La Cour suprême américaine décidera-t-elle si les étudiants masculins prétendant être « filles » peuvent utiliser leurs douches ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Peut-être qu’enfin le gouvernement américain va mettre un terme à ces folies. Nous allons peut-être aussi enfin voir ce que vaut Brett Kavanaugh, récemment nommé à la Cour suprême. Extrait de LifeSiteNews :
La controverse sur le fait d’obliger les garçons et les filles à partager les toilettes dans les écoles publiques pourrait finalement être entendue par la Cour suprême des États-Unis, si celle-ci accède à une demande du cabinet pro-liberté religieuse Alliance Defending Freedom (ADF).
Il s’agit d’une plainte déposée par quatre élèves du secondaire (américain) de Boyertown, en Pennsylvanie, qui s’opposent à ce qu’on les oblige à partager les toilettes et les vestiaires avec des adolescents qui « s’identifient » comme étant du sexe opposé. Ils soutiennent que le district scolaire de la région de Boyertown viole leur droit à la vie privée au nom du transgenrisme.
Le premier ministre d'Australie pour l'identification homme/femme sur les documents officiels
Scott Morrison, premier ministre d'Australie.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Cameron Spencer/Getty Images
Par contre au Canada il existe les possibilités aberrantes de mettre, en Colombie-Britannique, « genre inconnu » sur sa carte d'assurance maladie, en Alberta de changer d'identité sexuelle sur son assurance automobile et dans tout le pays de mettre « sexe X » sur son document d'assurance emploi. Extrait de LifeSiteNews :
Le premier ministre australien a pris une position ferme contre les documents publics [de l'opposition] pour les « non binaires » mardi, alors que le parti d'opposition s'est engagé à faire pression sur la question s'il prenait le pouvoir.
Le Parti travailliste du pays a publié un projet de plate-forme nationale qui s'engage à soutenir les options d'identification « au-delà du homme/femme binaire » sur les documents gouvernementaux comme les passeports, rapporte le Daily Mail. Le parti tiendra sa conférence nationale triennale en décembre, au cours de laquelle un programme définitif sera mis aux voix.
[...]
Le premier ministre, Scott Morrison du Parti libéral, n'est toutefois pas d'accord :
« Un gouvernement national libéral ne supprimera jamais le sexe des certificats de naissance, des permis et des passeports — de qui se moquent les travaillistes ? Soyez réalistes... »
L'idéologie du genre est sans fondement
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikipedia
Voici un extrait d'un excellent texte expliquant les raisonnements de la théorie du genre (qui est plutôt une idéologie qu'autre chose), ses objectifs, la sorte de société qu'elle donne et, gravissime entre tous, son effet sur les enfants.
Extrait de Vigi-Gender :
Lire la suiteDéfinition du genre (ou idéologie du genre)
Le genre est un concept qui promeut l’indifférenciation sexuelle, au sens large, c’est-à-dire incluant la sexualité. Il est basé sur un postulat:
Postulat:
Notre corps n’a aucune signification ;
il n’a aucune influence sur nos comportements, nos centres d’intérêt, nos aptitudes, nos
rôles dans la société.L’homme et la femme sont une construction culturelle et sociale
indépendante de la réalité de leur corps.Par conséquent,
je ne suis pas homme ou femme.
Je me définis par l’orientation sexuelle que je choisis : homosexuel, bisexuel, hétérosexuel,
transsexuel…
Le gouvernement américain envisage de définir l'identité sexuelle d'après la biologie
Donald Trump, président des États-Unis.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Etats-Unis — L’administration de Donald Trump envisage de définir très strictement l’identité sexuelle comme étant liée aux organes sexuels à la naissance, a rapporté le New York Times dimanche, ce qui aurait de facto pour conséquence de ne plus permettre aux transgenres d’obtenir une reconnaissance administrative sous un autre sexe que celui de leur naissance.
Le ministère américain de la Santé propose, dans une note interne obtenue par le journal, d’établir une définition légale de l’identité sexuelle pour accompagner les lois fédérales interdisant la discrimination dans les programmes éducatifs financés par le gouvernement.
« Le sexe recouvre le statut d’un individu étant masculin ou féminin, selon des traits biologiques immuables identifiables à la naissance ou avant », écrit le ministère dans sa proposition de définition rapportée par le New York Times.
« Le sexe indiqué sur le certificat de naissance d’origine d’un individu doit constituer la preuve définitive du sexe d’une personne, à moins qu’il ait été infirmé par des preuves génétiques fiables », ajoute le texte.
Le ministère de la Santé a également appelé les ministères de l’Éducation, de la Justice et du Travail à adopter sa définition afin d’harmoniser les directives du gouvernement et de renforcer les chances que les tribunaux acceptent cette définition.
Depuis son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2017, Donald Trump est revenu sur plusieurs mesures prises par son prédécesseur très attentif à satisfaire le lobby LGBT. Dès l’été 2017, Trump avait ainsi annoncé qu’il comptait interdire les transgenres dans l’armée.
Des enfants de six ans chargés à l’école d’écrire des lettres d’amour entre deux hommes
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
Il aurait été demandé à des petites filles d’écrire une lettre d’amour à un prince ou à des petits garçons d’ouvrir leur cœur à une princesse [ce serait quand même déplacé*], que l’affaire aurait été jugée effroyablement sexiste, digne du plus grand sectarisme sexuel qui soit, négatrice de liberté, voire attentatoire à la santé psychique des enfants… Dans l’autre sens, c’est bien. Parce que c’est LGBT+. Et que l’accueil de la diversité, c’est forcément beau, c’est même le souverain Bien d’aujourd’hui. L’institutrice qui passait sur la BBC dans un mini reportage a donc raconté sans sourciller comment elle faisait écrire des lettres d’amour entre deux hommes à ses élèves de six ans.
Les réseaux sociaux ont adoré – enfin pas tous.
« Cette classe d’enfants de six ans apprend le mariage gay »
La vidéo avait été initialement téléchargée sur la page Facebook de la BBC Radio Manchester. On y voit donc de jeunes enfants de l’école primaire Bewsey Lodge s’atteler à la tâche demandée par la maîtresse : « Vous êtes le prince Henry, vous allez dire à Thomas pourquoi c’est une idée géniale, pour lui, de l’épouser ». Une lettre d’amour donc, à rédiger, qui célèbre un mariage gay.
Lire la suiteMauvaise nouvelle : le Conseil national de Suisse approuve un projet de loi favorable à « l'orientation sexuelle »
Salle du Conseil national de Suisse.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Ce projet de loi rajouterait «l'orientation sexuelle» et «l'identité du genre» à la liste d'appartenances protégées de l'incitation à la haine et de la discrimination par la loi. Il faut que le projet de loi passe le Conseil des États pour être en vigueur
Extrait du site Le Temps :
À condition que le Conseil des États suive la Chambre basse, «l’orientation sexuelle» et «l’identité de genre» devraient désormais compléter [ah vraiment ?*] la liste. […] Le débat du projet de loi au Conseil national a donné lieu à quelques échanges musclés entre les partisans du projet et leurs opposants, représentés à la tribune par l’UDC genevois Yves Nidegger. Sous les hochements de tête de la gauche de l’hémicycle, ce dernier a déploré l’ajout de deux notions «juridiquement problématiques et indéfinissables» et interpellé ses collègues sur la question de savoir si «la pédophilie, la bisexualité […] et j’en passe — la créativité en la matière étant inépuisable — sont des orientations sexuelles qui doivent être protégées ou qui ne doivent pas l’être».
*CQV
New-York et l’option « Gender X » sur les documents d’état civil
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
[...]
Dorénavant, les New-yorkais pourront choisir d’indiquer un simple « X » sous la rubrique «sexe» sur leurs documents d’état civil. Cette disposition a été approuvée à la grande majorité du City Council de New-York et entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2019.
Qui le souhaite pourra donc changer l’indication du propre sexe sans certificat médical. Et les parents pourront choisir « X » pour le certificat de naissance de leurs enfants qui, adultes, décideront dans quel genre ils se reconnaissent.
Les associations Lgbt new-yorkaises exultent ! Elles parlent de « décision historique ». L’artisan de cette bataille pour le « Gender X » au Conseil municipal Corey Johnson jubile :
« New-York est toujours davantage la championne mondiale de l’égalité et de l’inclusivité. Maintenant les New-yorkais ne seront plus traités comme si leur identité était une question médicale. »
Le maire de la ville américaine, Bill de Blasio, s’était engagé publiquement en faveur de cette mesure, en déclarant que la loi aurait « permis aux transgenres et aux genres non conformes de vivre avec la dignité et le respect qu’ils méritent ». New-York rejoint ainsi les États de l’Oregon, de Californie, de Washington D.C. et du New Jersey [et au Canada], qui permettent déjà de choisir un troisième genre, outre à masculin et féminin.
[...]
L'idéologie transgenre infiltre l'assurance-emploi
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Gouvernement du Canada
Il est désormais possible de choisir le sexe « X » lorsque vous présentez une demande d’assurance-emploi.
Emploi et Développement social Canada (EDSC) a annoncé que les sans-emploi pourront désormais choisir le sexe « X » lorsqu'ils présenteront une demande d'assurance-emploi.
Le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, Jean-Yves Duclos, en a donc profité pour officialiser cette mise à jour de la demande d'assurance-emploi afin, selon ses propres mots, « d'offrir à tous les Canadiens une expérience de service plus inclusive ».
Ainsi, bien que plusieurs bureaux de l'assurance-emploi aient été fermés ces dernières années et que les chômeurs soient obligés de communiquer par téléphone, le gouvernement Trudeau leur offre désormais la possibilité de vivre « une expérience de service plus inclusive ».
Un communiqué de presse, émis par le même ministère, prend même la peine de nous instruire sur le fait que « les questions d'identités sont complexes et les notions de genre peuvent avoir une grande incidence sur la vie au quotidien des Canadiens ».
En effet, plusieurs sans-emploi se demanderont, sans doute, si le fait d'opter pour un « genre neutre » serait susceptible de leur ouvrir de nouvelles avenues sur le marché du travail.
En Alberta, « David » a changé d’identité sexuelle pour faire baisser sa prime d’assurance automobile
Par Matthieu Lenoir (Reinformation.TV)
Où vont se cacher l’identité sexuelle et le douloureux questionnement sur le genre ? « David », discret pseudonyme d’un habitant de l’Alberta, province canadienne des prairies et des Rocheuses, vient de profiter d’une loi lui permettant de changer de sexe sur ses documents d’identité afin de réduire sa prime d’assurance automobile. Âgé d’à peine plus de 20 ans, « David » va ainsi économiser quelque 1 100 dollars canadiens par an, soit environ 720 euros, par le simple fait de s’être déclaré « femme ». Emotion parmi les organismes LGBT de défense des transsexuels, aigreur chez les assureurs.
David a profité d’un « vide juridique » pour faire baisser sa prime d’assurance automobile
« J’ai voulu profiter d’un vide juridique », a expliqué « David » à la chaîne publique CBC. Etant âgé de moins de 25 ans et jusqu’ici considéré comme un homme, « David » entrait dans la catégorie à haut risque dans les référentiels de nos très chers assureurs. Son historique d’assurance automobile comporte déjà une collision et au moins une amende. Quand il a reçu le montant de la prime d’assurance pour sa Chevrolet Cruze, soit 4 500 dollars par an, il a demandé à sa compagnie quelle serait la note s’il était une femme. Réponse de l’assureur : 3 400 dollars. Presque 25 % de réduction.
Lire la suiteCanada : pour la première fois, la mention « genre inconnu » sur la carte santé d’un bébé
Kori Doty
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
L’idéologie du genre s’impose de manière de plus en plus ahurissante au Canada, où un enfant de huit mois a été noté comme étant de « genre inconnu » sur sa carte officielle de santé. L’enfant en question ne souffre pas d’un défaut génétique, son sexe biologique est parfaitement connu. Mais c’est à la demande de son parent (?) que la mention « U » (sans doute pour « unknown », inconnu, ou « unspecified », non spécifié) a été apposée sur le document au lieu du traditionnel M (« male ») ou F (« female »). Pour sauvegarder sa liberté de choix…
Les autorités sanitaires n’ont donc pas fait de difficultés pour suivre la requête du parent de « Searyl Atli » – nom qui ne révèle rien du sexe de l’enfant – exigeant l’omission du « genre » du bébé sur tous les documents d’identité ou officiels, tant que Searyl n’aura pas « la conscience de soi et une maîtrise suffisante pour (…) dire qui “ille” est ». En anglais ce parent qui se définit comme « non binaire » utilise la troisième personne du pluriel : « Who they are » (« qui ils sont »).
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