Voici pourquoi « la pandémie des non-vaccinées » est un mensonge
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pathdoc/AdobeStock
21 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plusieurs jours, les médias grand public diffusent en boucle des informations selon lesquelles 99 % des décès dus au COVID-19 concernent des personnes non vaccinées. En plus de l’absence de données — il existe en fait des preuves du contraire — cette information est devenue la base d’un flot de propagande déshumanisante qui qualifie la moitié de la population adulte américaine et la plupart des enfants qui n’ont pas reçu les vaccins expérimentaux COVID-19 d’« usines à variants » et d’« incubateurs » de maladies.
Cette propagande ressemble effroyablement à celle des premiers nazis, qui qualifiaient les « sales Juifs » de propagateurs de maladies et suscitaient une peur et une haine irrationnelles chez des millions de personnes dans la société allemande. C’était un message gouvernemental utilisé pour justifier la mise en quarantaine d’un peuple, sa famine, puis son anéantissement.
« Écoutez, la seule pandémie que nous ayons est parmi les non-vaccinés — et ils tuent des gens », a déclaré Joe Biden aux journalistes vendredi.
Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), a tenu des propos similaires plus tôt dans la journée : « Cela devient une pandémie de personnes non vaccinées ».
Deux jours plus tard, le Directeur général de la santé Vivek Murthy a annoncé que « 99,5 % des décès dus au COVID-19 dans notre pays concernent des personnes non vaccinées ». La seule solution, disait-il, était que tout le monde se fasse vacciner.
C’était soit un mantra, soit un programme de propagande gouvernementale manifestement orchestré pour inciter les gens à se faire vacciner. Le programme de publicité à trois milliards de dollars n’avait pas séduit 51 % des Américains. Le scénario du « sale non-vacciné » est utile pour contraindre ceux qui ne veulent pas du nouveau produit pharmaceutique. Il s’agit d’une violation des principes du code de Nuremberg, qui a été mis en place après les violations des droits de l’homme commises par l’Allemagne nazie, afin de protéger les personnes contre la participation à des expériences médicales contre leur gré. Étant donné que tous les vaccins contre le coronavirus actuellement disponibles aux États-Unis font encore l’objet d’essais cliniques pendant au moins un an, ils sont expérimentaux par définition.
Les principes universellement acceptés, tels que le consentement éclairé et la liberté médicale, inscrits dans le code de Nuremberg, n’ont cependant plus d’importance. Aujourd’hui, les ardents défenseurs de la « liberté de choix » lorsqu’il s’agit du « droit » des gens à arracher des bébés à naître du ventre de leur mère sont soudainement arrogants et dogmatiques quant aux choix médicaux des autres. Ainsi, Kathleen Sebelius, ancien pilier enthousiaste de l’avortement « pro-choix » et secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux sous Barack Obama, a déclaré, par exemple : « C’est très bien de ne pas choisir de vous faire vacciner », mais « vous ne pouvez pas venir travailler ».
Lire la suiteUne nouvelle photo montre Joe Biden, partisan radical de l’avortement, recevant la Communion ce samedi
Joe Biden recevant la communion des mains de Mgr John P. Hopkins, le 24 juillet 2021.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Wilmington, Delaware, 26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — LifeSiteNews révèle en exclusivité une photo montrant le président des États-Unis Joe Biden, partisan radical de l’avortement, en train de recevoir la Sainte Communion à l’église catholique St. Joseph de Wilmington samedi dernier, malgré son propre rejet de l’enseignement de l’Église catholique sur la nature de l’avortement que celle-ci qualifie de « crime abominable » [CEC 2271].
Le politicien catholique autoproclamé a assisté à la messe de 16 heures à l’église St. Joseph on the Brandywine à Wilmington, Delaware, le 24 juillet 2021.
Les défenseurs de la vie qui veillaient à l’extérieur de l’église ont « supplié » le pasteur récemment nommé, Mgr John P. Hopkins, lorsqu’il est entré dans l’église, de ne pas donner la Communion à l’homme politique pro-avortement.
Les deux défenseurs de la vie ont également interpellé le président à son entrée et à sa sortie de l’église, lui demandant de ne pas recevoir la Sainte Communion et de ne pas commettre de sacrilège. Des membres de la presse ont assisté à l’événement, a appris LifeSiteNews, mais n’ont pas encore interviewé correctement le groupe qui monte la garde lorsque le président assiste à la messe à l’église.
La photo montre Mgr Hopkins en train de donner la communion à Joe Biden, qui reçoit l’hostie sur sa main. On voit Joe Biden portant des lunettes de soleil à l’intérieur de l’église.
Alors que Joe Biden assistait à la messe de 16 heures, son emploi du temps officiel montre qu’il n’a pas quitté sa résidence avant 16 h 14 et n’est arrivé à l’église qu’à 16 h 17. Environ 22 minutes plus tard, Joe Biden a quitté l’église pour retourner chez lui.
Joe Biden s’est montré très ouvert quant à son soutien à l’avortement et à l’idéologie du genre. Il est allé jusqu’à qualifier l’avortement de « service de santé essentiel » et souhaite inscrire l’avortement dans la loi fédérale.
Biden défend également un certain nombre de politiques qui favoriseraient l’idéologie LGBT dans la vie quotidienne en Amérique, ainsi que dans le monde entier. Le premier « mariage » que Biden a célébré, en tant que vice-président, était entre deux hommes.
L’Église catholique enseigne depuis toujours la « malice morale » de l’avortement parce qu’il tue un être humain innocent, violant ainsi l’interdiction du meurtre par l’Église, un enseignement qui « reste immuable ».
« La coopération formelle à un avortement constitue une faute grave », peut-on lire dans le Catéchisme de l’Église catholique. « L’Église sanctionne d’une peine canonique d’excommunication ce délit contre la vie humaine ». [CEC 2272]
Lire la suiteMgr Athanasius Schneider : le Saint-Siège ne peut abolir la messe traditionnelle, la « liturgie de tous les saints »
Mgr Athanasius Schneider.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Dès avant la parution de Traditionis Custodes — horrible antiphrase, car il s’agit d’une destruction méthodique de la tradition liturgique de l’Eglise — Mgr Athanasius Schneider abordait dans une conférence organisée à Paris, le 25 juin, par Renaissance catholique, la question des prévisibles restrictions sur la célébration de la messe tridentine, dont Benoît XVI avait pourtant affirmé le « droit de cité » dans Summorum Pontificum.
L’abolition du Motu Proprio de 2007 est d’une cruauté et d’une violence délibérées sinon inouïes (ce n’était pas mal non plus en 1969) ; elle cherche, dans son esprit, à faire viser, tester, estampiller, parquer les inconditionnels de la liturgie traditionnelle hors de la vue du peuple de Dieu afin qu’il n’y ait plus de contacts entre les « tradis » et les bénéficiaires de la messe de Paul VI au sein des diocèses, pour éviter que les fidèles de l’« unique » lex orandi de l’Eglise catholique de rite romain ne se laissent contaminer, et elle dit clairement sa volonté d’éradiquer à terme le virus tridentin.
Mgr Schneider, courageux évêque auxiliaire de Sainte-Marie in Astana, déclarait alors que ces nouvelles mesures étaient attendues (mais personne n’imaginait leur brutalité) : « Les fidèles et les prêtres ont le droit à une liturgie qui est une liturgie de tous les saints […]. Par conséquent le Saint-Siège n’a pas le pouvoir de supprimer un héritage de toute l’Eglise, c’est un abus, ce serait un abus même de la part d’évêques. Dans ce cas, vous pouvez continuer de célébrer la messe même sous cette forme : c’est une forme d’obéissance (…), à tous les papes qui ont célébré cette messe. »
Je vous invite à lire l’intégralité du communiqué de Renaissance catholique au sujet de cette décision abusive du pape François : c’est ici, sous le titre « Le pape de l’exclusion. »
Je vous propose également la retranscription intégrale de la conférence de Mgr Schneider (hormis les toutes premières minutes de son intervention). Les premiers paragraphes font partie d’une courte introduction qu’il avait proposée, et c’est ensuite moi qui ai mené l’entretien et présenté les questions du public.
J’ai modifié dans cette retranscription certaines expressions ou tournures mais ai conservé l’essentiel du style « parlé » de l’intervention, au risque parfois de l’incorrection lorsque j’ail estimé que les paroles exactes de Mgr Schneider étaient importantes à connaître. — J.S.
Lire la suiteL’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
Lire la suiteLa Fin d’un monde
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
L’Ère de l’après-guerre a pris fin
En lançant la grande réinitialisation (Great Reset) le cartel mondialiste a révélé toute l’étendue de son emprise sur nos institutions nationales et internationales. Ce que nous percevions, hier, comme un monde diversifié composé d’états souverains, de médias indépendants, de multinationales en compétition, de tribunaux autonomes, de religions immuables et d’universitaires sans contraintes, s’avère être une façade.
Nous faisons face à un pouvoir immense, cohésif et tentaculaire dont l’objectif, ouvertement documenté, est la prise de contrôle totalitaire de nos sociétés pour imposer, en accéléré et à l’échelle de la planète, un agenda social radical : le Great Reset. Ce pouvoir agissait dans les coulisses jusqu’en mars 2020. En accélérant la cadence pour abattre la présidence de Donald Trump, il s’est révélé.
Ce cartel et ceux qui le soutiennent semblent sur le point de réussir. Cependant, en révélant toute l’étendue de leur pouvoir, ils ont discrédité du même coup les institutions qui les protégeaient et les enrichissaient ainsi que ceux qui les dirigent. En effet, ce Nouvel Ordre Mondial qu’on tente d’imposer entraîne la destruction de l’ancien. C’est tout l’ordre mondial de l’après-guerre que le Great Reset démolit ainsi que ses institutions et les valeurs sur lesquelles il se fonde.
Je ne pense pas que les mondialistes perçoivent eux-mêmes toute l’étendue de la destruction qui accompagne l’Agenda 2030*. Par exemple, ils manipulent des institutions juridiques pour obtenir des lois qui les protègent comme si ces institutions allaient elles-mêmes survivre aux chambardements du Great Reset. Pareillement, ils prennent la peine de corrompre les chefs d’État tout en sapant la légitimité même de l’État-nation.
Lire la suiteL’avortement est le meurtre d’un enfant à naître, aucun chrétien ne devrait l’approuver ni y participer
Par Pat Buchanan (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La semaine dernière, la Conférence des évêques catholiques des États-Unis a voté par 168 voix contre 55, soit plus de 3 contre 1, en faveur de nouvelles directives pour recevoir la Sainte Communion.
Quelle est l’origine de cette décision ?
La crainte des évêques que la pratique religieuse publique du président Joe Biden ne transmette un message hérétique aux fidèles et à la nation.
Lors de la messe dominicale, Biden reçoit régulièrement la Communion. Pourtant, non seulement il soutient Roe v. Wade et le droit de la femme à avorter, mais sa nouvelle administration finance largement les avortements.
Les restrictions qui existaient à l’époque de Trump, comme les amendements Hyde qui interdisent le financement des avortements par les contribuables, sont sur le point d’être levées sous la présidence de Biden.
Si le « document d’enseignement » que les évêques sont censés produire est conforme à la doctrine traditionnelle, une série de collisions sur des questions morales est sur le point de secouer l’Église catholique et le Parti démocrate américains.
En effet, la majorité des évêques américains, qui estiment que les politiciens catholiques pro-choix ne devraient pas recevoir la Communion, vont probablement se heurter non seulement à M. Biden et à leurs collègues évêques, mais aussi au Vatican. Le pape François avait voulu éviter cette épreuve de force qui semble désormais inévitable sur cette question.
Lire la suiteLes évêques américains n’établiront pas de « politique nationale » sur la communion et les politiciens pro-avortement
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
Analyse
Washington, 24 juin 2021 (LifeSiteNews) — Tandis que la poussière retombe après que les évêques américains se soient réunis en ligne pour leur Assemblée de printemps la semaine dernière, la conférence épiscopale a publié une brève note de clarification au sujet du document élaboré sur la signification de l’Eucharistie dans la vie de l’Église, déclarant : « Il n’y aura pas de politique nationale sur le refus de la communion aux politiciens. »
La conférence de trois jours, diffusée en direct sur internet, a été marquée par des débats et des divisions sur la question du document eucharistique proposé par le comité de doctrine de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB). En présentant ce document, Mgr Kevin Rhoades, responsable du Comité de Doctrine, a déclaré qu’il est nécessaire d’avoir « un renouveau unifié et fort de la signification de l’Eucharistie dans la vie de l’Église », et que cela est « plus critique maintenant que jamais ».
Toutefois, suite aux vives protestations de plusieurs cardinaux et évêques, ainsi que des médias grand public et des politiciens catholiques pro-avortement, Mgr Rhoades a ajouté que l’objectif du document n’était pas d’isoler certains groupes de personnes, en particulier les politiciens pro-avortement tels que Joe Biden.
« Nous n’avons jamais eu l’intention de présenter des normes nationales pour refuser la communion aux catholiques », a déclaré Mgr Rhoades, qui exclut la création d’une « politique nationale ». Il décrit plutôt l’objectif du document comme étant de « présenter une compréhension claire de la raison pour laquelle l’Église a ces lois ».
Le document, dont la rédaction a été approuvée, a suscité l’intérêt des médias catholiques et non catholiques, qui soupçonnent qu’en évitant de désigner un groupe particulier, il pourrait néanmoins affirmer un enseignement qui interdirait aux partisans de l’avortement de recevoir la Sainte Communion.
Lire la suiteLes évêques américains approuvent un projet de document sur les dispositions relatives à la réception de la sainte communion
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 juin 2021 (LifeSiteNews) — La conférence des évêques américains a voté par 168 voix contre 55 en faveur de la rédaction d’une déclaration officielle sur l’Eucharistie. Le document traitera de l’enseignement de l’Église sur la capacité à recevoir la Sainte Communion, et concernera donc directement la question de la réception de l’Eucharistie par les politiciens catholiques pro-avortement.
La proposition du document intitulé On the meaning of the Eucharist in the life of the Church (Sur la signification de l’Eucharistie dans la vie de l’Église) a été faite à la demande de l’archevêque José Gómez de Los Angeles, en partie en réponse à ce que l’évêque Liam Cary appelle une « situation sans précédent dans le pays », à savoir le fait d’un président s’autoproclamant catholique « qui est opposé à l’enseignement de l’Église », en particulier sur le grave mal intrinsèque de l’avortement.
L’évêque Kevin C. Rhoades, président du comité de doctrine de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB), a expliqué dans une allocution préenregistrée à ses collègues évêques que le document « aborde les vérités fondamentales auxquelles nous croyons » au sujet de l’Eucharistie, y compris « la présence réelle » et son caractère sacrificiel. Il se concentre également « sur la nécessité de célébrer le sacrement avec révérence et beauté », et une troisième section exprime « comment la participation à l’Eucharistie nous oblige à la conversion ».
Un sous-ensemble de cette troisième partie du document traite de la « cohérence eucharistique », déclarait Mgr Rhoades, faisant référence à la nécessité que les catholiques ne reçoivent Notre Seigneur dans la Sainte Communion qu’en état de grâce.
Les grandes lignes du document ont suscité la controverse parmi certains membres du clergé et du laïcat catholiques qui craignent que, selon les mots du cardinal Cupich, « on s’attende » « à ce que nous refusions la communion au président, au président de la Chambre des représentants Pelosi et à d’autres personnes nommées ».
Lire la suiteKamala Harris, première vice-présidente en exercice des États-Unis à participer à une Gay Pride
Kamala Harris.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info)
La démocrate Kamala Harris est devenue la première vice-présidente en exercice des États-Unis à assister à un défilé de « fierté » LGBT. Au cours du week-end, elle a tweeté une photo d’elle-même et de son mari Doug Emhoff marchant aux côtés de militants lgbt dans la capitale nationale.
« Nous devons nous assurer que notre communauté transgenre et nos jeunes sont tous protégés. Nous avons encore besoin de protections autour de l’emploi et du logement. Il y a encore beaucoup de travail à faire et je sais que nous sommes déterminés. », a déclaré la vice-présidente des Etats-Unis acquise au lobby LGBTQI.
The @SecondGentleman and I stopped by Capital Pride today! pic.twitter.com/vjx1k9DD5z
— Vice President Kamala Harris (@VP) June 12, 2021
« Américains LGBTQ, je veux que vous sachiez : nous vous voyons. Nous vous entendons », a ajouté la vice-présidente dans un post Instagram. « Le président Joe Biden et moi ne nous reposerons pas tant que tout le monde n’aura pas une protection égale en vertu de la loi. Bonne Fierté ».
Alors que la participation de la vice-présidente a été un succès parmi les médias du système, tout le monde n’a pas été impressionné :
Do you support giving puberty blocking drugs to children to chemically castrate them if they suffer from gender dysphoria?
— Liz Wheeler (@Liz_Wheeler) June 13, 2021
Just a reminder that the men and women who serve to protect her and her husband have parents, spouses, children. Her flagrant disregard for the job they do and their lives—that they have sworn to give up in order to save her’s— makes me & every spouse of an agent sick. https://t.co/JYn0kBe2qs
— CinqueCaps (@CinqueCaps) June 13, 2021
Les remarques de Harris font écho à celles de son colistier, qui a commencé le mois de juin par une déclaration célébrant la « fierté » comme une « célébration communautaire jubilatoire de la visibilité et une célébration personnelle de l’estime de soi et de la dignité » ; et qualifié de « discriminatoires » les États qui ont promulgué des lois protégeant les étudiantes sportives d’être forcées de concourir contre des hommes qui prétendent être des femmes.
L’administration Biden a signé plusieurs décrets ordonnant aux agences fédérales de promouvoir la « conformité » LGBT, a annulé l’interdiction de l’administration Trump de la dysphorie de genre dans l’armée, a affiché le drapeau transgenre à la Maison-Blanche et autorise les ambassades américaines à arborer des drapeaux de « fierté », même au Vatican.
La « loi sur l’égalité » Harris et Biden forcerait un large éventail d’entités publiques et privées à s’adapter au dogme pro-LGBT au détriment de leurs propres droits constitutionnels, comme obliger les agences d’adoption religieuses à placer les enfants dans des foyers homosexuels ; photographes, fleuristes et boulangers à participer à des « mariages » homosexuels ; les employeurs et les entreprises à s’adapter aux traitements de travestissement et de changement de sexe indépendamment de leurs propres valeurs ou politiques ; et les femmes et les filles à partager des dortoirs, des douches, des vestiaires et des salles de bain avec des hommes qui prétendent être des femmes.
Kamala Harris s’affiche depuis plusieurs années en soutien du lobby LGBT.
Les dirigeants du G7 adoptent un accord qui promeut la « santé reproductive », c’est-à-dire : l’avortement
Boris Johnson et Joe Biden.
Par Marie Smith (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Les dirigeants du G7 ont conclu leur sommet en adoptant le Communiqué du sommet du G7 de Carbis Bay, Notre programme commun d’action mondiale pour mieux reconstruire, qui inclut le soutien à l’avortement dans le cadre de la « santé et des droits sexuels et reproductifs », avancés au nom de l’égalité des sexes.
Suivant la tactique du président Biden ─ qui n’a pas prononcé le mot « avortement » depuis son entrée en fonction et qui est suivi par les activistes pro-avortement sur le site Did Biden Say Abortion Yet ─ le mot « avortement » n’est pas mentionné dans la déclaration. En revanche, l’expression « santé et droits sexuels et reproductifs », qui englobe l’avortement, figure dans la déclaration de 27 pages des dirigeants du G7 ─ mais pas dans son résumé ─ et dans la Déclaration sur les sociétés ouvertes de 2021.
Le Communiqué de Carbis Bay indique que « la promotion de l’équité et de l’égalité entre les sexes est un pilier central de nos plans et de nos politiques pour mieux reconstruire » et les dirigeants réaffirment leur « plein engagement à promouvoir et à protéger la santé et les droits sexuels et reproductifs (SDSR) de tous les individus » tout en reconnaissant « le rôle essentiel et transformateur qu’ils jouent dans l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes et des filles, et dans le soutien de la diversité, y compris des orientations sexuelles et des identités de genre ».
Ils s’engagent à « s’aligner étroitement sur le Forum génération égalité (FGE) qui se tiendra en France à la fin du mois et comprend une coalition d’action sur l’Intégrité corporelle et la santé et les droits sexuels et reproductifs », qui vise à « supprimer les politiques restrictives et les obstacles juridiques » afin que « 50 millions d’adolescentes et de femmes supplémentaires », qui vivent actuellement dans des pays qui protègent les enfants à naître de l’avortement, aient accès à l’avortement d’ici 2026. Cette coalition d’action du Forum pour l’égalité des générations a quatre objectifs principaux : (1) étendre l’éducation sexuelle complète ; (2) accroître la disponibilité, l’accessibilité, l’acceptabilité et la qualité des services complets d’avortement et de contraception ; (3) accroître la prise de décision et l’autonomie corporelle en matière de SDSR ; et (4) renforcer les organisations et réseaux de filles, de femmes et de féministes pour promouvoir et protéger l’autonomie corporelle et les SDSR.
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