Les pro-avortement préoccupés par la « désinformation »
Photo : asier relampangoestudio/Freepik
Deux nouvelles cette semaine ressortent plus que les autres. La première, c’est l’allocation de 1,4 million à des groupes « pro-choix » (de l’avortement) du Québec par la ministre Martine Biron, responsable de la condition féminine. C’est un aveu d’inquiétude de leur part, car ils visent ainsi à contrer la « désinformation » des groupes comme Campagne Québec-Vie, qui n’hésitent pas à parler franchement au public concernant l’avortement, ce qu’il est et ses conséquences sur les personnes et la société.
Deuxième nouvelle, le gouvernement fédéral a décidé d’attendre encore un certain temps avant de permettre l’euthanasie des personnes aux prises avec des troubles mentaux. C’est une bonne nouvelle qu’ils ont décidé de ralentir leur destructive hâte à dépénaliser le suicide assisté, mais ils démontrent néanmoins une grande volonté d’implanter cette terrible mesure.
Finalement, notre événement Étudiants pour la Vie Montréal fut un franc succès. Merci à l’organisateur principal, Brian Jenkins, pour son travail !
Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie
35 ans d’existence ça se fête ! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité : nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l’église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV ainsi que le Dr Paul Saba, récipiendaire cette année du prix Gilles Grondin, pour activiste québécois pro-vie exceptionnel. Soyez des nôtres ! Les portes ouvrent à partir de 16 h 30, le souper commence vers 17 h 30.
Les billets sont de 30 $ chacun et peuvent être achetés en ligne ou par téléphone : 1-855-996-2686 ou (514) 344-2686.
Colloque le samedi, 2 mars à Lévis -- Préparer la société chrétienne de demain
Un colloque est organisé pour le samedi, 2 mars à Lévis, de 10 h 30 à 12 h 30. Trois intervenants montreront trois facettes d’une future société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle : Le Dr Jean-Claude Dupuis, historien, présentera l’économiste catholique et François-Albert Angers (1909-2003), Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de CQV parlera de son voyage en Hongrie, ce pays de l’Europe centrale qui défend la culture chrétienne et la vie, de la conception à la mort naturelle. Finalement, Georges Buscemi, président de CQV parlera de la façon dont la première Marche pour la vie à Québec pourrait servir de bougie d’allumage pour une culture de vie ici au Québec et au Canada.
Où : Auditorium de l’école Sainte-Famille, 10425 bd Guillaume-Couture, Lévis, QC G6V 9R6.
Heure : 10 h 30, après la messe du 1er samedi du mois (qui débute à 7 h 45, avec chapelet à 7 h 15)
Café, beignes et autres seront servis. Vous êtes invité à donner ce que vous pouvez à l’entrée.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
Un voyage profitable pour notre mouvement
Jeudi passé je me suis rendu aux États-Unis pour la Marche pour la vie à Washington D.C. En compagnie d’animateurs du média québécois alternatif Théovox, Jean-François Denis et son épouse Nancy, j’ai observé avec vif intérêt le déroulement de cette marche annuelle pour la vie, où, selon mon estimé, près de 100 000 personnes se sont rassemblées cette année pour défendre l’enfant à naître.
Notre but principal était d’étudier l’organisation et le déroulement de la Marche, pour pouvoir ainsi mieux organiser notre propre Marche pour la Vie québécoise, qui se déroulera, cette année, à Québec, le samedi 1er juin. Inscrivez la date du 1er juin dans vos agendas, dès maintenant !
Marche pour la vie à Québec
Une première historique
Le samedi, 1er juin devant l’assemblée nationale (fontaine de tourny)
Rassemblement à partir de 11h
Discours à 12h
Marche dans les rues de Québec 13h
Nous avons tourné des entretiens et avons pris beaucoup d’images de la Marche à Washington, que vous pouvez voir en suivant le lien : https://www.cqv.qc.ca/washington2024
Également, nous avons pris du temps pour planifier certains éléments de notre future Marche ainsi que la promotion de celle-ci dans les semaines à venir. Bref, nous avons passé des journées très remplies de bons souvenirs et d’échanges fort utiles.
Également à Washington, j’ai passé plusieurs heures en compagnie d’un groupe de documentaristes dont la réalisatrice, Léa Claremont-Dion, est mère de deux enfants et associée de recherche postdoctorale à l’Université Concordia. Son documentaire, tourné pour le compte de Télé-Québec et dont la date de parution est prévue pour l’automne 2024, portera sur l’effet, au Québec et au Canada, de l’arrêt Dobbs, cette décision de 2022 de la Cour suprême des États-Unis qui affirme que l’avortement n’est pas un droit et qui permet désormais à chaque état des États-Unis de légiférer comme bon lui semble en la matière.
Nous avons passé plus d’une heure en entretien et l’équipe me suivit dans les rues de Washington DC. et à mon hôtel. Sachant que Mme Claremont-Dion était doctorante et avait un vif intérêt en philosophie et dans les questions de justice sociale, je lui ai donné en cadeau le livre La dernière superstition, traduit par nos soins. Me doutant qu’elle serait plutôt en faveur de la légalisation de l’avortement, j’espère que notre entretien ainsi que la lecture de ce livre magistral et éclairant sur plusieurs points lui donnera de quoi remettre en question certaines de ses convictions.
Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie
35 ans d’existence ça se fête ! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité : nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l’église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV ainsi que le Dr Paul Saba, récipiendaire cette année du prix Gilles Grondin, pour activiste québécois pro-vie exceptionnel. Soyez des nôtres !
Rappel: Étudiants pour la vie -- ce vendredi 26 janvier !
Un événement Étudiants pour la vie organisé par Campagne Québec-Vie se tiendra aux bureaux de CQV (3330 rue Rivier, Montréal, H1W3Z9) le vendredi 26 janvier, avec Brian Jenkins, responsable de notre division d'aide à la grossesse "Enceinte et inquiète", Johanne De Verteuil, qui s'occupe également d'aide à la grossesse dans la région de Drummondville, ainsi que Blaise Alleyne du Centre Canadien pour la Réforme en bioéthique et Katie Somers du Toronto Right to Life. Le tout débutera à 17 h. De la pizza sera servie. Un montant nominal pour compenser les coûts sera apprécié.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
P.S. Je vous encourage à lire les « péripéties » de mon collègue Arpad Nagy, directeur des opérations politiques, qui a écrit ici un article sur une partie de sa visite en Hongrie, qui a pour but de réseauter avec des acteurs du milieu pro-vie et pro-famille de ce pays à la fine pointe de la résistance chrétienne pro-vie dans le monde.
Lire la suiteUne première Marche pour la vie à Québec pour le printemps prochain
Mélanie Lachance, malade d'un cancer tenace, est décédée par euthanasie le 13 janvier. Merci de lire notre article sur cette tragédie hautement médiatisée et prions pour elle et ses proches.
Rappel: Étudiants pour la vie -- le vendredi 26 janvier !
Un événement Étudiants pour la vie organisé par Campagne Québec-Vie se tiendra aux bureaux de CQV (3330 rue Rivier, Montréal, H1W3Z9) le vendredi 26 janvier, avec Brian Jenkins, responsable de notre division d'aide à la grossesse "Enceinte et inquiète", Johanne De Verteuil, qui s'occupe également d'aide à la grossesse dans la région de Drummondville, ainsi que Blaise Alleyne du Centre Canadien pour la Réforme en bioéthique et Katie Somers du Toronto Right to Life. Le tout débutera à 17 h. De la pizza sera servie. Un montant nominal pour compenser les coûts sera apprécié.
Marche pour la vie à Washington D.C.
Un contingent du Québec se rendra demain à Washington D. C. pour la Marche pour la vie du 19 janvier. J'irai moi-même avec 2 personnes pour participer à cette énorme marche pour le droit à la vie des enfants à naître visés par l'avortement. C'est une étude qui nous permettra d'implanter d'autant mieux une première Marche pour la Vie au Québec !
Marche pour la vie à Québec -- le samedi 1er juin 2024
Mettez cette première Marche pour la vie au Québec à votre calendrier dès maintenant ! Nous organisons la première Marche pour la vie au Québec. Elle partira de devant l'Assemblée nationale à Québec vers midi, le 1er juin 2024. Plus de détails et bien de belles surprises suivront, sous peu!
Souper du 35e anniversaire de Campagne Québec-Vie
35 ans d'existence ça se fête! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité: nous tiendrons un souper pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l'église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV et d'autres invités spéciaux. Soyez des nôtres !
Les péripéties d'Arpad
Notre collègue Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de Campagne Québec-Vie, sera sous peu en France (pour la Marche pour la vie à Paris et pour des rencontres avec des pro-vie d'Europe) et est présentement en Hongrie, pour mieux connaître le secret des succès du gouvernement Hongrois en matière de foi, famille et vie. Arpad étant lui-même d'origine hongroise, nous espérons qu'il pourra recueillir un maximum d'informations et de contacts utiles pour mener à bien notre combat ici, au Québec et au Canada.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
S’il vous plaît — priez pour Mélanie Lachance
Mélanie Lachance, malade d'un cancer tenace, a décidé de se donner la mort par euthanasie demain, le 13 janvier 2024. Merci de lire notre article sur cette terrible situation et surtout, merci de prier pour elle pour qu'elle reçoive la lumière et le réconfort nécessaires pour revenir sur sa décision.
Étudiants pour la vie -- le vendredi 26 janvier !
Un événement Étudiants pour la vie organisé par Campagne Québec-Vie se tiendra aux bureaux de CQV (3330 rue Rivier, Montréal, H1W3Z9) le vendredi 26 janvier, avec Brian Jenkins, responsable de notre division d'aide à la grossesse "Enceinte et inquiète", Johanne De Verteuil, qui s'occupe également d'aide à la grossesse dans la région de Drummondville, ainsi que Blaise Alleyne du Centre Canadien pour la Réforme en bioéthique et Katie Somers du Toronto Right to Life. Le tout débutera à 17 h. De la pizza sera servie. Un montant nominal pour compenser les coûts sera apprécié.
Marche pour la vie à Washington D.C.
Un contingent du Québec se rendra à la Marche pour la vie à Washington D. C. la semaine prochaine. J'irai moi-même avec 2 personnes pour participer à cette énorme marche pour le droit à la vie des enfants à naître visés par l'avortement. C'est une étude qui nous permettra d'implanter d'autant mieux une première Marche pour la Vie au Québec !
Marche pour la vie à Québec -- le samedi 1er juin 2024
Mettez cette première Marche pour la vie au Québec à votre calendrier dès maintenant ! Nous organisons la première Marche pour la vie au Québec. Elle partira de devant l'Assemblée nationale à Québec vers midi, le 1er juin 2024. Plus de détails et bien de belles surprises suivront, sous peu!
Souper du 35e anniversaire de Camapgne Québec-Vie
35 ans d'existence ça se fête! Cela fait depuis 1989 que Campagne Québec-Vie se bat pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle. Venez fêter en famille avec nous, en toute simplicité: nous tiendrons un souper spaghetti pour notre 35e anniversaire le samedi 24 février 2024 à la salle de l'église Saint-Ambroise à Montréal (porte latérale située sur la rue de Normandville, église située au 1215 rue Beaubien E, Montréal, QC H2S 1T8) avec nul autre que le président de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson, et moi-même, Georges Buscemi, président du CQV et d'autres invités spéciaux. Soyez des nôtres !
Les péripéties d'Arpad
Notre collègue Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de Campagne Québec-Vie, sera en France (pour la Marche pour la vie à Paris et pour des rencontres avec des pro-vie d'Europe) et en Hongrie, pour mieux connaître le secret des succès du gouvernement Hongrois en matière de foi, famille et vie. Arpad étant lui-même d'origine hongroise, nous espérons qu'il pourra recueillir un maximum d'informations et de contacts utiles pour mener à bien notre combat ici, au Québec et au Canada.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
Nos articles les meilleurs et les plus populaires de 2023
Adoration des bergers par Anton Raphael Meng. — Photo : Plum leaves/Flickr
En cette fin d’année 2023, Campagne Québec-Vie vous souhaite un très joyeux temps de Noël et une bonne année 2024.
Puissions-nous en ce jour des Saints-Innocents nous réjouir avec ces petits martyrs de la gloire du Christ, et être inspirés par leur souvenir de continuer le combat pour l'enfant à naître.
Ci-dessous, je vous présente une sélection d’articles de l’année 2023.
Au passage, CQV est en vacances jusqu’au 2 janvier 2024.
Joyeux Noël,
Augustin Hamilton,
Responsable du site de nouvelles
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Un exemple parfait d'archarnement pro-euthanasie
Cette semaine nous constatons l'acharnement pro-euthanasie du gouvernement de Colombie-Britannique qui, lorsqu'il a vu qu'un hôpital catholique refusait de commettre l'euthanasie dans ses locaux, a exproprié un terrain adjacent à l'hôpital et décida de bâtir une clinique de mort avoisinant l'hôpital pro-vie! C'est surtout la première nouvelle qui nous préoccupe au plus haut point: les politiciens du Canada sont encore à se bousculer devant le public québécois pour signaler leur accord avec l'avortement. Nous à Campagne Québec-Vie sommes ici pour dire « non, au Québec nous ne sommes pas tous pour l'avortement, c'est à dire la mise-à-mort de vies humaines innocentes.»
Aussi, nous avons besoin de votre soutien pour continuer notre service de nouvelles dans l’année qui vient. Merci de donner généreusement à notre campagne de financement.
À date nous avons recueillis 8,340$. Un grand merci à tous ceux qui ont déjà donné. Cependant, le temps presse, Noël arrive à grand pas, et il nous reste un peu plus de 6,500$ à trouver. Merci de nous aider !
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
Empêcher les mères d'emprunter le tapis roulant de l'avortement
Photo : Freepik
Une chose importante que nous faisons pour défendre la vie de la conception à la mort naturelle est d’aider les mères enceintes en difficulté à mener leur bébé à terme.
Au Québec, la plupart des femmes confrontées à une grossesse imprévue se rendent consciencieusement au CLSC local et, la plupart du temps, sont placées sur un tapis roulant virtuel menant à l’avortement. Notre objectif est de détourner le plus grand nombre possible de femmes des soins de santé de l’État et de les confier à des personnes de confiance qui se battront pour le bien-être de la mère et de l’enfant.
C’est pourquoi nous avons créé « Enceinte et inquiète » il y a plus de dix ans. Contrairement à la plupart des associations caritatives qui, pour conserver leur financement public, doivent marcher sur des œufs lorsqu’elles offrent des services au public (ce qui signifie éviter tout sujet même vaguement controversé, l’avortement étant l’un des sujets les plus controversés), Enceinte et inquiète est résolument pro-vie dans son approche de l’aide aux femmes. Nous n’avons pas peur d’être « révélés » comme étant pro-vie et de perdre les subventions gouvernementales et autres largesses de l’État, puisque nous n’avons jamais reçu un centime du gouvernement et n’avons jamais eu l’intention de le faire, tant qu’il reste favorable à l’avortement.
Nous recevons des appels à l’aide par l’intermédiaire de notre ligne téléphonique gratuite (1-855-871-4442) ou de notre site web (www.enceinteinquiete.org). Les besoins vont de l’accouchement sans assurance maladie à la grossesse chez les adolescentes, en passant par l’aide à la recherche d’un logement, les problèmes de violence et tout le reste.
Les dernières semaines ont été particulièrement chargées, avec jusqu’à 8 cas traités en même temps par mon collègue Brian et son équipe croissante de femmes bénévoles. Notre travail consiste principalement à orienter les personnes vers des organisations dignes de confiance qui leur fournissent de la nourriture, un logement et des conseils, ainsi qu’à les aider à trouver diverses subventions ou programmes gouvernementaux.
Nous nous battons littéralement pour la vie des bébés et de leurs mères, et notre victoire dépend dans une large mesure de notre capacité à être vus ou entendus. Le gouvernement dispose déjà d’un réseau très bien établi de CLSCs. Pour pouvoir détourner les femmes de ces cliniques pro-avortement, nous devons faire de la publicité sur les médias sociaux et par d’autres moyens. Nous avons également besoin de fonds pour maintenir notre présence en ligne et notre ligne d’assistance téléphonique gratuite. Enfin, nous avons besoin de personnel pour superviser les bénévoles qui répondent aux appels et assurent le suivi des femmes.
Nous menons le combat de notre vie. Pouvez-vous nous aider à aider les femmes qui vivent une grossesse difficile ?
Nous sommes actuellement au milieu de notre campagne de financement de l’Avent ; nous visons à recueillir 15 000 $. Jusqu’à présent, nous avons reçu 5 719 $, et nous en sommes très reconnaissants. Cependant, il nous reste 9 281 $ à collecter avant la fin du jour de Noël. Le temps presse. Si vous le pouvez, donnez aujourd’hui de façon sacrificielle !
Que Dieu vous bénisse,
Georges Buscemi
Voici comment nous défendrons la vie au Québec en 2024
Photo : freepic.diller/Freepik
Hier, nous avons reçu une nouvelle qui résume les défis particulièrement québécois auxquels nous faisons face en tant que groupe pro-vie ici au Québec.
L’autre jour, un sondeur commentait comment Pierre Poilievre et le Parti conservateur du Canada (PCC) montaient dans les sondages partout au pays, mais pas encore au Québec, où le PCC est toujours derrière le Bloc et le Parti libéral.
Le sondeur a ensuite fait remarquer que les conservateurs avaient un fort potentiel au Québec, mais qu’ils avaient besoin d’un bon « lieutenant québécois », une personne capable de vendre la marque du PCC aux Québécois, en traduisant la politique non seulement en français, mais aussi en la présentant d’une manière que les Québécois comprennent et avec laquelle ils ont de l’empathie.
Je me suis immédiatement dit « C’est une grande gifle au visage de l’actuel lieutenant officiel du PCC au Québec, le député Pierre-Paul Hus, » qui ne fait manifestement pas son travail, selon l’enquêteur. Je me suis dit que le PCC, s’il avait compris le message du sondeur, devait chercher quelqu’un d’autre que Pierre-Paul Hus, quelqu’un de centré sur Montréal, quelqu’un qui pourrait s’adresser à de nouveaux groupes démographiques.
Et tout à coup, à point nommé, hier Anaida Poilievre, l’épouse de Pierre Poilievre (qui a grandi dans l’est de Montréal après avoir émigré du Venezuela au Canada avec sa famille), est apparue à la télévision québécoise pour vendre le PCC aux Québécois. Voilà une femme plus jeune, à la peau plus foncée, élevée à Montréal, qui devient le « lieutenant » du PCC au Québec, exactement ce que le sondeur avait demandé quelques jours plus tôt.
Et maintenant : quel était son message ? Comment allait-elle vendre le PCC aux Québécois ?
Elle a déclaré ce qui suit : « Nous [elle et son mari Pierre] sommes pro-choix. Nous nous sommes prononcés sur cette question. Je suis une femme du Québec, j’ai grandi ici. Et ça fait partie de mes valeurs ».
Cette interview a été réalisée par TVA, l’une des chaînes d’information les plus regardées du Québec. Si vous regardez la vidéo, les monteurs vidéo, lorsqu’Anaida mentionne l’avortement, coupent à un autre plan (ce que l’on appelle dans l’industrie le b-roll) où l’on voit le visage d’Anaida sous une croix fixée sur le mur extérieur de ce qui semble être une école voisine (la plupart des écoles du Québec, lorsqu’elles ont été construites à l’origine, étaient catholiques et avaient des croix fixées sur leurs murs extérieurs. Depuis, le système scolaire catholique a été aboli au Québec, mais de nombreuses écoles ont conservé les croix, pour des raisons qui demeurent mystérieuses).
Le message était clair : Anaida et Pierre Poilievre ne sont pas des « religieux pro-vie », du genre de ceux qui ont « opprimé » les Québécois dans le passé pendant ce qu’on appelle communément dans la province La Grande noirceur, cette période allant de 1944 à 1960 où le gouvernement était chrétien et où les familles avaient généralement plusieurs enfants.
Voilà, en résumé, le problème auquel les pro-vie sont confrontés au Québec : la société québécoise a abandonné des éléments clés de son passé, ceux-là mêmes qui lui ont permis d’exister aujourd’hui. En effet, sans les très grandes familles qui peuplaient le Québec, ainsi que leur piété et leur ténacité au fil des décennies, il n’y aurait tout simplement pas de Québec francophone à proprement parler aujourd’hui.
Dans cette vidéo, nous voyons dans toute sa laideur l’ingratitude adolescente et narcissique envers tous les bienfaits que Dieu a conférés à la nation québécoise jusqu’en 1960 quand, comme l’enfant prodigue de la parabole, le Québec a décidé collectivement de « quitter la maison du Père », c’est-à-dire de vivre sans Dieu, comme s’il n’existait pas.
Aujourd’hui, avec un taux de fécondité de 1,49 enfant par femme (et ce chiffre est certainement beaucoup plus bas si l’on exclut les enfants des mères récemment immigrées au Québec) et 20 à 25 000 avortements par année, les Québécois vont-ils enfin admettre leur pauvreté spirituelle et morale et leur besoin de Dieu ? Ou bien vont-ils persévérer dans leur refus orgueilleux et obstiné de la réalité, jusqu’à ce qu’ils disparaissent ou deviennent largement insignifiants ?
C’est ici qu’intervient Campagne Québec-Vie.
Dans quelques semaines, le 18 janvier, je me rendrai à Washington DC. avec deux réalisateurs de Théovox, un média alternatif québécois. Nous nous imprégnerons de l’atmosphère pro-vie de la Marche pour la vie qui attire chaque année des centaines de milliers de manifestants. Cette marche annuelle a indéniablement joué un rôle dans le renversement historique de la décision de la Cour suprême Roe c. Wade qui, en 1973, a contraint les États américains à autoriser la plupart des avortements.
La raison principale de notre visite est simple : nous voulons apporter au Québec l’esprit qui a permis aux États-Unis de surmonter un obstacle majeur en vue de réaliser l’objectif de faire de leur pays un pays sans avortement. En d’autres termes, nous croyons qu’il faut lancer une Marche pour la vie au Québec, et ce processus commence par le fait de voir comment se déroule la référence en la matière.
Par ailleurs, comme je l’ai déjà mentionné, la télévision publique québécoise tournera un documentaire sur le renversement de la décision Roe et son impact possible sur le Québec. Je viens de recevoir un appel ce matin confirmant qu’ils seront présents à la Marche de Washington et qu’ils nous intervieweront, ainsi que d’autres pro-vie, lors de la Marche de Washington.
Et ce que j’ai dit au chercheur de la télévision publique québécoise, je vais vous le dire maintenant : l’expérience acquise lors de la Marche de Washington nous permettra d’organiser la TOUTE PREMIÈRE Marche pour la vie du Québec qui, si Dieu le veut, aura lieu dans la ville de Québec le samedi 1er juin 2024.
Transformer une culture moribonde, frappée par l’avortement, en une culture de la vie nécessite des événements qui insufflent littéralement de la vie dans le corps politique. Les Québécois ont besoin de voir que le mouvement Pro-Vie est l’avenir, et pas seulement le passé. Ils ont besoin de voir que Dieu est au-devant d’eux, les appelant à une vie familiale, sociale et nationale épanouie et lumineuse, et non pas derrière eux, les rappelant à la soi-disant « grande noirceur » dont ils entendent si souvent la propagande dans leurs écoles publiques athées financées par l’État.
Ma question est la suivante : allez-vous nous aider ? Allez-vous d’abord prier pour que le cœur des Québécois devienne réceptif à notre message de vie et d’espoir ? Allez-vous prier pour que notre toute première Marche pour la vie au Québec soit un succès ? Enfin, nous donnerez-vous les moyens de continuer à travailler au Québec pour la vie, jour après jour, en faisant un don à la collecte de fonds du temps de l’Avent ?
Nous sommes à 10 jours de Noël et il nous reste un peu plus de 11 000 $ à amasser. Nous remercions tous les donateurs qui ont donné jusqu’à présent. À ceux qui ont attendu jusqu’à maintenant, veuillez donner aujourd’hui.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
P.S. Même si vous vivez à l’extérieur de la province, la ville de Québec est un endroit merveilleux à visiter. Inscrivez le 1er juin 2024 sur votre calendrier comme date possible de vacances et faites-vous un devoir de participer à la toute première Marche pour la vie du Québec. Il s’agit littéralement d’un événement historique, qui pourrait marquer une première étape dans l’exorcisation du ressentiment du Québec à l’égard de son passé chrétien et pro-vie.
La presse au service du Bien
Photo : sebra/Adobe Stock
Je me présente Augustin Hamilton, responsable du site de nouvelles. Cela fait six ans que je publie quotidiennement des articles sur le site de CQV pour fournir des arguments aux partisans de la vie, pour convaincre les pro-avortement, pour apporter de l’espoir ou pour rectifier le récit médiatique ambiant.
Plus concrètement, ma tâche se résume à la recherche d’articles sur divers sites internet, à la traduction d’articles de l’anglais au français, à la révision, à la rédaction, à la reproduction d’articles que certains sites nous autorisent aimablement à réutiliser, à publier enfin des textes de membres de CQV ou de sympathisants. Je participe également à la préparation des courriels hebdomadaires, que j’ai parfois l’heur de rédiger comme aujourd’hui. Je dois également illustrer les articles avec des images gratuites, ce qui, je vous le garantis, n’est pas une tâche aisée…
Nous traduisons annuellement, principalement par les soins de notre traductrice Dominique, près de 700 textes et articles (bulletin de la Coalition nationale pour la Vie inclus).
J’écris pour ma part une quarantaine d’articles dans l’année, surtout sur les affaires québécoises et canadiennes.
Nous avons également publié quelques dizaines d’articles originaux, de lettres de sympathisants et d’articles reproduits
Nous avons besoin de votre soutien pour continuer notre œuvre dans l’année qui vient. Merci de donner généreusement à notre campagne de financement, nous espérons récolter 15 000 $ d’ici le 25 décembre.
« Ce serait une étrange aberration que de vouloir consacrer sa vie aux œuvres d’apostolat, si l’on ne mettait le journalisme catholique au premier rang des instruments nécessaires et les plus efficaces. » — Mgr Philippe Perrier, La puissance de la presse et sa mission, 1941.
En 1941, déjà, l’on connaissait l’effet de la presse sur l’opinion et les mœurs. Mgr Philippe Perrier, alors vicaire général du diocèse de Montréal, reprenait les mots du Pape Pie XI pour en souligner l’importance : « “La presse, a dit Pie XI aux journalistes espagnols, est devenue aujourd’hui une puissance souveraine.” Puissance pour le bien, puissance aussi, malheureusement, pour le mal. »
Et combien cette puissance a dû gagner en force avec la diffusion de la télévision et de l’internet ! Pour le bien, sans doute, mais davantage pour le mal comme nous pouvons le voir au Québec, où tous les grands médias promeuvent éhontément l’avortement et nombre d’autres vices.
À Campagne Québec-Vie, notre œuvre d’apostolat, éminemment chrétienne, est de mettre fin au meurtre brutal des enfants à naître. Il serait illusoire de vouloir renverser cette situation si nous n’exercions pas quelque forme de journalisme !
Merci de donner ce que vous pouvez -- nous sommes à deux semaines de la fin de notre campagne de financement du temps de l'Avent; déjà nous avons recueillis 2257$, il nous reste maintenant 12,743$ à trouver. Merci de nous aider !
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
Une « initiative du siècle » chrétienne
Photo : Adobe Stock
L’autre jour, j’ai reçu un courriel de Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada (PPC), qui expliquait longuement comment le Parti conservateur du Canada (PCC) n’avait pas le courage de parler de l’impact des 500 000 immigrants annuels sur l’infrastructure, le logement, l’éducation et les soins de santé du pays. Selon M. Bernier, le PCC doit se taire sur les conséquences désastreuses de l’immigration, de peur d’être diabolisé par les libéraux qui le qualifieraient de « raciste » lors des prochaines élections et de perdre ainsi toute chance de gouverner le pays.
Ce que Bernier lui-même n’a pas mentionné, ce sont les raisons pour lesquelles le Canada a tant besoin de l’immigration : avec 1,3 bébé par femme (le taux de fertilité le plus bas de notre histoire), le Canada n’a plus le nombre de travailleurs dont il a besoin pour payer les services requis par une population vieillissante. En outre, l’immigration n’est qu’une solution de fortune : bien qu’elle augmente le nombre de travailleurs, elle ne réduit pas vraiment l’âge moyen du pays d’accueil, les immigrants arrivant généralement avec leurs parents âgés et d’autres membres adultes de leur famille. De plus, les immigrants sont généralement moins productifs que les Canadiens de naissance, car il leur faut de nombreuses années pour apprendre la langue, les coutumes et les compétences nécessaires pour travailler de manière productive. Enfin, nous n’avons même pas mentionné la pratique moralement discutable des nations du premier monde qui embauchent les meilleurs et les plus brillants des autres pays, ne laissant à ces derniers que les plus pauvres et les moins employables pour gérer les affaires à la maison.
Ce dont un pays a réellement besoin, c’est de bébés, c’est-à-dire de personnes qui, une fois devenues adultes, connaissent le pays et sont prêtes à apporter leur contribution. Mais où sont-ils ? Nous avons ici une information politiquement incorrecte que même le PPC n’ose pas évoquer trop souvent, à savoir que l’avortement tue environ 100 000 bébés par an et que, en supposant que les conditions socio-économiques soient à peu près les mêmes au Canada depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, la contraception et la stérilisation empêchent chaque année la conception de 400 000 autres bébés. En additionnant ces deux chiffres, on obtient 500 000 Canadiens « disparus » par an, soit presque exactement le nombre que nous « importons » par le biais de l’immigration ! En d’autres termes, sans la généralisation de l’avortement et de la contraception, le taux de fécondité du Canada serait d’environ 3,5 enfants par femme, et le Canada pourrait facilement atteindre 100 millions d’habitants d’ici 2100, sans aucune immigration.
Les effets de l’avortement et de la contraception sur notre pays sont bien réels. Ces deux monstres sapent les forces vives de notre pays et conduisent à sa dissolution. Et c’est là que nous arrivons à une deuxième vérité impopulaire pour retrouver le chemin de la prospérité en tant que nation : les incitations financières pour les familles n’ont qu’un effet très limité sur les taux de reproduction des nations qui mettent en œuvre ce type de politiques. Ce n’est pas en jetant de l’argent sur le problème que l’on y parviendra. L’utilisation de la contraception doit être réduite et l’avortement doit être proscrit comme le meurtre qu’il est. Mais pour cela, il faudrait que le Canada revienne à son « premier amour » : il faudrait qu’il redevienne chrétien.
Une « initiative du siècle » chrétienne
Récemment, des chefs d’entreprise, des investisseurs et des responsables d’organisations à but non lucratif canadiens de haut niveau ont créé un site web et une organisation caritative appelés « Initiative du siècle ». Ils y promeuvent l’immigration de masse et certaines politiques favorables à la famille comme moyens d’augmenter la population du Canada à 100 millions d’habitants d’ici 2100. Ces « élites » du monde des affaires et de la philanthropie canadienne reconnaissent qu’un pays comme le Canada a besoin d’une population plus importante pour maintenir son statut international et sa prospérité économique à l’intérieur du pays. Ce qu’elles ne reconnaissent pas, ou ne veulent pas reconnaître, c’est que l’idéologie laïque promue par la gauche « progressiste » au cours des dernières décennies a créé les conditions qui ont conduit à notre hiver démographique. Les individus isolés qui vivent dans un monde vide de sens ne s’engageront pas à faire les sacrifices nécessaires pour se marier et fonder une famille. Ils sont plus susceptibles d’adopter la maxime des hédonistes : « Mangez, buvez et soyez joyeux, car demain nous mourrons ». Cette idéologie laïciste empoisonne toutes nos institutions, y compris nos écoles, qui transforment nos jeunes en jouisseurs contraceptifs et avorteurs.
Nous avons donc besoin d’une « initiative de siècle » chrétienne, mettant Dieu au centre de nos vies et enjoignant le reste du pays à faire de même. À Campagne Québec-Vie, nous savons que la solution que nous proposons n’est pas facile, mais nous savons que c’est la vraie solution. Il ne s’agit pas seulement d’être contre l’avortement (ce qu’il faut être, bien sûr), mais de trouver les choses qui valent la peine d’être aimées, à la source et au sommet desquelles se trouve Dieu. Le perdre de vue, c’est perdre de vue le sens de notre vie, c’est sombrer dans l’hédonisme et la stérilité, dont nous subissons aujourd’hui les terribles effets.
Nous sommes dans le temps de l’Avent, nous attendons la venue du Christ. Malheureusement, aujourd’hui encore, des puissances sont à l’œuvre qui, à l’instar d’Hérode, cherchent à réduire le nombre d’êtres humains dans le monde. Ils prétendent qu’un monde dépeuplé est un monde plus heureux et plus éclairé. Ils mentent ; en réalité, c’est tout le contraire.
À Campagne Québec-Vie, nous nous battons depuis 1989 pour contrer ces attaques contre la vie. C’est littéralement le combat de notre vie. En combattant ces maux, nous annonçons que la seule « vraie politique » qui compte n’est pas le dogme anti-humain de la soi-disant élite de ce monde, mais celle menée par des gens qui craignent Dieu et qui se soucient du bien commun.
S’il vous plaît, donnez généreusement à notre campagne de financement du temps de l'Avent. Nous remercions tous ceux qui ont donné jusqu’à présent. Mais il nous reste encore beaucoup de chemin à parcourir. Notre objectif pour cette campagne, qui se termine le 25 décembre, est de 15 000 dollars.
Pour la Vie,
Georges Buscemi