Trump blâme les avortements et les infanticides de la Corée du Nord
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Corée du Sud, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le président Trump blâme les avortements forcés et les infanticides qui sont régulièrement pratiqués en Corée du Nord, demandant pourquoi la Chine devrait se « sentir obligée » d’aider un pays qui tue les bébés chinois parce qu’ils considérés comme étant « inférieurs ».
« Les femmes nord-coréennes sont forcées d'avorter les bébés considérés comme ethniquement inférieurs », a déclaré Trump à l'Assemblée nationale sud-coréenne. « Et si ces bébés sont nés, les nouveau-nés sont assassinés ».
« Le bébé d'une femme, ayant un père chinois a été emporté dans un seau », a rappelé Trump. « Le gardien a dit qu'il ne méritait pas de vivre parce qu'il était impur ».
« Aussi pourquoi est-ce que la Chine devrait-elle se sentir obligée d’aider la Corée du Nord ? » questionna-t-il.
Lire la suiteLa famille d’une petite fille tuée, par son père adoptif gay, affirme qu’elle serait encore en vie si les services sociaux lui en avaient confié la garde
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
L’affaire de la petite Elsie, 18 mois, agressée à de multiples reprises puis tuée par le « père au foyer » au Royaume-Uni, « marié » avec son compagnon qui lui, partait travailler, secoue les médias britanniques alors que Matthew Scully-Hicks, 31 ans, vient d’être condamné à vie avec une peine incompressible de 18 ans. Cette mort atroce aurait pu être évitée si la petite fille avait été confiée à sa grand-mère maternelle qui en avait réclamé la garde devant les tribunaux alors qu’elle avait seulement deux mois. Mme O’Brien avait déjà la garde des frère et sœur d’Elsie, aujourd’hui âgés de 13 et 14 ans. Ses demandes en vue de réunir la petite Elsie avec sa famille avaient été rejetées par les services sociaux et des tribunaux qui jugèrent la grand-mère incapable de faire face. « Elle serait encore en vie », constate, amère, Sian O’Brien.
Elle et sa famille devaient apprendre la mort d’Elsie sept mois seulement après son assassinat en mai 2016 par un homme qui l’a battue à de multiples reprises, traitée de « Satan en babygro », insultée. Il s’est révélé incapable de supporter le comportement d’un enfant de cet âge.
Lire la suiteUn avortement post-naissance ? Une juge laissa partir une jeune femme qui avait noyé son nouveau-né
Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme qui noya son nouveau-né pour qu’elle puisse passer un examen à l’université Kamloops Thompson Rivers n’a eu que deux ans de probation d’une juge de Cour Provinciale, parce qu’elle avait déclaré que ce bébé était le fruit d’un abus sexuel.
Vous pouvez difficilement appeler cela une tape sur le poignet, a dit Jack Fonseca de la Campaign Life Coalition. La même excuse qui est utilisée pour justifier un avortement est maintenant appliquée pour justifier le meurtre d’enfants nouveau-nés. Je pense qu’il est discutable que ce juge soit à décriminaliser le meurtre d’enfants par la porte arrière, par un précédent judiciaire.
Le procureur de la Couronne Will Burrows a dit à la Cour que Courtney Saul qui est maintenant âgée de 19 ans, donna naissance à un garçon qu’elle prénomma Georges Carlos, au matin du 15 décembre dans la salle de bain du sous-sol à son appartement de Kamloops.
Lire la suiteDes infirmières expliquent comment des bébés nés vivants après des avortements sont tués ou abandonnés à leur sort
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Aux États-Unis, la loi sur la protection des bébés nés vivants exige que les avorteurs et le personnel des cliniques procurent des soins médicaux aux enfants nés accidentellement vivants lors d'un avortement. Cependant, Live Action a découvert, grâce à des enquêtes secrètes, que beaucoup d'avorteurs font abstraction de cette loi.
Des bébés naissent vivants après des avortements en Europe aussi. Le Centre européen pour la justice et les droits de l'homme, qui promeut la législation pour protéger ces enfants, a compilé des témoignages d'infirmières et de sages-femmes.
MK, une étudiante infirmière en France nous raconte cette histoire :
Lire la suiteDes sources indiquent que les bébés nés vivants suite à un avortement ne recevront aucune aide du Conseil de l'Europe
De LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Le Comité des ministres du Conseil de l'Europe ne veut pas aborder la question des bébés nés vivants et laissés pour morts ou tués après un avortement tardif non réussi.
Des rapports de personnels médicaux indiquent que plusieurs bébés nés vivants suite à un avortement raté sont « évacués » avec les déchets d'hôpitaux ou laissés pour morts dans une autre chambre d'hôpital ou dans une salle malgré le fait que ces derniers démontrent des signes de vie. D’autres bébés reçoivent une injection létale ou sont tout simplement étouffés.
Des documents fournis à LifeSiteNews démontrent qu'une question écrite venant d’un membre espagnol de l’assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe et soumise au Comité au début de cette année ne recevra aucune réponse, parce que les ministres ne peuvent parvenir à un consensus au sujet de ce que l'on doit faire dans un tel contexte.
Lire la suiteQuelle logique étrange que celle des pro-choix
Par Réal Gaudreault
La logique des gens qui défendent le droit à l’avortement ne cessera jamais de m’étonner. Dans cette vidéo (ci-dessous) un homme nous raconte que seules les femmes ont le droit de décider pour elles-mêmes de se faire avorter ou non. Évidemment, cet homme utilise la rhétorique habituelle des pro-choix. Sauf qu’il y a un petit quelque chose de plus ici qui me donne la nausée. Examinons le contenu de son discours.
Aucune restriction
Ainsi, nous dit-il, ce n’est pas au Gouvernement ni à aucune institution religieuse d’imposer des restrictions aux femmes en matière d’avortement. Mais voilà, la journaliste lui demande si on devrait tout de même limiter le droit à l’avortement au moins pour le dernier mois de grossesse? Non répond-il, ça doit demeurer le choix des femmes même à un mois de l’accouchement. Puis, elle lui demande si une femme pourrait avorter son enfant une seule journée avant sa naissance? Oui dit-il encore, car il faut que ça demeure son choix. Mais alors, lui demande finalement la journaliste, une femme pourrait-elle tuer son bébé même après sa naissance à la limite? Pourquoi pas lui dit-il, puisque c’est encore une fois de plus une décision qui lui revient à elle seule. Wow, wow, et encore wow!!!
Lire la suite« C’est tellement dur. Oh, mon Dieu, tellement dur! » : Quand des bébés naissent vivants après un avortement
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Souvent, quand un bébé est né vivant au cours d’une procédure d’avortement, l’enfant est maintenu dans la clinique d’avortement jusqu’à ce qu’il ou elle meurt. Dans de rares cas, le médecin avorteur prend lui-même des mesures pour tuer l’enfant. Mais parfois, le bébé est transféré dans un hôpital, où il pourrait recevoir des soins médicaux. Malheureusement, c’est la politique de nombreux hôpitaux de laisser simplement ces bébés mourir.
L’infirmière Kathleen Malloy, de Jacksonville (Floride) a été témoin de la mort d’un bébé qui est né après un avortement salin et transféré à son hôpital. Melody Green de Last Days Ministries, cite Malloy dans sa brochure « Les enfants: des choses qu’on jette? ». Kathleen Malloy raconte:
Lire la suite« J’avais travaillé de 11 pm à 7 am, et quand nous n’étions pas occupés, je sortais pour aider avec les nouveau-nés. Une nuit, j’ai vu un berceau en dehors de la pouponnière. Il y avait un bébé dans ce berceau qui pleurait, une petite fille parfaitement formée - mais elle était différente des autres. Elle avait été ébouillantée. Elle était l’enfant d’un avortement salin.
Cette petite fille avait l’air de quelqu’un qu’on aurait mis dans une casserole d’eau bouillante. Aucun médecin, aucune infirmière, pas de parents, pour consoler cette enfant blessée et brûlée. Elle a été laissée seule pour mourir dans la douleur. Ils ne la voulaient pas dans la salle des soins - ils n’ont même pas pris la peine de la couvrir.
J’ai eu honte de ma profession ce soir-là! Il est difficile de croire que cela peut arriver dans nos hôpitaux modernes, mais cela arrive tout le temps. Je croyais qu’un hôpital était un lieu où on soignait les malades - pas un endroit pour tuer.
J’avais demandé à une infirmière d’un autre hôpital ce qu’ils faisaient avec leurs bébés avortés par solution saline. Contrairement à mon hôpital, où le bébé était laissé seul, luttant pour respirer, leur hôpital mettait l’enfant dans un contenant dont on fermait le couvercle. Suffocation! Mort par suffocation! »
L'avorteur a injecté le cerveau de Sarah avec du poison: mais elle ne mourut pas ... avant d'avoir fêté ses cinq ans !
Sarah Brown est née aveugle, avec des lésions cérébrales ... mais néanmoins a réussi à vivre pendant cinq ans. Mais à la fin, l'avortement a réussi à la tuer.
Par l'équipe d'Operation Rescue - traduit par Campagne Québec-Vie
En juillet 1993, une mère de quinze ans est amenée au Health Care Services pour être avortée de sa petite fille aux derniers stages de sa grossesse. La grossesse était tellement avancée que le bébé était déjà en position d'accouchement. N'ayant pas encore maîtrisé la méthode d'avortement par induction, selon les dires, George Tiller ''injecta la tête du bébé à deux endroits, au côté gauche du front au-dessus du sourcil et à la base du crâne, de Chloride de potassium, laissant des marques permanentes de brulûres et des cicatrices des traces d'aiguille.''
Quand la jeune mère retourna le lendemain pour la procédure même de l'avortement, il fut constaté que le bébé n'était pas mort, tel que souhaité, par les injections létales à sa tête. La mère fut envoyée dans un hôpital local où le bébé naquit. Emmitoufflée dans une couverture, elle fut laissée dans une bassine sans surveillance pour y mourir.
Lire la suiteUn bébé dans les poubelles au Lac St-Jean : Deux poids, deux mesures
Les médias ont accordé beaucoup d’attention au cas de ce bébé trouvé mort après la naissance dans une poubelle, au Lac St-Jean, et c’est très important de dénoncer les infanticides. Toutefois, on peut se demander pourquoi aucun média ne s’est vraiment intéressé aux décès des 491 enfants nés vivants au Canada (entre 2000 et 2009) après un avortement tardif, mais laissés sans aucun soin pour les sauver. Mourir avorté, c’est bien loin de mourir dans la dignité et pourtant personne ne s’est indigné ou inquiété de ces douloureuses agonies. Il est évident que ces situations continuent de se produire mais les médias n’en font aucun cas.
Y a-t-il vraiment une différence entre ces femmes qui ont avorté d’un bébé qui a survécu et cette femme qui a délibérément tué son enfant après la naissance ? Dans tous ces cas, les mères ont décidé de tuer leurs enfants mais seule cette femme aura droit à un procès.
Nous vivons dans le seul pays occidental (et un des seuls pays de cette planète) où il n’existe aucune balise pour l’avortement. C’est très grave. D’un côté, nous faisons des procès aux femmes qui tuent leurs bébés après la naissance et en même temps on paie pour que d’autres femmes se fassent avorter d’un bébé viable. C’est un non-sens.
Nous décrions souvent les pratiques barbares de certains peuples (comme l’excision) mais imaginez ce que les gens pratiquant l’excision peuvent penser des Canadiens, lorsqu’ils apprennent qu’ici on permet tous les avortements de la conception jusqu’à la naissance…
Un enfant ayant survécu à un avortement tardif n’est qu’une statistique qui n’émeut presque personne. Pas de problème à le jeter dans les poubelles, après son agonie. Un enfant né avant terme mais tué par sa mère, entraîne une accusation de meurtre et une évaluation en psychiatrie, et tous les médias s’emparent de la nouvelle. Deux poids, deux mesures.
Un « éthicien » canadien promeut l'infanticide de bébés
Sur le site du National Post du 7 décembre 2014 (traduction libre):
(Photo : Peter Singer, autre « éthicien » favorable à l'infanticide et défenseur des animaux, dont les « idées » sont très répandues...)
(Photo : Todd Huffman sur flickr.com, licence creative commons)
Dans les cas où la vie actuelle et future des bébés implique "la douleur et la souffrance écrasante," mettre fin à la vie de façon proactive est éthiquement acceptable soutient le professeur Udo Schuklenk. (...)
Une grande partie de la discussion de l'aide médicale à mourir au Canada est centrée autour de patients adultes capables de faire connaître comment ils veulent mettre fin à leur vie.
Mais Udo Schuklenk, professeur de philosophie à l’Université Queen, fait valoir que dans de rares cas de grave altération, où les nouveau-nés souffrent profondément, provoquer activement la mort est moralement acceptable, même si elle est encore illégale dans ce pays.
«Les parents doivent pouvoir décider librement de ce qui équivaudrait à l'avortement postnatal," at-il fait valoir dans un document qui vient d’être publié dans le Journal de chirurgie thoracique et cardiovasculaire.
Après l'avortement de dernier trimestre, voici l' « avortement postnatal ». Cela passera mieux de le dire ainsi que d'utiliser le terme traditionnel et correct d'infanticide...