Deborah, morte du cancer, a choisi de donner naissance à sa fille
Massimo Chinaglia, Deborah Vanini et leur fille Megan.
Par Francesca de Villasmundo (Média-Presse-Info) — Photo : Deborah Vanini/Facebook
Une jeune femme italienne de 38 ans, Deborah, a découvert qu’elle avait un cancer le jour même où elle a appris qu’elle était enceinte. Elle a dit : « donnons naissance à notre bébé, puis je penserai à moi » et a refusé les traitements dangereux pour le fœtus proposés par les médecins. Victoire de la culture de vie sur la culture de mort.
Les funérailles de Deborah Vanini, la jeune mère italienne de 38 ans, décédée d’un cancer du poumon diagnostiqué pendant la grossesse, ont été célébrées mardi.
« Le jour où j’ai découvert que j’étais enceinte, j’ai aussi découvert que j’avais un cancer de stade quatre. Un choc. »
C’était le 22 septembre lorsque Deborah a écrit ces mots sur sa page Facebook, quelques jours après la naissance de sa fille Megan. La petite fille est née grâce au sacrifice de sa mère qui a décidé de refuser les traitements pour mener la grossesse à terme. Mais la jeune femme n’a pu rester avec sa fille que deux mois car le cancer ne lui a laissé aucune issue et elle est décédée il y a quelques jours.
Massimo Chinaglia, 40 ans, le compagnon de Deborah, retient à peine ses larmes à l’autre bout du fil lors de l’entretien avec La Stampa :
« Nous n’avons même pas eu le temps de nous marier. Je suis resté à ses côtés parce que je savais que je ne pouvais pas la faire changer d’avis. J’ai essayé pendant les mois où j’ai dormi avec elle à l’hôpital — même par terre, si nécessaire — de comprendre sa décision. Je sais que c’était un geste d’altruisme et d’amour envers moi et envers notre fille. Au fond, elle savait qu’elle allait mourir. » Avez-vous déjà pensé à ce qu’aurait été votre vie si elle avait guéri ? « Tout le monde sait ce qu’est un cancer de stade quatre. Les médecins ont été clairs : c’était inopérable. Si elle avait commencé le traitement immédiatement, dès qu’il a été découvert, elle aurait pu vivre encore quelques années — 4 ou 5 au maximum — au lieu de dépérir en six mois. Mais elle savait que dans le temps qui lui restait, avec la chimio et tout le reste, une grossesse n’aurait jamais lieu. C’est pour cela qu’elle me disait toujours : “Notre fille aura toute la vie devant elle, je veux qu’elle vienne au monde. Moi, je ne pourrais vivre que quelques années de plus. Quel serait l’intérêt de l’abandonner.” Et c’est ce qu’elle a voulu, jusqu’au bout. »
Son objectif : donner naissance à sa petite fille avant de penser à elle
« Elle n’a pas hésité un seul instant, raconte encore le père de l’enfant. Je ne sais pas ce que ressent une femme lorsqu’elle attend un enfant, mais elle n’a eu aucun doute. Elle m’a dit : donnons naissance à notre petite fille, alors je penserai à moi. Des mois dramatiques. Nous n’étions même pas sûrs qu’elle parviendrait à mener sa grossesse à terme. »
« Je ne veux pas que quiconque juge le fait que ma fille grandira sans mère. Pensent-ils que je n’y ai pas pensé ? Ceux qui critiquaient la décision de Déborah de ne pas se faire soigner ne savaient rien de sa maladie ni de ses sentiments. Du fait qu’elle se sentait satisfaite de la vie et que par altruisme elle voulait me laisser un peu d’elle-même. Une société qui est devenue tellement méchante qu’elle l’a jugée sans le savoir devrait prendre exemple sur son histoire. »
Déborah choisit la vie de sa fille plutôt que les traitements pour la guérir mais incompatibles avec sa grossesse
C’est Déborah Vanin elle-même qui a dit, sur les réseaux sociaux, combien de force il fallait pour ne pas paniquer et désespérer, pour faire ce qu’elle a appelé le CHOIX, en majuscules :
« Des choix plus grands que nous, concernant la vie que nous avions créée. Face à la tâche la plus difficile au monde pour un parent, décider de la vie ou non de ses enfants ».
En fait, les traitements, « les médicaments, une avalanche de médicaments » n’étaient pas compatibles avec une grossesse :
« Jusqu’à la veille, j’avais une vie de rêve. De la meilleure nouvelle à la pire en 25 secondes chrono. De la plus grande joie au désespoir le plus absolu. De l’extase aux douleurs de l’enfer ».
Megan est née le 18 septembre et sa mère a posté de fières photos d’elle quelques jours plus tard. Le dernier message de Déborah date d’un mois plus tard et s’adresse à sa fille :
« Qui sait combien de temps je pourrai te regarder, chaque mois, jour, heure, tu es un cadeau précieux. Je ferai tout et me battrai pour te surveiller le plus longtemps possible. »
Le sacrifice de Déborah témoigne qu’un fœtus est un enfant aimé et non un amas de cellule
L’association Pro Vita & Famiglia italienne, dévouée dans la lutte contre l’avortement, a loué le courage de Déborah dont l’histoire témoigne qu’un fœtus est un enfant aimé et non un amas de cellules :
L’histoire de Déborah, femme et mère, est un immense témoignage d’amour pour la Vie. Elle a elle-même déclaré sur les réseaux sociaux qu’elle avait découvert qu’elle était atteinte d’un cancer de stade 4 le jour même où elle avait appris qu’elle attendait un enfant. De nombreux traitements pour sa tumeur étaient incompatibles avec une grossesse et Déborah a écrit sur son profil Facebook : « Des choix plus grands que nous, concernant la vie que nous avions créée. Mettez-vous face à la tâche la plus difficile au monde pour un parent, décider de la vie ou non de ses enfants. »
Déborah a finalement choisi, pour la vie de la petite fille qu’elle portait, pour la vie de sa fille. « Nous espérions au moins profiter d’un accouchement paisible, mais là aussi, la vie a mal tourné… un accouchement prématuré non planifié, une thromboembolie pulmonaire, un scan prénatal en urgence, l’hypothèse qu’elle pourrait y arriver mais pas moi. Bref, un FILM. Mais notre vie a toujours été une vie cinématographique. Le premier vrai MIRACLE, malgré tout, s’est produit le 18/09/24, à 12 h 15. Elle s’appelle Megan, née à 35 semaines et pesant 1 900 kg. BIENVENUE PETITE MEG. Peut-être que vous ne le savez pas encore, mais cela m’a littéralement sauvé la VIE ».
Aujourd’hui Déborah n’est plus de ce monde mais elle a laissé son plus bel héritage à ce même monde. Nous sympathisons avec la douleur de la famille de Déborah et souhaitons tout le meilleur à la petite Meg et à son père. Merci Déborah, tu as été un exemple d’Amour et de Courage.
Francesca de Villasmundo
L’Italie interdit la maternité de substitution internationale
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : artursafronovvvv/Freepik
18 octobre 2024, Rome (LifeSiteNews) — L’Italie a interdit la maternité de substitution internationale, interdisant aux homosexuels d’acheter des enfants à l’étranger, ce qui est considéré comme la loi la plus radicale de ce type dans le monde.
La nouvelle loi, soutenue par le premier ministre Giorgia Meloni, élargit l’interdiction nationale existante de la maternité de substitution, de sorte que les citoyens italiens ne peuvent pas utiliser des femmes dans des pays étrangers pour porter des bébés qui leur seront légalement transférés. Les clients des mères porteuses et les professionnels de la santé qui facilitent cette pratique à l’étranger risquent des peines d’emprisonnement et des amendes considérables en vertu de la nouvelle loi, qui a été approuvée par le Sénat italien par 84 voix contre 58, mercredi le 16 octobre 2024.
Des homosexuels ont été surpris en train d’essayer d’acheter des enfants par le biais de la maternité de substitution pour en abuser, comme dans le cas d’un vétérinaire américain arrêté en mars.
Si l’interdiction de l’Italie la distingue nettement des États-Unis, où la maternité de substitution est largement légale, sa position ferme est en accord avec celle d’une grande partie de l’Europe en général : la maternité de substitution est interdite dans de nombreux pays de l’Union européenne, dont l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Suède.
Lire la suiteDes militants pro-avortement et pro-LGBT attaquent la projection du film pro-vie « Bébé Olivia » en Italie
Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Flickr/Wikicommons
25 juillet 2024, Bologne (LifeSiteNews) — Au cours d'une projection publique d'un court métrage sur les bébés à naître, le principal groupe pro-vie d'Italie a été attaqué par des militants pro-avortement violents qui tentaient de perturber l'événement.
Le 19 juillet, des membres et des bénévoles de Pro Vita e Famiglia (Pro-vie et famille) ont organisé une projection publique de la vidéo de trois minutes de Live Action intitulée « Baby Olivia ». La vidéo décrit le développement d'un enfant à naître dès ses premiers jours, en détaillant la croissance du bébé à chaque étape.
L'événement organisé par Pro Vita s'est déroulé sur une place publique de Bologne, afin de maximiser l'impact et l'exposition du film.
Dans une déclaration sur les réseaux sociaux publiée mardi, Pro Vita a expliqué que son événement avait été rapidement pris pour cible par des manifestants pro-avortement : Peu après le début de la projection, une contre-manifestation non autorisée, composée de quelques dizaines de personnes appartenant à des collectifs féministes, des groupes LGBTQAI+ et des « centres sociaux », s'est rassemblée sur la même place. Quelques conseillers municipaux du Parti démocrate italien étaient également présents avec eux. »
Selon le groupe pro-vie, le groupe pro-avortement semblait être arrivé tôt sur les lieux et tentait « de perturber et d'empêcher l'événement de débuter en criant des insultes et des blasphèmes ».
Comme cela ne dissuadait pas les volontaires pro-vie de montrer la vidéo, les manifestants se sont approchés de la scène et du grand écran « pour jeter des tracts et des préservatifs sur les organisateurs » et ont « même tenté de débrancher les câbles alimentant le système audio-vidéo pour interrompre la diffusion et censurer “Baby Olivia”, coupable de raconter l'histoire de leur propre origine ».
Lire la suiteItalie : une aide de 1 000 euros mensuelle aux mères à faible revenu
Par reinformation.tv — Photo : Freepik
Giorgia Meloni, la première ministre italienne, vient de lancer une nouvelle aide à la famille sous la forme d’une aide mensuelle de mille euros aux femmes qui décident finalement de ne pas avorter pour raisons économiques. Seront éligibles les Italiennes vivant sur le sol national et touchant un revenu annuel inférieur à quinze mille euros nets. Une rente mensuelle de mille euros leur sera versée pendant cinq ans pour leur permettre d’élever leur enfant. Le financement en sera assuré par un fonds spécial de six cents millions d’euros du ministère de l’Economie.
Des militants LGBT attaquent le siège d'un groupe pro-vie italien pour la 2e fois en 10 jours
Par Andreas Wailzer — Traduit de Campagne Québec-Vie — Photo : Pro Vita & Famiglia/X
3 juin 2024, Rome (LifeSiteNews) — Le siège d'une organisation italienne pro-vie et pro-famille, situé à Rome, a été vandalisé par des activistes LGBT pour la deuxième fois en 10 jours.
Le groupe Pro Vita e Famiglia a rapporté le 30 mai que « des militants LGBTQAI+ qui ont revendiqué l'acte sur leurs réseaux sociaux » ont peint à la bombe les volets de son siège avec des menaces telles que « vous paierez », « nous ne vous laisserons pas en paix » et « émeute trans ».
Les vandales ont également apposé sur les murs extérieurs du bâtiment des affiches montrant « le drapeau palestinien flottant sur la basilique Saint-Pierre en flammes », ainsi que le slogan « Queers for Palestine ».
Selon Pro Vita e Familiga, il s'agit de la deuxième attaque de vandales contre son siège en l'espace de dix jours et de la douzième attaque au cours des trois dernières années.
Lire la suiteItalie : la GPA davantage criminalisée et plus de liberté pour les pro-vie
Giorgia Meloni, Présidente du Conseil des ministres d'Italie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : © Governo Italiano
Giorgia Meloni, Présidente du Conseil des ministres d’Italie, a exprimé lors d’une conférence sur la démographie sa ferme opposition à la pratique de la grossesse ou gestation pour autrui (GPA), annonçant qu’une nouvelle loi plus sévère serait bientôt présentée au parlement italien.
Mme Meloni critique l’esprit féministe qui sous-tend la GPA et infuse la société d’aujourd’hui. Elle fait remarquer avec justesse que le fait de parler de père et de mère peut parfois ressembler à un acte révolutionnaire. « Quand on fait cela », souligne-t-elle, « on a tendance à paraître assez rétro, à une époque où l’on va jusqu’à nier qu’il faut un homme et une femme pour mettre un enfant au monde », rapporte la FSSPX.News.
La nécessité d’un homme et d’une femme pour engendrer la vie est l’une des plus évidentes qui soient. Pourtant, les partisans de la GPA semblent passer outre cette notion et répandre la pratique le plus largement possible dans le monde en faisant la faisant passer pour un geste altruiste, un acte d’amour ou une liberté. Mme Meloni explique : « quand on se heurte à l’évidence, on pense résoudre la question peut-être en alimentant un marché transnational qui exploite le corps des femmes pauvres, qui fait des enfants une marchandise, en faisant passer cela pour un acte d’amour ou pour un geste de liberté ». Elle poursuit : « les choses déraisonnables ne deviennent pas raisonnables par répétition, et personne ne peut me convaincre que c’est un acte de liberté que de louer son utérus ; personne ne peut me convaincre que c’est un acte d’amour que de considérer les enfants comme un produit sur le comptoir d’un supermarché ».
Lire la suiteIndi Gregory, bébé baptisé, meurt dans les bras de sa mère à la suite d’une décision de « justice »
Indy Gregory.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Concern
13 novembre 2023, Nottingham, Royaume-Uni (LifeSiteNews) — La petite Indi Gregory est décédée la nuit dernière après avoir été débranchée de son système de survie suite à l’ordre de la Cour d’appel d’Angleterre.
Le père d’Indi, Dean Gregory, qui dit ne pas être religieux, l’a fait baptiser avant sa mort, déclarant que l’épreuve du tribunal a été comme « l’enfer... et je veux qu’Indi aille au paradis ».
Après que la Cour d’appel ait rejeté la demande des parents de ramener Indi à la maison le vendredi 10 novembre, le bébé de huit mois a été transporté du Queen’s Medical Center de Nottingham à un hospice, où il est mort à 1 h 45 du matin, heure locale, le 13 novembre, dans les bras de sa mère, rapporte le Daily Mail.
Le père d’Indi, Dean Gregory, a déclaré : « Ma femme Claire et moi-même sommes en colère, le cœur brisé et honteux ».
Lire la suiteUn franc-maçon notoire était présent à la conférence environnementale du Vatican pour promouvoir la dépopulation et le gouvernement mondial
Carlos Alvarez-Pereira.
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Le sixième forum des « Communautés Laudato Si' » s’est tenu à Vérone, en Italie, au début du mois. Il s’agit d’une série de réunions consacrées à la propagation des opinions du pape François sur ce que l’on appelle « l’urgence climatique ».
Cette dernière rencontre était intitulée « Doubler l’engagement ». Il s’agit d’une référence à la nouvelle exhortation de François, Laudate Deum, dans laquelle il nous avertit que la fin est proche, à la fois pour « notre planète qui souffre » et, par extension, pour nous.
Dans son message vidéo d’ouverture de la réunion de Vérone, le pape avertit qu’il s’agit d’une « période très difficile » et que « d’ici 30 ans, le monde ne sera plus vivable ».
Ce message de « l’apocalypse maintenant » est désormais tristement familier, mais j’ai tout de même été surpris par le zèle messianique avec lequel il est proposé par des dirigeants de l’Église catholique.
Lire la suiteUn juge britannique refuse qu’un bébé gravement malade se fasse soigner en Italie
Indi Gregory.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : GFS News/YouTube
Un juge britannique a rejeté la demande d’un couple qui espérait faire soigner son bébé gravement malade en Italie.
Indi Gregory, une petite fille de huit mois, est atteinte d’une maladie mitochondriale rare. Ses parents, Dean Gregory et Claire Staniforth, sont engagés dans une bataille judiciaire avec les médecins du NHS Foundation Trust de l’hôpital universitaire de Nottingham, qui soutiennent qu’il n’y a rien à faire pour Indi Gregory et qu’elle devrait être débranchée du soutien vital et du respirateur artificiel.
Ses parents, représentés par le Christian Legal Centre, avaient demandé le transfert d’Indi à Rome, où les médecins de l’hôpital pour enfants Bambino Gesu avaient accepté de la soigner. Toutefois, le juge Robert Peel a rejeté cette demande, estimant qu’il était dans « l’intérêt supérieur » d’Indi de mourir au Royaume-Uni plutôt que de se rendre dans un établissement médical qui pourrait lui donner l’espoir de vivre.
Lire la suiteLa ville de Padoue demande que les noms des « parents » non biologiques soient rayés des certificats de naissance des bébés
Valeria Sanzani.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
26 juin 2023, Padoue, Italie (LifeSiteNews) — Un magistrat du nord de l’Italie a demandé que les certificats de naissance délivrés aux couples lesbiens soient débarrassés du nom de la mère non biologique.
Au début du mois, Valeria Sanzari, procureur intérimaire de Padoue, a ouvert une procédure judiciaire pour supprimer les noms des parents non biologiques des certificats de naissance délivrés par la célèbre ville, a rapporté Reuters.
« En Italie, le mariage n’existe qu’entre un homme et une femme et, par conséquent, seul le parent biologique est le parent dont le nom de famille peut être enregistré », a déclaré Luca Ciriani, ministre des Relations parlementaires, à la radio RTL la semaine dernière.
L’affaire, qui devrait être entendue dans le courant de l’année, pourrait annuler les 33 actes de naissance d’enfants nés de parents ayant des partenaires de même sexe à Padoue depuis 2017.
La décision de modifier les actes de naissance fait suite à l’ordre donné aux conseils municipaux par le premier ministre italien Giorgia Meloni d’empêcher les non-parents d’adopter les enfants de leurs partenaires de même sexe.
Katy Faust, fondatrice et directrice de Them Before Us, et qui défend les droits de l’enfant et de la famille traditionnelle, a salué la demande de Mme Sanzari en écrivant sur Twitter : « Bravo à l’Italie. Les certificats de naissance ne sont pas pour les adultes ».
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