obtenir ces précieuses cellules, mais plusieurs centaines ; les prélèvements ont été faits dans certains cas dans des conditions d’une affreuse cruauté ; l’utilisation des lignées de cellules embryonnaires prospère, notamment parce que personne n’exige des vaccins « éthiques ».
Je vous laisse découvrir ce passionnant entretien, dont la vidéo a été censurée par YouTube. Elle est actuellement disponible sur Rumble (pour voir la vidéo, cliquez ici). La retranscription anglaise est ici. Il est long, mais c’est un document qui doit faire partie du débat. – J.S.
Lire la suiteMgr Carlo Maria Viganò a lancé une neuvaine de rosaires de 54 jours en vue de l’élection américaine
Le Père Pillari.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (capture d'écran modifiée) : Youtube/LifeSite
A l’initiative de LifeSiteNews et avec le concours de Michael Matt de The Remnant et du Dr Taylor Marshall, une neuvaine de chapelets de 54 jours a été lancée le 8 septembre, en la fête de la Nativité de la Sainte Vierge, pour les Etats-Unis et pour le monde. La grâce demandée avec insistance est celle que « la sainte volonté de Notre Seigneur soit accomplie lors de l’élection présidentielle aux Etats-Unis en novembre ». Les 54 jours de récitation quotidienne du chapelet s’achèveront quelques jours avant le rendez-vous politique du 3 novembre, aux enjeux sans précédent.
C’est une « croisade du chapelet » en réponse aux demandes de Notre Dame à Fatima.
Mgr Carlo Maria Viganò, qui a déjà eu l’occasion d’exprimer son soutien à Donald Trump en ces temps d’affrontement entre le bien et le mal, « la postérité de la Femme et celle du Serpent », a accepté de présider à la récitation du premier chapelet : on peut l’écouter ici en anglais.
La « neuvaine de 54 jours » comprend en réalité six séries de neuf jours — six neuvaines, donc — où l’on récite le chapelet quotidiennement. Les trois premiers cycles correspondent traditionnellement à l’expression de la grâce demandée, tandis que les trois derniers expriment la reconnaissance à l’égard de Dieu, car nous savons qu’Il entend toujours nos prières. LifeSite invite tous les catholiques à s’unir à cette récitation quotidienne du chapelet ; pour les anglophones, c’est par ici sur Youtube, tous les jours à 18 h, heure de Paris.
Je vous propose ci-dessous ma traduction de travail du message adressé par Mgr Viganò à tous les participants lors du lancement de la « Croisade de chapelets ». — J.S.
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LE SAINT ROSAIRE, ARME LA PLUS PUISSANTE
CONTRE L’ENNEMI DE DIEU ET DES HOMMES
Une brève introduction à la récitation du Saint Rosaire pour l’Amérique et le monde entier. Quiconque croit qu’il peut mériter la gloire du Paradis en menant une vie médiocre sait qu’il est sur la mauvaise voie : Regnum cælorum vim patitur et violenti rapiunt illud [le royaume des Cieux se prend par violence, et ce sont les violents qui s’en emparent.] (Mt 11,12). Dans ces mots forts de l’Evangile, nous comprenons que seuls les violents peuvent d’une certaine manière vaincre la Justice de Dieu et obtenir sa récompense grâce à Son infinie Miséricorde. Une violence, une force, qui n’est certes pas celle du monde mais qui consiste avant tout à reconnaître notre propre indignité — en tant que créatures mortelles devant l’Être Incréé et Éternel, et en tant que pécheurs devant le Saint des Saints — et aussi la Toute-Puissance de Dieu, qui a daigné nous racheter par la Passion et la Mort de son Divin Fils. Je dirais aussi que le premier acte de cette sublime violence pour conquérir le Royaume de Dieu a été accompli par Notre Seigneur, qui dans l’éternité du temps a voulu restaurer la chute d’Adam en s’offrant au Père pour nous racheter du péché et de la mort : Tunc dixi : Ecce venio. In capite libri scriptum est de me, ut faciam Deus voluntatem tuam [Alors j’ai dit : Voici que je viens. En tête du livre il est écrit de moi que je dois faire votre volonté.] (Ps 39, 8-10). De même, la Madone répond à l’Archange Gabriel : Ecce ancilla Domini : fiat mihi secundum verbum tuum [Voici la servante du Seigneur : qu’il me soit fait selon ta parole] (Lc 1, 38).
Lire la suiteCovid-19 : Des cardinaux et des évêques se joignent à un appel mondial pour dénoncer la répression des libertés fondamentales
Mgr Carlo Maria Viganò
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Nous rajoutons en bas, après l’article de Jeanne Smits, le texte de l’Appel pour l’Église et pour le monde, paru sur veritasliberavitvos.info ― A. H.
Les cardinaux Gerhard Müller, Joseph Zen et Janis Pujats ont signé un appel lancé à l’initiative de Mgr Carlo Maria Viganò « pour l’Église et pour le monde » rendu public ce jeudi 7 mai à 19 h 30. Des évêques et prêtres, de nombreux laïcs — médecins, universitaires, écrivains, juristes, responsables d’associations, journalistes, la liste provisoire est en fin d’article — ont d’ores et déjà également apporté leur soutien à cet appel qui veut dénoncer l’utilisation du « prétexte de l’épidémie de Covid-19 » pour violer les droits des citoyens et porter atteinte aux libertés fondamentales. Y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et d’aller et de venir.
(Addendum : Tard dans la soirée de jeudi, le cardinal Robert Sarah, mentionné comme signataire de l’appel, s’en est distancé par deux tweets. Je commente cela ici. La réponse de Mgr Viganò est ici.)
L’hebdomadaire Valeurs actuelles a publié l’intégralité de l’appel en ligne ici.
Ces limitations à la liberté en laissent présager d’autres, qui passent notamment par le « contrôle des personnes » et le « suivi de leurs mouvements ». Les signataires estiment qu’on peut craindre de voir l’utilisation de la « panique », les mesures de confinement et la crise économique profonde qui s’y associe conduire vers la création d’un « gouvernement mondial hors de tout contrôle » et des « répercussions sociales et politiques graves » dans les pays soumis à « ces formes d’ingénierie sociale ».
On ne s’étonnera pas de trouver parmi les signataires Mgr Athanasius Schneider, qui a déjà dénoncé avec vigueur la « dictature sanitaire » qui s’est mise en place.
Les signataires, parmi lesquels une dizaine de médecins italiens, soulignent d’ailleurs que cette « panique » est entretenue, alors que « les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus : de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié ».
Sur le plan médical, l’appel souligne également que des remèdes « efficaces, souvent peu coûteux », ont été « pénalisés » et invitent la communauté scientifique à veiller à ce que des « intérêts iniques » ne dictent les choix des gouvernements en la matière.
« Nous rappelons également, en tant que Pasteurs, que pour les Catholiques, il est moralement inacceptable de recevoir des vaccins dans lesquels du matériau provenant de fœtus avortés est utilisé », soulignent-ils. Des associations de bioéthiciens catholiques ont d’ores et déjà insisté pour que l’on évite l’utilisation de lignées de cellules souches ayant leur origine dans un bébé avorté en 1972, comme c’est le cas pour l’un des essais actuellement menés à Oxford.
Lire la suiteUn expert : « La victime est toujours en vie et respire » : prélèvement d’organes en Chine
Steven Mosher, fondateur et président du Population Research Institute.
Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews
Rome, le 23 mai 2019 (LifeSiteNews) — Le gouvernement chinois prélève les organes de prisonniers vivants pour approvisionner son industrie lucrative de transplantation d’organes, a déclaré à LifeSiteNews un expert de premier plan sur la Chine.
Il appelle donc le Vatican à s’exprimer sur la question.
Steven Mosher, fondateur et président du Population Research Institute (Institut de recherche sur la population), s’est entretenu cette semaine à Rome avec John-Henry Westen, rédacteur en chef de LifeSiteNews (voir vidéo complète ici).
M. Westen s’est entretenu avec M. Mosher lors de la conférence de la John Paul II Academy for Human Life and the Family (Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille), les 20 et 21 mai, sur « La mort cérébrale : Une construction médico-légale : Preuves scientifiques et philosophiques ».
M. Mosher a déclaré que la Chine — grand premier mondial dans le domaine de la transplantation d’organes — est passée à une version « plus avancée » de sa pratique qui dure depuis des décennies et qui consistait en l’exécution des prisonniers pour leurs organes, et « actuellement à paralyser les victimes » afin d’extraire leurs organes alors qu’ils sont encore vivants.
La politique chinoise d’exécution de prisonniers pour leurs organes « a commencé sérieusement dans les années 1990, lorsque la secte bouddhiste connue sous le nom de Falun Gong a été arrêtée par centaines de milliers », précisa-t-il. « Nous avons commencé à recevoir d’horribles témoignages, racontés à la première personne, sur la façon dont certains prisonniers étaient pris et exécutés, spécialement pour leurs organes. »
« Au début, c’était assez grossier », explique Mosher. « Ils forçaient le prisonnier à s’agenouiller, lui tirait une balle dans la tête, puis ils avaient un véhicule d’urgence juste là avec une table d’opération, et ils prélevaient les organes — le cœur, la cornée, tous les organes précieux qui pouvaient être vendus pour des dizaines de milliers de dollars. »
« Les organes étaient ensuite placés dans des chambres froides et transportés dans des salles d’opération où ils pouvaient être transplantés », a-t-il dit.
Lire la suiteLa subversion du Magistère : « permettre » le mal intrinsèque au sein de l’Église
La subversion du Magistère : « Permettre » le mal intrinsèque à l’intérieur de l’Église
Par John-Henry Westen (voiceofthefamily), cofondateur et éditeur en chef de LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie
Donné lors de l’évènement « Humanæ Vitæ à 50 ans : Définir le contexte », à l’université pontificale Saint Thomas d’Aquin de Rome, le 28 octobre 2017
Du point de vue d’un journaliste, le monde ressent en ce moment une révolution dans l’Église catholique. Les médias séculiers parlent de changements monumentaux au niveau de l’enseignement catholique sur la morale, spécialement la morale sexuelle depuis ces quatre dernières années. Déjà en 2013 un nombre incalculable de titres dans les médias référait à l’admonition du pape, qui disait de ne pas toujours parler « d’avortement, de mariage gai et de l’utilisation des méthodes contraceptives. » La nouvelle attitude « Qui suis-je pour juger » concernant l’homosexualité fut renforcée d’images d’homosexuels en train de s’embrasser et de couples transgenres.
Une nouvelle ouverture, ou miséricordieuse sensibilisation, a été observée et saluée par les médias. Éloges aux avorteurs comme Emma Bonino et invitations à parler à des ennemis historiques de la foi — des promoteurs du contrôle de la population qui proclamaient hautement que les enseignements de l’Église contre la régulation des naissances s’apparentaient au terrorisme, louent maintenant l'Église pour son ouverture au dialogue.
Certains ont tenté de comprendre ces mesures à la lumière de la tradition en supposant que l’objectif était de rencontrer les pécheurs publics comme faisait le Christ, afin de les amener à la vérité. Toutefois, même en suivant cette voie, l’évidence n’admet pas cette consolante hypothèse. Le témoignage public atteste de l’absence d’appel à la conversion.
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