Joe Biden mange et boit sa propre mort spirituelle
Joe Biden.
Par Austin Ruse (Crisis Magazine) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
Hier matin, dans la grande cathédrale de St Matthew à Washington DC., Joe Biden a mangé et bu sa propre mort spirituelle. Qu’il ait reçu la Sainte Eucharistie des mains d’un cardinal de l’Église ajoute scandale au scandale. Une émission de radio a appelé cela une messe pour Planned Parenthood. Et ce fut le cas.
Joe Biden est un ennemi de la foi catholique. Ce fait doit être répété aussi souvent qu’il est humainement possible. Joe Biden se présente comme un catholique fidèle, mais il ne croit pas aux enseignements fondamentaux de la foi sur la personne humaine ou la sexualité humaine. Qui plus est, il met de l’avant cette incrédulité dans la politique publique et aura désormais toute la force du gouvernement fédéral derrière cette incrédulité.
Nous savons ce qu’il fera peu après avoir prêté serment. Il rétablira une politique qui utilisera l’argent américain pour cibler et tuer les enfants à naître dans le monde en développement. Biden est un extrémiste de l’avortement. Il est en faveur de l’avortement pendant les neuf mois de la grossesse et au-delà.
Sur la question des LGBT, Biden est à fond le train. Considérez que la seule fois où Joe Biden a officié à un mariage [civil], c’était entre deux hommes. C’est relativement bénin comparé au fait qu’il va signer l’Equality Act, qui va mettre fin au sport féminin en Amérique. Il est choquant de constater que les féministes ne se scandalisent pas qu’on permette à des « filles » ayant des organes génitaux masculins de participer à des compétitions avec des filles et même à se doucher avec de vraies filles. Biden va autoriser les « femmes » transgenres à entrer dans l’armée. Et c’est ce qui va se passer. Les hommes qui pensent être des femmes seront autorisés à aller dans les douches des femmes, et si une vraie femme se détourne avec pudeur, il portera plainte contre elle pour harcèlement. Ce type de persécution est similaire à ce qui est arrivé aux pasteurs chrétiens dans l’armée qui prêchent la vérité de l’Évangile sur les hommes et les femmes.
Il signera également le Global Equality Act qui aura pour but d’exporter la révolution sexuelle LGBT à travers la politique étrangère américaine. Cette loi sera également utilisée pour empêcher les chefs religieux étrangers de venir dans notre pays comme s’ils étaient des oligarques russes ou des dirigeants d’ISIS.
Lire la suiteBiden relancera le financement de l’avortement à l’étranger ― les évêques africains inquiets
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Phil Roeder/Flickr
Joe Biden, nouveau président élu frauduleusement, a nommé Samantha Power administratrice de l’USAID, agence gouvernementale gérant l’aide des États-Unis aux pays en développement. Mme Power s’était distinguée par le passé par son activisme pro-LGBT. Devant ce président pro-avortement et la nouvelle administratrice, les évêques africains expriment leurs inquiétudes, selon International Family News :
Lire la suiteNouvel administrateur à l’USAID.
Les préoccupations portent sur l’USAID, l’agence gouvernementale américaine qui gère l’aide aux pays en développement. Le 13 janvier, Biden a annoncé la nomination de Samantha Power au sein de l’administration de cette agence. Elle est une journaliste et diplomate lauréate du prix Pulitzer qui, pendant la présidence de Barack Obama, a joué un rôle au sein du Conseil National de Sécurité où elle s’est distinguée entre autres activités, par son soutien à la cause LGBT+.
Un président pro-avortement, pro-LGBT+
Selon certains dirigeants de l’Église catholique africaine, contactés par AciAfrica, la nomination de Power va déclencher « une attaque culturelle et idéologique » sur le continent noir « par la promotion de programmes contraires à la culture africaine, tels que l’avortement et l’homosexualité ». Mgr Emmanuel Badejo, du diocèse d’Oyo au Nigéria, estime que Power complique une situation déjà défavorable, considérant que Biden, bien qu’il se dise catholique, est sur le point de devenir « le président le plus radicalement pro-avortement et pro-LGBT+ de l’histoire des Etats-Unis ».
Le prélat est donc convaincu que les quatre prochaines années seront très difficiles pour l’Église. « Nous devons renforcer la foi afin de survivre au conflit » qui va inévitablement surgir avec la nouvelle politique américaine, témoigne Mgr Badejo. Un jugement quasiment identique à celui exprimé il y a quelque temps par le président des évêques catholiques américains, Mgr José Horacio Gómez.
Mgr Gomez, président de l’USCCB critique Biden au sujet de l’avortement, Mgr Cupich le blâme en retour
Mgr José Horacio Gómez Velasquez, archevêque de Los Angeles et président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Mgr José H. Gómez, archevêque de Los Angeles et président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (dont l’acronyme en anglais est USCCB) a publié le 20 janvier, jour de l’investiture présidentielle du fraudeur électoral Joe Biden, une déclaration au nom de l’USCCB critiquant légèrement le nouveau président des États-Unis sur la question de l’avortement, notamment ― rien à voir avec un anathème en tout cas.
Cependant, c’était assez, d’égratigner ― que dis-je ! ― d’effleurer les positions pro-avortement du président Bidon (pardon, Biden) pour que le cardinal Blase Cupich, archevêque de Chicago étiquetât la déclaration d’« inconsidérée » sur Twitter. Catholic News Agency (CNA) rapporte :
Mercredi, le cardinal Cupich déclarait : « la Conférence des évêques catholiques des États-Unis a publié une déclaration inconsidérée le jour de l’investiture du président Biden. Outre le fait qu’il n’y a visiblement aucun précédent en la matière, cette déclaration, critique à l’égard du président Biden, a surpris de nombreux évêques, qui l’ont reçue quelques heures à peine avant sa publication ».
« La déclaration a été élaborée sans l’implication du Comité administratif, une consultation collégiale qui est une procédure normale pour les déclarations qui bénéficient de l’approbation réfléchie des évêques américains », continuait-il.
« Les défaillances institutionnelles internes que cela implique doivent être traitées, et je suis impatient de contribuer à tous les efforts allant en ce sens, afin que, inspirés par l’Évangile, nous puissions construire l’unité de l’Église et, ensemble, entreprendre le travail de guérison de notre nation en ce moment de crise », affirmait le cardinal.
C’est surtout avec une critique de forme que Mgr Cupich attaque la déclaration du président de l’USCCB, et non de fond. Qu’importe qu’il y ait un précédent ou non à ce genre de déclaration ? Si « de nombreux évêques » ont été « surpris » par ladite déclaration, cela n’empêche pas que beaucoup d’évêques américains ont soutenu la déclaration de l’USCCB, rapporte CNA. Par ailleurs, trois évêques ont affirmé à CNA que Mgr Cupich avait passé une grande partie de la journée de mercredi à rallier les évêques américains pour produire une déclaration différente, soutien qu’il n’a visiblement pas obtenu. Il a donc publié de son côté une déclaration ne critiquant pas Biden, sur son propre site, selon CNA.
Lire la suiteJe refuse le déni
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Pixabay
Je refuse le déni. Même à 80 ans, je suis encore capable de faire la différence entre la réalité et la fiction (ce que je souhaiterais).
Je refuse de renouveler ma carte du PCC (Parti conservateur du Canada).
Aux prochaines élections, je vais annuler mon vote pour la première fois de ma vie ! La gauche a pris le contrôle du PCC pour avoir des chances de battre Trudeau, surtout au Québec — c’est la réalité.
Pour l’avortement, pour l’euthanasie, pour les LGBTQ, etc., le chef O’Toole vient d’expulser le « méchant » Sloan (un complotiste pro-Trump et trop ami de la droite et surtout de la méchante droite religieuse).
C’est incroyable ! Assez, c’est assez avec le PCC ! Voilà la triste réalité. Pourriture !
J’ai appris ce matin par des amis français que le musée Grévin vient de jeter aux vidanges la statue de cire de Trump ! C’est la réalité, Trump a perdu. C’est le méchant démon, détesté du monde entier ! C’est le criminel n° 1 car il est contre l’avortement, l’euthanasie, les LGBTQ, le gouvernement mondial, les francs-maçons, l’immoralité, le socialisme, etc. Il est imbu de « très mauvaises valeurs » ; il n’est pas à la mode ! Dehors !
À 12 h, ce midi, le Messie Biden sera officiellement le nouveau président des États-Unis ! C’est la réalité. Lady Gaga et Madona vont danser et chanter à côté de lui ! Tout Hollywood va fêter ! Tous les pervers vont festoyer !
Lire la suiteTwitter ferme le compte de Trump — Google, Amazon et Apple font pression sur Parler — CNN veut faire éliminer Fox News du câble
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Depositphotos
Vae Victis ?
L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres : Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi. Cette suspension permanente intervient deux jours après que des émeutiers ont franchi le cordon de sécurité du Capitole en marge d’une manifestation monstre par ailleurs pacifique tenue plus tôt sur l’Esplanade nationale.
Dans sa justification pour la suppression du compte de Donald Trump, Twitter explique que son tweet indiquant « Je ne me rendrai pas à l’inauguration le 20 janvier » est une accusation implicite de fraude et incitation à commettre des violences lors de cet événement… Voir ci-dessous.
Twitter avait précédemment supprimé une vidéo du président appelant ses partisans à se disperser pacifiquement et à respecter l’ordre public, que le président a postée moins d’une heure après que les médias aient annoncé que des émeutiers avaient pénétré dans le Capitole de Washington. Le président a réitéré sa condamnation de la violence le lendemain. Ce bannissement vient après que Facebook et Instagram, ainsi que d’autres platesformes technologiques importantes, aient suspendu indéfiniment l’accès du président, coupant une ligne de communication clé entre le président et les citoyens du pays.
Lire la suiteDéfaite de Trump, l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire
Donald Trump, président des États-Unis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : The White House
Donald Trump a mené un combat intense pour protéger l’enfant à naître aux États-Unis et dans le monde entier, à une époque où l’avortement est férocement défendu par ses promoteurs. C’est l’un des présidents des États-Unis les plus pro-vie que ce pays ait jamais eus. Bien sûr, beaucoup diront que c’est un fou, un violent, un incompétent, etc., répétant ce que les gros médias leur ont mis dans la tête ; je reviendrai là-dessus plus loin.
Le 6 janvier 2020, où le Congrès des États-Unis devait se prononcer sur l’élection du prochain président, c’est Joe Biden que les deux chambres du Congrès ont reconnu comme dirigeant du pays ; bien à tort si l’on considère la vaste fraude électorale en faveur de Biden dont les élections présidentielles ont fait l’objet.
Aussi, à moins d’un événement sortant de l’ordinaire (bien que ces derniers temps sortent déjà de l’ordinaire), Joe Biden, grand supporteur de l’avortement, de la contraception, de l’idéologie LGBT et de la culture de mort en général, siégera dans le Bureau ovale.
Donald Trump s’est engagé à céder le pouvoir pacifiquement.*
Il est décevant que le vice-président Mike Pence n’ait pas usé de son pouvoir de veto au Sénat pour arrêter l’approbation du résultat d’une fraude électorale, évoquant la possible non-correspondance d’un tel geste à la volonté des fondateurs des États-Unis, selon LifeSiteNews :
« Certains pensent qu’en tant que vice-président, je devrais pouvoir accepter ou rejeter les votes électoraux unilatéralement », peut-on lire dans son message, ajoutant qu’il ne considérait pas ce « point de vue » comme étant « correct ». « Je ne crois pas que les fondateurs de notre pays aient eu l’intention d’investir le vice-président du pouvoir unilatéral de décider quels votes électoraux devraient être comptés lors de la session conjointe du Congrès, et aucun vice-président dans l’histoire américaine n’a jamais revendiqué un tel pouvoir ».
Pourtant, plusieurs experts constitutionnels ont souligné que de multiples vice-présidents, comme Thomas Jefferson, Richard Nixon et Al Gore, ont usé de leur pouvoir lors de confirmation des élections. Du reste, devant une telle fraude électorale, il me semble que c’est s’empêtrer dans les fleurs du tapis.
Cette défaite de Trump, donc, représente une forte défaite pour le mouvement pro-vie dans le monde entier, car il représentait un allier de taille par l’office qu’il occupait. N’a-t-il pas retiré les fonds des États-Unis de tout financement de l’avortement à l’étranger, des centaines de millions de dollars en moins pour la promotion du meurtre d’enfants à naître ? N’a-t-il pas diminué le financement de l’avortement aux États-Unis ? N’a-t-il pas défendu la liberté des entreprises américaines face à l’imposition du financement de l’avortement et de la contraception par le biais des assurances privées ? N’a-t-il combattu les tentatives de l’ONU d’adopter un langage pro-avortement dans ses textes officiels ? N’a-t-il pas multiplié les déclarations nationales et internationales, gestes amicaux et soutiens aux mouvements pro-vie et aux enfants à naître ? N’a-t-il pas retiré le financement des États-Unis à l’OMS, grand promoteur de l’avortement et de la masturbation infantile, bien que pour une autre raison officielle il est vrai ?
Certes, perdre une bataille n’est pas perdre la guerre, et si Trump est un allié du mouvement pro-vie, le mouvement pro-vie ne tient pas qu’à lui seul, tant s’en faut.
Lire la suiteLe « soldat » de l'avortement dans l'éventuel gouvernement Biden
Ron Klain.
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) ― Photo (côtés flous rajoutés) : Senator Chris Coons/Flickr/Wikimedia Commons
Les espoirs que le démocrate Joe Biden soit un président modéré des États-Unis ont été réduits à néant une fois de plus avec l’annonce de la nomination de Ron Klain, comme futur chef de cabinet de la Maison-Blanche, si l’élection présidentielle devait finalement être certifiée en faveur de Joe Biden. Ni plus ni moins le bras droit du nouveau président !
Depuis plusieurs années, Ron Klain accumule les postes de confiance dans la sphère démocrate : chef de cabinet de deux vice-présidents américains : Al Gore (1995–1999) et Joe Biden (2009–2011), coordinateur de la réponse à Ebola à la Maison-Blanche sous l’administration Obama et enfin conseiller principal de la campagne Biden.
À plusieurs reprises, sur son compte Twitter, Ron Klain a exprimé très clairement son point de vue en faveur de l’avortement, se nommant lui-même le « soldat » de l’avortement.
Le Sénat restant probablement sous contrôle républicain (sous réserve du résultat des élections de Géorgie en janvier), le gouvernement Biden serait empêché de signer une loi pro-avortement.
Mais il aurait cependant encore la possibilité de mettre en œuvre d’autres aspects de son programme, tel que le rétablissement de l’aide étrangère aux groupes d’avortement, permettre aux agences fédérales de se montrer plus fermes sur les questions de l’avortement et de la contraception, et ordonner au ministère de la Justice de « faire tout ce qui est en son pouvoir » pour bloquer les lois pro-vie des États.
En tant que chef de cabinet, Ron Klain serait en mesure de s’assurer que l’administration Biden priorise tous ces éléments…
De très mauvaises perspectives pour la défense des bébés à naître sont donc à craindre, la mobilisation pro-vie est plus que jamais nécessaire !
Trump : voici pourquoi rien n’est perdu, selon Steven Mosher. Confirmation de la fraude « Dominion » et soupçons sérieux d’ingérence étrangère
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Freepik
Je vous propose ci-dessous ma traduction du dernier article en date de Steven Mosher (ci-contre) sur les élections américaines paru sur LifeSite. Non, tout n’est pas perdu. On sait maintenant, grâce à une expertise, qu’une machine Dominion a été truquée en vue d’une fraude massive en faveur de Joe Biden. Il s’agit maintenant d’en vérifier d’autres, mais les soupçons sont déjà lourds. La réalité d’une ingérence étrangère dans l’élection semble aussi devoir se confirmer d’après Mosher, et face à cette éventualité Trump pourra utiliser un ordre exécutif qu’il avait émis dès 2018. — J.S.
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Au moment précis où vous pourriez penser que l’élection présidentielle de 2020 ne saurait être plus mouvementée, deux groupes d’électeurs présidentiels concurrents se sont réunis aujourd’hui pour voter. Les électeurs démocrates de Pennsylvanie, du Michigan, du Wisconsin, de Géorgie et du Nevada ont bien sûr voté pour Joe Biden.
Mais, dans un geste inattendu, les électeurs républicains de ces mêmes États se sont également réunis, et ils ont voté pour Donald Trump. Comme l’a expliqué le parti républicain de Pennsylvanie, les électeurs « ont procédé à ce vote procédural afin de sauvegarder toute revendication juridique qui pourrait être présentée à l’avenir ».
La réunion des électeurs républicains n’a pas été annoncée à l’avance par crainte de violences gauchistes. Telle est l’Amérique où nous vivons aujourd’hui.
La décision prise aujourd’hui par les électeurs du parti républicain fait écho à l’élection présidentielle de 1960 à Hawaii, lorsque les démocrates contestèrent le vainqueur déclaré, le président Nixon, devant les tribunaux. Alors que les procès déclenchés des démocrates étaient en cours, les électeurs démocrates s’étaient réunis pour voter pour John F. Kennedy afin de sauvegarder leur intention au cas où l’issue du procès favoriserait leur candidat.
Les perspectives de réussite judiciaire du Président Trump ont été confortées aujourd’hui par deux nouveaux développements, tous deux en rapport avec les systèmes de vote Dominion. La toute première expertise scientifique du matériel de Dominion a enfin été publiée ce matin, et elle révèle une fraude électorale massive. A peu près au même moment, nous avons appris que le système Dominion lui-même a été piraté par des acteurs étrangers il y a plusieurs mois, validant ainsi les affirmations des avocats du président selon lesquelles il y a eu une ingérence étrangère dans les élections.
Lire la suiteDélire autour d’une élection (frauduleuse) dont le fin mot n’a pas été dit…
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Rawpixel/Freepik
Église de Belœil, messe de 9 h. Le curé fait cette déclaration avant de débuter sa messe devant la « grosse » foule de 25 fidèles :
Le monde entier se réjouit de l’élection de Joe Biden. Réjouissons-nous aussi. Les autorités ecclésiastiques (diocèse ? assemblée d’évêques ? Le Vatican ? Il ne l’a pas dit) nous invitent à nous réjouir pour l’élection du nouveau président des États-Unis. C’est un homme de foi, d’espoir, d’amour et de solidarité. Il va s’occuper des pauvres, des malades, des démunis, des réfugiés, des minorités, de la justice sociale, etc.
Biden, c’est un sage rempli de compassion, d’empathie et de bonté. Prions pour lui. Tous nos évêques pensent comme lui !
Remarquez, au passage, que depuis l’arrivée du pape François, les représentants de l’Église catholique adorent faire de la politique, toujours très à gauche.
Biden a volé son élection. Le parti démocrate a organisé une fraude historique digne des pires dictatures de la planète. La fraude a été réalisée par le biais du vote postal (des dizaines de millions de bulletins de vote tout pour Biden). Biden a félicité les employés des postes pour leur bon travail. Dans toutes les villes, des milliers de manifestants pro-Biden ont félicité les services postaux américains.
Euphorie mondiale ! Comme à la fin de la 2e Guerre mondiale. Du jamais vu, pour fêter cette supposée élection. Voici une petite partie des commentaires mensongers répandus sur toute la planète : Trump, c’est le choix des crétins, des malades mentaux et des aveugles. Complotiste, gourou (Trump), grande noirceur, secte moyenâgeuse, roi du mensonge, une pourriture, le monstre mis dehors de la Maison-Blanche, fol incompétent, bête féroce, lion déchaîné, malade mental, etc., et pire encore, tous ces grands titres des médias partout dans le monde.
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
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