Irlande : Financement prévu pour des maternités utilisé pour l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le gouvernement irlandais, puisqu’il prétend se préoccuper de la santé des femmes, pourrait au moins avoir la cohérence de financer de façon décente autre chose que le « soin » que représente pour lui l’avortement. La majeure partie d’un financement initialement prévu pour l’amélioration des maternités d’État sera détourné au profit de la pratique de l’avortement, selon Gènéthique :
Après le décès d’une irlandaise dans un hôpital de Galway en 2012, l’Irlande a décidé d’améliorer la qualité des soins dispensés dans les 19 maternités d'État. Ainsi 77 préconisations ont été retenues pour mener un plan stratégique national en matière de sécurité des maternités. Un programme étalé sur dix ans.
Et le mois dernier :
Le Conseil d’administration du HSE a publié le plan de financement de la santé en Irlande qui ne prévoit qu’une allocation « symbolique » destinée au financement de l’amélioration des services des maternités. La majeure partie des fonds initialement prévus pour le financement de ce projet national a été détournée en 2019 pour financer les nouveaux services d'avortement.
Un réseau pro-avortement arrive en Pologne, avec le soutien du principal quotidien de gauche
Par Olivier Bault — Visegrad Post
Pologne — Arrivée en Pologne d’un réseau proposant des avortements à l’étranger. Le défenseur des droits des enfants réagit. Un grand journal de gauche fait la publicité de l’arrivée en Pologne de l’Abortion Support Network. Une organisation d’avocats et le défenseur des droits des enfants réagissent.
Le principal quotidien de gauche en Pologne, Gazeta Wyborcza, a consacré sa première page du jeudi 12 décembre à l’ouverture depuis la veille d’un fonds dédié à l’avortement spécialement pour les femmes polonaises. L’opération est conduite par l’Abortion Support Network (réseau de soutien à l’avortement, ASN), une organisation britannique qui fournit une assistance financière et pratique aux femmes souhaitant se faire avorter mais vivant dans des pays où cette pratique est interdite. Dans son article de Une, le journal polonais a donné toutes les informations nécessaires à destination des Polonaises qui envisageraient un avortement, y compris un numéro de téléphone spécial où il est possible d’obtenir des pilules abortives ou d’organiser un avortement chirurgical dans un autre pays européen qui sera choisi en fonction de l’étape de la grossesse. Avec l’ASN, six organisations de quatre pays différents joignent leurs efforts pro-avortement dans le cadre d’une initiative appelée « Avortement sans frontières », selon les informations publiées par Gazeta Wyborcza. Parmi elles, il y a deux organisations polonaises, dont une qui se fait appeler « Abortion Dream Team ».
La loi polonaise sur l’avortement, qui date de 1993, est plus restrictive que les lois en vigueur dans la plupart des pays européens. Elle autorise les avortements dans trois cas de figure : quand il y a danger pour la vie ou la santé physique de la femme enceinte (sans limite de délai), quand la grossesse est issue d’un viol ou d’un inceste (jusqu’à la 12e semaine), ou quand le diagnostic prénatal de l’enfant conclut à une anomalie ou maladie grave et incurable (jusqu’à la 24e semaine). Chaque année, un peu plus de 2000 avortements sont réalisés légalement dans les hôpitaux polonais selon les données de l’assurance maladie obligatoire (NFZ), même si les statistiques officielles publiées par le ministère de la Santé en laissent apparaître moitié moins sur la base des déclarations envoyées par les hôpitaux du pays. Avant 1993, la loi sur l’avortement datant de la dictature communiste permettait de se faire avorter gratuitement sur simple demande jusqu’à la 12e semaine de grossesse.
Dans l’édition du 12 décembre de Gazeta Wyborcza, une militante de l’« Abortion Dream Team » a cité l’Allemagne, les Pays-Bas et la Grande-Bretagne comme étant les pays où les femmes enceintes depuis plus de 12 semaines pourraient aller se faire avorter avec une prise en charge de l’Abortion Support Network. L’ASN promet aux femmes polonaises une assistance complète pour leurs procédures d’avortement médicalisé à l’étranger, y compris en ce qui concerne l’assistance linguistique et les nuitées. Pour les femmes dont l’avortement peut se faire par voie pharmaceutique, les pilules abortives doivent être envoyées par l’organisation néerlandaise Women Help Women (« les femmes aident les femmes »), même si, comme le reconnaît lui-même ce journal pro-avortement, il est illégal d’importer en Pologne des médicaments sans les autorisations officielles nécessaires. Le quotidien Gazeta Wyborcza ne s’est d’ailleurs pas contenté de sacrifier la majeure partie de sa première page du 12 décembre pour faire la publicité gratuite de la proposition de l’ASN à destination des Polonaises, puisqu’il a aussi publié en page 2 un éditorial approbateur dans lequel la situation de la Pologne est comparée à celle de l’Irlande il y a peu. Le journal a en outre consacré toute sa page 9 à un entretien avec Mara Clarke, la femme qui a fondé l’Abortion Support Network en 2009.
Lire la suiteL'avortement légal déforme la culture et la nation d'une manière horrifiante
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : SturmjaegerTobi/Pixabay/Needpix
27 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Lors du référendum sur l'avortement l'an dernier en Irlande, des débats, des discussions et des entrevues sur l'avortement ont été diffusés presque sans interruption à la radio et à la télévision pendant les dernières semaines de la campagne. Je faisais du bénévolat dans le cadre de la campagne Save the 8th avec quelques-uns de mes collègues et, après une longue journée de sollicitation, je regardais les altercations nocturnes sur l'avortement, une des activités préférées quoique stressantes des militants pro-vie, après une journée de sollicitations diverses. Mais de toutes les apparitions à la télévision que je vis, celle qui m'a le plus frappé avait été celle de John McGuirk, l'un des porte-parole de Save the 8th, qui a fait quelques commentaires au Tonight Show.
La raison pour laquelle je voterai non [à l'avortement] change tous les jours, disait-il aux autres participants du débat « mais aujourd'hui, c'est parce que je parcourais les statistiques britanniques sur l'avortement en 2016, et j'ai découvert que onze bébés avaient reçu des injections mortelles dans le cœur alors qu'ils étaient dans l'utérus, et avaient été mis au monde morts, et la raison invoquée pour ces actes était qu'ils avaient une fente palatine. 141 bébés ont reçu une injection létale dans le cœur et ont été mis au monde parce qu'ils étaient jumeaux et que leurs parents ne voulaient qu'un enfant, et non deux. On a raconté une histoire, en Australie, de parents dont l'un des jumeaux a été avorté parce qu'il avait une malformation cardiaque, et les médecins ont avorté le mauvais. »
McGuirk leva les yeux et continua : « Ce qui est terrifiant, Matt, ce n'est pas que ces choses horribles, effroyables, brutales, se soient produites, mais c'est qu'au Royaume-Uni, ce n'était même pas l'objet d'un reportage. Parce que lorsque vous légalisez l'avortement, vous changez complètement la culture d'un pays, vous changez notre façon de penser la vie, vous changez la façon dont nous, en tant que société, sommes en relation les uns avec les autres afin que des choses absolument horribles puissent être faites derrière des portes closes aux enfants à naître. »
J'ai repensé aux commentaires de McGuirk la semaine dernière lorsque j'ai vu un article dans le Daily Mail, détaillant des nouvelles plus tristes et sanglantes du régime abortif britannique. Selon les statistiques de 2018, d'après le Mail, 700 femmes en Grande-Bretagne ont subi au moins six avortements, dont cinq adolescentes. Pensez-y un instant : Six avortements alors qu'elle était encore adolescente. Et ce n'était même pas le pire chiffre non plus : au moins 148 femmes au Royaume-Uni ont subi leur huitième avortement l'an dernier, un chiffre qui semble avoir augmenté de 27% en seulement deux ans.
Lire la suiteLa contraception gratuite en Irlande pour 2021 ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : freepik
Le gouvernement irlandais met les bouchées doubles pour faire avancer la culture de mort en Irlande. Extrait de Gènéthique :
En Irlande, le ministre de la Santé, Simon Harris a déclaré au Dáil que la contraception pour les femmes serait gratuite à partir de 2021, tout en expliquant qu’une loi serait nécessaire et que des questions de réglementation et de politique étaient encore à l’étude sur ce sujet. Des négociations avec les pharmaciens concernant les honoraires pourraient également être nécessaires pour assurer la prestation des services.
Les hôpitaux catholiques d’Irlande refusent de perpétrer des avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Heureusement que les promoteurs de la culture de mort rencontre un tant soit peu de résistance. Extrait de LifeNews :
En mai 2018, l'Irlande a voté l'abrogation de son huitième amendement, retirant de la Constitution irlandaise la protection des enfants à naître. Aujourd'hui, les dirigeants du gouvernement font avancer une législation proavortement radicale qui légaliserait l'avortement pour n'importe quelle raison jusqu'à 12 semaines de grossesse et jusqu'à six mois dans une grande variété de circonstances. Cela obligerait les contribuables à payer pour les avortements et obligerait les hôpitaux catholiques à les fournir.
Mais les autorités catholiques d'Irlande ripostent.
La Conférence des évêques catholiques irlandais a récemment publié un code d'éthique des soins de santé qui stipule que les hôpitaux catholiques ne peuvent pas pratiquer d'avortements, rapporte le Catholic Herald.
« Les fidèles catholiques ne feront aucun compromis sur la question de l'avortement avec l'esprit de cet âge maléfique », a récemment écrit le père Patrick McCafferty de Belfast dans Irish News. « L'avortement est une question de vie ou de mort. Mettre intentionnellement fin aux plus vulnérables d'entre nous est révélateur de ce qui est au cœur de la société humaine, et qui doit être rejeté et combattu à tout prix. »
Cependant, les politiciens irlandais proavortement continuent d'insister pour que les hôpitaux catholiques soient forcés d'avorter les bébés à naître.
[…]
Environ 20 hôpitaux en Irlande sont affiliés à des ordres religieux catholiques […]
Une nouvelle étude établit le lien entre l'avortement et le suicide
Par The Elliot Institute ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : StockSnap/Pixabay
Une analyse de 2019 des décès par suicide en Italie a révélé que dans l'année suivant une grossesse, les femmes ayant subi un avortement étaient 2,3 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes ayant donné naissance.
Il ne s'agit là que de la dernière d'une série d'études reliant l'avortement à des taux plus élevés de suicide et à un risque élevé de décès en général.
Des études à grande échelle sur les taux de mortalité maternelle aux États-Unis, en Finlande et au Danemark ont révélé des taux de mortalité plus élevés chez les femmes qui ont avorté que chez celles qui ont accouché, y compris des taux de suicide plus élevés.
L'étude américaine a examiné les dossiers du ministère des Soin de santé américain portant sur plus de 173 000 californiennes à faible revenu qui sont passées par un avortement ou un accouchement. En établissant un lien entre ces dossiers et les certificats de décès, les chercheurs ont constaté que les femmes qui avaient subi des avortements, financés par l'État, étaient 2,6 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes qui avaient donné naissance à leur bébé. Par contre, il a été démontré que l'accouchement réduit le risque de suicide chez les femmes comparativement à la population en général.
L'avortement n'est pas bénéfique pour la santé mentale des femmes
Les défenseurs de l'avortement ont souvent soutenu que l'avortement était nécessaire pour protéger la santé mentale des femmes, voire bénéfique.
Mais une étude publiée dans le British Journal of Psychiatry a révélé que 10 % des problèmes de santé mentale chez les femmes, dont 35 % des comportements suicidaires, peuvent être attribuables à l'avortement. Ces conclusions sont fondées sur les résultats combinés de toutes les études publiées entre 1995 et 2009 qui répondaient à des critères d'inclusion stricts. L'analyse qui en a résulté a porté sur 877 181 femmes de six pays.
Les femmes qui ont avorté étaient à 81 % plus susceptibles d'avoir des problèmes de santé mentale que tous les autres groupes témoins, et 55 % plus susceptibles d'avoir des problèmes que les femmes qui ont accouché suite à une grossesse non planifiée ou non désirée.
Lire la suiteDes milliers d’Irlandais pro-vie ont marché pour la Vie à Dublin
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Environ dix mille personnes ont participé à la marche pour la vie irlandaise, pour protester contre la légalisation de l’avortement (qui était presque totalement interdit), qui a été réalisée par l’abrogation référendaire (et frauduleuse) du 8e amendement de la Constitution irlandaise, et complétée par l’adoption de plusieurs lois. Extrait de CNA :
On estime à 10 000 le nombre d’Irlandais qui ayant participé au premier grand rassemblement et à la première marche pro-vie en Irlande depuis que le pays a adopté une loi sur l’avortement permissif. Les orateurs ont souligné leur détermination à continuer de travailler pour rétablir la protection juridique des enfants à naître.
La marche du 6 juillet a commencé au Parnell Square de Dublin et s’est terminée au Customs House, où a eu lieu le All-Ireland Rally for Life.
« Le thème de l’événement était un appel à se tenir "Debout pour la vie", parce qu’aucun vote, aucun projet de loi, aucun référendum ne pourra jamais faire de l’avortement » un droit, a déclaré le comité organisateur de ce rassemblement du 6 juillet, « Nous avons été ravis de voir des gens de tous âges et de tous horizons répondre à cet appel. »
L’événement a été organisé par Life Institute, Precious Life and Youth Defence avec le soutien de plus de 30 groupes pro-vie locaux.
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L’archevêque Eamon Martin of Armagh, Primat de toute l’Irlande, a déclaré aux médias lors du rassemblement qu’il se voulait “être solidaire” de ceux qui croient que la grossesse signifie avoir affaire a deux vies. »
« Je marche aujourd’hui parce que je crois qu’il est plus important que jamais d’affirmer le caractère sacré de toute vie humaine. L’enlèvement direct et intentionnel de la vie de tout être humain innocent est toujours gravement mal - nous devons éviter de nous désensibiliser à la valeur de toute vie humaine », déclara Mgr Martin, selon EWTN Irland.
Il a lancé un appel pour une plus grande aide pour les femmes vulnérables, pour les mères et les pères en détresse, ainsi que pour « les parents qui sentent qu’ils ont fait le mauvais choix en choisissant l’avortement. »
Un informateur révèle que Google fausse les résultats de recherche, démonétise et relègue les contenus pro-vie
Par pour une école libre au Québec ― Photo : Mike MacKenzie/www.vpnsrus.com
Des documents internes à Google révèlent que les employés du géant des médias sociaux Google ont qualifié de « nazis » des personnalités politiquement conservatrices telles que Jordan Peterson et Ben Shapiro. Ils ont, en outre, indiqué comment des algorithmes permettent de réduire la portée de ces personnalités. Une vidéo en caméra cachée montre également une cadre de Google responsable de l’« innovation responsable » qui reconnaît que l’entreprise tente d’empêcher qu’un autre « incident Trump » ne se reproduise lors des élections de 2020.
Vidéo de Projet véritas sous-titrée en français.
Prager et Shapiro, qualifiés de nazis, sont tous deux des Juifs pratiquants. Le courrier électronique divulgué avait été envoyé aux membres du groupe « transparence et éthique » de Google. Il demandait de supprimer le contenu des personnes susmentionnées de la « fonctionnalité de suggestion » de Google lorsque les utilisateurs effectuaient des recherches sur Internet à l’aide de Google.
Le projet Véritas a indiqué que le document divulgué semblait contredire l’affirmation d’un employé selon laquelle Google, selon ses termes, n’applique « aucun biais idéologique ou politique dans son classement de recherche ».
Shapiro a répondu à cette affirmation sur Twitter en mentionnant la PDG de YouTube, Susan Wojcicki : « Hé, Susan Wojcicki, nous aimerions en discuter avec vous. Pensez-vous que vos employés devraient cavalièrement étiqueter ceux qui s’opposent avec véhémence au suprématisme blanc de “nazis”, puis de créer des algorithmes qui utilisent de tels mensonges ? » Shapiro est un militant pro-vie et un critique fréquent de ce qu’on nomme l’alt-right et de certains groupes nationalistes.
Dans un courriel obtenu par le Projet Véritas, Liam Hopkins, employé de Google, écrivait : « Aujourd’hui, il suffit souvent d’une ou deux étapes pour tomber sur des nazis, si nous comprenons que PragerU, Jordan Peterson, Ben Shapiro et autres sont des nazis qui utilisent les mots codés à l’étape 1. Je peux recevoir ces recommandations, quel que soit le contenu de ce que je regarde et j’ai enregistré des milliers d’internautes partageant la même expérience. »
Lire la suiteLes femmes pilotes se font dire « Mettez fin à votre grossesse ou à votre emploi »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : DanilosBueno/Pixabay
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
L’un des résultats de la dépénalisation de l’avortement, ou de sa légalisation, est que des employeurs contraignent leur employées à choisir entre l’avortement et leur emploi, entre la vie de leur enfant et un salaire, comme c’est le cas dans des compagnies aériennes en Irlande. Là où l'avortement est permis ou toléré, il devient vite obligatoire. Extrait du The Irish Times :
Selon le président de l'Irish Air Line Pilots' Association (IALPA), certaines femmes pilotes de compagnies aériennes enregistrées en Irlande se font dire qu'elles ont le choix entre mettre fin à leur grossesse [avortement] ou à leur emploi [renvoi].
Le Capitaine Evan Cullen a déclaré lors d'une enquête d'un Comité de l'Oireachtas sur le faux travail indépendant qui concerne environ la moitié des pilotes, travaillant dans des compagnies aériennes immatriculées en Irlande, ayant été engagés comme travailleurs indépendants.
Il a déclaré que toutes les compagnies aériennes immatriculées en Irlande participaient dans une certaine mesure à l'emploi de travailleurs en tant que travailleurs indépendants pour de nombreuses compagnies aériennes internationales, qui n'avaient "pas de noms connus", des entreprises s'implantant ici et s'enregistrant pour tirer profit de la loi sur le travail en Irlande.
Pour les pilotes, il y a eu des répercussions sur les salaires, les indemnités de maladie, la couverture de maternité et les pensions, ainsi que sur les négociations collectives et autres droits.
Le Capitaine Cullen a déclaré à la commission de l'emploi et de la protection sociale que de nombreux pilotes avaient peur de s'exprimer.
Il a déclaré qu'on disait aux femmes pilotes de ne pas tomber enceintes et qu'on disait aux femmes pilotes qui se présentaient étant enceintes : « vous avez le choix, vous mettez fin à votre emploi ou à votre grossesse ».
L’Église, le monde et la pédophilie
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info) — Photo : George Hodan/PublicDomainPictures
La majorité des crimes pédophiles commis dans la société sont liés à l’inceste et ont pour auteurs des membres de la famille de l’enfant ou des proches. Ainsi, un rapport publié en 2008 par le Réseau irlandais de crise sur les viols (RCNI) relève que 50,8 % des agresseurs sont des parents, 34 % des voisins et amis et 3,4 % des figures d’autorité (prêtre, instituteur…).
Église et pédophilie – La paille qui dissimule la poutre
Certes, les statistiques ministérielles remettent l’Église au milieu du village. Mais que l’on cherche « pédophilie » sur le web et immanquablement, Google vous renvoie à une vieille affaire de caresses en soutane. De quoi alimenter le fantasme que l’attirance pour les enfants serait avant tout le fait du clergé. Et comme apparemment, l’Église ne trouve rien de mieux que « tendre l’autre joue », cette image s’installe insidieusement dans l’inconscient collectif, occultant l’immonde réalité sociale et culturelle de cette déviance et surtout laissant les enfants à la merci des prédateurs. La paille dissimule la poutre. Pourquoi cette stigmatisation systématique ? Pourquoi aujourd’hui ? A qui profite l’intox ? Où sont les pédocriminels ? Il est permis de s’interroger.
Faut-il se taire quand les prêtres et religieux sont calomniés, et avec eux tous les catholiques et sympathisants, jusqu’à la « repentance » de l’Église Universelle arrachée au Pape François ? Quelle imprudence face à la déliquescence morale du Vieux monde, surtout quand une idéologie politico-religieuse venue d’Arabie prétend combler le vide spirituel organisé !
Toutes les sources utilisées pour refuser de garder le silence proviennent de l’Observatoire national de la protection de l’enfance, des ministères de l’Éducation nationale, de l’Intérieur, de la Justice, de l’Éducation nationale, de la Conférence des Évêques de France via l’AFP.
Un phénomène mineur dans l’Église contrairement aux autres institutions en rapport avec des enfants.
Les statistiques officielles (cf. encadré) révèlent que 31 % des agressions sexuelles de mineurs se produisent dans l’environnement familial, mais rien sur les 69 % restant. De la pédophilie isolée du paumé, jusqu’au satanisme en bande organisée de notables, en passant par les réseaux pédocriminels et lobby pro-pédophile, ces grands malades peuvent être partout où se trouvent des enfants.
57 radiations de l’Éducation nationale pour pédophilie actuelle en 2 ans (2015 et 2016) sur 1 132 700 personnels de l’EN. Le Monde.
46 clercs condamnés pour pédophilie dans les années 70/80/90 sur l’effectif de 50 000 de cette époque et en 70 ans (du plus vieux en 1948 à aujourd’hui). Rien trouvé depuis 20 à 30 ans malgré la parole libérée. Le Monde.
Dates et détails des faits sont tus.