Des milliers de personnes se rassemblent à la Marche pour la vie de l’Illinois
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 mars 2023, Springfield, Illinois — Des milliers de défenseurs pro-vie se sont rassemblés au Capitole de l’Illinois le mardi 21 mars 2023, pour la Marche pour la Vie de l’Illinois. Des chefs civiques et religieux se sont adressés à la foule devant la statue de Lincoln, plusieurs reprenant les mots du Grand émancipateur en appelant les législateurs de l’Illinois à protéger les femmes et les enfants victimes de l’industrie de l’avortement.
Immédiatement après la marche, des militants pro-vie ont rencontré des représentants et des sénateurs de l’État pour leur expliquer comment les centres de ressources pour la grossesse apportent un soutien tangible aux femmes en leur proposant des tests de grossesse, des échographies, des berceaux, des sièges d’auto, des cours d’éducation parentale et des couches.
Mgr Thomas J. Paprocki, évêque du diocèse catholique romain de Springfield (Illinois), s’est fait l’écho d’Abraham Lincoln en parlant de l’avortement avec les mêmes mots que ceux utilisés par Lincoln pour parler de l’esclavage en 1868 à Springfield.
Mgr Thomas Paprocki.
« Une maison divisée contre elle-même ne peut subsister », a affirmé Mgr Paprocki. « Je pense que ce gouvernement ne peut subsister s’il est en permanence à moitié favorable à l’avortement et à moitié favorable à la vie. Je ne m’attends pas à ce que l’Union soit dissoute — je ne m’attends pas à ce que la maison s’écroule — mais je m’attends à ce qu’elle cesse d’être divisée. Elle deviendra ou tout l’un ou tout l’autre ».
Mgr Paprocki a ensuite appelé « les membres des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire du gouvernement de l’État de l’Illinois [...] à faire preuve de compassion pour les vies des plus vulnérables d’entre nous, les vies humaines sacrées des bébés à naître ».
Lire la suiteLe plus jeune mannequin transgenre du monde : 10 ans
« Noella » McMaher.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Reduxx/Twitter
26 août 2022, Chicago (LifeSiteNews) — Les tuteurs « non binaires » d’un jeune garçon, qui a été publiquement présenté comme enfant drag queen, auraient déclaré qu’ils prévoyaient lui faire prendre des bloqueurs de puberté et à lui faire subir des opérations transgenres lorsqu’il aura 16 ans.
L’histoire a suscité de vives réactions sur les médias sociaux, leurs opposants estimant que la mère de l’enfant et son « conjoint » se livrent à des abus sur l’enfant.
Noella McMaher a été présenté par les idéologues LGBT comme le « plus jeune modèle transgenre » du monde, selon le Daily Wire. Le garçon de 10 ans a été élevé comme fille depuis qu’il est tout petit et a subi un changement de nom légal à l’âge de sept ans.
La semaine dernière, le garçon a fait la une des journaux pour avoir défilé sur le podium de la Fashion Week de New York, habillé en fille et représentant la marque Trans* Clothing Company.
Noella vit actuellement avec sa mère Dee et son « conjoint » Ray, toutes deux des femmes qui s’identifient comme transgenres. Les deux femmes ont également la garde du frère de Noella (qu’elles élèvent comme garçon), ainsi que celle d’un bébé appelé « theybie ». Toutes deux travaillent professionnellement dans l’activisme de gauche.
Lundi, REDUXX a souligné que la mère de la fillette de 10 ans et son « conjoint » transgenre ont affirmé il y a plusieurs années qu’ils mettraient Noella sous traitement hormonal et médicamenteux bloquant la puberté. Elles avaient également l’intention de lui faire subir des opérations transgenres à l’âge de 16 ans.
Le « plus jeune mannequin transgenre du monde », Noella McMaher, 10 ans, vient d’un foyer à prédominance transgenre et est l’enfant d’une activiste trans professionnel.
Il se serait déclaré à l’âge de 2 ans et devrait subir des « opérations du genre » à 16 ans.
Selon l’article publié en 2019 dans Chicago Parent, la mère du garçon a déclaré qu’il avait commencé à dire qu’il était vraiment une fille à l’âge de deux ans, et qu’il avait subi une « transition sociale » à l’âge de quatre ans.
Le média a déclaré que Dee avait « hâte de voir » l’enfant, alors âgé de sept ans, « grandir et se transformer en la personne qu’elle [sic] est et devait être. »
Lire la suiteLes adolescentes en Illinois pourront avorter à l’insu de leurs parents
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : AndrewLozovyi/Depositphotos
Déresponsabiliser : voilà l’objectif — involontaire peut-être, mais quand même présent — d’une nouvelle loi en Illinois « autorisant les jeunes filles à se faire avorter à l’insu de leurs parents » comme le rapporte LifeSiteNews.
L’ironie tragique de la situation est que « l’État n’autorise pas les mineures à se faire percer les oreilles sans le consentement parental ». Se faire percer les oreilles aurait donc plus de poids et de gravité que tuer son propre enfant à naître ?
Comment ces adolescentes auront-elles le courage d’affronter une grossesse non prévue seule, sans l’autorité, le support et les conseils de leurs parents, alors qu’elles pourront facilement avorter ? Seront-elles vraiment toutes conscientes que l’acte qu’elles croient faire sans laisser aucune trace porte la conséquence grave d’enlever une vie irremplaçable ?
Le représentant de l’État républicain Tom Morrison a affirmé avec justesse que « Devenir enceinte en tant que mineure est une affaire très sérieuse, tout comme se faire avorter chirurgicalement ou chimiquement en tant que mineure est une affaire très sérieuse... Dans les deux cas, les parents ont le droit de savoir ce qui se passe avec leurs enfants. »
L’État prétend enlever la responsabilité primordiale aux parents de guider, de protéger, de conseiller, de défendre, d’aider, et de veiller sur leurs filles en laissant celles-ci agir dans leur dos.
Mgr Thomas Paprocki, évêque du diocèse de Springfield en Illinois, a qualifié la signature du projet de loi de « moment sombre et honteux dans l’histoire de l’État de l’Illinois... Il est frappant de constater à quel point cette législation fournit couverture, secret et obscurité sur les mauvaises actions ». » Moment sombre et moment tragique autant pour les parents et leurs droits que pour les jeunes filles et leur besoin d’appui parental.
Un démocrate pro-vie défie courageusement son parti et demande à la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Il faut beaucoup de courage et d’intégrité pour s’opposer au Parti démocrate et à l’un de ses plus puissants soutiens, les groupes de pression de l’avortement.
Mais Dan Lipinski, membre du Congrès de l’Illinois, l’a toujours fait. Cible du lobby de l’avortement, Lipinski est l’un des derniers démocrates fidèlement pro-vie au Congrès.
Jeudi, lui et son collègue démocrate Collin Peterson, du Minnesota, se sont joints à plus de 200 législateurs républicains pour demander à la Cour suprême des États-Unis d’envisager de renverser l’arrêt Roe v. Wade. Ils ont demandé à la haute cour de maintenir une Loi de la Louisiane concernant les cliniques d’avortement et qui protège les femmes souffrant de complications d’urgence. L’affaire est June Medical Services v. Gee.
Bien que la plupart des leaders démocrates soient de plus en plus favorables à l’avortement, Lipinski défend fidèlement les droits des bébés dans l’utérus. Sa signature sur le dossier d’amicus curiae a rapidement suscité des critiques de la part des militants de l’avortement, y compris de son adversaire politique Marie Newman, rapporte Newsweek.
Le militant et cinéaste Adam Best a critiqué la décision de Lipinski et de Peterson de soutenir les droits des bébés à naître, la qualifiant de « complètement inacceptable », selon l’article. Il a exhorté le parti démocrate à rejeter les pro-vie.
« Il ne devrait pas y avoir de place pour les radicaux anti-droits des femmes au sein du parti démocrate », a écrit M. Best sur Twitter.
La branche de l’Illinois de Planned Parenthood, la plus grande chaîne d’avortement du pays, a également dénoncé le démocrate pro-vie jeudi, selon CBS Chicago. Plus tôt cette année, la chaîne d’avortement, qui vaut des milliards de dollars, avait soutenu son adversaire.
Lire la suiteLes écoles de Chicago obligent les garçons et les filles à partager les toilettes au nom de « l’équité des genres »
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MarkRademaker/Adobe Stock
3 décembre 2021, Chicago (LifeSiteNews) — Le Chicago Public Schools (CPS) a annoncé qu’il exigera que toutes les écoles sous sa juridiction affichent des panneaux permettant expressément aux étudiants et au personnel de choisir des toilettes masculines ou féminines en fonction de leur « identité ou expression de genre » préférée, au nom de la réalisation de « l’équité de genre ».
« Tous les étudiants et le personnel des CPS auront un accès juste et équitable aux toilettes qui correspondent à leur identité de genre », a déclaré Camie Pratt, responsable de la sécurité des élèves des écoles publiques de Chicago, dans une annonce vidéo publiée le 30 novembre. Elle a ajouté qu’à partir du 1er décembre, les panneaux « indiqueront clairement que toutes les toilettes pourront être utilisées par toute personne qui s’y sent à l’aise ».
« Le personnel continuera à disposer de toilettes réservées au personnel », a ajouté Camie Pratt, sans préciser si ces toilettes ou d’autres installations à occupation unique seront accessibles aux élèves qui ne souhaitent pas partager des installations intimes avec un membre du sexe opposé. « Le Bureau de la protection des élèves et de [l’application de la Loi] “Title IX” de notre district travaille également sur un plan à long terme visant à créer une signalisation plus permanente pour nos salles de bain ».
« Mes filles ne se sentiront pas à l’aise de partager une salle de bain avec des garçons », a réagi un parent sur les médias sociaux, comme le souligne le Daily Wire. « Qui prend ces décisions ridicules ? Qui s’assure que les filles ne seront pas harcelées ou intimidées dans ces cabines ? Où mon enfant peut-il obtenir de l’intimité pour s’assurer qu’aucun garçon n’essaiera de l’épier pendant qu’elle est dans une cabine ? »
Les conservateurs affirment que le fait de forcer les enfants et les adolescents à partager des installations intimes avec des membres du sexe opposé viole leur droit à la vie privée, les soumet à un stress émotionnel inutile et donne aux prédateurs masculins potentiels un prétexte valable pour entrer dans les toilettes ou les [salles de] casiers des femmes.
Une révolte publique contre ces politiques a récemment alimenté la victoire du républicain Glenn Youngkin sur le démocrate Terry McAuliffe pour le poste de gouverneur de Virginie, ainsi que la prise de contrôle de la Chambre des délégués de l’État par le Parti républicain ─ révolte causée en particulier par le viol d’une étudiante par un camarade « transgenre » dans les toilettes des filles du lycée Stone Bridge du comté de Loudoun.
En juin, la Cour suprême des États-Unis a refusé d’entendre l’appel d’une décision d’une juridiction inférieure selon laquelle l’ex-étudiant « trans » Gavin Grimm avait le droit constitutionnel d’utiliser les toilettes pour hommes du lycée de Gloucester, également en Virginie, laissant ainsi en suspens une victoire de la redéfinition « transgenre » des règles fédérales de non-discrimination.
Une Américaine obtient une décision de justice pour faire traiter son père à l’ivermectine : il est sorti guéri de l’hôpital après avoir été intubé un mois
Sun Ng.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
La fille d’un Hongkongais qui a été hospitalisé pour COVID-19 le 14 octobre à l’hôpital Edward à Naperville, dans l’Illinois (Etats-Unis), vient de publier un communiqué indiquant que son rétablissement n’a été possible que grâce à une décision du juge du comté de DuPage, qui a enjoint à plusieurs reprises à l’hôpital d’autoriser le patient d’être soigné au moyen de l’ivermectine.
Sun Ng, 71 ans, avait été traité, sans succès, au remdesivir, et son état s’était tellement détérioré qu’un médecin avait témoigné devant la justice qu’il n’avait guère que 10 ou 15 % de chances de survie.
Intubé et placé en coma artificiel pendant un mois, Sun Ng était « en fait sur son lit de mort », a reconnu ce médecin.
S’étant renseignée sur les traitements possibles du COVID_19, la fille de Sun Ng, le Dr Man Kwan Ng, a demandé fin octobre que l’on administre de l’ivermectine. Devant le refus de l’hôpital, elle a intenté le 1er novembre une action en justice contre Edward-Elmhurst Health et obtenu une ordonnance en ce sens, que l’hôpital a refusé d’exécuter. Une nouvelle audience le 5 novembre a abouti à un commandement similaire, dans lequel le juge Paul Fullerton notait que les effets indésirables potentiels de l’ivermectine (vertiges, démangeaisons, diarrhée) « étaient tellement minimes que la situation actuelle de M. Ng dépasse de cent fois ce risque ».
Après un nouveau refus de l’hôpital, au motif que le médecin qui devait administrer le traitement n’était pas vacciné et que le médecin-chef de l’établissement n’était pas en mesure de le faire à sa place, il a fallu un nouveau référé pour qu’enfin l’ivermectine soit administrée par le médecin choisi par la famille.
Sun Ng put quitter l’hôpital le 27 novembre, selon un communiqué de presse de Mauck & Baker, LLC, le cabinet d’avocats qui a représenté la famille dans cette affaire. Il respire sans assistance, a commencé à réapprendre à manger seul avant de quitter l’hôpital et peut se déplacer avec un déambulateur.
Le Dr Ng a déclaré dans un communiqué de presse daté du 29 novembre que le rétablissement de son père a « dépassé les attentes » de ses proches, « Dieu soit loué ». Elle ajoutait : « Notre famille remercie tout particulièrement le juge Paul Fullerton. Sans lui, nous n’aurions pas pu ramener mon père à la maison et nous n’aurions pas pu le voir nous sourire à nouveau. Nous remercions aussi très sincèrement le Dr Alan Bain de nous avoir accompagnés et administré l’ivermectine à mon père. »
Joseph Monahan, l’avocat de l’hôpital Edward, avait précédemment soutenu que Ng avait manifesté une amélioration dès avant avoir reçu de l’ivermectine. Selon la presse locale, Monahan a également déclaré que l’hôpital n’était pas en mesure de confirmer le contenu du médicament administré parce que le médecin l’avait obtenu en ligne depuis l’Inde. Bien sûr…
L’hôpital, lui, a refusé tout commentaire.
Une cour statue en faveur d’une infirmière pro-vie de l’Illinois qui a été licenciée pour son objection à l’avortement
Par Amanda Vicinanzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
C’est une grande victoire pro-vie : un tribunal a déterminé qu’une infirmière de l’Illinois avait été licenciée à tort après avoir été forcée de participer à des avortements et d’orienter des femmes vers des centres d’avortement, en violation de sa foi catholique.
La semaine dernière, la 17e Cour de circuit judiciaire du comté de Winnebago a statué en faveur de Sandra Mendoza Rojas, qui a intenté un procès en 2016 contre le Département de la santé du comté de Winnebago pour avoir violé ses croyances religieuses et sa conscience.
Rojas a été embauchée par le Département de la santé en tant qu’infirmière pédiatrique à temps partiel en 1996. Au cours de son emploi, la clinique de santé des femmes et la clinique pédiatrique ont été regroupées ; par conséquent, son poste concernait les questions de santé des femmes dans la clinique regroupée. L’une après l’autre, trois infirmières, dont Rojas, ont refusé de participer à l’orientation des patientes vers l’avortement et la contraception.
Le Directeur de la santé a écrit une lettre dans laquelle il acceptait de tenir compte temporairement des objections de Mme Rojas et lui donnait 14 jours pour « examiner ses options ». Dans sa lettre, le Directeur de la santé a déclaré qu’ils ne pouvaient plus accueillir Rojas dans la clinique regroupée, mais qu’elle pouvait travailler comme inspectrice des aliments à temps partiel ou comme infirmière dans une maison de retraite. En réponse, en juillet 2015, Rojas a présenté une lettre de démission, ce qui lui a coûté 18 000 $ de salaire et 213 000 $ de prestations de retraite.
En 2016, elle a intenté une action en justice en affirmant que le ministère avait violé la loi sur les droits de conscience en matière de soins de santé de l’Illinois, qui protège les travailleurs médicaux qui s’opposent à l’avortement. Les avocats d’Alliance Defending Freedom ont été les avocats associés de Rojas aux côtés de l’avocat principal Noel Sterett de Dalton & Tomich.
Lire la suiteLe gouverneur d’Illinois signe une loi instaurant une «éducation sexuelle» explicite qui promeut l’avortement
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a signé vendredi un projet de loi mettant en place une éducation sexuelle qui promeut l’avortement, ignorant les plaintes des démocrates et des républicains concernant ce programme au contenu sexuellement explicite qui sera imposé aux enfants dès la maternelle.
Breitbart rapporte que Pritzker a fait l’éloge du projet de loi 818 du Sénat de l’État comme d’une initiative qui « aidera à garder nos enfants en sécurité ».
La nouvelle loi, qui entre en vigueur immédiatement, exige que les écoles publiques qui dispensent une éducation sexuelle suivent les normes nationales d’éducation sexuelle. Les parents peuvent en faire dispenser leurs enfants.
Les normes nationales d’éducation sexuelle ont été élaborées par des groupes de promotion de l’avortement, dont Planned Parenthood, Sister Song et Advocates for Youth. Ces « normes » enseignent aux enfants que l’avortement n’est qu’une « procédure médicale ou chirurgicale qui met fin à une grossesse » et leur indiquent comment trouver des centres d’avortement dans leur région.
M. Pritzker a affirmé que la nouvelle loi allait « moderniser » l’éducation sexuelle dans l’État et « garantir que des leçons importantes comme le consentement et la sécurité sur internet soient enseignées dans les salles de classe ».
« En travaillant ensemble, nous continuerons à renforcer notre système éducatif et à offrir l’avenir brillant que nos enfants méritent », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Cependant, la loi a été repoussée par des législateurs républicains et démocrates ainsi que par des parents préoccupés.
Lire la suite« Je tuais des bébés » : un avortement tardif amène la conversion pro-vie d’une ancienne travailleuse de l’avortement
Par Nancy FLanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Kathy Sparks Lesnoff, présidente-directrice générale de Mosaic Pregnancy & Health Centers dans l’Illinois, n’a pas commencé sa carrière en tant que militante pro-vie aidant les femmes pendant leur grossesse. Avant même d’avoir obtenu son diplôme universitaire, Mme Lesnoff travaillait dans l’industrie de l’avortement. Mais après avoir été témoin de l’avortement d’un bébé de 23 semaines, elle a su qu’elle ne pouvait plus justifier l’avortement.
Dans le cadre d’un baladodiffuseur « Problematic Women » pour le Daily Signal, Mme Lesnoff a raconté son histoire de conversion pro-vie, y compris les détails concernant son quasi-divorce et sa tentative de suicide. Elle avait fait des études pour devenir infirmière, et pendant ses années d’université, elle a épousé son mari Mike. Lorsqu’ils ont appris qu’ils attendaient un bébé, Mme Lesnoff a pris un congé scolaire et a décidé de trouver un emploi pour rembourser sa dette d’études. Un ami lui parle d’un poste d’assistant médical vacant dans un grand centre d’avortement. L’emploi consiste notamment à fournir une assistance aux opérations d’avortement. Bien qu’elle ait été élevée dans un foyer plus conservateur, elle est devenue « très, très pro-avortement » et pense qu’elle aidera les femmes en travaillant là-bas.
« Ils m’ont engagée pour assister les médecins pendant la procédure d’avortement, mais j’ai pu être formée dans tous les domaines de la clinique », a-t-elle déclaré. « Je répondais au téléphone, j’assistais aux séances de conseil, à la salle de nettoyage, à la salle de réveil, à tout. J’ai donc été témoin de tout, du début à la fin de l’expérience vécue par la femme. Bien que, encore une fois, je n’ai été engagée que pour les assister pendant la procédure proprement dite ».
Lesnoff a expliqué que l’établissement effectuait « un minimum de 40 avortements les jours de semaine et 60 le samedi ». L’établissement était autorisé à pratiquer des avortements du premier trimestre, et il allait jusqu’à pratiquer 10 avortements supplémentaires par jour s’il le pouvait, car, comme elle l’a expliqué, « nous ne voulions pas qu’elles changent d’avis, que leurs parents le découvrent et changent d’avis pour elles, ou qu’elles traversent le Mississippi pour se faire avorter dans l’État du Missouri ».
Lire la suitePlusieurs États démocrates veulent permettre aux hommes se disant femmes d’être internés dans les prisons féminines
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Burst
1er juin 2021 (LifeSiteNews) — Les États bleus multiplient les projets visant à transférer les condamnés de sexe masculin qui s’identifient comme femmes dans des prisons pour femmes, malgré les récents rapports d’agressions sexuelles commises derrière les barreaux par des hommes confus au sujet de leur sexe.
La semaine dernière, les législateurs du Maine ont présenté le projet de loi LD 1044, qui exige que les prisonniers soient logés dans des établissements en fonction de leur « identité sexuelle ». Un article du projet de loi intitulé « affirmation de genre » stipule que les détenus doivent être traités « indépendamment de leur anatomie ou de leur physique » pour le logement et les « procédures de fouille ». Le comité du Maine sur la justice pénale et la sécurité publique a approuvé le LD 1044 par un vote unanime mardi dernier.
La volonté du Maine d’éliminer les prisons spécifiquement destinées à un sexe intervient dans un contexte d’intégration massive d’hommes biologiques* dans des établissements correctionnels féminins en Californie, avec peu de considération pour leur possible statut de délinquant sexuel.
Depuis que la Californie a révisé les règles pénitentiaires l’année dernière, plus de 260 détenus étant confus au sujet de leur sexe ont demandé à changer d’établissement, rapportait Breitbart en avril. La quasi-totalité des demandes émanent d’hommes souhaitant être placés avec des femmes, et aucune d’entre elles n’a été refusée en vertu de la loi, qui, comme dans le Maine, ne tient pas compte de l’anatomie.
Onze hommes, dont certains sont des violeurs ou des meurtriers, ont déjà été placés dans la Central California Women’s Facility, la plus grande prison exclusivement féminine des États-Unis, selon le World News Group.
Lire la suite