Une femme révèle avoir tué son enfant handicapé voilà 32 ans
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
La révélation de cet acte hideux et révoltant a soulevé beaucoup d’indignation parmi les internautes. L’auteur de ce geste, Anne Ratier, qui ne mérite pas le doux nom de « mère, » affirmait dans une entrevue qu'elle avait offert la mort à son fils. Voici une forme de pensée euthanasique que nombre de médias soutiennent dans notre société, enrobant de sentimentalisme et d’arguments fallacieux ce qui ne pourra jamais s’appeler autrement que meurtre. Extrait de La Croix :
Trente-deux ans après les faits, une mère annonce publiquement avoir mis fin aux jours de son fils, né lourdement handicapé.
« Je m’appelle Anne Ratier et je vais vous expliquer pourquoi j’ai décidé d’offrir la mort à mon fils Frédéric. » C’est ainsi que vient de s’exprimer dans une vidéo de six minutes sur le compte Twitter du site d’information Konbini cette mère de famille qui, en 1987, a mis fin aux jours de son fils de trois ans, né lourdement handicapé à la suite d’un accouchement difficile. Cette annonce fait suite à la sortie du livre qu’elle a écrit, J’ai offert la mort à mon fils, paru le 13 février dernier chez Ebook Kindle (livre numérique).
Suite à l’accouchement difficile, l’enfant était devenu tétraplégique, ne parlait pas et présentait des troubles mentaux. Nécessitant des soins permanents, il était destiné à passer le reste de sa vie dans un établissement médical spécialisé. Trois ans après, alors qu’il pesait 17 kg, sa mère lui a donné la mort en administrant des médicaments neuroleptiques. Ce qui a engendré un coma puis, trois jours plus tard, la mort.
Le journaliste qui s’est entretenu avec l’assassine en entrevue estime que le délai en France de prescription pour cette sorte de crime est de 30 ans, or comme cela fait 32 ans qu’il a été perpétré, y aura-t-il condamnation ?
Un nourrisson ayant survécu à l’avortement laissé à mourir en criant pendant une heure
Extrait d’un article de LiveActionNews, par Cassy Fiano-Chesser — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
L’industrie de l’avortement ne veut pas admettre que les bébés peuvent survivre à l’avortement. Elle appelle ça un mythe et prétend que ça n’arrive pas, mais c’est le cas. Et ce qui arrive aux bébés survivant à un avortement est effrayant. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans réconfort ni compassion, mais seuls, dans le froid et la douleur. C’est exactement ce qui s'est passé en Pologne, où un bébé atteint du trisomie 21 a été victime d’un avortement raté, puis a été laissé à mourir, pleurant pendant près d’une heure alors que les médecins ne faisaient rien.
Lire la suiteLes médecins et le personnel médical de l’Hôpital Sainte-Famille de Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement raté, d’après les médias locaux qui décrivent la scène horrible.
Le bébé est né le 7 mars 2016 à 24 semaines, après l’échec d’un avortement. L’enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon des témoins, comme l’a rapporté Republika Television.
Le personnel médical n’essaya pas d’aider l’enfant de quelque façon que ce fût.
Le projet de loi sur les survivants de l’avortement n’arrive pas à vaincre l’obstruction au Sénat
Capitole des États-Unis, à Washington.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Martin Falbisoner/Wikimedia Commons
Les démocrates aux États-Unis empêchent le vote d’une loi contre l’infanticide. C’est assez incompréhensible. Dernièrement, ils ralentissaient du mieux qu’ils pouvaient le vote du Born-Alive Abortion Survivors Protection Act au Sénat. Extrait de CNA :
... Le Sénat a voté lundi par 53 voix contre 44 pour invoquer la clôture, mais n’a pas obtenu la majorité des deux tiers nécessaire pour mettre fin à la flibuste [obstruction parlementaire] des sénateurs démocrates.
Le vote suivait presque entièrement les lignes des partis.
[...]
Prenant la parole au Sénat lundi, M. Sasse a exhorté les députés des deux partis à examiner à quel point le projet de loi apporterait peu de changements.
« J’exhorte mes collègues à imaginer un bébé qui est déjà né, qui est à l’extérieur de l’utérus et qui aspire de l’air. C’est la seule chose sur laquelle porte le vote d’aujourd’hui. Nous parlons de bébés qui sont déjà nés. Rien dans ce projet de loi ne touche à l’accès à l’avortement », a dit Mme Sasse.
Le Born-Alive Abortion Survivors Protection Act (Loi sur la protection des survivants d’avortements nés vivants) aurait pénalisé les médecins ou autres professionnels de la santé qui n’offrent pas de soins médicaux aux enfants nés vivants suite à un avortement raté. Le projet de loi ne limite pas le droit à l’avortement.
Plusieurs sénateurs démocrates se sont prononcés contre le projet de loi en affirmant qu’il obligerait les médecins à fournir des soins contre les « droits reproductifs » et les « choix » des femmes.
Le sénateur Mazie Hirono (déléguée d’Hawaï) a qualifié cette mesure de « solution à la recherche d’un problème » et qu’elle pourrait obliger les médecins à fournir des soins « inutiles », voire « préjudiciables » aux patients. Il n’était pas clair si elle parlait de l’enfant ou de la mère comme du « patient ».
L’histoire de Tim : un survivant de l’avortement ayant vécu 21 belles années
Tim, le « bébé d’Oldenburg ».
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : www.tim-lebt.de
14 janvier 2019 (LifeSiteNews) — C’est par une triste ironie que j’ai aperçu un titre d’article dans l’Irish Times, un journal qui a mené la charge médiatique pour l’avortement légal en Irlande : German man who survived abortion dies at aged 21 (un Allemand ayant survécu à un avortement décède à l’âge de 21 ans).
« Tim n’était pas censé naître, et il ne devait certainement pas vivre. L’homme qui a survécu à un avortement tardif raté en 1997 est mort à l’âge de 21 ans », écrit Derek Scally dans son article du 9 janvier.
Il faut considérer le langage utilisé dans l’article, lequel a été publié dans un journal qui a encouragé la légalisation de l’avortement. On mentionne des termes comme « Survécu », « Avortement tardif raté », « N’était pas censé naître ». Il est clair que l’auteur considère certains faits comme évidents : un avorteur allait tuer Tim (qui est devenu connu comme étant « le bébé d’Oldenburg »), mais il a échoué et c’est pourquoi Tim a survécu. Son existence était basée sur un échec médical.
À 20 semaines de gestation, le petit Tim a reçu un diagnostic de trisomie 21 et sa mère prit la décision de se faire avorter. Cependant, en Allemagne, l’avortement est interdit par la loi après 13 semaines de gestation à la seule exception où la mère mentionne que sa santé physique ou psychologique est gravement menacée par la grossesse. Pour être admissible, la mère de Tim menaça de se suicider à moins qu’on la laisse se faire avorter, et c’est ainsi que l’on planifia une intervention tardive.
Lire la suitePlanned Parenthood et l’avortement : du sang sur les mains
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fibonacci Blue/Flickr
J’ai lu aujourd’hui même un article des plus éclairants sur l’industrie de l’avortement, dont Planned Parenthood est l’un des plus gros acteurs, tout y passe : les fondements évolutionniste, eugéniste, malthusianiste, raciste, les profits colossaux des fournisseurs d’avortements, les dizaines de millions d’enfants à naître avorté chaque année, en passant par la stérilisation forcée de centaines de milliers de personnes.
Cet article, au titre évocateur L’argent du sang intra-utérin, écrit par Sébastien Renault sur le site Entre la plume et l’enclume, nous montre que plusieurs de ceux qui prône l’avortement en viennent à soutenir également l’infanticide (bien qu’après tout, tuer un enfant avant qu’il soit né ou après ne change strictement rien, dans les deux cas c’est de l’infanticide) ; il nous dévoile également les raisonnements tordus et illogiques sur lesquels les défenseurs de l’avortement se basent pour le défendre, les défenseurs parmi les plus ardents se trouvant dans le groupe de ceux qui en tire le plus d’argent ; il nous explique enfin les bases philosophiques de l’avortement et ce qui cloche dedans.
Bref, un excellent article. Extrait d'Entre la plume et l'enclume :
Lire la suiteÀ côté de la génération de profits colossaux, le « droit des femmes » à l’infanticide prénatal doit nécessairement s’inscrire et toujours davantage se consolider sur le terrain législatif [4]. La composante fondamentalement meurtrière de l’avortement est en réalité si évidente que ses promoteurs officiels ne prennent même plus soin aujourd’hui de dulcifier leurs discours. Prenons l’exemple de l’adoption récente par le Sénat de l’État new-yorkais d’une nouvelle loi abrogeant la protection des nourrissons nés vivants à la suite d’avortements ratés (le Reproductive Health Act). On pourra ici consulter la version préparatoire de la législation en question, dénotée S. 240 A. 21 et datée du 9 janvier 2019. Elle donne tout son relief au pouvoir tant idéologique que législatif des génocidaires intra-utérins aujourd’hui aux commandes des deux chambres américaines. Le décret législatif, signé de la main du gouverneur Andrew Cuomo, légalise l’extermination de l’enfant à naître comme « droit fondamental », y compris jusqu’à sa naissance — si la « santé » de la mère en dépendait, sans spécifier plus avant ce que le terme de « santé » est ici réellement censé inclure dans sa définition appliquée. En l’absence d’une définition claire, toute raison de santé (physique, mentale et/ou émotionnelle) pourra ainsi être arbitrairement présumée et comprise dans le cadre de la nouvelle loi, moyennant l’aval de la Cour Suprême américaine. La loi S. 240 A. 21 octroie par ailleurs à tout praticien hospitalier agréé le pouvoir d’agir « de bonne foi » pour le bien de telle ou telle patiente — signifiant qu’un enfant à naître peut quant à lui être assassiné en toute légalité, sans autre forme de procès, par n’importe quel membre du corps médical préposé à une femme enceinte qui aura décidé d’interrompre sa grossesse, y compris le jour même de la naissance ou pendant l’acte de donner naissance. Auquel cas l’enfant sera respectueusement placé dans l’isolement et tout simplement abandonné à mourir affamé ou déshydraté, ou encore à voir ses quelques moments d’existence ex utero « tendrement » abrégés par injection létale. De leur côté, les essaims féministes ont, de concert, applaudi la promulgation de la loi S. 240 A. 21.
Un obstétricien-gynécologue qui a assisté 5 000 naissances: l'avortement n'est jamais « nécessaire » pour protéger la santé d'une femme
Par Grace Carr (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Roger W. Marshall, médecin et représentant du Kansas, a écrit un article d'opinion disant qu'il n'y a aucune raison nécessitant un avortement tardif pour protéger la santé d'une femme.
« Jusqu'à ce jour, je ne peux imaginer un seul scénario où je penserais qu'un avortement tardif aidât à améliorer la santé mentale d'une femme », a écrit Marshall dans un article publié lundi par Fox News. « Contrairement au mouvement pro-avortement, indépendamment de la santé médicale sous-jacente de la mère, je n'ai jamais vu le scénario où nous devions choisir entre la vie d'une mère et celle d'un bébé », a écrit Marshall.
Marshall est un obstétricien qui a assisté la naissance de plus de 5 000 bébés dans l'ouest du Kansas depuis 25 ans. Il a également été gynécologue-obstétricien dans un hôpital psychiatrique d'État et dans une prison.
Les femmes enceintes courent des risques beaucoup plus élevés de perforation utérine et d'hémorragie mettant leur vie en danger pendant les avortements tardifs, d'après Marshall. Selon le médecin, ces interventions présentent également un risque élevé d'infection, de cicatrisation permanente et d'infertilité.
Lire la suiteBanqueroute morale
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Chronomarchie/Pixabay
Madame Nathalie Elgrably-Levy, va-t-elle perdre son emploi comme chroniqueuse au Journal de Montréal ?
Le 8 février 2019, cette courageuse journaliste a écrit un article incroyable [encore que…] intitulé « La faillite morale des démocraties ».
Elle est indignée et écœurée. En Occident nos belles démocraties de gauche revendiquent « le monopole de la compassion et de la supériorité morale ». C’est une des pires supercheries des temps modernes.
Mme Elgrably-Levy crie haut et fort son indignation devant l’horreur qui vient de s’abattre en Virginie aux États-Unis. Regardons les faits en enlevant nos œillères féministes de gauche.
Dans cet état américain, gouverné par les démocrates, on se prépare à voter une loi pour interdire l’épandage d’un insecticide afin de tuer une chenille qui dérange. Il faut bien protéger cette gentille bibitte !
« Au cours de la même journée », nous dit notre brave chroniqueuse, la démocrate gauchiste qui demandait pitié pour les pauvres chenilles, déposait un projet de loi visant à permettre l’avortement sans aucune restriction (comme au Québec et au Canada), même si la mère est en [entrée en travail...]
Lire la suiteUn centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide
« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel
Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteQuelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.
« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.
Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :
« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.
Trump blâme les démocrates pour leur extrémisme en matière d’avortement : Les enfants à naître sont «faits à la sainte image de Dieu»
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Washington DC., 5 février 2019 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a employé son discours sur l’état de l’Union mardi soir pour affirmer le droit à la vie et dénoncer avec force les récentes actions et déclarations extrêmes des démocrates pro-avortement à New York et en Virginie.
« Il n’y a de plus grand contraste que celui entre la belle image d’une mère tenant son nourrisson et les démonstrations effrayantes que notre nation a vues ces jours-ci. Les législateurs de New York se sont réjouis de l’adoption d’une loi qui permettrait qu’un bébé fût arraché du ventre de sa mère quelques instants avant sa naissance », a déclaré Trump (déclarations complètes plus bas).
« Ce sont des bébés vivants, affectueux et beaux qui n’auront jamais la chance de partager leur amour et leurs rêves avec le monde. Et puis, il y a eu le cas du gouverneur de la Virginie qui a déclaré qu’il exécuterait un bébé après sa naissance », ajouta-t-il.
Lire la suiteLe Gouverneur de Virginie est pour l'infanticide des bébés nés vivants après un avortement raté
Ralph Northam, gouverneur de Virginie.
Par Doug mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Craig/Wikimedia Commons
Virginie, 30 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Virginie, Ralph Northam, a suggéré le matin du 30 janvier qu'un projet de loi autorisant l'avortement jusqu'au moment de la naissance pourrait également permettre aux médecins de refuser de réanimer un enfant né vivant après un avortement manqué « si c'est ce que la mère et la famille désirent. »
« C'est de l'infanticide pur », a écrit Ben Shapiro dans le Daily Wire au sujet des commentaires de Northam.
Northam, un ancien neurologue pédiatrique, répondait à une question dans le cadre de l'émission Ask The Governor de la WTOP au sujet de la controverse déclenchée le 29 janvier lors d'une audience à la Chambre des Représentants sur le projet de loi proposé. Le député Kathy Tran avait défendu le projet de loi autorisant l'avortement pour une femme qui était déjà en train d'accoucher.
Northam a qualifié la controverse d'« exagérée ».
Il a poursuivi en expliquant ce qui se passerait dans le cas d'une femme qui voudrait avorter et qui serait déjà en travail.
« Donc, dans cet exemple particulier, si la mère est en travail, je peux vous dire exactement ce qui se passerait : Le nourrisson serait mis au monde ; le nourrisson serait maintenu à l'aise ; le nourrisson serait réanimé si c'est ce que la mère et la famille désirent, et une discussion s'ensuivrait entre les médecins et la mère », dit-il.
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