Une autre femme transportée d’urgence à l’hôpital pour « saignement excessif » après un avortement dans un avortoir de Planned Parenthood
Par Ricardo Pinedo (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rawpixel.com/Adobe Stock
10 octobre 2024, Flossmoor, Illinois (Operation Rescue) — Une fois de plus, le mythe de « l’avortement sans risque » s’est avéré n’être qu’un mythe. Le 20 août, une autre femme a été transportée aux urgences après une procédure d’avortement — un événement qui n’est pas surprenant dans l’Illinois, un État qui est devenu une destination pour l’avortement. La mère a subi un avortement au Planned Parenthood de Flossmoor et a malheureusement rejoint la liste des nombreuses femmes victimes de la cupidité du cartel de l’avortement.
Un employé de Planned Parenthood a appelé le 911 pour demander le « transfert » d’une patiente qui présentait des saignements excessifs. L’hémorragie est l’une des complications les plus courantes dont souffrent les femmes pendant et après un avortement chirurgical. Elle est souvent causée par une perforation utérine extrêmement dangereuse, due au fait que les instruments d’avortement ont perforé la paroi de l’utérus.
Elle est parfois causée par des lacérations du col de l’utérus, et parfois par d’autres causes. Bien que nous sachions que cette femme a été transportée aux urgences en raison de saignements excessifs, nous n’en connaissons pas la cause exacte et nous ne savons pas si elle a survécu. Même si elle survit, ce type de blessure peut entraîner une incapacité permanente à porter un enfant, une cicatrice au niveau du col de l’utérus, des abcès pelviens ou d’autres affections qui dureront toute la vie.
Lire la suiteUne famille célèbre la sortie de l’hôpital de leur bébé prématuré né à 22 semaines
Nakeya Haywood et son bébé Nyla.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Une famille de l’Illinois célèbre un retour à la maison très spécial cette semaine, car Nyla Haywood, âgée de six mois, est sortie de l’hôpital après sa naissance précoce à seulement 22 semaines de grossesse.
Considérée comme « micro-prématurée » en raison de sa petite taille et de son arrivée extrêmement précoce, Nyla ne pesait que 510 grammes et mesurait 28 cm à la naissance, après que sa mère, Nakeya Haywood, ait commencé le travail prématurément en raison d’une pré-éclampsie.
« On m’a diagnostiqué une pré-éclampsie à 22 semaines, et à partir de là, les choses ne se sont pas forcément améliorées. Nous avons dû prendre la décision difficile d’accoucher. C’est à peu près le début de l’histoire », a déclaré Mme Haywood à Fox 32. « C’était une période très effrayante ».
Une équipe médicale d’au moins 15 personnes à l’hôpital Silver Cross de New Lenox s’est occupée de Nyla immédiatement après sa naissance.
Lire la suiteUn projet de loi de l’Illinois condamnerait les parents qui tentent d’empêcher l’avortement d’une mineure
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
Un nouveau projet de loi présenté dans l’Illinois suscite l’inquiétude des groupes de défense des droits des parents.
Le projet de loi HB4876, présenté par la députée Anne Stava-Murray, vise à modifier la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés afin d’inclure les enfants à qui l’on refuse les « soins médicaux nécessaires » dans la catégorie des victimes de maltraitance. Si le fait de se voir refuser des soins de santé légitimes constitue en fait une forme de maltraitance, Mme Stava-Murray a inclus l’avortement et les « soins d’affirmation du genre » dans la catégorie des « soins médicaux nécessaires », de sorte que si un parent refuse que son enfant subisse un avortement, il peut être accusé de maltraitance.
Elle réaffirme également que les enfants peuvent consentir à obtenir un avortement ou des « soins d’affirmation du genre » sans avoir besoin de l’approbation d’un parent.
Lire la suiteModifie la loi sur le signalement des enfants maltraités et négligés. Prévoit que l’expression « enfant maltraité » désigne un enfant dont le parent ou un membre de la famille immédiate, ou toute personne responsable du bien-être de l’enfant, ou toute personne résidant dans la même maison que l’enfant, ou un amant du parent de l’enfant refuse à l’enfant l’accès aux soins médicaux nécessaires, y compris, mais sans s’y limiter, les services de soins primaires, les services d’avortement ou les services d’affirmation du genre. Modifie la loi sur le consentement des mineurs aux soins de santé. Précise que le consentement à la prestation de services d’avortement et de services d’affirmation du genre exécuté par un mineur n’est pas annulable en raison de sa minorité. Prévoit qu’un professionnel de la santé fournissant des services d’avortement et des services d’affirmation du genre n’encourt pas de responsabilité civile ou pénale pour défaut d’obtention d’un consentement valable ou de sanction professionnelle pour défaut d’obtention d’un consentement valable si le professionnel de la santé s’est appuyé en toute bonne foi sur les déclarations faites par la personne mineure.
Un conseil municipal de l’Illinois autorise le drapeau pro-vie à flotter sur l’hôtel de ville
Par Savannah Dudzik (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Quelques mois seulement après avoir déployé un drapeau de la « fierté » à l’hôtel de ville*, un conseil municipal de l’Illinois a voté en faveur de l’installation d’un drapeau pro-vie à l’occasion du Mois du respect de la vie.
Lors de la réunion, le conseil municipal de la ville de Galesburg a voté à 5 voix contre 2 pour approuver le déploiement du drapeau après qu’un résident, M. Brent Zhorne, ait insisté pour qu’il soit déployé. M. Zhorne a déclaré que « la vie est sacrée — c’est quelque chose de précieux et nous devons la protéger ».
Zhorne affirme qu’il ne représente pas Knox County Right to Life ni aucune autre organisation.
Mais M. Zhorne n’était pas le seul à être favorable au déploiement du drapeau ; de nombreux membres du groupe pro-vie local ont assisté à la réunion pour soutenir l’idée.
« J’aimerais que le drapeau soit déployé parce que nous respectons la vie — à tous les stades de la vie », a déclaré une femme présente à la réunion.
Un autre homme a déclaré : « Cette cause est si sacrée pour notre pays, pour nous-mêmes, et pour notre foi ».
D’autres, en revanche, ont estimé que le drapeau était plutôt le symbole d’un manque d’intégration, même si le drapeau pro-vie vise à reconnaître la dignité du groupe d’êtres humains le plus marginalisé de la société : ceux qui sont vivants dans l’utérus, mais pas encore nés.
Lire la suiteUne étudiante chrétienne gagne contre l'université qui tentait de la réduire au silence
Maggie DeJong.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une étudiante chrétienne a obtenu un règlement judiciaire après que l'université qu'elle fréquente ait tenté de la réduire au silence. Et trois professeurs libéraux devront suivre une formation sur la liberté d'expression comme condition de l'accord.
Comme LifeNews l'a précédemment rapporté, le procès de Maggie DeJong contre les responsables de la Southern Illinois University Edwardsville a eu lieu après que l'université ait tenté de se soustraire à ses responsabilités pour avoir violé les droits constitutionnels de Maggie DeJong.
Alors qu'elle était étudiante diplômée dans le programme de thérapie artistique de la SIUE, Maggie DeJong, comme beaucoup d'autres étudiants, a publié des documents sur ses comptes de médias sociaux, envoyé des messages à d'autres étudiants et participé à des discussions en classe sur toute une série de sujets, notamment la religion, la politique, la théorie critique de la race, les réglementations COVID-19 et la censure. Mais comme les opinions de Mme DeJong, fondées sur sa foi chrétienne et ses positions politiques, différaient souvent de celles des autres étudiants du programme d'art-thérapie, plusieurs de ses camarades de classe ont signalé ses propos aux autorités de l'université.
En février 2022, ces autorités ont émis des ordres de non-contact contre DeJong, lui interdisant « tout contact » ou même « toute communication indirecte » avec trois autres étudiants diplômés qui se plaignaient que l’expression de ses points de vue religieux et politiques constituait un « harcèlement » et de la « discrimination ».
Deux semaines après avoir reçu une lettre des avocats de l'Alliance Defending Freedom informant l'université que le fait d'étouffer l'expression de Mme DeJong en raison de son point de vue est inconstitutionnel, les responsables de la SIUE ont finalement divulgué à Mme DeJong les documents qui sous-tendent les ordonnances d'interdiction de contact et l'enquête qui s'y rapporte. Le même jour, l'université a mis fin à son enquête sans fondement sur Mme DeJong, mais pas avant d'avoir violé ses droits au titre du premier amendement et d'avoir terni sa réputation en raison de ses convictions.
Lire la suiteUn militant pro-famille raconte comment la prière et la manifestation ont fait annuler un événement de drag-queen pour adolescents
Manifestation contre un événement de drag-queens à Rockton en Illinois.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : proliferockford.com
17 juillet 2023, Rockton, Illinois (LifeSiteNews) — Un père de famille, activiste catholique pro-famille, a récemment partagé avec LifeSiteNews combien la prière a été puissante pour repousser un événement de drag-queen dans une bibliothèque.
Danniel Pribble sait comment rester fort face à l’adversité — il a été attaqué à la fois pour son plaidoyer en faveur de la Messe latine traditionnelle (TLM) et pour son travail pro-vie en l’espace de seulement deux mois.
Pribble a déclaré à LifeSiteNews que la prière a aidé un groupe avec lequel il est impliqué, Rockford Family Initiative, à forcer [l’annulation] d’un événement de drag-queen pour adolescents.
« La bibliothèque a été inondée de centaines, voire de milliers d’appels et de courriels de personnes mécontentes de l’événement, qui demandaient son annulation », a déclaré M. Pribble par texto.
Plus de 250 personnes se sont présentées à l’extérieur de la réunion du conseil d’administration avec des banderoles et des pancartes, ce qui a eu un impact important dans la petite ville de Rockton.
« Nous avions un mégaphone et nous avons prié six chapelets, chanté des hymnes et même eu recours à un joueur de cornemuse et à un batteur [pendant] plus de deux heures », a déclaré M. Pribble dans ce message. Il a ajouté qu’un prêtre d’une église locale célébrant la messe en latin était présent avec environ 75 paroissiens.
Lire la suiteUne nageuse d’Illinois accusée de « discours de haine » pour avoir protesté contre la politique transgenre des vestiaires du YMCA
Abbigail Wheeler.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
12 juillet 2023, Springfield, Illinois (LifeSiteNews) — La famille d’une nageuse adolescente du YMCA de l’Illinois affirme que celle-ci a été empêchée de participer aux activités de son équipe pour avoir protesté contre la décision de laisser les garçons qui « s’identifient » comme des femmes entrer dans les vestiaires des filles.
Fox News rapporte qu’en avril, Abbigail Wheeler, 16 ans, de Springfield, est entrée dans le vestiaire de l’équipe de natation YMCA SPY locale où elle a rencontré deux hommes biologiques. Selon le père d’Abbigail Wheeler, les objections formulées auprès de l’entraîneur principal de natation, Alex Totura, puis auprès de la directrice générale de la section locale du YMCA, Angie Sowle, se sont heurtées à l’affirmation selon laquelle l’organisation ne pouvait rien faire, et le YMCA a également rejeté les demandes visant à au moins informer l’équipe de natation de la politique suivie.
« Après la réunion des parents, ma fille, sa mère et une autre mère de nageuse ont approché Mme Sowle et l’entraîneur Totura », explique le père. « Ma fille a dit qu’elle ne comprenait pas pourquoi cela se produisait et a demandé depuis combien de temps le YMCA était au courant. L’entraîneur Totura a ri et a déclaré : “Les transgenres existent depuis longtemps”. Ma fille a alors déclaré : “Ce n’est pas la question que j’ai posée”. Elle a reposé la question et Mme Sowle a répondu : “Nous le savons depuis un certain temps” ».
Wheeler et une coéquipière ont donc pris les choses en main en accrochant des panneaux dans le vestiaire des filles avec des messages tels que « Femmes biologiques uniquement ». Totura a ensuite accusé Wheeler d’avoir tenu un « discours de haine » et lui a interdit de participer aux activités avec le reste de l’équipe, selon le père.
Lire la suiteDes milliers de personnes se rassemblent à la Marche pour la vie de l’Illinois
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 mars 2023, Springfield, Illinois — Des milliers de défenseurs pro-vie se sont rassemblés au Capitole de l’Illinois le mardi 21 mars 2023, pour la Marche pour la Vie de l’Illinois. Des chefs civiques et religieux se sont adressés à la foule devant la statue de Lincoln, plusieurs reprenant les mots du Grand émancipateur en appelant les législateurs de l’Illinois à protéger les femmes et les enfants victimes de l’industrie de l’avortement.
Immédiatement après la marche, des militants pro-vie ont rencontré des représentants et des sénateurs de l’État pour leur expliquer comment les centres de ressources pour la grossesse apportent un soutien tangible aux femmes en leur proposant des tests de grossesse, des échographies, des berceaux, des sièges d’auto, des cours d’éducation parentale et des couches.
Mgr Thomas J. Paprocki, évêque du diocèse catholique romain de Springfield (Illinois), s’est fait l’écho d’Abraham Lincoln en parlant de l’avortement avec les mêmes mots que ceux utilisés par Lincoln pour parler de l’esclavage en 1868 à Springfield.
Mgr Thomas Paprocki.
« Une maison divisée contre elle-même ne peut subsister », a affirmé Mgr Paprocki. « Je pense que ce gouvernement ne peut subsister s’il est en permanence à moitié favorable à l’avortement et à moitié favorable à la vie. Je ne m’attends pas à ce que l’Union soit dissoute — je ne m’attends pas à ce que la maison s’écroule — mais je m’attends à ce qu’elle cesse d’être divisée. Elle deviendra ou tout l’un ou tout l’autre ».
Mgr Paprocki a ensuite appelé « les membres des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire du gouvernement de l’État de l’Illinois [...] à faire preuve de compassion pour les vies des plus vulnérables d’entre nous, les vies humaines sacrées des bébés à naître ».
Lire la suiteLe plus jeune mannequin transgenre du monde : 10 ans
« Noella » McMaher.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Reduxx/Twitter
26 août 2022, Chicago (LifeSiteNews) — Les tuteurs « non binaires » d’un jeune garçon, qui a été publiquement présenté comme enfant drag queen, auraient déclaré qu’ils prévoyaient lui faire prendre des bloqueurs de puberté et à lui faire subir des opérations transgenres lorsqu’il aura 16 ans.
L’histoire a suscité de vives réactions sur les médias sociaux, leurs opposants estimant que la mère de l’enfant et son « conjoint » se livrent à des abus sur l’enfant.
Noella McMaher a été présenté par les idéologues LGBT comme le « plus jeune modèle transgenre » du monde, selon le Daily Wire. Le garçon de 10 ans a été élevé comme fille depuis qu’il est tout petit et a subi un changement de nom légal à l’âge de sept ans.
La semaine dernière, le garçon a fait la une des journaux pour avoir défilé sur le podium de la Fashion Week de New York, habillé en fille et représentant la marque Trans* Clothing Company.
Noella vit actuellement avec sa mère Dee et son « conjoint » Ray, toutes deux des femmes qui s’identifient comme transgenres. Les deux femmes ont également la garde du frère de Noella (qu’elles élèvent comme garçon), ainsi que celle d’un bébé appelé « theybie ». Toutes deux travaillent professionnellement dans l’activisme de gauche.
Lundi, REDUXX a souligné que la mère de la fillette de 10 ans et son « conjoint » transgenre ont affirmé il y a plusieurs années qu’ils mettraient Noella sous traitement hormonal et médicamenteux bloquant la puberté. Elles avaient également l’intention de lui faire subir des opérations transgenres à l’âge de 16 ans.
Le « plus jeune mannequin transgenre du monde », Noella McMaher, 10 ans, vient d’un foyer à prédominance transgenre et est l’enfant d’une activiste trans professionnel.
Il se serait déclaré à l’âge de 2 ans et devrait subir des « opérations du genre » à 16 ans.
Selon l’article publié en 2019 dans Chicago Parent, la mère du garçon a déclaré qu’il avait commencé à dire qu’il était vraiment une fille à l’âge de deux ans, et qu’il avait subi une « transition sociale » à l’âge de quatre ans.
Le média a déclaré que Dee avait « hâte de voir » l’enfant, alors âgé de sept ans, « grandir et se transformer en la personne qu’elle [sic] est et devait être. »
Lire la suiteLes adolescentes en Illinois pourront avorter à l’insu de leurs parents
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : AndrewLozovyi/Depositphotos
Déresponsabiliser : voilà l’objectif — involontaire peut-être, mais quand même présent — d’une nouvelle loi en Illinois « autorisant les jeunes filles à se faire avorter à l’insu de leurs parents » comme le rapporte LifeSiteNews.
L’ironie tragique de la situation est que « l’État n’autorise pas les mineures à se faire percer les oreilles sans le consentement parental ». Se faire percer les oreilles aurait donc plus de poids et de gravité que tuer son propre enfant à naître ?
Comment ces adolescentes auront-elles le courage d’affronter une grossesse non prévue seule, sans l’autorité, le support et les conseils de leurs parents, alors qu’elles pourront facilement avorter ? Seront-elles vraiment toutes conscientes que l’acte qu’elles croient faire sans laisser aucune trace porte la conséquence grave d’enlever une vie irremplaçable ?
Le représentant de l’État républicain Tom Morrison a affirmé avec justesse que « Devenir enceinte en tant que mineure est une affaire très sérieuse, tout comme se faire avorter chirurgicalement ou chimiquement en tant que mineure est une affaire très sérieuse... Dans les deux cas, les parents ont le droit de savoir ce qui se passe avec leurs enfants. »
L’État prétend enlever la responsabilité primordiale aux parents de guider, de protéger, de conseiller, de défendre, d’aider, et de veiller sur leurs filles en laissant celles-ci agir dans leur dos.
Mgr Thomas Paprocki, évêque du diocèse de Springfield en Illinois, a qualifié la signature du projet de loi de « moment sombre et honteux dans l’histoire de l’État de l’Illinois... Il est frappant de constater à quel point cette législation fournit couverture, secret et obscurité sur les mauvaises actions ». » Moment sombre et moment tragique autant pour les parents et leurs droits que pour les jeunes filles et leur besoin d’appui parental.