L’idéologie du réchauffement climatique anthropique au service de l’idéologie malthusienne
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La théorie du réchauffement planétaire (maintenant on parle plutôt de changement climatique) a bien des défauts dont celui de ne pas faire consensus parmi les scientifiques, ce qui n'empeĉhe pas les médias de mener la danse tambour battant, avec de nombreux gouvernements, en l'honneur et pour le salut de la déesse terre Gaia. Je veux dire, le manque de fondements dans la théorie du réchauffement climatiques ne retient pas les médias de la proclamer pour vraie et les gouvernements de prendre des mesures (inefficaces en ce qui concerne l'écologie) en conséquence. L'une des raisons qui me pousse à parler de ce sujet dans un de mes billets est très simple : la propagande qui accompagne cette théorie prône entre autres la réduction de la population, ou du moins sa limitation ; cette propagande mène les gens à ne pas avoir d'enfants, ou plutôt à ne pas les garder, car c'est un prétexte de plus pour se faire avorter ou pour prendre de la contraception.
Le fait que nous défendions la famille et l'enfant à naître ne nous rend pas subjectifs par rapport à la théorie du réchauffement climatique parce qu'une certaine culture de mort vient avec, cela nous rend plus circonspect par rapport aux affirmations souvent douteuses énoncées par les tenants de la théorie.
Je vous recommande de lire au complet les explications que donne le scientifique István Markó sur les divers aspect du réchauffement climatique, que vous pouvez lire dans l'article de Medias-Presse.Info dont voici un extrait :
Il n’existe aucun consensus véritable ni majorité établie au sein du monde de la Science au sujet du réchauffement climatique anthropique. De nombreux scientifiques contestent cette théorie, le malheur est qu’ils n’ont pas voix publique au chapitre, les médias mainstream et les élites mondialistes […] se faisant les relais de la seule doxa ayant l’agrément des puissantes institutions et organisations internationales, occultes ou visibles.
Il faut là encore, pour connaître l’envers de la médaille et contrer efficacement le phénomène médiatique, création ex nihilo de la pensée unique, Greta Thumberg, rechercher l’information ailleurs que sur les supports politiquement corrects.
Le site de réflexion Réseau International publie ces jours-ci des extraits d’un entretien qu’István Markó, chercheur en chimie organique et professeur à l’Université catholique de Louvain, a récemment accordé à Grégoire Canlorbe, journaliste scientifique. Il se trouve en intégralité sur le blog GregoireCanlorbe.com :
« La vérité sur le dioxyde de carbone
Lire la suiteEncore une fois, le CO2 n’est pas et n’a jamais été un poison. Chacune de nos respirations émet une quantité astronomique de CO2 proportionnelle à celle de l’atmosphère (environ> 40 000 ppm) ; et il est très clair que l’air que nous expirons ne tue pas ceux qui se tiennent devant nous. Ce qu’il faut comprendre, en outre, c’est que le CO2 est l’aliment élémentaire des plantes. Sans CO2, il n’y aurait pas de plantes, et sans plantes, il n’y aurait pas d’oxygène et donc pas d’humain. L’équation est aussi simple que cela.
Définir l’identité nationale
Par l’historien Jean-Claude Dupuis Ph. D. — Photo (rognée) : TJ Watt/Wikimédia Commons
Le débat sur le projet de loi 21 devient de plus en plus émotif et confus. On entend des discours incohérents, voire haineux. Certains assimilent l’interdiction du port de signes religieux à de « l’épuration ethnique ». D’autres prétendent que sans cette interdiction, le Québec deviendra bientôt une « république islamique ». François Legault a ouvert une véritable boîte de pandore pour résoudre un problème… inexistant.
La discussion porte sur l’identité québécoise, bien plus que sur la place de la religion dans la société. Au fond, c’est un débat sur l’immigration, par symboles religieux interposés.
La première étape d’une discussion rationnelle, c’est de définir les termes employés. Commençons par nous pencher sur le terme « nation ».
Dans Qu’est-ce qu’une nation ? (1882), Ernest Renan écrivait :
« Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. (…) Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu’on a fait et de ceux qu’on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé ; elle se résume pourtant dans le présent par un fait tangible : le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie commune, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. »
Lire la suiteDes personnalités politiques appellent «adorateurs de Pâques» les victimes chrétiennes des attentats au Sri Lanka !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : fsHH/Pixabay
Plusieurs attentats à la bombe ont été perpétrés par des musulmans contre des chrétiens le jour de Pâques, faisant 320 morts et 500 blessés, selon de récentes estimations. Trois églises ont notamment été visées. Et au milieu de cette douloureuse nouvelle, plusieurs personnalités politiques dont Barack Obama et Hilary Clinton n’ont rien trouvé de mieux que de parler d’« adorateurs de Pâques » (Easter worshippers). Serait-ce pour éviter de dire « chrétiens » ou « catholiques » (la majorité des chrétiens au Sri Lanka sont catholiques) ? Plusieurs habitués de Twitter, dont Brittany Pettibone, n’ont pas manqué de remarquer l’étrangeté de la chose.
Whoa ! C’est plus répandu que je ne le pensais.
Chers frères et sœurs chrétiens, il semble que les démocrates sont en train de nous rebaptiser en « adorateurs de Pâques ».
Qu’est-ce qu’un adorateur de Pâques ?
Le terme que ces gens se donnent tant de mal à éviter est le mot « chrétien ».
Cardinal Robert Sarah : la crise de l’Occident et du monde tient dans leur rejet de Dieu
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Malacañang Photo Bureau/Wikimedia Commons
Le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a récemment publié son troisième livre d’entretien avec Nicolas Diat Le soir approche et déjà le jour baisse. Ce livre décrit la crise actuelle du monde, une crise de foi, de rejet de Dieu, d’athéisme qui trouve sa source en Occident. Mgr Sarah aborde dans son livre la question de la société catholique, de la vérité et de la liberté, du sacerdoce et du célibat, des scandales dans l’Église et de leur remède, du relativisme et de l’athéisme qui contaminent le langage de certains ecclésiastiques, de la culture de mort et d’autodestruction occidentale, de l’athéisme par rapport à l’islamisme, enfin du chemin à suivre pour sauver une civilisation et pour une vraie évangélisation.
Le cardinal Robert Sarah a accordé un entretien à la revue La Nef, où il présente les différents aspects que l’on rencontre dans son ouvrage.
Il commence par expliquer que la crise spirituelle concerne le monde entier, mais qu’elle a sa source en Occident. Extraits de La Nef :
Lire la suiteL’effondrement spirituel a donc des traits proprement occidentaux. Je voudrais relever en particulier le refus de la paternité. On a convaincu nos contemporains que pour être libre il fallait ne dépendre de personne. Il y a là une erreur tragique. Les Occidentaux sont persuadés que recevoir est contraire à la dignité de la personne. Or l’homme civilisé est fondamentalement un héritier, il reçoit une histoire, une culture, un nom, une famille. C’est ce qui le distingue du barbare. Refuser de s’inscrire dans un réseau de dépendance, d’héritage et de filiation nous condamne à entrer nus dans la jungle de la concurrence d’une économie laissée à elle-même. Parce qu’il refuse de s’accepter comme héritier, l’homme se condamne à l’enfer de la mondialisation libérale où les intérêts individuels s’affrontent sans autre loi que celle du profit à tout prix.
Mais dans ce livre, je veux rappeler aux Occidentaux que la raison véritable de ce refus d’hériter, de ce refus de la paternité est au fond le refus de Dieu. Je discerne au fond des cœurs occidentaux un profond refus de la paternité créatrice de Dieu. Nous recevons de lui notre nature d’homme et de femme. Cela devient insupportable aux esprits modernes. L’idéologie du genre est un refus luciférien de recevoir de Dieu une nature sexuée. L’Occident refuse de recevoir, il n’accepte que ce qu’il construit lui-même. Le transhumanisme est l’ultime avatar de ce mouvement. Même la nature humaine, parce qu’elle est un don de Dieu, devient insupportable à l’homme d’Occident.
Enfin libre, Asia Bibi a fui le Pakistan et rejoint sa famille au Canada
Asia Bibi.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’avocat d’Asia Bibi, Saif ul-Malook, dans un entretien avec le Frankfurter Allgemeine Zeitung, a confirmé la fuite de la femme chrétienne du Pakistan : « elle a retrouvé sa famille » au Canada.
Pour des raisons de sécurité, l’avocat n’a pas révélé la date exacte du départ d’Asia Bibi de son pays natal ni comment elle a pu le fuir.
La Cour Suprême du Pakistan a confirmé la semaine passée l’absolution d’Asia Bibi. Selon le juge Asif Saeed Khosa, président des trois juges de la Cour, le signataire du recours contre la sentence d’absolution « n’a pas été en mesure de montrer une quelconque erreur dans le verdict de la Cour Suprême qui a absous Asia Bibi ». [Asia Bibi avait été accusée de « blasphème » contre Mahomet et a passé huit ans en prison en attendant que son sort fût décidé, elle risquait la pendaison si elle était reconnue coupable.]
Asia Bibi viendra au Canada, la Cour suprême du Pakistan a maintenu l’acquittement de l’accusation de blasphème
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Huffington Post
La Cour suprême du Pakistan a confirmé l’acquittement de la chrétienne persécutée.
Asia Bibi, cette Pakistanaise […] chrétienne acquittée en novembre dernier des accusations d’avoir blasphémé l’islam après huit ans de purgatoire dans les geôles du Pakistan, serait sur le point de demander l’asile au Canada. C’est ce qu’a rapporté mardi le média HuffPost UK.
Mme Bibi avait été placée sur une « liste de contrôle de sortie » après son acquittement, ce qui lui interdisait de quitter le Pakistan. Mais la Cour suprême du pays a confirmé mardi sa décision d’annuler la condamnation à mort de la chrétienne, ce qui la libère définitivement de tout chef d’accusation.
Le Huffpost UK a cité un porte-parole de la British Pakistani Association, Wilson Chowdhry : « Je peux confirmer qu’Asia Bibi sera envoyée par avion au Canada très prochainement et que sa famille la rejoindra au moment opportun », a-t-il déclaré. Selon M. Chowdhry, deux filles de Mme Bibi auraient déjà été transportées secrètement au Canada.
Secrètement n’étant pas exagéré : au sein de la classe politique, le mot d’ordre est d’assurer la sécurité de Mme Bibi et de sa famille, et même en territoire canadien. Des islamistes avaient manifesté violemment au Pakistan en opposition à l’acquittement de la chrétienne. Un parti extrémiste, Tehreek-e-Labbaik (TLP), avait invité les Pakistanais à bloquer les principales routes des plus grandes villes du pays et en avait appelé à l’assassinat des juges de la Cour suprême qui avaient acquitté Mme Bibi.
C’est précisément pour des motifs de sécurité que le Royaume-Uni, le premier choix de Mme Bibi, a repoussé l’idée de l’accueillir. On craignait là-bas que les ambassades et le personnel diplomatique britanniques soient la cible d’extrémistes islamistes.
Le dossier noir de Québec solidaire : au front avec l'islam
Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé, co-chefs de QS.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Point de bascule n°1, n°2, n°3 , n°4, n°5, n°6 et n°7, Le Point, France 24, Québec solidaire, Wikipedia, Facebook, Times of Israel, Gouvernement du Canada,Newswire, Barbara Kay, Bateau canadien pour Gaza / Voici la source de la photo (rognée) : Asclepias, yanik_crepeau et Judicieux, Wikimedia, CC BY-SA 3.0
Le sujet de l'article ci-dessous cadre tout à fait avec le but premier de notre organisme Campagne Québec-Vie qui est :
1) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun.
Or, pour comprendre pourquoi le christianisme est la seule vraie religion, il faut comprendre en quoi les autres sont fausses. — A. H.
En plus d'être un parti d'extrême gauche, QS cède à la complaisance à l'égard de l'islamisme. Deuxième partie de ce dossier.
Nul doute que l'attitude des partis de gauche à l'égard des cultures étrangères, en particulier envers l'islam, est marquée par l'empathie. Québec solidaire (QS) ne fait pas exception à cette règle, et les premiers signes de cette manifestation d'empathie sont apparus l'année suivant sa fondation, soit en 2007.
Cette année-là, l'ex-porte-parole de QS, Françoise David, avait participé, à Toronto, à un colloque appelé Marxism – A Festival of Resistance, organisé dans le but de renforcer l'alliance entre l'extrême gauche et les milieux islamistes. Une fratrie d'intégristes avait été invitée à cet événement à titre de conférenciers, parmi lesquels Zafar Bangash, un grand supporter de la révolution islamiste en Iran. Bangash souhaite d'ailleurs que ce type de révolution se propage dans tous les pays, dont le Canada.
QS côtoie des groupes islamistes
Au printemps 2011, lorsque les premières notes de la révolution syrienne se faisaient entendre, Québec solidaire avait pris fait et cause pour le Conseil national syrien (CNS). Un choix curieux, puisque le CNS a été noyauté par les tristement célèbres Frères musulmans. Selon le journal Le Point, « près d'un tiers des membres du CNS sont des islamistes, Frères musulmans syriens ou anciens de la confrérie ». Un autre média, France 24, cite un activiste syrien selon lequel les Frères étaient plutôt majoritaires au sein du CNS.
Lire la suiteAsia Bibi acquittée par la Cour suprême du Pakistan, échappe après neuf ans à la peine de mort pour blasphème
Asia Bibi.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Le long calvaire, ou plutôt le lent martyre d’Asia Bibi s’arrête enfin au terme d’une procédure judiciaire qui aura duré neuf ans. Non, rien ne prouve qu’elle ait proféré quelque blasphème contre le « Prophète », le 14 juin 2009, et donc, elle ne mérite pas les rigueurs de la loi pakistanaise, qui est une loi de charia. L’arrêt de la Cour suprême du Pakistan a invalidé mercredi matin les décisions des juridictions inférieures et ordonné la libération immédiate de cette mère de famille chrétienne. Son exfiltration vers un pays chrétien est désormais la toute première urgence, car des manifestations protestant contre la décision de la Cour ont déjà paralysé plusieurs grandes villes du pays, et d’autres acquittés de ce type de crime ont déjà été lynchés par la foule en colère contre de semblables décisions, par le passé. L’analyse de la décision elle-même révèle cependant la dureté et l’emprise de la charia au Pakistan.
Neuf ans de détention dans une petite cellule sordide, sous la menace de ses codétenues musulmanes, le harcèlement des gardes qui lui répétaient qu’elle méritait d’être pendue, la séparation d’avec son mari et ses enfants : Asia Bibi a souffert pour sa foi et dans une certaine indifférence de la communauté internationale qui, sans être totale, l’a laissée dans la soumission vis-à-vis de juges qui n’auraient pas eu d’états d’âme à confirmer sa condamnation à mort s’ils avaient jugé que les faits étaient établis.
Asia Bibi acquittée : la Cour suprême du Pakistan a pris une décision courageuse
La lecture du jugement de 56 pages se révèle du plus haut intérêt. On peut en retenir plusieurs points essentiels.
Lire la suiteAttentats de Paris: Chronique d'une guerre annoncée
Par Jeanne Smits
Ce n’était pas une question de « si », mais de quand et comment. Depuis le « 13-11 » et – à l’heure d’écrire – ses 128 victimes d’un terrorisme déterminé, et 99 blessés en « état d’urgence absolue », nous savons que la guerre est là. Avec l’entrée de milliers et de milliers de jeunes hommes depuis des terres où l’on prêche la conquête islamique, nous savons que cette guerre peut-être terrible. Qu’elle peut s’organiser. Depuis hier, elle ne vise plus des ennemis déclarés, comme l’attentat contre Charlie, mais un style de vie. L’homme de la rue. Le jeune qui s’éclate, dans un macabre « retour à l’envoyeur ».
La réponse doit-elle être politique ? Oui, certainement. Il appartient aux responsables des Etats d’y assurer la sécurité en les défendant contre les attaques extérieures et intérieures, et la paix, qui est « tranquillité de l’ordre ». Quel « ordre » ? Dans un pays où l’« ordre moral » est proscrit, où le désordre le plus fondamental est inscrit dans les lois et prêché dans les écoles, la tâche prend une allure singulière. Il s’agit de sauver et de protéger des vies, urgence vitale. Mais après ? Que défendons-nous ? Un « vivre-ensemble » qui traîne d’année en année son propre bilan de destruction, ce carnage propre, sûr et caché de plus de 200.000 victimes par an, par avortement légal ?
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