L’Anti-Église est là ― les fidèles catholiques ne doivent pas avoir peur
Le P. Linus F. Clovis, prêtre de l’archidiocèse de Castries, Sainte Lucia dans les Antilles.
Par le Père Linus F. Clovis (LifeSiteNews) ― Traduit par inquisition.ca ― Photo : Steve Jalsevac/LifeSiteNews
Le pape François ayant annoncé vouloir remettre de l’avant son exhortation apostolique Amoris Lætitia en cette année 2021, par conséquent tout ce qu’elle contient d'erroné, nous publions le présent texte du P. Linus Clovi, lu lors d’une conférence donnée au Rome Life Forum en 2017, qui, entre autres, soulignent les graves erreurs que promeut Amoris Lætitia et ses dangers pour l’Église, ainsi que pour la cause de l’enfant à naître. C’est aussi un document très pertinent au sujet de la crise actuelle que subit l’Église. ― A. H.
Note du traducteur : Le Père Clovis a donné cette conférence au Forum de la Vie de Rome, le 18 mai 2017. J’ai copié et traduit la version sur LifeSiteNews.
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Les premiers mots du Pape saint Jean-Paul II, apparaissant sur le balcon de la basilique Saint-Pierre, le jour de son élection le 16 octobre 1978, furent « n’ayez pas peur ». Maintenant, trente-neuf ans plus tard, à la lumière des événements qui ont pris le contrôle du catholicisme contemporain, ses premiers mots semblent être non seulement prophétiques, mais bien plus : un appel aux armes en préparation pour la bataille [1 Co 14:8].
Chaque fois que le pendule de l’histoire humaine et du salut passe à travers une période de ténèbres et de turbulences envahissantes, Dieu inspire souvent des prophètes pour parler, afin que la lumière puisse resplendir pour dissiper les ténèbres, et que la tourmente puisse être atténuée par l’espoir. Ces prophètes en ont appelé à plus de confiance en la sollicitude active et affectueuse de Dieu pour son peuple [Jn 3 h 16]. Ainsi, par exemple, avec des supplications pour avoir confiance en la providence aimante de Dieu, Isaïe [Is 7:10-14] a supplié le roi Achaz de demander à Dieu un signe avant d’agir, et Jérémie [Jr 38-40] a prévenu que Dieu sauverait Jérusalem de la destruction totale seulement si la ville se rendait aux Babyloniens. L’Église elle-même n’a pas été privée des bénédictions de la grâce prophétique, comme le prouve grandement Dieu en suscitant des saints tels que Bernard de Clairvaux, François d’Assise, Catherine de Sienne, Marguerite-Marie Alacoque et, plus récemment, en envoyant Sa Sainte Mère à Lourdes, à La Salette et à Fatima.
Il y a un siècle, Dieu a envoyé la Reine des Prophètes à la Cova da Iria à Fatima, au Portugal, avec un double message pour notre monde contemporain. Tout d’abord, elle a prévenu que le monde était déjà confronté à un péril beaucoup plus destructeur que celui auquel Jérusalem avait dû faire face et, deuxièmement, elle a présenté une solution céleste, plus sage et plus prudente que celle offerte à Achaz, qui avait refusé de demander à Dieu un signe « aussi profond que le Shéol ou aussi élevé que le ciel » [Is 7:11]. Cependant la Vierge, par sollicitude maternelle, a établi la gravité et la véracité de son double message avec une vision et un signe. Le 13 juillet 1917, « aussi profond que le Shéol » a été illustré par une vision perturbante de l’Enfer. Quatre mois plus tard, le 13 octobre, « aussi élevé que le ciel » a été confirmé avec un signe, le miracle étonnant de la « danse du soleil » qui a été observé par plus de soixante-dix mille personnes.
Lire la suiteUne mère atteinte d’un cancer refuse l’avortement pour sauver la vie de son bébé, tous deux s’en sortent très bien
Consiglia Varriale et sa fille.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le cancer ne signifie pas nécessairement la mort pour une femme enceinte ou son enfant à naître.
Grâce aux progrès de la médecine moderne, de nombreuses femmes étant diagnostiquées pendant leur grossesse sont traitées et donnent naissance à des bébés en bonne santé. Le Christian News Network a récemment fait état d’une mère italienne qui a refusé d’avorter sa fille à naître après avoir été diagnostiquée d’un cancer du sein.
En mars, Consiglia Varriale avait déclaré avoir découvert une bosse dans son sein alors qu’elle était enceinte de sa deuxième fille, et ses médecins recommandèrent immédiatement un avortement.
« Ils m’ont tous dit que je devais abandonner le bébé si je voulais continuer à vivre », déclare-t-elle à la chaîne d’information Riformista.
Varriale demanda cependant un autre avis médical à l’Institut Pascale de Naples, rapporte l’article. Là, le Dr Michelino de Laurentiis lui dit qu’ils pouvaient traiter son cancer et sauver la vie de son bébé — un énorme soulagement pour la future mère.
« J’étais trop heureuse à l’idée de cette grossesse. Je n’aurais jamais, jamais décidé de l’interrompre », dit-elle.
Lire la suiteLe confinement aggravera la dénatalité italienne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pohjakroon/Pixabay
En août, l’Italie est passée sous le cap des 60 millions d’habitants pour la première fois depuis 2013, ayant perdu 700 000 à sa population totale en cinq ans.
Le confinement aggravera le déclin démographique par la crise économique qu’il a provoquée, cette dernière affectant les Italiens dans leur capacité à bâtir une famille. Le taux de fécondité est déjà de 1,3 enfant par femme en Italie, tandis que le taux de chômage des jeunes est l’un des plus élevés d’Europe. Selon Pour une école libre Québec (PÉLQ) :
La pandémie a rendu la situation démographique italienne encore plus difficile, car la crise économique affecte désormais la propension des Italiens à construire une famille, dans un pays où le taux de fécondité est de 1,3 enfant par femme et où le chômage des jeunes est parmi les plus élevés d’Europe.
En août 2020, la population italienne est descendue au-dessous des 60 millions d’habitants pour la première fois depuis 2013.
Le chômage engendré par le confinement pousse de nombreux jeunes à renoncer à construire une famille, ou à reporter ce projet, dans des proportions alarmantes qui auront un effet sur la natalité fin 2020 et en 2021 (comme cela a d’ailleurs pu être observé lors des dernières crises économiques). Selon PÉLQ :
Une étude, conduite par Ipsos et l’Institut Toniolo, a demandé à un échantillon de jeunes Européens si leur projet d’avoir un enfant avait été modifié par l’épidémie : 36 % des personnes interrogées de nationalité italienne ont répondu avoir complètement abandonné cette idée, tandis que 37,9 % ont dit l’avoir seulement décalée. Des chiffres très différents de ceux des jeunes Français : 50 % de ces derniers ont déclaré décaler leur projet, mais seulement 14 % disent y avoir renoncé, tandis que 32 % n’ont pas changé d’avis — contre 25 % en Italie. En Italie, ces comportements devraient avoir un impact sur les naissances en 2020, mais aussi en 2021.
Autre conséquence du chômage, de nombreux Italiens instruits et en âge de travailler partent pour l’étranger, ce qui amènera également une baisse du nombre d’enfants. Selon PÉLQ :
Conséquences de ces chiffres, les plus instruits partent à l’étranger. Depuis 2006, le nombre d’Italiens résidant en dehors de la péninsule a ainsi augmenté de 70 %, passant de 3,1 millions à 5,3 millions. Une hémorragie qui débouche sur trois problèmes : une baisse du nombre d’habitants, une diminution potentielle du nombre d’enfants, et une perte de capital humain bien formé. Selon l’association Svimez, qui étudie les problèmes de compétitivité économiques et industriels du sud de l’Italie, « en 2065 la population en âge de travailler aura baissé de 15 % dans le nord (-3,9 millions de personnes) et de 40 % dans le sud (-5,2 millions) ».
N’oublions pas évidemment que l’avortement, la contraception et l’instabilité des familles sont des facteurs majeurs du dépeuplement.
Lors d’une grossesse à haut risque, une mère refuse d’avorter son bébé qui nait à 23 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère italienne partage son histoire de foi et d’espoir face à une grossesse à haut risque où sa vie et celle de sa petite fille étaient en jeu. Bien que les médecins lui aient proposé un avortement, elle a refusé, et maintenant sa petite fille est à la maison avec sa famille après des mois à l’hôpital.
« On m’a proposé un avortement thérapeutique », a déclaré Jessica à Avvenire.it, « mais j’ai immédiatement refusé ». Elle a ajouté : « J’aurais accepté ma fille avec n’importe quel problème. »
À 23 semaines, Jessica a dû subir une césarienne d’urgence à cause d’un décollement placentaire. Nicol Vittoria est née le 8 mai, ne pesant qu’une livre et mesurant environ 11 pouces. Elle a dû être réanimée et a reçu une canule nasale pour lui permettre de respirer, mais elle a finalement dû être intubée et placée sur un respirateur pendant deux mois. Nicol avait également un problème cardiaque commun aux prématurés, une septicémie staphylococcique et une rétinopathie. Elle a surmonté tous les obstacles.
« J’ai reçu de la force par la prière », a dit Jessica, « ainsi que par les paroles toujours réconfortantes des médecins et des infirmières, en particulier les sourires rassurants du Dr Viviana Cardilli qui a soigné Nicol ».
Jessica ne pouvait passer que quatre heures par jour avec Nicol pour lui tenir la main et lui parler de ses frères et sœurs, de son père et de sa grand-mère qui l’attendaient à la maison. Les précautions [inutiles*] prises à cause de la COVID-19 ne leur ont pas permis de passer beaucoup de temps ensemble et ont empêché d’autres membres de la famille, comme ses frères et sœurs, de lui rendre visite. La prière a aidé Jessica à « oublier les mauvaises pensées de son esprit ». Au bout d’un mois, elle a enfin pu tenir Nicol dans ses bras.
Lire la suiteUne mère refuse l’avortement « médical » et a une fille en bonne santé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
Une mère italienne refusa l’avortement « médical » qui lui avait été proposé pour cause de santé, selon Gènéthique :
En Italie, une petite fille est née au terme de 23 semaines de grossesse. En raison de complications pour la santé de la maman, Jessica, une interruption médicale de grossesse lui a été conseillée. La proposition ayant été refusée, la petite Nicole Vittoria est née le 8 mai suite à une césarienne pratiquée en urgence. Elle pesait un peu plus d’un kilo.
Après quatre mois passés aux soins intensifs, la petite Nicole put rentrer à la maison, n’ayant aucune lésion cérébrale que les prévisions pessimistes des médecins avaient annoncée.
Italie : vers la légalisation de l’euthanasie ?
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : pressfoto/Freepik
En Italie, la décision d’un tribunal de la province toscane risque de peser lourd sur les prochaines décisions du gouvernement italien en ce qui concerne la légalisation du suicide assisté dans le pays.
Deux militants du « droit de mourir », membres de l’Association Luca Coscioni, Mina Welby et Marco Cappato, avaient aidé au suicide d’une personne atteinte de sclérose en plaques, en l’accompagnant dans une clinique de suicide médicalement assisté en Suisse, la clinique Dignitas.
Dès leur retour en Italie, Welby et Cappato s’étaient livrés volontairement aux autorités italiennes, dans une démarche stratégique visant à contester le Code pénal italien qui interdit l’euthanasie ou le suicide médicalement assisté.
Or, le tribunal vient de les acquitter, jugeant qu’aucun crime n’avait été commis par les prévenus, ceux-ci n’étant pas les instigateurs directs du suicide de Davide Trentini.
Selon l’article 580 du Code pénal italien, aider ou convaincre quelqu’un de se suicider « est passible d’une peine de 5 à 12 ans si le suicide survient, ou de un à cinq ans s’il ne se produit pas mais entraîne des blessures graves. »
Mais dans cette affaire, le juge a statué que le suicide assisté ne peut pas être puni si le patient qui demande à mourir est maintenu en vie grâce à une assistance respiratoire, souffrant d’une pathologie irréversible qui cause des souffrances physiques et mentales, reçoit des soins palliatifs et est toujours en mesure d’émettre une décision éclairée.
Les partisans de l’euthanasie jubilent, espérant que cette décision de justice contribuera à pousser le gouvernement italien à légaliser le suicide médicalement assisté dans tout le pays.
Selon l’agence de presse italienne ANSA, les membres de l’organisation Luca Coscioni ont déjà aidé environ 268 personnes à se suicider et ont accompagné trois personnes à la clinique Dignitas en Suisse.
Rappelons ce que dit le Catéchisme de l’Église catholique à ce sujet : l’euthanasie « constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect dû au Dieu vivant, son créateur ». « L’erreur de jugement dans laquelle on peut tomber de bonne foi ne change pas la nature de cet acte meurtrier, qui doit toujours être interdit et exclu », ajoute le texte.
Dictature sanitaire dans les écoles en Italie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : Freepik
Il n’y a pas qu’en Allemagne où, sous couvert de lutter contre la propagation du coronavirus, l’Etat menace de retirer les enfants de leur famille.
En Italie, le directeur de l’école polyvalente Dante Alighieri, allant du primaire au collège, de Lumezzane Pieve dans la région de Brescia, a décrété des mesures « à la coréenne » :
« En cas de fièvre d’un enfant à l’école, appelez les carabiniers et confiez-le non pas à ses parents, mais à l’autorité sanitaire. »
Si la mesure a entraîné une levée de boucliers de la part de nombreux parents et a pu ainsi être annulée, le directeur s’est défendu en affirmant l’avoir également vue appliquée dans d’autres établissements.
Voici ce qui a été publié sur le site Internet de l’école le 6 août et modifié seulement le mercredi 12, une semaine plus tard. Au point sept, dans les informations sur la reprise des cours après la pause estivale et le confinement, on peut lire :
Lire la suite« En présence de symptômes respiratoires ou de température corporelle supérieure à 37,5 °C pendant les heures de classe, une procédure rigide est déclenchée pour les élèves qui comporte les étapes suivantes :
- l’élève doit être immédiatement équipé d’un masque chirurgical ;
- sera placé en isolement dans la salle Covid ;
- l’enseignant doit appeler immédiatement le 112 ou le 1500 ;
- les parents ne pourront en aucun cas retirer leur enfant de l’école, qui sera confié à l’autorité sanitaire.
Italie : nouvelles directives gouvernementales pour faciliter l’auto-avortement
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo (couleurs modifiées) : Freepik
Comme partout dans les soi-disant pays européens civilisés, l’accès facile à l’avortement, jusqu’à tard durant la grossesse, a fait un bond en avant durant la crise de coronavirus.
Ainsi en Italie, alors que l’on suffoque sous la chaleur d’août et plus encore sous les mesures de sécurité anti-Covid voulues par l’Institut Supérieur de la Santé et le gouvernement italiens et destinées paraît-il à protéger la santé, donc la vie, un autre organisme italien, le Conseil supérieur de la Santé et ce même gouvernement socialo-libéral favorisent l’avortement tout en mettant la santé et la vie des femmes en danger. Et tout ceci au nom de la « civilisation ».
Le ministre de la Santé Roberto Speranza a donc édité de nouvelles directives qui prévoient l’interruption volontaire de grossesse avec la méthode pharmacologique, la pilule RU-486, en hôpital de jour et l’étendent jusqu’à la neuvième semaine, au lieu des sept semaines précédentes.
« Un pas en avant important dans le plein respect de la loi 194 [la loi permettant l’avortement de 1978] qui est et reste une loi de civilisation de notre pays » a-t-il déclaré dans un article sur Facebook, fier d’avoir obtenu que « la pilule RU-486 puisse être utilisée sans hospitalisation ».
« Un bond en arrière ». C’est ainsi que Giorgia Meloni, la responsable du parti identitaire Fratelli d’Italia a défini de son côté l’annonce de Roberto Speranza :
Lire la suiteLes nouvelles directives sur l’administration de la pilule RU486 sans hospitalisation obligatoire sont un bond en arrière pour les femmes et non un pas vers une plus grande « libre autodétermination féminine » comme la gauche voudrait nous le faire croire. Transformer l’avortement pharmacologique en pratique à domicile, c’est d’abord abandonner les femmes qui ont recours à l’administration de la pilule à elles-mêmes, sans surveillance médicale, sans soutien psychologique et leur faire vivre un processus difficile et dangereux dans la solitude.
Le pro-vie Andrea Bocelli dénonce la surréaction gouvernementale au coronavirus
Andrea Bocelli.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : laurentius87/Flickr
Andrea Bocelli, célèbre chanteur aveugle et pro-vie italien notoire, a dénoncé devant le Sénat à Rome, lors d’une conférence portant sur le covid-19 en Italie, la surréaction du gouvernement face au coronavirus.
Pendant le confinement, Andrea Bocelli s'est rendu compte que le récit officiel n’était pas des plus véridiques, rapporte BreitBart : « J’ai vu que les choses n’étaient pas exactement comme on nous l’avait dit. »
Il s’aperçut même, avec le temps, qu’il ne connaissait personne personnellement ayant été aux soins intensifs pour cause de coronavirus :
« Mais au fil du temps, j’ai réalisé que je connaissais une tonne de gens, mais Dieu merci, je ne connaissais pas une seule personne qui se fut retrouvée aux soins intensifs, et je me suis interrogé sur notre réaction draconienne », déclare-t-il.
Privé de liberté :
« Prenant mes distances avec tout parti politique, je tiens à dire qu’il y a eu un moment où je me suis senti humilié et offensé d’être privé de la liberté de quitter ma maison, alors que je n’avais commis aucun crime », lance-t-il. « Et je dois avouer publiquement, et je le fais ici, que dans certains cas, j’ai délibérément désobéi à cette interdiction parce qu’il ne semblait ni juste ni sain de rester chez moi ».
Andrea Bocelli souligne l’inutilité de confiner les jeunes et les enfants :
Lire la suiteCependant, outre ses propres préoccupations, M. Bocelli souligne qu’il était encore plus inquiet pour les enfants de la nation. À ce jour, pas un seul adolescent en Italie n’est mort du coronavirus et le taux de mortalité infantile dans le monde [attribué au covid-19] est infinitésimal.
« Je pense qu’il est important de souligner la question de nos écoles et de nos enfants », dit-il. « J’ai une fille de 8 ans et je ne peux imaginer que ces enfants se rencontrer à l’école séparés par des barrières de plexiglas et se cachant derrière des masques ».
« Je ne peux pas comprendre comment, avec une rapidité aussi incroyable, nous avons décidé de fermer nos écoles et avec la même célérité nous avons rouvert des discothèques, où les enfants ne se rendent pas pour former leur cerveau mais pour le gâcher », ajoute-t-il.
Italie : censure LGBT en vue
Manifestation sur la Plazza San Lorenzo à Florence, en Italie.
Par David Ross (The Remnant) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Le mercredi 15 juillet, sur cent grandes places de différentes villes d’Italie, des catholiques et des évangéliques ont protesté contre un projet de loi qui, en gros, criminaliserait la « discrimination » (dont la critique) des modes de vie transgenre et homosexuel.
Les chrétiens se tenaient debout silencieusement, à six pieds de distance les uns des autres et tenant les petites pancartes que vous voyez. Aucun emblème politique n’a été autorisé lors de leur manifestation silencieuse. Mais à la tombée de la nuit, ils commencèrent à être entourés d’adversaires, beaucoup plus nombreux qu’eux, qui criaient, scandaient « vergogna » (qui signifie « honte à vous ») et les maudissaient ; ils étaient heureusement retenus par la police.
Aucun grand journal italien n’a mentionné cette manifestation, mais nous avons trouvé un petit journal qui l’a fait.
Ces photos montrent la place San Lorenzo où la manifestation de Florence eut lieu :
Restiamo Liberi... signifie soyons libres, dans ce contexte, soyons libres d’enseigner à nos enfants ce que nous pensons être juste.
Le prêtre tient une pancarte qui dit : « la famiglia non è un reato di opinione. » « Reato » signifie un crime, et la pancarte dit que croire en la famille traditionnelle et l’enseigner n’est pas un crime d’opinion.
La peine proposée par cette loi est lourde. Un parent qui s’oppose à ce que l’on enseigne à son enfant les modes de vie des transgenres, des non binaires, des homosexuels, etc. à l’école pourrait subir une peine de 18 mois de prison. Il pourrait également se voir assigner à résidence, retirer son permis de conduire, son permis de chasse ou risquer d’autres mesures punitives.
La création de tout type d’association en vue de protester contre ces enseignements serait passible d’une peine pouvant aller jusqu’à six ans de prison.
Ce n’est pas encore une loi, mais elle est proposée en Italie.
Mes frères, les ténèbres sont sur nous. Je sais par vos travaux et par ce que vous croyez que vous en êtes bien conscients. Priez pour que le Très-Haut nous accorde, à nous croyants, l’attention spirituelle et l’endurance nécessaires pour tenir bon jusqu’à la fin.