Une alliance pour contrer le mondialisme se forme en Europe
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Breitbart et The National Post/Voici la source de la photo : ActuaLité/Wikimedia Commons, CC BY-SA 2.0, Leewarrior/Pixabay
Vous aurez peut-être remarqué que Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur d’Italie, et Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie ont une orientation sensiblement chrétienne dans leurs politiques et parti respectifs, ainsi que certains partis, bien qu’à des degrés différents, comme le PiS, au pouvoir en Pologne, Vox en Espagne, etc. Ils ont à cœur de défendre la famille normale saine et chrétienne. Viktor Orbán propose un plan en sept point, dont celui-ci, le sixième, « personne ne devrait être discriminé parce qu'il se déclare chrétien, » d'après Breitbart.— A. H.
Beaucoup de fil à retordre attend le duo Allemagne-France en vue des prochaines élections européennes.
Emmanuel Macron, président de France,
et Angela Merkel, chancellier d'Allemagne.
Des partis politiques sous la direction du ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, ont scellé lundi une nouvelle alliance dont l’ambition est de former la faction la plus puissante du parlement européen et de revoir les politiques de l’Union européenne (UE) en matière de migration, de sécurité, de famille et d’environnement. Lors d’une conférence de presse à Milan, Matteo Salvini a déclaré que l’objectif premier du nouveau mouvement, appelé « Vers une Europe du bon sens », est de « gagner et transformer l’Europe ». Le ministre italien y était accompagné de représentants de partis populistes de l’Allemagne, de la Finlande et du Danemark.
Lire la suiteItalie ― « Père » et « Mère » sont de retour sur les documents officiels des mineurs
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Exit « Parent 1 » et « Parent 2 » sur la carte d’identité des mineurs. Le ministère de l’Intérieur italien a réintroduit les mentions « Père » et « Mère » et a ainsi effacé les rubriques « gender » introduites le 23 décembre 2015 par l’ancien gouvernement de gauche en soumission à la dictature Lgbt.
Le décret qui rétablit les rôles biologiques a été signé par les ministres de l’intérieur, de l’Administration Publique et de l’Économie.
Matteo Salvini, l’actuel ministre de l’Intérieur italien, s’est démené personnellement pour cette mesure. Dès le mois d’août dernier, il avait changé les modules pour les demandes de formulaires. Les mois suivants, il avait cherché l’accord avec les autres ministères concernés. L’autorité administrative indépendante dénommée Il Garante della Privacy (Le garant de la vie privée) s’était levée contre cette décision de réintroduire les mentions « Père » et « Mère » en invoquant une « discrimination » possible envers les enfants des duos d’invertis, surtout pour ceux dont l’adoption ou l’acte de naissance a été fait à l’étranger.
« Nous, nous allons de l’avant. Il n’existe pas de privacy qui puisse nier le droit à un enfant d’avoir un père et une mère » avait alors objecté Salvini. Qui aujourd’hui a gagné sa bataille, et avec lui la famille biologique naturelle !
Amnesty International contre le Congrès mondial de la famille
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Amnesty International n’aime pas le Congrès mondial de la Famille qui s’est tenu à Vérone en Italie le week-end dernier !
L’organisation non gouvernementale a de la répugnance pour la famille traditionnelle, pour l’enfant à naître à qui on nie le droit à la vie, pour l’identité sexuelle naturelle, tous ces concepts vieillots qu’il faut faire disparaître au plus tôt, au nom des sacro-saints Droits de l’homme sans Dieu.
Une note d’Amnesty International affirme que « programme, objectifs et intervenants impliqués caractérisent clairement la rencontre de Vérone comme un événement hostile aux droits humains, en particulier aux droits sexuels et reproducteurs et aux droits des personnes Lgbt ; un événement qu’aucune institution gouvernementale devrait soutenir, puisqu’elles ont le devoir de garantir les droits de toutes les personnes ».
De nombreux contenus du Congrès ont déchaîné les ires de l’ONG : tels « l’affirmation que “la famille naturelle” composée d’un parent homme et d’un parent femme est “la seule unité stable et fondamentale de la société”, et donc le refus de la reconnaissance des droits civils à des configurations familiales en-dehors du couple hétérosexuel uni par un mariage […] ; l’assimilation de l’IVG à un homicide ; la pathologisation de l’homosexualité et de la transsexualité et de toutes les formes d’orientation sexuelle et identitaire de genre non attribuables à la notion homme/femme hétérosexuelle et le refus de la pleine reconnaissance des droits civils aux personnes qui manifestent cette identité. »
Par là on voit qu’Amnesty International est du côté de la puissante dictature de la Gaystapo et non des faibles et des opprimés…
Le ministre de la Famille d’Italie œuvre au projet d’une coalition pour les élections européennes : « L’Europe doit revenir à son identité et ses racines judéo-chrétiennes »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le ministre de la Famillle d’Italie, Lorenzo Fontana, serait la cheville ouvrière d’un vaste projet du gouvernement italien pour une coalition de partis nationalistes en vue des élections européennes. Ce catholique pratiquant, tenant de la messe tridentine, s’oppose ouvertement à l’avortement et aux duos homosexuels. Espérons que ce projet réussira, en regroupant notamment les partis au pouvoir de Pologne, de Hongrie et d’Italie, qui trouveront sûrement un terrain d’entente dans le christianisme. Voici un extrait du journal Le Monde, qui bien sûr parle d’ultraconservateurs et d’extrême droite radicale ou dure quand il s’agit des divers acteurs de cet imposant projet :
Lire la suiteLe ministre de l’intérieur italien, Matteo Salvini, à Varsovie pour y rencontrer, mercredi 9 janvier, les dirigeants du parti ultraconservateur au pouvoir, Droit et justice (PiS), et évoquer une grande alliance des droites radicales aux élections européennes de mai. Marine Le Pen réunissant, à Paris, des correspondants étrangers pour leur dire comment « l’Europe peut changer, de l’intérieur et radicalement » après ce scrutin. Des déclarations à la presse belge de Gerolf Annemans, du parti Vlaams Belang et vice-président de l’Europe des nations et des libertés (ENL, le groupe d’extrême droite qui rassemble actuellement 34 élus de 8 pays, dont 15 Français du Rassemblement national, RN) annonçant notamment un possible ralliement des Italiens du Mouvement 5 étoiles au lendemain du vote.
[…]
Le principal artisan des tentatives de rapprochement est, pour l’instant, Matteo Salvini, le ministre italien de l’intérieur. L’agenda de sa Ligue, et même de son gouvernement, est organisé autour de l’échéance européenne. L’opposition aux politiques de la Commission de Bruxelles semble d’ailleurs être le principal facteur de cohésion entre la Ligue et son allié, le Mouvement 5 étoiles.
Des députés italiens en guerre contre l’université du cardinal Burke et de Steve Bannon
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’« académie pour la défense de l’Occident judéo-chrétien » cofondée par l’Américain Steve Bannon — qui se qualifie lui-même de « chrétien sioniste » — et le Britannique Benjamin Harnwell avec l’appui du cardinal américain conservateur Burke et de sa fondation l’Institut Dignitas Humanæ se trouve dans le viseur de la gauche italienne. Cette dernière conteste l’accord entre le ministère italien de la Culture et l’académie pour la location de la médiévale chartreuse de Trisulti.
Le projet a été donc l’objet, hier 25 janvier 2019, d’une interpellation parlementaire au gouvernement italien et sera au centre d’une marche de protestation le 16 mars prochain. La manœuvre parlementaire est due au député de gauche, Nicola Fratoianni qui a défini l’Institut Dignitas Humanæ comme « une fondation catholique conservative, émanation des […] américains, guidée par l’ultraconservateur cardinal Raymond Burke, critique envers le pape François, et du Britannique Benjamin Harnwell » « entendant utiliser la chartreuse de Trisulti comme le siège représentant le mouvement politique international guidé par Steve Bannon (The Movement), d’inspiration catholique fondamentaliste, nationaliste et populiste. La chartreuse risque de devenir une école de formation politique internationale pour défendre les racines judéo-chrétiennes de l’Occident. » Horresco referens pour cette gauche italienne radicale chic immigrophile qui n’aurait vu, c’est dans ses gènes, aucun problème si cette chartreuse était devenue un repère de néomarxistes-mondialistes…
Le Washington Post précise que Harnwell est en train de travailler pour « transformer la chartreuse en une académie pour étudiants » guerriers’ qui veulent apprendre les règles du populisme pour devenir une nouvelle génération de souverainistes ».
Le député Fratoianni a mis en discussion l’assignation de la chartreuse, décidée en février 2018 par le précédent gouvernement, de gauche faut-il rappeler, en contestant une série « d’incongruités évidentes » parmi les critères indiqués dans le contrat et les caractéristiques effectives de l’Institut Dignitas Humanæ. Des « incongruités » qui ne frappent pas l’actuel gouvernement italien qui maintient donc l’accord de location.
Différentes organisations de gauche pro-migrants, regroupées dans le réseau Villes solidaires, ont décidé d’une marche, le 19 mars prochain, contre le projet de Bannon « pour dire que l’Italie a un cœur démocrate qui n’est ni populiste ni souverainiste ».
Pourtant, si l’on regarde la popularité de l’actuel ministre de l’Intérieur Salvini, proche d’ailleurs du cardinal Burke, l’Italie semble bien avoir un cœur populiste et souverainiste…
Les défis de l’Italie
Matteo Salvini, vice-président du Conseil des ministres et ministre de l'Intérieur.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Niccolò Caranti/Wikimedia Commons
Ces dernières années, nous avons pu remarquer la montée d’un mouvement de conservatisme, de traditionalisme, de populisme et de nationalisme, observable notamment aux États-Unis, au Brésil, en Espagne, en Pologne, en Hongrie… et en Italie. Il est à noter que le nouveau gouvernement italien est formé de deux partis, la Lega (Ligue) et le Movimento 5 Stelle ou Cinque Stelle (Mouvement cinq étoiles) respectivement souvent désignés comme d’extrême droite et de gauche (être extrémiste n’est en soi pas mauvais, cela signifie seulement, d’après ce que le mot indique et non d’après le sens que beaucoup voudraient lui donner, que l’on est prêt à aller jusqu’au bout d’un résonnement, d’une idée). En fait, la cause de l'alliance de ces deux partis serait le rejet d’un ennemi commun, le mondialisme.
Même si le programme de cet étrange gouvernement contient quelques éléments opposés, il est dans l'ensemble assez harmonieux. On peut facilement souligner les bons côtés de ce programme, comme : la protection de la famille, du mariage et de la natalité, une référence et une révérence marquées envers le catholicisme, un fort attachement aux traditions, l’indépendance de la nation face autres pays ou entités, le contrôle de ses frontières face au submergement étranger. Extrait de First Things :
Lire la suiteLe programme éclectique du nouveau gouvernement met l’accent sur l’écologie, affirmant que « l’homme et l’environnement sont les deux facettes d’une même médaille » et appelle à une réduction des émissions de carbone et à la fin des combustibles fossiles. Le caractère idéologique mixte de la nouvelle coalition est illustré par Alberto Bagnai, un économiste eurosceptique de gauche qui représente la Lega au Sénat italien [… il] dénonce la monnaie unique comme un moyen pour l’Allemagne d’exercer sa domination dans la zone euro. Bagnai s’oppose aussi fermement à l’immigration de masse, la qualifiant d’outil pour faire baisser les salaires et accroître l’exploitation des travailleurs […]
Italie : appui des ministres de l’Éducation et de l’Intérieur aux crèches de Noël et aux crucifix dans les écoles
Par Pour une école libre au Québec
Le ministère italien de l’Éducation a autorisé l’installation [ordonné même¹] de crucifix et la réintégration de crèches de Noël dans les écoles du pays.
« Le crucifix est pour moi le symbole de notre histoire, de notre culture et de nos traditions », a déclaré le ministre de l’Éducation, Marco Bussetti, devant la Fédération des écoles catholiques. « Je ne vois pas comment cela peut être offensant, cela peut au contraire aider les écoliers à réfléchir à notre histoire. » Il a ajouté « Le crucifix et la crèche sont des symboles de nos valeurs, de notre culture et de nos traditions, expression de notre identité.² Je ne vois pas comment cela peut poser problème à l’école. Ceux qui pensent que pour pratiquer l’inclusion il faut les cacher font fausse route ».
Après qu’une école de Terni, au nord-est de Rome, a annulé la crèche vivante traditionnelle sous le prétexte de respecter les enfants d’autres cultures, le ministre de l’intérieur italien Matteo Salvini a qualifié la mesure d’« idiotie ».
« Il ne s’agit pas seulement de religion », a déclaré Salvini sur Facebook, « mais de l’histoire, des racines, de la culture. Vive nos traditions. Je ne lâche pas ! » a-t-il ajouté.
Samedi dernier [17 novembre*], Salvini s’est exclamé au sujet d’un autre incident du même type, quand une école avait interdit le mot « offensant »³ de « Jésus », qu’il ne voyait pas comment le mot « Jésus » dans un chant de Noël pouvait offenser quiconque pour conclure par « exceptionnelle écolière [qui s’est rebellée], lamentables institutrices. »
Dans ce dernier incident, les institutrices d’une école primaire du Nord de l’Italie avaient demandé aux élèves d’omettre le nom de Jésus dans le cantique de Noël afin de ne pas offenser la sensibilité de leurs camarades non catholiques. Mais une écolière se rebella, recueillit les signatures de ses camarades et obtint à la fin que la chanson soit chantée dans sa version originale lors du récital de Noël. Le fait s’est produit dans une école élémentaire de la Riviera del Brenta, à la frontière entre les provinces de Venise et de Padoue. La fille a 10 ans et est en 5e année.
Sources : Corriere de la Sera, Il Gazzettino (de Padoue), Facebook de Salvini
¹CQV
²Le crucifix et la crèche sont surtout des représentations de scènes de la vie du Christ. — CQV
³Les guillements entourant le mot « offensant » sont rajoutés par CQV
Politique nataliste en Italie : un lopin de terre offert à la naissance du troisième enfant
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Italie – Le gouvernement italien est bien décidé à mettre en place une nouvelle politique nataliste. Le ministre de la Famille (Ligue), catholique assumé, a l’intention d’offrir un terrain agricole aux familles qui auront un troisième enfant entre 2019 et 2021. L’enjeu démographique est très important : l’Italie est l’un des pays européens où la natalité est la plus faible, avec 1,35 enfant par femme.
Les conditions fixées par le gouvernement italien pour se voir offrir un tel cadeau sont doubles : il faut être marié et vivre depuis au moins dix ans en Italie.
Il n’en fallait pas plus pour que les journalistes de la presse européenne de gauche y voient une discrimination envers les étrangers et les homosexuels. Les médias du système ne craignant aucun excès, ils ont été plusieurs à trouver que cette politique nataliste du gouvernement italien rappelait celle de Mussolini.
Il est vrai que ces médias coupés du réel préfèrent la PMA et la GPA.
Offensive pour imposer la GPA aussi en Italie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : PxHere
De l’un et l’autre côté des Alpes, les propagandistes de la GPA se sont donnés le mot pour obtenir la légalisation de cette pratique qui marchandise le corps des femmes et l’enfant à naître.
En France, les médias du système et les plateaux télé du service public se font les relais complaisants du mal d’enfants des duos d’invertis, stériles par nature par leur propre faute, faute dont ils refusent la paternité pour devenir, contre-nature, père sans mère.
En Italie, cette même opération de prosélytisme en faveur de la GPA fait monter au créneau les associations pro-Vie qui ont placardé dans les rues de la capitale italienne et d‘autres grandes villes de la péninsule des affiches chocs. On y voit deux hommes nommés Parent 1 et Parent 2 poussant un cadi de supermarché dans lequel se trouve un enfant en pleurs, un code-barre imprimé sur le ventre. Et un slogan percutant : « deux hommes ne font pas une maman ».
Lire la suiteVérone, cité de Roméo et Juliette, devient « ville pour la vie »
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Cette ville du nord de l'Italie, où Shakespeare situe sa pièce « Roméo et Juliette », vient d'adopter une motion pro-vie.
Society for the Protection of Unborn Children nous apprend :
Les conseillers municipaux ont approuvé « un projet pour la prévention de l'avortement et la promotion de la maternité », proposée par Alberto Zelger, membre du parti de la Ligue, qui avait trois objectifs : déclarer Vérone « ville pour la vie », financer des projets locaux pro-vie et promouvoir un projet régional permettant aux femmes enceintes de donner anonymement leur bébé pour adoption.
[...] la motion a été adoptée par 21 voix contre six. Outre les membres du parti de la Ligue, elle était soutenu par le maire Federico Sboarina et par le chef du Parti démocratique, de centre gauche, Carla Padovani.
[...]
M. Zelger a présenté la motion 434 au début de l'année pour qu'elle coïncide avec le 40e anniversaire de la loi italienne sur l'avortement. Elle contient des déclarations pro-vie fortes, dont la deuxième affirme que le comité « reconnaît que la vie de chaque personne, de la conception à la mort naturelle, doit être accueillie et protégée dans tous ses aspects ». [...] la motion demande que le financement des organisations pro-vie soit inscrit au budget de Vérone, nommément le Projet Gemma, un service périnatal d'adoption, et un projet du Centre pro-vie diocésain.
Les associations proavortement se désolent par ailleurs du taux de plus en plus élevé de gynécologues et de paramédicaux objecteurs de conscience, qui atteint les 90 % dans certaines régions comme le sud profond ou encore le Latium. Leur impact est d’ailleurs tel que certaines régions sont en train de basculer du côté […] pro-vie comme vient de le faire la ville de Vérone. En août dernier, le centre de sécurité régional de Naples a par exemple signé une convention avec l’association la Paroisse pour la vie.
Cet accord permet entre autres aux pro-vie d'aller jusque dans les avortoirs pour aider les femmes à garder leur enfant à naître, selon Le salon beige.