Consécration du Brésil et de l’Italie au Cœur immaculé de Marie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Diana Ringo/Wikimedia Commons
Deux consécrations consécutives sont arrivées respectivement le 20 et 21 mai, plus exactement, la consécration de l’Italie au Cœur immaculé de Marie par Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur de l’Italie, au beau milieu d’une réunion politique, sans doute à la plus grande surprise de l’assemblée et à la plus grande joie des catholiques alors présents ; la seconde est plutôt le renouvellement de la consécration du Brésil de 1946 en présence du Président Jair Bolsonaro qui, bien que baptisé catholique, est assez proche des évangéliques brésiliens (ce qui explique sans peut-être la position en retrait qu'il tiens lors de la cérémonie).
Toujours est-il que ce sont deux gestes importants, tant il est vrai que les gouvernements ont l’obligation morale de reconnaitre le règne de Jésus-Christ, en l’occurrence à travers la consécration à Sa sainte Mère. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteAu cours d’un rassemblement politique samedi, auquel ont participé des dizaines de milliers de personnes sur la Piazza del Duomo à Milan, Salvini a invoqué les six saints patrons de l’Europe, rapporte The Tablet, les Saints Benoît de Nursie, Brigitte de Suède, Catherine de Sienne, Cyrille et Méthode, et Thérèse Bénédicte de la Croix (Édith Stein).
Salvini embrassa alors son chapelet, leva les yeux vers la statue de la Sainte Mère sise au sommet de la cathédrale de Milan (XIVe siècle) et dit : « Je confie l’Italie, ma vie et vos vies au Cœur immaculé de Marie, qui nous mènera sûrement à la victoire ».
Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur d'Italie. — Source (capture d'écran)
Brésil : Le gouvernement français refuserait-il des marchés industriels par idéologie ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Picryl
Le gouvernement français refuserait-il de traiter avec le gouvernement brésilien de Jair Bolsonaro parce que celui-ci est pro-vie, opposé aux groupes LGBT, contre le marxisme, etc. ? Ce qui est sûr, c’est que la France qui vendait dernièrement de l’armement au Brésil semble maintenant délaisser ce marché. Extrait de La Tribune :
Après avoir réalisé de très belles opérations au Brésil (sous-marins, hélicoptères, satellite), la France s’est mise en retrait depuis l’élection de Jair Bolsonaro. Ce dont les industriels français très impliqués au Brésil s’inquiètent.
L’inquiétude grandit au sein des industriels français au Brésil. Et le récent échec de Naval Group, face à l’allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), qui a remporté à la grande surprise des observateurs l’appel d’offres sur la vente de quatre corvettes, n’a évidemment pas remonté leur moral à LAAD, le salon de l’armement de Rio de Janeiro. Plus de trois mois après l’arrivée du nouveau président brésilien, Jair Bolsonaro, la relation bilatérale entre Paris et Brasilia ressemblent désespérément à un encéphalogramme plat.
Depuis l’élection de Jair Bolsonaro, les ministres français ont jusqu’ici soigneusement évité le Brésil. L’absence de la France au moment de la mise à l’eau du premier sous-marin Scorpène « Made in Brazil » en décembre dernier — un événement historique pour le Brésil — a été naturellement remarquée par les Brésiliens. A LAAD, le vice-président brésilien, le général Hamilton Mourao, a inauguré mardi le salon en compagnie du ministre de la Défense, le général Fernando Azevedo e Silva, en remerciant nommément les pays étrangers d’avoir envoyé des délégations. La France, qui n’a envoyé aucune délégation de haut niveau, n’a pas été bien sûr citée. La posture de Paris est en complète contradiction avec son choix d’il y a plus de dix ans de développer un partenariat stratégique avec le Brésil en renforçant la base industrielle technologique et de défense (BITD) brésilienne à travers de nombreux transferts de technologies (ToT).
École à la maison et suppression du marxisme dans l’enseignement supérieur au Brésil
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : mohammed hassan/PxHere
Le président brésilien, Jair Bolsonaro, écrivait le 31 décembre dernier qu’il avait un plan « agressif » pour éradiquer le marxisme (plaie du Brésil) de l’enseignement supérieur, plan auquel il compte s’appliquer avec le concours du ministre de l’Éducation, Ricardo Vélez Rodriguez. Extrait de Breitbart :
Le président brésilien Jair Messias Bolsonaro a appelé à combattre les « inepties marxistes » dans les universités, affirmant que l’enseignement supérieur devrait « former des citoyens et non des militants politiques ».
Le président brésilien récemment élu, Jair Bolsonaro, a un plan ambitieux pour réformer l’enseignement supérieur dans tout son pays. Selon Bolsonaro, ce plan pourrait inclure la suppression de la doctrine marxiste dans les établissements d’enseignement supérieur de tout le Brésil.
De son côté, le ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l’Homme, Damares Alves, écrivait le 18 février sur son compte Twitter :
Je dois remercier le ministère de l’Éducation pour sa collaboration dans le dossier de l’enseignement à la maison, dirigé par le ministre Ricardo Vélez [Rodriguez]. Nous travaillons ensemble pour élaborer un projet complet qui apportera une sécurité juridique à cette importante politique publique.
Mme Damares Alves aurait pour projet de régulariser l’école à la maison dans le pays, d’après R7. « J'ai accordé une interview à TV Record pour parler de l'enseignement à domicile, une demande de milliers de familles brésiliennes, » toujours selon le compte Twitter de Mme Damares Alves.
Le nouveau président du Brésil place «Dieu avant tout» et s’engage à lutter contre l’idéologie du genre
Par Matthew Cullinan Hoffman — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edilson Rodrigues/Agência Senado
7 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, a prêté serment le 1er janvier lors de son investiture et n’a pas tardé à exprimer son intention de diriger le pays selon les principes judéo-chrétiens et de défendre l’institution de la famille contre la « destructive » idéologie du genre et le « politiquement correct ».
Dans son discours au Congrès national brésilien, Bolsonaro a promis « nous allons unir le peuple, valoriser la famille, respecter les religions* et notre tradition judéo-chrétienne, combattre l’idéologie du genre, conserver nos valeurs ».
« Le Brésil redeviendra un pays libéré des chaînes idéologiques », a ajouté Bolsonaro. « Ma campagne électorale a écouté l’appel de la rue et a forgé un engagement visant à placer le Brésil en premier et Dieu au-dessus de tout. »
Promesses de redresser le Brésil de l’effondrement des valeurs morales
Le nouveau président du pays a souligné les effets catastrophiques de l’effondrement des valeurs morales qui s’est produit ces dernières décennies au Brésil sous le régime socialiste. Le Brésil a connu une augmentation massive de la criminalité ces dernières années, et l’homosexualité ainsi que l’idéologie du genre ont été mises à l’honneur dans les défilés financés par le gouvernement et dans l’endoctrinement des écoles publiques.
Lire la suiteAnalyse : Ce parti pro-vie met fin à 40 ans de régime socialiste dans la plus grande région d’Espagne
Santiago Abascal, chef du Parti Vox.
Par Gualberto Garcia Jones, Esq. — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vox España/Flickr
Espagne, 4 décembre 2018 (LifeSiteNews) — Le philosophe français Joseph de Maistre a écrit qu’une contre-révolution n’est pas le contraire d’une révolution, mais plutôt une révolution opposée active.
Les derniers signes de la révolution opposée à la mondialisation laïque moderne sont apparus dimanche, lorsque les élections en Andalousie — la région autonome la plus peuplée d’Espagne (semblable à un État américain) — ont donné au Parti socialiste espagnol (PSOE) sa première défaite depuis l’ère constitutionnelle moderne (1982).
La montée d’une contre-révolution sans honte pour Dieu et la Patrie contre la mondialisation laïque est une réalité en Amérique du Nord (États-Unis), en Amérique du Sud (Brésil), en Europe de l’Est (Hongrie et Russie), et maintenant, comme le révèle l’élection en Andalousie, même dans certains lieux d’Europe occidentale.
Cette contre-révolution antimondialiste est souvent identifiée à un « effet Trump » mondial. La comparaison est appropriée non pas tant pour ce qu’est Trump en tant qu’individu, mais pour l’ensemble des électeurs que le président Trump représente. Dans l’ère moderne postsoviétique où le marxisme culturel était en train de vaincre la civilisation occidentale avec une efficacité dont l’armée rouge n’aurait jamais pu rêver, la victoire improbable de Trump sur les marxistes culturels du parti démocratique moderne a donné espoir à de nombreuses personnes patriotiques dans le monde qui ne sont pas à l’aise à l’idée d’échanger leur propre identité nationale contre la citoyenneté mondiale utopique d’Obama.
Même après les victoires de Donald Trump, Viktor Orbán et Jair Bolsonaro, les médias libéraux monolithiques restent incapables de croire que cette contre-révolution n’est pas un phénomène isolé, de type redneck [« Nuque rouge », ou pour ceux qui l’utilise péjorativement : péquenaud].
Lire la suiteUn ministre qui n'a pas sa langue dans sa poche, il mènera une politique étrangère sans idéologie marxiste
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Flickr/CC BY 2.0
Le nouveau ministre de l'Itamaraty (Ministère des Affaires étrangères du Brésil), Ernesto Araújo, qui prendra fonction le 1er janvier 2019 (espérons qu'il ne lui arrivera rien d'ici-là) s'exprime sur la Gazetta do povo s'adressant à ses critiques qui aimeraient voir le Ministre de l'Itamaraty contrecarrer le président dans son désir de nettoyer ce ministère de l'idéologie marxiste. Le nouveau ministre est pro-vie, pour la famille normale et contre l'idéologie LGBT qui découle du marxisme. Extrait de la Gazetta do povo :
Lecteur, vous dites que vous voulez mettre fin à l'idéologie du ministère de la politique étrangère? Je le veux aussi. C’est la mission principale que le président Bolsonaro m’a confiée: « libérer l’Itamaraty », comme il l’a dit dans son discours la nuit de la victoire. Mais savez-vous quelle est l'idéologie qu'il faut éliminer? Vous dites que c'est l'idéologie, mais quand je dis que je suis contre le marxisme sous toutes ses formes, vous vous plaignez. Lorsque je me positionne, par exemple, contre l'idéologie du genre, contre le matérialisme, contre la restriction de la liberté de pensée et d'expression, vous m'appelez fou. Mais si ce n'est pas le marxisme, ni ceux-ci ni les autres parmi ses nombreux développements, alors quelle idéologie voulez-vous extirper de la politique étrangère? « L'idéologie du PT » [Parti travailliste], me direz-vous. Et l'idéologie du PT ne serait pas le marxisme?
Vous avez appris à l'école que le marxisme prêche la propriété collective des moyens de production et vous en déduisez que si le PT ne prêche pas la fin de la propriété privée, c'est qu'il ne peut donc pas être marxiste. C'était peut-être la position du marxisme en 1917 — vous avez 100 ans de retard dans votre conception du marxisme. Vous êtes satisfait de ce que vous a dit votre professeur d'histoire dans une classe de lycée, vous n'avez plus jamais étudié le marxisme ni aucun autre courant idéologique, et venez maintenant pontifier et essayer de me dire quelle est ou quelle n'est pas cette idéologie? Les marxistes culturels d'aujourd'hui disent que le « marxisme culturel » n'existe pas et vous les croyez, tout simplement parce que vous n'avez pas les éléments de jugement et les connaissances nécessaires. Le fait est que le marxisme a depuis longtemps cessé de rechercher le contrôle des moyens de production matérielle et a commencé à rechercher le contrôle des moyens de production intellectuelle — fondamentalement les moyens de production du discours public : les médias et le monde universitaire. Qui contrôle le discours public dans les journaux et les universités contrôle la vie sociale beaucoup plus efficacement que par le contrôle des usines ou des fermes. Débordant de l'économie, l'idéologie marxiste a pénétré insidieusement au cours des dernières décennies dans la culture et le comportement, dans les relations internationales, dans la famille et ailleurs.
Les choses que je critique, je les critique parce que je sais qu'elles font partie intégrante de l'idéologie que vous dites vouloir voir répudiée. Alarmisme climatique [...] tiers-mondisme automatique et autres arrangements faussement anti-hégémoniques, adhésion à des régimes d'avortement et antichrétiens dans des forums multilatéraux, destruction de l'identité des peuples par une immigration illimitée, le transfert brutal du pouvoir économique en faveur des pays non démocratiques et marxistes, le ramollissement du traitement réservé à la dictature vénézuélienne sont tous des éléments de « l'idéologie du PT, » c'est-à-dire du marxisme...
Le ministre de l'Éducation du Brésil mettra la préservation de la famille et la protection de la vie au centre de l’éducation
Ricardo Vélez Rodriguez, nouveau ministre de l'Éducation.
Par Pour une école libre — Photo : Capture d'écran d'une vidéo YouTube de José Marcio Artigo142
Le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, qui prendra fonction en janvier 2019, a dévoilé le nom du nouveau ministre de l’Éducation du Brésil. Il s’agit d’un philosophe et théologien colombien connu pour ses vues conservatrices.
Favorable aux religieux conservateurs, le futur ministre de l’Éducation est actuellement professeur émérite à l’École de l’état-major de l’armée. Colombien, naturalisé Brésilien il y a plus de 20 ans, Ricardo Vélez Rodriguez est connu pour son opposition à la théorie des genres, il est contre l’éducation sexuelle à l’école — à l’image de Jair Bolsonaro.
Très proche des intellectuels brésiliens de droite, il ne cache pas une certaine nostalgie pour le régime militaire qui a dirigé le pays de 1964 à 1985. Ricardo Vélez Rodriguez compte mettre « les valeurs traditionnelles, de la préservation de la famille, la protection de la vie » au centre de l’éducation. Elles doivent, selon lui « prévaloir pour ce qui est de l’éducation morale, sexuelle et religieuse ». Il a publié plusieurs livres qui s’attaquaient à la corruption de l’ancien parti travailliste au pouvoir du temps de Lula et de Roussef.
Lire la suiteLe Brésil élit un président pro-vie fort, brisant des décennies de pouvoir gauchiste
Jair Bolsonaro, président du Brésil.
Par Guilherme Ferreira Araújo et Gualberto Garcia Jones, Esq. — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Estudios nacionais
Analyse
Brasilia, Brésil, 28 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Le 28 octobre est une date importante pour le Brésil. Jair Bolsonaro a été élu président, mettant fin à une génération de gouvernement de gauche. Sous Bolsonaro, le Brésil pourrait passer du statut de refuge pour les marxistes latino-américains et leurs alliés mondialistes corrompus à celui d'allié précieux de la vision du président Trump d'une zone où les gouvernements sont motivés par leurs intérêts souverains. Plus important encore, le Brésil passera du statut de promoteur de la culture de mort à celui de défenseur de la culture de la vie.
Face à cette réalité, les médias libéraux du monde entier ont tenté de qualifier M. Bolsonaro d'extrémiste. C'est un « raciste», un « sexiste », un « homophobe », un « misogyne ». C'est un « néo-nazi » qui veut ramener la dictature militaire ! C'est plus ou moins ce que les adversaires de Jair Messias Bolsonaro disent de lui. Mais qui est-il ? Certains l'appellent le « Trump brésilien ». Mais pour comprendre qui il représente vraiment, nous devons comprendre un peu l'histoire récente du Brésil.
En 1964, l'armée brésilienne, répondant à un appel légitime de la société civile, décide de prendre le pouvoir afin d'éviter la menace communiste qui pesait sur tous les pays Occidentaux de l'époque. Au début, les militaires ont assuré à la société civile qu'ils redonneraient le pouvoir à un gouvernement civil dès que possible, mais bientôt une division interne prit forme au sein même de l'armée, ce qui a abouti à un « coup d'État à l'intérieur du coup d'État ». En fin de compte, les militaires sont restés au pouvoir jusqu'en 1985, date à laquelle ils ont tenu leur promesse et entamé un processus de transition vers un gouvernement civil.
Lire la suiteJair Bolsonaro élu président du Brésil avec 11 millions de suffrages d’avance sur son adversaire
Jair Bolsonaro, nouveau président du Brésil.
Par Gontran Paume (Medias-Presse.info) — Photo : Beito Oliveira/Wikimedia Commons
Après dépouillement de plus de 99,9 % des bureaux de vote, Jair Bolsonaro [Parti social libéral, droite] dispose de presque 11 millions de suffrages d’avance sur Fernando Haddad (Parti des travailleurs, extrême gauche).
Le dernier résultat partiel lui donne 57 780 490 suffrages contre 47 010 689 à Haddad (Parti des travailleurs). Son résultat définitif devrait se situer autour de 55% des suffrages exprimés.
Le 2e tour a moins mobilisé que le 1er, puisque le nombre de suffrages exprimés devrait être de 104,9 millions au 2e tour contre 107,1 miilions au 1er (pour 147 millions d’électeurs).
Sa victoire est presque aussi large que celle indiquée par les derniers sondages (56 ou 57% des suffrages) et permet aux nationalistes de diriger plus de la moitié de la population du continent américain: 328 millions d’habitants pour les Etats-Unis, 209 millions pour le Brésil, soit 537 millions pour ces deux pays pour 1 002 millions pour l’ensemble du continent américain.
Lire la suiteJair Bolsonaro, 1ͤ ͬ dans les présidentielles: «les propositions visant à libéraliser l'avortement se heurteraient à mon véto»
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fabio Rodrigues Pozzebom/Agência Brasil/Wikimedia Commons, à l'origine sur Flickr
Jair Bolsonaro, le candidat chrétien, pro-vie, pro-famille et pro-mariage traditionnel, en tête du 1ͤ ͬ tour des élections présidentielles brésiliennes a tout récemment déclaré sur son compte Twitter :
Je le répète : si ça ne dépendait que de moi, les propositions visant à libéraliser l'avortement au Brésil se heurteraient à mon véto et l'argent des Brésiliens ne financerait pas les ONG qui promeuvent cette pratique.