Un petit trisomique a gagné le concours d’une compagnie célèbre. Malheureusement beaucoup d'handicapés comme lui sont avortés
Cette photo ne représente pas le petit Lucas.
Par John Stonestreet et Stan Guthrie (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
20 février 2018 (BreakPoint) — Un magnifique petit garçon ayant la trisomie 21 a été choisi pour être le bébé Gerber de cette année. C’est une excellente nouvelle. Mais il faut se souvenir que son importance ne vient pas du fait qu’il est mignon!
Depuis les années 1920, le Bébé Gerber est devenu un symbole culturel de la représentation enfantine au dessin à la main. En 2010, la compagnie vendant de la nourriture de bébé a commencé un concours annuel pour trouver de vrais bébés Gerber. Cent quarante mille familles ont participé au concours de cette année-là et le gagnant fut Lucas Warren, alors âgé d’un an. Une fois que vous aurez vu son sourire magnifique, vous comprendrez pourquoi.
En plus d’être l’ambassadeur Gerber — ce qui évidemment n’est pas complètement fidèle à la réalité puisqu’il ne peut pas encore parler — le petit Lucas profite d’un autre honneur. Il est le premier enfant ayant la trisomie 21 à être nommé gagnant.
Lire la suiteMourir dans la dignité ? Repensez-y bien. Vos enfants sont dans le collimateur des militants pro-suicides
Par Jonathon von Maren — traduit par Campagne Québec-Vie
27 octobre 2017 (LifeSiteNews) — Lorsque l’ordre de légaliser l’euthanasie fut donné par la Cour Suprême du Canada, les militants pro-suicide étaient fous de joie. Les gens en état de souffrance extrême, dirent-ils, pourront enfin « mourir dans la dignité » – c’est-à-dire, se tuer. Mais pas seulement. Ils pourront se tuer avec l’aide d’un praticien et l’acte sera de surcroît financé par le gouvernement. C’est une avancée, nous a-t-on dit. Ce droit inaliénable, mais récemment découvert, de ne plus exister était enfin respecté par les tribunaux.
Mais bien entendu, la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté pour les personnes en fin de vie – ou du moins pour ceux dont la mort pouvait être « raisonnablement prévisible », ce qui a permis aux militants Orwelliens d’étiqueter injections létales et assistances au suicide de « soin de fin de vie » – n’a pas suffi. Et cela en dépit du fait que le nombre de personnes ayant eu recours à ce service soit incroyablement élevé : 1982 morts entre le 17 juin 2016 et le 30 juin 2017.
Il n’est pas surprenant de constater à quel point l’acte suicidaire s’est banalisé. Un juge canadien a déjà indiqué qu’un patient n’a pas besoin d’être en phase terminale pour être éligible à sa mort – et l’une des femmes euthanasiées n’avait peut-être qu’une infection urinaire. Il y a eu d’autres morts suspectes. Une femme handicapée a même fait l'objet de pression pour qu'elle accepte l’euthanasie. Personne ne parle de ces cas évidemment. Les dommages collatéraux sont des effets secondaires prévisibles des régimes d’euthanasie. Il y en aura beaucoup, beaucoup plus dans les années à venir.
Lire la suiteTrump blâme les avortements et les infanticides de la Corée du Nord
Kim Jong Un.
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Corée du Sud, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le président Trump blâme les avortements forcés et les infanticides qui sont régulièrement pratiqués en Corée du Nord, demandant pourquoi la Chine devrait se « sentir obligée » d’aider un pays qui tue les bébés chinois parce qu’ils considérés comme étant « inférieurs ».
« Les femmes nord-coréennes sont forcées d'avorter les bébés considérés comme ethniquement inférieurs », a déclaré Trump à l'Assemblée nationale sud-coréenne. « Et si ces bébés sont nés, les nouveau-nés sont assassinés ».
« Le bébé d'une femme, ayant un père chinois a été emporté dans un seau », a rappelé Trump. « Le gardien a dit qu'il ne méritait pas de vivre parce qu'il était impur ».
« Aussi pourquoi est-ce que la Chine devrait-elle se sentir obligée d’aider la Corée du Nord ? » questionna-t-il.
Lire la suiteLa famille d’une petite fille tuée, par son père adoptif gay, affirme qu’elle serait encore en vie si les services sociaux lui en avaient confié la garde
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
L’affaire de la petite Elsie, 18 mois, agressée à de multiples reprises puis tuée par le « père au foyer » au Royaume-Uni, « marié » avec son compagnon qui lui, partait travailler, secoue les médias britanniques alors que Matthew Scully-Hicks, 31 ans, vient d’être condamné à vie avec une peine incompressible de 18 ans. Cette mort atroce aurait pu être évitée si la petite fille avait été confiée à sa grand-mère maternelle qui en avait réclamé la garde devant les tribunaux alors qu’elle avait seulement deux mois. Mme O’Brien avait déjà la garde des frère et sœur d’Elsie, aujourd’hui âgés de 13 et 14 ans. Ses demandes en vue de réunir la petite Elsie avec sa famille avaient été rejetées par les services sociaux et des tribunaux qui jugèrent la grand-mère incapable de faire face. « Elle serait encore en vie », constate, amère, Sian O’Brien.
Elle et sa famille devaient apprendre la mort d’Elsie sept mois seulement après son assassinat en mai 2016 par un homme qui l’a battue à de multiples reprises, traitée de « Satan en babygro », insultée. Il s’est révélé incapable de supporter le comportement d’un enfant de cet âge.
Lire la suiteUn avortement post-naissance ? Une juge laissa partir une jeune femme qui avait noyé son nouveau-né
Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme qui noya son nouveau-né pour qu’elle puisse passer un examen à l’université Kamloops Thompson Rivers n’a eu que deux ans de probation d’une juge de Cour Provinciale, parce qu’elle avait déclaré que ce bébé était le fruit d’un abus sexuel.
Vous pouvez difficilement appeler cela une tape sur le poignet, a dit Jack Fonseca de la Campaign Life Coalition. La même excuse qui est utilisée pour justifier un avortement est maintenant appliquée pour justifier le meurtre d’enfants nouveau-nés. Je pense qu’il est discutable que ce juge soit à décriminaliser le meurtre d’enfants par la porte arrière, par un précédent judiciaire.
Le procureur de la Couronne Will Burrows a dit à la Cour que Courtney Saul qui est maintenant âgée de 19 ans, donna naissance à un garçon qu’elle prénomma Georges Carlos, au matin du 15 décembre dans la salle de bain du sous-sol à son appartement de Kamloops.
Lire la suiteDes infirmières expliquent comment des bébés nés vivants après des avortements sont tués ou abandonnés à leur sort
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Aux États-Unis, la loi sur la protection des bébés nés vivants exige que les avorteurs et le personnel des cliniques procurent des soins médicaux aux enfants nés accidentellement vivants lors d'un avortement. Cependant, Live Action a découvert, grâce à des enquêtes secrètes, que beaucoup d'avorteurs font abstraction de cette loi.
Des bébés naissent vivants après des avortements en Europe aussi. Le Centre européen pour la justice et les droits de l'homme, qui promeut la législation pour protéger ces enfants, a compilé des témoignages d'infirmières et de sages-femmes.
MK, une étudiante infirmière en France nous raconte cette histoire :
Lire la suiteDes sources indiquent que les bébés nés vivants suite à un avortement ne recevront aucune aide du Conseil de l'Europe
De LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Le Comité des ministres du Conseil de l'Europe ne veut pas aborder la question des bébés nés vivants et laissés pour morts ou tués après un avortement tardif non réussi.
Des rapports de personnels médicaux indiquent que plusieurs bébés nés vivants suite à un avortement raté sont « évacués » avec les déchets d'hôpitaux ou laissés pour morts dans une autre chambre d'hôpital ou dans une salle malgré le fait que ces derniers démontrent des signes de vie. D’autres bébés reçoivent une injection létale ou sont tout simplement étouffés.
Des documents fournis à LifeSiteNews démontrent qu'une question écrite venant d’un membre espagnol de l’assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe et soumise au Comité au début de cette année ne recevra aucune réponse, parce que les ministres ne peuvent parvenir à un consensus au sujet de ce que l'on doit faire dans un tel contexte.
Lire la suiteQuelle logique étrange que celle des pro-choix
Par Réal Gaudreault
La logique des gens qui défendent le droit à l’avortement ne cessera jamais de m’étonner. Dans cette vidéo (ci-dessous) un homme nous raconte que seules les femmes ont le droit de décider pour elles-mêmes de se faire avorter ou non. Évidemment, cet homme utilise la rhétorique habituelle des pro-choix. Sauf qu’il y a un petit quelque chose de plus ici qui me donne la nausée. Examinons le contenu de son discours.
Aucune restriction
Ainsi, nous dit-il, ce n’est pas au Gouvernement ni à aucune institution religieuse d’imposer des restrictions aux femmes en matière d’avortement. Mais voilà, la journaliste lui demande si on devrait tout de même limiter le droit à l’avortement au moins pour le dernier mois de grossesse? Non répond-il, ça doit demeurer le choix des femmes même à un mois de l’accouchement. Puis, elle lui demande si une femme pourrait avorter son enfant une seule journée avant sa naissance? Oui dit-il encore, car il faut que ça demeure son choix. Mais alors, lui demande finalement la journaliste, une femme pourrait-elle tuer son bébé même après sa naissance à la limite? Pourquoi pas lui dit-il, puisque c’est encore une fois de plus une décision qui lui revient à elle seule. Wow, wow, et encore wow!!!
Lire la suite« C’est tellement dur. Oh, mon Dieu, tellement dur! » : Quand des bébés naissent vivants après un avortement
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Souvent, quand un bébé est né vivant au cours d’une procédure d’avortement, l’enfant est maintenu dans la clinique d’avortement jusqu’à ce qu’il ou elle meurt. Dans de rares cas, le médecin avorteur prend lui-même des mesures pour tuer l’enfant. Mais parfois, le bébé est transféré dans un hôpital, où il pourrait recevoir des soins médicaux. Malheureusement, c’est la politique de nombreux hôpitaux de laisser simplement ces bébés mourir.
L’infirmière Kathleen Malloy, de Jacksonville (Floride) a été témoin de la mort d’un bébé qui est né après un avortement salin et transféré à son hôpital. Melody Green de Last Days Ministries, cite Malloy dans sa brochure « Les enfants: des choses qu’on jette? ». Kathleen Malloy raconte:
Lire la suite« J’avais travaillé de 11 pm à 7 am, et quand nous n’étions pas occupés, je sortais pour aider avec les nouveau-nés. Une nuit, j’ai vu un berceau en dehors de la pouponnière. Il y avait un bébé dans ce berceau qui pleurait, une petite fille parfaitement formée - mais elle était différente des autres. Elle avait été ébouillantée. Elle était l’enfant d’un avortement salin.
Cette petite fille avait l’air de quelqu’un qu’on aurait mis dans une casserole d’eau bouillante. Aucun médecin, aucune infirmière, pas de parents, pour consoler cette enfant blessée et brûlée. Elle a été laissée seule pour mourir dans la douleur. Ils ne la voulaient pas dans la salle des soins - ils n’ont même pas pris la peine de la couvrir.
J’ai eu honte de ma profession ce soir-là! Il est difficile de croire que cela peut arriver dans nos hôpitaux modernes, mais cela arrive tout le temps. Je croyais qu’un hôpital était un lieu où on soignait les malades - pas un endroit pour tuer.
J’avais demandé à une infirmière d’un autre hôpital ce qu’ils faisaient avec leurs bébés avortés par solution saline. Contrairement à mon hôpital, où le bébé était laissé seul, luttant pour respirer, leur hôpital mettait l’enfant dans un contenant dont on fermait le couvercle. Suffocation! Mort par suffocation! »
L'avorteur a injecté le cerveau de Sarah avec du poison: mais elle ne mourut pas ... avant d'avoir fêté ses cinq ans !
Sarah Brown est née aveugle, avec des lésions cérébrales ... mais néanmoins a réussi à vivre pendant cinq ans. Mais à la fin, l'avortement a réussi à la tuer.
Par l'équipe d'Operation Rescue - traduit par Campagne Québec-Vie
En juillet 1993, une mère de quinze ans est amenée au Health Care Services pour être avortée de sa petite fille aux derniers stages de sa grossesse. La grossesse était tellement avancée que le bébé était déjà en position d'accouchement. N'ayant pas encore maîtrisé la méthode d'avortement par induction, selon les dires, George Tiller ''injecta la tête du bébé à deux endroits, au côté gauche du front au-dessus du sourcil et à la base du crâne, de Chloride de potassium, laissant des marques permanentes de brulûres et des cicatrices des traces d'aiguille.''
Quand la jeune mère retourna le lendemain pour la procédure même de l'avortement, il fut constaté que le bébé n'était pas mort, tel que souhaité, par les injections létales à sa tête. La mère fut envoyée dans un hôpital local où le bébé naquit. Emmitoufflée dans une couverture, elle fut laissée dans une bassine sans surveillance pour y mourir.
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