Un responsable Ikea inculpé pour avoir licencié un salarié catholique refusant de promouvoir l’idéologie LGBT
Par Olivier Bault (Présent) — Photo : Jacki Vance-Kuss/Flickr
Une responsable RH de magasin Ikea en Pologne avait renvoyé un salarié qui refusait de participer à une « journée de solidarité avec les personnes LGBT » et qui avait commenté négativement un article publié par sa direction sur l’intranet de l’entreprise sous le titre « L’inclusion des personnes LGBTQ+ est un devoir pour chacun de nous. ». C’était il y a un an. Le salarié en question avait cité des fragments de la Bible pour expliquer son désaccord avec l’obligation de promouvoir les attitudes LGBTQ+ au travail et il n’était pas venu au travail pour cette « journée de solidarité avec les personnes LGBT », en expliquant que ce que lui demandait son employeur était incompatible avec sa foi catholique.
Dans un communiqué publié le 27 juin 2019 et signé par la directrice de la communication d’Ikea Pologne en réaction à la couverture médiatique de l’affaire, on apprenait que « quand il existe ne serait-ce qu’un risque d’atteinte à l’intégrité ou à la dignité d’autres salariés, nous prenons les mesures nécessaires conformes au droit du travail et à nos valeurs ». Pour l’enseigne suédoise, les citations de la Bible avancées par le salarié étaient une incitation à la haine. Le salarié, de son côté, se défendait en expliquant qu’il avait signé avec Ikea un contrat pour vendre des meubles, et on lui demandait maintenant de participer à une action en faveur des « valeurs » LGBT. Le ministre de la Justice polonais avait saisi le parquet en affirmant avoir reçu à cette occasion d’autres plaintes de salariés d’Ikea à propos de la promotion forcée de l’idéologie LGBT au sein de l’entreprise.
Le 27 mai dernier, on apprenait par les médias polonais que le parquet de Varsovie-Praga avait mis en examen la responsable RH à l’origine du licenciement. Les commentaires du salarié licencié sous l’article « L’inclusion des personnes LGBTQ+ est un devoir pour chacun de nous » n’ont pas été considérés comme une incitation à la haine ni comme une attaque contre des personnes concrètes de l’entreprise, tandis que l’attitude de l’employeur constitue pour le parquet polonais une atteinte aux droits du salarié sur la base de son affiliation religieuse. On peut lire dans le communiqué du parquet que celui-ci a décidé d’inculper la responsable RH du magasin Ikea en s’appuyant notamment sur l’article 53 de la Constitution polonaise qui garantit la liberté de conscience et de religion ainsi que sur l’article 54 qui garantit la liberté d’exprimer ses opinions. Pour le parquet polonais, l’employeur, y compris dans le cas présent la multinationale Ikea pour ses activités en Pologne, est tenu de respecter la vie privée des salariés et de s’abstenir à leur égard de toute action à caractère idéologique sans rapport avec la relation de travail.
Ikea renomme la fête de Noël en Festival de l’hiver
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : mastrminda/Pixabay — Mise à jour, 6 décembre 2019 : Si IKEA utilise encore le mot Noël, c'est pour renvoyer à la collection « Vinterfest » ou Winterfest (Fête de l'hiver). Il y a donc une volonté de remplacer, du moins partiellement, Noël.
On trouve tout chez Ikea dit la pub sauf… les boules du sapin de Noël, les guirlandes et autres lampions qui marquent le temps festif de la naissance du Christ.
Fini Noël chez Ikea, pour ne pas offenser les nouveaux arrivants dans les pays scandinaves, place à la Fête de l’hiver. Dorénavant, novlangue de soumission oblige, ce sera donc boules de la Fête de l’hiver, guirlandes et sapin de la fête de l’hiver, etc. Pour rester « neutres » ! Et tous ces objets de décoration du temps de Noël se trouveront au rayon Winterfest. [Les Soviétiques, eux, dans leur plan d’éradication du christianisme avaient remplacé saint Nicolas par « Did Moroz », ou Grand-père Froid…]
Le chef du Parti populaire danois, Peter Skaarup, a critiqué cette décision sur Facebook :
Alors que la grande majorité des Danois attendent avec impatience de célébrer le traditionnel Noël danois, IKEA a commencé à préparer ses décorations pour un festival de l’hiver. J’aime beaucoup la Suède et les Suédois, mais ce politiquement correct devient un peu accablant.
Ikea prétend que ce changement est dans un but uniquement commercial. Le géant suédois nous permettra d’en douter…
Le grand remplacement passe aussi par cette disparition des traditions religieuses occidentales.
Un employé d’IKEA renvoyé pour critique biblique de l’homosexualité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : mastrminda/Pixabay
À cause d’une critique interne, consistant en une citation biblique, d’un événement de la « Fierté gaie » organisé par le magasin IKEA de Cracovie un employé de longue date s’est fait renvoyer ; celui-ci intente une poursuite en justice. Extrait de RT :
Un homme nommé dans les médias polonais sous le nom de Tomasz K., un employé de longue date du magasin IKEA de Cracovie, a récemment été licencié après avoir publié une citation de la Bible en réponse à un avis sur l’intranet du détaillant qui annonçait un événement gay pride. Les versets en question dénonçaient l’homosexualité. Le travailleur congédié a alors intenté une poursuite en justice [...]
Vendredi, le ministre polonais de la Justice, Zbigniew Ziobro, a annoncé qu’il avait ordonné au bureau du procureur d’enquêter sur cette affaire [...]
Suivant les nouvelles, le détaillant a déclaré qu’il avait licencié Tomasz K. pour avoir insulté les sentiments des personnes LGBT « en utilisant des citations de l’Ancien Testament à propos de mort et le sang dans le contexte de quel sort devrait attendre les personnes homosexuelles ».
Toutefois, l’ancien employé, ainsi que le groupe juridique Ordo Iuris, qui représente ses intérêts, nient que sa déclaration contienne quelque menace ou une insulte que ce soit.
IKEA et Target soutiennent, fêtent et promeuvent les mouvements LGBT++++
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
En dépit de tout bon sens, ces deux grandes chaînes de magasins soutiennent les groupes LGBT, véritables destructeurs de la civilisation, qui ont un point commun entre leurs partisans et ceux de l’avortement (s’ils ne sont aussi pour) : de vouloir une liberté absolue quant à leur corps, d’avoir pour principe le « mon corps, mon choix ». Du côté d’IKEA l’on fête la journée que certains ont dédiée au positionnement « contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie », d’après LifeSiteNews :
Les établissements IKEA au Canada ont hissé un drapeau arc-en-ciel le 17 mai pour commémorer la prohomosexuelle « Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie ».
Le président d’IKEA Canada, Michael Ward, a déclaré que le fait de hisser le drapeau prohomosexuel symbolise l’engagement d’IKEA envers la « diversité et l’inclusion ».
D’après un autre article de LifeSitenews, la chaîne de magasins Target projetterait de donner 100 000 $ à un organisme LGBT destiné à répandre sa théorie perverse dans les écoles :
Les grands magasins Target n’offrent pas seulement des vêtements et des accessoires célébrant le mode de vie homosexuel aux adultes et aux enfants, mais l’entreprise s’est également engagée à faire un don à un organisme sans but lucratif qui forme les élèves et les enseignants à la politique LGBT et à la défense des droits.
Sur le site officiel de Target, plusieurs pages sont consacrées à des marchandises arborant le drapeau arc-en-ciel de la fierté gaie ainsi que des messages visant à instiller la fierté dans le mode de vie LGBT. De plus, Target proclame qu’elle fait un don de 100 000 $ à GLSEN, un organisme fondé en 1990 qui se présente comme « le principal organisme national d’éducation voué à assurer l’existence d’écoles sûres et encourageantes pour élèves LGBTQ ».
Selon le site Internet de GLSEN, « Notre mission est de créer des écoles sûres et encourageantes pour tous, indépendamment de l’orientation sexuelle, de l’identité ou de l’expression sexuelle ».
L’organisation propose des plans de cours pour les élèves du primaire sur les pronoms et la terminologie « neutre » dans le cadre du tronc commun et présente l’idéologie du genre aux élèves de troisième année. Le GLSEN travaille en partenariat avec les Nations Unies et des groupes aux vues semblables au Canada, en Chine, en Irlande, en Israël, en Afrique du Sud et au Royaume-Uni.