L’Indiana lance un site permettant aux parents de dénoncer l’endoctrinement sur le genre et les races dans les écoles
Todd Rokita, procureur général de l'Indiana.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Office of the Indiana Attorney General/YouTube
9 février 2024, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le bureau du procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a lancé un site internet pour permettre aux parents de l’État de signaler plus facilement les cas d’endoctrinement idéologique dans les salles de classe de leurs enfants.
La page officielle « Eyes on Education » de l’État contient un formulaire que les résidents peuvent remplir pour soumettre leurs plaintes, accompagnées de photos ou de documents le cas échéant, un lien vers la Charte des droits des parents de l’Indiana qui précise les garanties d’implication des parents et les options de recours, ainsi que des liens vers la documentation sur les politiques pertinentes et le matériel répréhensible provenant de nombreux districts scolaires de l’État.
« Nos enfants doivent se concentrer sur les éléments fondamentaux de l’éducation, et non sur l’idéologie politique, qu’elle soit de gauche ou de droite », peut-on lire sur la page. « Eyes on Education est une plateforme permettant aux étudiants, aux parents et aux éducateurs de soumettre et de visionner des exemples réels provenant de salles de classe de tout l’État. Le bureau du procureur général assurera le suivi des documents soumis au portail qui pourraient enfreindre la loi de l’Indiana en utilisant nos outils d’investigation, y compris les demandes d’archives publiques, et publiera également ses conclusions sur le portail ».
Lire la suiteLes avortements dans l’Indiana ont diminué de 24 % avant même l’entrée en vigueur de leur restriction
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Les avortements ont diminué dans l’Indiana par rapport à la même période de l’année précédente, selon le dernier rapport du ministère de la Santé de l’État.
Il y a eu 1 937 avortements enregistrés d’avril à juin 2023, selon les chiffres récemment publiés. L’année précédente, il y avait eu 2 554 avortements pour la même période.
La baisse des avortements s’est produite avant même l’entrée en vigueur, le 1er août de cette année, de l’interdiction quasi totale de l’avortement dans l’État.
La loi, adoptée en août 2022, interdit tous les avortements, à l’exception de ceux qui sont demandés pour cause de viol ou d’inceste au cours des dix premières semaines ou pour cause d’« altération physique substantielle et irréversible » de la santé de la mère. Elle autorise le meurtre des enfants à naître jusqu’à 20 semaines si ceux-ci « souffrent d’un état pathologique irrémédiable incompatible avec le maintien de la vie hors de l’utérus ».
Lire la suiteUn chrétien pro-vie de l’Indiana est acquitté après avoir été accusé à tort d’un crime d’agression par des extrémistes pro-avortement
Nathan Perry.
Par la Thomas More Society — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christ Evangelical Lutheran Church & Preschool
4 octobre 2023, Indianapolis (LifeSiteNews) — Cette histoire ressemble à un scénario de cauchemar télévisé de fin de soirée : un mari et une femme paisibles visitent la Maison d’État de l’Indiana, y trouvent un pandémonium agité et bruyant d’extrémistes de l’avortement, et quelques jours plus tard, leur monde est bouleversé par une accusation injustifiée de délit d’agression. C’est ce qui est arrivé à Nathan Perry, un habitant d’Indianapolis, qui vient d’être innocenté et déclaré non coupable par un juge de la Cour supérieure de Marion le 29 septembre 2023, après avoir été défendu avec succès par la Thomas More Society.
En juillet 2022, Nathan Perry, enseignant et directeur musical d’une église, et sa femme, conseillère chrétienne, se sont rendus au Capitole de l’Indiana le premier jour de la session extraordinaire de la législature de l’État, au cours de laquelle l’interdiction de l’avortement était envisagée. Les Perry se considèrent comme des pro-vie discrets. Ils soutiennent depuis longtemps les ministères d’aide à la grossesse d’Indianapolis, et la femme de Nathan Perry a commencé sa carrière de conseillère dans un centre chrétien d’aide à la grossesse.
« Nathan Perry et sa femme s’étaient rendus à la Maison d’État à Indianapolis pour exercer leurs droits de citoyens et entendre ce que les élus avaient à dire sur la question de l’avortement », a expliqué Carlos Lam, l’avocat des Perry, qui agit en tant que conseiller spécial de la Société Thomas More.
« Nous étions choqués, nous étions allés au capitole à Indianapolis sans savoir ce qui se passait », a déclaré M. Perry. « Là, nous avons trouvé une émeute folle, un chaos total ».
Lire la suiteL’Indiana interdit à un médecin de recevoir un prix pour violation à la vie privée dans l’affaire de l’avortement d’une fillette de 10 ans
Caitlin Bernard.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBC News
16 août 2023 (LifeSiteNews) — L’État de l’Indiana aurait interdit à une avorteuse de recevoir un prix après que des accusations selon lesquelles le médecin aurait violé les lois sur la vie privée dans le cas de l’avortement d’une mineure aient fait surface.
Le prix annuel « Torchbearer Award » de l’Indiana est destiné à « identifier et reconnaître les contributions des femmes de l’Indiana à leur communauté, à l’État et à la nation » dans une « variété de domaines allant de la science et du droit à la défense du travail et à l’éducation », selon la Commission de l’Indiana pour les femmes.
En juillet dernier, le Dr Caitlin Bernard, avorteuse de l’Indiana, a parlé au Indianapolis Star d’un appel téléphonique d’un collègue de l’Ohio, quelques jours seulement après que la Cour suprême des États-Unis ait annulé l’arrêt Roe v. Wade, alors que l’interdiction de l’avortement après six semaines en vigueur dans l’Ohio avait prétendument refusé un avortement à une victime de viol âgée de 10 ans. Bernard a reçu la jeune fille pour pratiquer l’avortement dans l’État d’Indiana.
Les partisans de l’avortement ont rapidement diffusé l’histoire afin de susciter la peur quant aux effets supposés du fait de laisser les États fixer leurs propres lois en matière d’avortement, tandis que les partisans de la vie et d’autres personnes ont mis en doute l’histoire en raison de l’absence de détails corroborant les faits. Mais plus tard dans le mois, l’histoire a été confirmée par l’inculpation de Gershon Fuentes, 27 ans, immigré clandestin et petit ami de la mère de la victime. Ces révélations ont suscité des spéculations quant à la possibilité que la jeune fille ait été emmenée dans l’Indiana pour avorter afin d’éviter d’identifier son violeur.
Lire la suiteDeux nouveau-nés recueillis en toute sécurité grâce aux boîtes à bébé Safe Haven en Indiana
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : anekoho/Adobe Stock
Deux nourrissons ont récemment été récupérés avec succès dans les boîtes à bébés Safe Haven en Indiana lors d’incidents distincts.
Le premier bébé a été déposé dans la boîte à bébés du canton de Cleveland à Elkhart, tandis que le second a été sauvé à la caserne de pompiers du canton de Wayne à Indianapolis. Les dates exactes de remise n’ont pas été communiquées.
L’organisation Safe Haven Baby Box installe des boîtes surveillées et à température contrôlée où les parents peuvent déposer un enfant en toute sécurité et de manière anonyme, conformément à la loi sur la protection des enfants en vigueur dans chaque État. Lorsqu’un enfant est placé à l’intérieur, une alarme se déclenche pour alerter les secours. Les boîtes sont installées dans des lieux tels que des casernes de pompiers, des commissariats de police ou des hôpitaux, afin que les intervenants d’urgence puissent immédiatement prendre l’enfant en charge. L’organisation a été fondée par Monica Kelsey, qui a elle-même été abandonnée lorsqu’elle était enfant, dans le but de réduire le nombre d’abandons d’enfants en offrant aux parents une solution sûre et anonyme.
« Nous sommes très heureux que ces mères aient choisi d’abandonner leur enfant avec amour et en toute légalité », a déclaré Monica Kelsey. « C’est un acte d’amour sacrificiel dans l’intérêt supérieur de l’enfant. Ces bébés sont tellement aimés et sont une prière exaucée pour les familles adoptives qui sont impatientes de les accueillir dans leur famille. »
Les membres de ces deux communautés ont fait l’éloge des boîtes.
« Les pompiers du canton de Cleveland sont reconnaissants d’avoir pu offrir un lieu sûr et la possibilité à un parent de remettre son enfant en toute sécurité. Je suis fier des pompiers pour leur rapidité d’intervention et leur professionnalisme face à cette décision anonyme et salvatrice prise par ce parent », a déclaré Mark Travis, chef des pompiers du canton de Cleveland.
« L’équipe a immédiatement organisé un transport vers l’hôpital dans les minutes qui ont suivi la réception de l’alarme et a fourni des soins de soutien pendant le trajet vers l’hôpital », a ajouté Travis.
« Nous sommes heureux d’annoncer que notre boîte à bébé a reçu un enfant la semaine dernière », a déclaré le capitaine Eric Banister du service des pompiers du canton de Wayne. « Le système a bien fonctionné pour la mère, l’enfant et les premiers intervenants qui ont reçu le nouveau-né. En voyant cette précieuse boîte à bébé fonctionner comme prévu, nous encourageons toute personne en situation de crise à utiliser ce service sûr et légal. »
Ces deux remises sont les troisième et quatrième des boîtes Safe Haven cette année. Selon ABC 57, 21 des 26 remises que l’organisation a reçues depuis 2017 ont eu lieu dans l’Indiana.
L’Indiana rejoint la vague d’États républicains interdisant le « changement de sexe » des enfants
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LumineImages/Adobe Stock
6 avril 2023, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Indiana a signé une loi visant à protéger les enfants souffrant de confusion sexuelle contre les médicaments et les opérations chirurgicales irréversibles.
Mercredi, le gouverneur républicain Eric Holcomb a signé un projet de loi qui interdit aux professionnels de la santé de distribuer des bloqueurs de puberté et des hormones du sexe opposé, ainsi que de pratiquer des opérations chirurgicales de « transition de genre » pour les citoyens âgés de moins de 18 ans.
M. Holcomb, qui avait déjà opposé son veto à des lois pro-famille, a signé le projet de loi à contrecœur, après l’avoir critiqué.
« Un médecin ou un autre praticien ne peut pas aider ou encourager un autre médecin praticien à fournir des procédures de transition de genre à un mineur », stipule le projet de loi SB 480. « Cet article n’interdit pas à un médecin ou à un autre praticien de fournir des services à des personnes nées avec un trouble du développement sexuel médicalement vérifiable ».
Les médicaments interdits comprennent l’œstrogène, la testostérone et la progestérone qui sont « administrés à un individu dans une quantité supérieure à celle qui serait normalement produite de manière endogène chez un individu sain de l’âge et du sexe de cet individu ».
Les « procédures de transition de genre » comprennent « les services d’un médecin, les services d’un praticien, les services hospitaliers et ambulatoires, ou les médicaments prescrits liés à la transition de genre ». Dans ce cadre, tout médicament ou toute procédure visant à « modifier ou supprimer des caractéristiques physiques ou anatomiques typiques du sexe de l’individu » ou à « créer... des caractéristiques qui ressemblent à un sexe différent du sexe de l’individu » sont strictement interdits.
Lire la suiteMieux vaut tard que jamais : les législateurs de l’Indiana votent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey sur la sexualité
Alfred Kinsey.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Avertissement au lecteur : Ce texte contient la description explicite d’abus sexuels sur des enfants.
28 février 2023 (LifeSiteNews) — Ce titre a des décennies de retard, mais mieux vaut tard que jamais : « Les législateurs de l’Indiana soutiennent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey ». Le 22 février, la Chambre des représentants de l’Indiana a voté à 53 contre 34 pour interdire à l’Université de l’Indiana, siège de l’Institut Kinsey, d’utiliser des fonds publics pour ses recherches sur la sexualité. l'Associated Press a prétendu de façon ridicule que ce vote était dû à « un législateur d’extrême droite » qui « a dévoilé des allégations contestées d’exploitation d’enfants commises par son fondateur et célèbre chercheur du milieu du XXe siècle, Alfred Kinsey ».
En effet, le législateur démocrate Matt Pierce a déclaré que ces allégations étaient « basées sur de vieux soupçons non prouvées de conspirations qui n’ont pas existé » et les a qualifiées de « memes internet réchauffés qui reviennent sans cesse », insistant sur le fait que la noble mission de l’Institut Kinsey était de « mieux comprendre la sexualité humaine, y compris la façon de traiter les prédateurs sexuels et les pédophiles et de prévenir [leur apparition] ». l'Associated Press a expliqué que le parti républicain s’oppose au financement de l’Institut Kinsey parce qu’il « lui reproche de contribuer à la libéralisation des mœurs sexuelles, y compris une plus grande acceptation de l’homosexualité et de la pornographie ».
Pierce, apparemment, n’a pas pris la peine de lire les propres ouvrages de Kinsey, Sexuality in the Human Male et Sexuality in the Human Female, qui ont été publiés en 1948 et 1953. Les travaux de Kinsey ont « révélé » qu’entre 30 et 45 % des hommes avaient des liaisons, que 85 % des hommes avaient eu des relations sexuelles avant le mariage, qu’un pourcentage stupéfiant de 70 % des hommes avaient couché avec des prostituées et qu’entre 10 et 37 % des hommes avaient eu un comportement homosexuel. On parle beaucoup moins de ses autres « découvertes » troublantes — une étude approfondie du « comportement sexuel » des enfants, ainsi que des affirmations selon lesquelles près de 10 % des hommes ont eu des relations sexuelles avec des animaux (ainsi que 3,6 % des femmes), et que ce chiffre s’élève à 40-50 % en fonction de la proximité des fermes.
Lire la suiteUne avorteuse de l’Indiana pose en photo avec un outil utilisé pour détruire des bébés dans l’utérus
Kathie McHugh, avorteuse.
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kathie McHugh/Twitter
21 février 2023 (LifeSiteNews) — Un médecin avorteur de l’Indiana a suscité des réactions négatives après avoir publié un tweet faisant l’éloge de l’avortement et comportant une photo d’elle avec un instrument utilisé lors de ces procédures chirurgicales.
Dr Katie McHugh, qui se décrit comme une « gynécologue-obstétricienne queer », a publié vendredi un tweet dans lequel elle qualifie l’avortement de « courant », « moral » et de « valeur familiale ». Dans son message, Mme McHugh a inclus une photo d’elle posant avec une canule, un instrument utilisé lors des avortements chirurgicaux pour aspirer le bébé dans le ventre de sa mère.
« Joyeux vendredi ! Les soins d’avortement sont toujours légaux en Indiana », a écrit Mme McHugh vendredi sur Twitter. « Nous faisons tout ce que nous pouvons pour que cela reste ainsi ».
« L’avortement est un soin de santé — c’est aussi une priorité communautaire, une valeur familiale et une partie normale de la vie », a poursuivi McHugh. « L’avortement est moral, commun, et il ne va pas disparaître. Nous non plus ».
Katie McHugh a dû faire face à des réactions largement négatives à la suite de son message, notamment de la part de partisans de l’avortement.
L’ancien champion UFC/MMA Jake Shields, qui se décrit lui-même comme « pro-choix », a répondu au post de McHugh, en déclarant, « Voir comme vous êtes heureuse de tuer des bébés me fait remettre en question ma position pro-choix ».
Lire la suiteLe procureur général de l’Indiana dépose une poursuite contre l’avorteuse qui a fait traverser la frontière de l’État à une victime de viol
L'avorteuse Caitlin Bernard.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBS News
2 décembre 2022, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a déposé mercredi une action administrative contre l’avorteuse Dr Caitlin Bernard, l’accusant d’avoir violé les lois de l’État et les lois fédérales dans le cas d’une jeune fille de dix ans emmenée au-delà des frontières de l’État cet été pour un avortement.
Le 1er juillet, l’Indianapolis Star a rapporté que trois jours après que la Cour suprême des États-Unis ait rendu sa décision dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization renversant Roe v. Wade, Bernard « a reçu un appel d’un collègue, un médecin de l’Ohio spécialisé dans la maltraitance des enfants. Quelques heures après l’action de la Cour suprême, l’État de Buckeye avait rendu illégal tout avortement après six semaines. Ce médecin avait dans son cabinet une patiente de 10 ans, enceinte de six semaines et trois jours... La jeune fille a rapidement pris le chemin de l’Indiana pour être prise en charge par Bernard. »
Les partisans de l’avortement ont rapidement diffusé l’histoire afin de susciter la peur quant aux effets supposés qui résulteraient de ce qu’on laisse les États fixer leurs propres lois sur l’avortement, tandis que les pro-vie et d’autres personnes ont remis en question l’histoire en raison de son manque de détails corroborants. Mais plus tard dans le mois, l’histoire a été confirmée par l’inculpation de Gershon Fuentes, 27 ans, immigrant illégal et petit ami de la mère de la victime. Les révélations ultérieures sur l’affaire ont suscité des spéculations quant à la possibilité que la jeune fille ait en fait été emmenée en Indiana pour avorter afin d’éviter d’identifier son violeur.
Le 30 novembre, le bureau de Rokita a annoncé le dépôt d’une plainte administrative contre Bernard, sur la base de son « propre témoignage sous serment » indiquant « qu’elle a violé les lois fédérales et de l’Indiana relatives à la vie privée des patients et au signalement des abus sur les enfants ».
Lire la suiteReprotection : un organisme pro-vie lutte pour fermer les avortoirs
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
L’histoire de Reprotection débute lorsque Cathie Hambarger fut témoin de négligences inquiétantes dans l’un des avortoirs du fameux Ulrich Klopfer en Indiana. Devant les violations de nombreux codes médicaux, elle décida de passer à l’action.
La PDG de Reprotection « et son équipe ont déposé plus de 2000 plaintes contre l’avorteur Klopfer, entraînant la fermeture de ses trois centres d’avortement dans l’Indiana », rapporte le site. L’œuvre ne s’est pas arrêtée là. « Cela a conduit à des enquêtes sur l’industrie de l’avortement à travers le pays et sur la manière dont elle continue d’échapper à l’examen que la loi exige. Il fallait réagir au niveau national. »
Lancé en janvier 2020, l’organisme pro-vie mène des enquêtes légales pour dénoncer les crimes de l’industrie de l’avortement et « la tenir responsable devant les autorités ».
Même si à travers le monde des organismes pro-vie, tels que Reprotection, luttent courageusement pour la défense de la vie et la fin de l’injustice qu’est l’avortement, leur combat est souverainement méprisé par l’élite de gauche au Québec.
Récemment, la ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest, a excusé les dons de deux députés à des organismes pro-vie comme étant une erreur de « bonne foi » qui « ne se reproduira plus ».
TVA Nouvelles rapporte que « Selon une enquête réalisée par Urbania, deux députés caquistes... ont fait des dons à des organismes pro-vie œuvrant sous le couvert de centres de grossesse depuis 2018. »
Suite à l’enquête, Isabelle Charest a « réitéré que tous les députés du gouvernement étaient “résolument pro-choix”. » De plus, « une note leur sera envoyée à tous pour leur rappeler l’importance d’effectuer des vérifications approfondies avant d’accorder des dons à des organismes, a ensuite précisé son attachée de presse. »
Ainsi, deux simples dons ont été utilisés comme prétexte pour réaffirmer et renforcir la haine de nos dirigeants envers un combat qui défend la dignité des plus petits.