La fraude du « genre »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Vitabello/Pixabay
J’ai déjà parlé des aveux de cet universitaire canadien qui a participé à la diffusion de la théorie du genre dans le monde. Il a récemment révélé que ses études sur le « genre » étaient mensongères et aucunement basées sur des arguments solides. Pour la théorie du genre qu’il prônait, être homme ou femme relevait de la « construction sociale » et que l’appartenance d’un être humain à l’un de ces deux groupes relèverait du pure ressenti (inculqué bien sûr), mettant de côté la biologie, la génétique…
Nathalie Elgrably-Lévy a écrit ce 22 novembre un article sur les aveux de Christopher Dummitt, notant au début de son texte la progression foudroyante de la théorie du genre dans la société et son contrôle sans cesse grandissant (montrant son caractère idéologique), dont les conséquences sont désastreuses. Mme Elgrably-Lévy explique, dans Le Journal de Montréal :
Or, voilà qu’une tribune signée par Christopher Dummitt, un professeur de l’université Trent en Ontario, a ouvert la boîte de Pandore. Pendant 20 ans, il a publié des travaux pour valider la théorie du genre. Aujourd’hui, il confesse : « J’avais tort. Ou, plus précisément, j’avais partiellement raison. Pour le reste, j’ai globalement tout inventé de A à Z. Je n’étais pas le seul. C’est ce que tout le monde faisait (et fait encore). C’est ainsi que fonctionne le champ des études de genre. » Il ajoute : « Je partais du principe que le genre était une construction sociale et je brodais toute mon argumentation sur cette base »
Je dirais plutôt que ce professeur a commencé à refermer la boîte de Pandore, vue que c’est une boîte à catastrophes. Mais passons aux choses plus sérieuses. Quand M. Dummitt confesse : « J’avais tort. Ou, plus précisément, j’avais partiellement raison », j’imagine que ce « partiellement raison » veut dire qu’il considère que certaines attributions (métiers, occupations, rôles dans la société, caractères) faites aux hommes ou aux femmes relèvent de conventions sociales et des circonstances, et non de la biologie, ce en quoi il a peut-être… « partiellement raison. »
Il est déplorable, fait remarquer Mme Elgrably-Lévy, que les médias se taisent sur une révélation aussi importante, n’osant remettre en doute la théorie (idéologie) du genre, privilégiant ainsi une fraude intellectuelle (et même l’aidant activement) à la vérité, ce qui, note-t-elle : « n’est pas mon genre ! »
Les 100 « genres » seront-ils, ou non, adoptés à l’ONU ?
Cent « genres » ç'en fait plus que deux...
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam) ― Photo : pixel2013/Pixabay
New York, le 8 novembre (C-Fam). La semaine dernière, au quartier général de l’ONU, les nations se sont opposées [les unes aux autres] sur une proposition de traité relative aux crimes contre l’humanité. S’il est adopté, le nouveau traité changera la définition du genre dans le droit international pour y inclure plus de cent genres.
« Alors que le mot “sexe” est employé pour désigner les attributs biologiques, “genre” est maintenant utilisé plus largement pour reconnaître la diversité des identités et des expressions de genre ― homme, femme, les deux ou aucun ―, qui peuvent ou non s’aligner avec le genre typiquement ou socialement associé avec le sexe d’une personne » a dit le délégué du Canada en exprimant sa gratitude devant la décision de la Commission du Droit international de supprimer la définition du “genre” telle qu’elle apparaît dans le Statut de Rome de 1998 de la Cour Pénale Internationale.
La Commission du Droit international a proposé un projet de traité sur l’enquête […] des crimes contre l’humanité [et leur poursuite en justice], qui élimine la définition du genre du Statut de Rome. Le traité de 1998 définit le genre comme « homme ou femme dans le contexte de la société ». L’Assemblée générale doit maintenant décider si elle veut adopter ce projet, et le modifier ou non.
Les pays du nord ont salué la décision de supprimer la définition du genre comme homme et femme dans le droit international. D’autres [pays], principalement d’Afrique, s’opposent à cette modification et certains sont catégoriques sur le fait qu’abandonner cette définition du genre les empêcherait d’adhérer au traité.
[S’exprimant …] par la voix de la Norvège, les pays du nord ont dit que la modification reflétait « les réalités actuelles et le contenu du droit international » et « la construction sociale du genre, avec les rôles, conduites, activités et attributs qui en découlent pour les hommes et les femmes, les garçons et les filles ».
Lire la suiteCardinal Sarah : « La mentalité contraceptive » a mené à la mainmise des LGBT sur les écoles
Par Martin M. Barillas et Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
Madrid, 12 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Le cardinal guinéen Robert Sarah a vivement critiqué l’idéologie LGBT qui, selon lui, prend le dessus sur les gouvernements et les centres éducatifs, remontant environ soixante-dix ans jusqu’à la racine de l’acceptation générale de la contraception.
« La déstructuration de l’identité sexuelle, souvent appelée “théorie du genre”, contre laquelle le pape François emploie des mots durs et montre une attitude d’intolérance absolue, peut être comprise comme la conséquence anthropologique d’une mutation concrète », a déclaré le cardinal Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements du Vatican, le 7 novembre lors d’une conférence donnée à l’Université San Pablo de Madrid en vue du 21e Congrès des catholiques et la vie publique en Espagne. Son discours s’intitulait « L’importance de l’éducation dans la mission de l’Église aujourd’hui. »
La théorie du genre soutient que les organes sexuels masculins ou féminins ne déterminent pas l’« identité sexuelle » d’un individu, mais que le sentiment intérieur d’être un homme, une femme ou quoi que ce soit d’autre auquel une personne veut s’identifier (des douzaines d’« options de genres » ont été inventées pour aider les gens à identifier ce qu’ils ressentent pour eux-mêmes). La théorie soutient, par exemple, qu’une personne née avec un organe masculin de reproduction peut choisir de s’identifier comme « femme » et qu’il est discriminatoire de ne pas appuyer le choix de l’individu, y compris le choix de l’homme d’utiliser des pronoms féminins. La théorie soutient également que l’« identité de genre » d’une personne est fluide et peut changer avec le temps.
« Le premier maillon du processus impliquait les femmes, » disait le cardinal Sarah : « En fait, la mentalité contraceptive qui s’est fortement développée après 1950 a rendu possible une profonde déconnexion entre la femme et son corps, une déconnexion qui a radicalement changé la manière de comprendre la sexualité humaine, le mariage, la filiation et bien sûr l’éducation. »
L’Église catholique a réaffirmé sa condamnation de la contraception dans l’encyclique Humanæ Vitæ de 1968. Le pape Paul VI a prophétiquement prévenu que l’acceptation généralisée de la contraception conduirait, entre autres choses, à « l’abaissement général de la moralité ».
Le cardinal attribue à la phrase de l’écrivain français Simone de Beauvoir « On ne naît pas femme, on le devient » le mérite de résumer l’essence de la théorie du genre.
« Ajoutons que pour de Beauvoir, la famille, le mariage et la maternité sont la source de l’"oppression" et de la dépendance des femmes. La pilule aurait "libéré" les femmes en leur donnant le "contrôle de leur corps" et la possibilité d’en "disposer librement". Sous la devise féministe "mon corps m’appartient", une profonde aliénation du sujet incarné se cache en fait. En fait, derrière cette affirmation de « liberté » se cache une instrumentalisation du corps lui-même en tant que matériau disponible pour les désirs les plus indéterminés », expliquait-il.
Le cardinal montra ensuite le lien entre la contraception et la dissociation d’une personne de son corps masculin ou féminin.
« La mentalité contraceptive a engendré un dualisme entre la liberté individuelle considérée comme illimitée et toute puissante, d’une part, et le corps comme instrument de jouissance, d’autre part. Dans cette perspective, le corps sexué ne peut plus être vécu comme un signe et un instrument du don de soi, dont le but est la communion des époux [mais en première place la procréation]*. Le lien intrinsèque entre les deux significations de l’acte conjugal, la dimension procréative et la dimension unitive est rompu. Ce lien devient facultatif, et logiquement, la sexualité finit par n’être considérée que dans sa dimension relationnelle et productrice de plaisir. Les effets déstabilisateurs d’une telle mentalité n’ont pas tardé à se faire sentir », ajouta-t-il.
Lire la suiteL’Office québécois de la langue française dérange… euh… dégénère... ah oui ! «dégenre» le français
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jcomp/freepik
L’Office québécois de la langue française (OQLF), créé en 1961 par le gouvernement du Québec, est un organisme chargé de veiller à la pureté de la langue française, spécialement devant l’insidieuse langue anglaise qui a par trop la tendance à s’infiltrer dans le langage courant. L’on doit quelques heureuses inventions à cet organisme, comme « courriel » pour le néologisme anglait « email ».
Mais, comme l’explique Denise Bombardier dans Le Journal de Montréal :
Or sous la pression du lobby LGBTQ+, l’OQLF s’est fait piéger […] mine de rien, l’OQLF a décidé de se plier aux exigences du lobby LGBTQ+ en dégenrant le français. C’est ainsi qu’il cautionne toutes les théories non scientifiques opposant sexe et genre, comme on le fait dans les pays anglo-saxons.
Il faut dire que la Chambre de commerce LGBT du Québec (qu’est-ce que c’est que ça !), soutenue financièrement par l’OQLF, s’est incrustée dans l’Office et est parvenue à amener celui-ci à introduire des mots neutres qui ne sont en fait que des combinaisons androgynes… monstrueuses, au détriment du masculin et du féminin, seuls genres du français.
Mme Bombardier note donc :
Ainsi l’OQLF approuve-t-il en quelque sorte la rédaction bigenrée en proposant l’usage de termes qui combinent le masculin et le féminin. Par exemple, pour remplacer les mots frère et sœur, il propose frœur ou freureen et tancle pour désigner tante ou oncle. Ne reculant devant aucun obstacle ou aucune absurdité, l’OQLF suggère aussi qu’on remplace les pronoms ceux et celles par ceuzes et celleux et ils et elles par yels ou illes.
« frœur » et « freureen », je ne sais à quel sabir ces « mots » sont supposés ressembler, mais certainement pas à la langue française. Ne fût-ce que pour la violence qui est faite au français par cette mutation artificielle, français qui cessera bientôt de l’être, ces ajouts sont inacceptables, sans compter le côté idéologique qui se cache derrière…
Mme Bombardier souligne la participation active de l’UQUAM dans cette neutralisation du français (j’y mets ici les deux significations du mot) depuis des années. Et c’est sous l’œil bienveillant du gouvernement (tant) fédéral (que provincial) que la dénaturation s’accomplit :
Le gouvernement Trudeau est exemplaire en faisant preuve d’une tolérance sans réserve quant aux exigences transgenres. Le passeport canadien offre désormais trois options : homme, femme ou autre.
Quoi qu'il en soit, ressortez vos vieilles grammaires, car maintenant les organismes supposés préserver le français le détruise.
Un conseil scolaire vote pour laisser les garçons qui prétendent être filles utiliser les vestiaires de celles-ci
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/freepik
15 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Les soi-disant « guerres des toilettes » continuent de faire rage aux États-Unis, déchirant les communautés scolaires autour d’une question fondamentale : l’intimité et le bien-être des filles devraient-ils être sacrifiés au profit d’une poignée d’élèves qui prétendent être nés dans le mauvais corps, souvent poussés par une éducation sexuelle idéologique ? Le mouvement LGBT, sans surprise, répond à cette question par un oui catégorique.
À Palatine en Illinois, un débat de quatre ans sur « l’accès aux vestiaires pour les élèves transgenres » s’est terminé cette semaine lorsque le conseil scolaire du district scolaire 211 a voté à 5 contre 2 pour permettre aux élèves s’identifiant comme filles d’utiliser les vestiaires pour filles. La lutte a commencé en 2015, lorsque le ministère de l’Éducation du président Obama a accusé le district d’enfreindre la loi en refusant qu’un garçon s’identifiant comme filles entre dans les vestiaires des filles.
Après deux poursuites fédérales, le conseil a décidé de voter la permission aux élèves qui s’identifient comme transgenres d’utiliser les toilettes ou les vestiaires qui leur conviennent le mieux. La nouvelle politique stipule entre autres que les élèves transgenres « doivent être traités et soutenus d’une manière compatible avec leur identité sexuelle, ce qui comprend les élèves ayant accès aux toilettes et aux vestiaires qui correspondent à leur identité sexuelle ».
Les étudiantes ont été bouleversées par cette décision, d’autant plus que leur bien-être ne semblait pas avoir beaucoup d’importance ou d’importance pour la direction. « Je ne veux pas voir un étudiant transgenre nu dans les vestiaires », a dit une fille. Une autre élève, Julia Burca, de l’école secondaire Fremd, a été tout aussi directe : « Je me sens très mal à l’aise et je sens que c’est contre mes droits en tant qu’élève. »
Malheureusement pour ces filles, nous sommes en 2019, et leurs paroles sont considérées comme haineuses et transphobes. Leur désir de protéger leur corps des yeux des élèves masculins lorsqu’elles se changent, un instinct qui aurait été considéré comme admirable il y a peu de temps, est maintenant considéré comme la preuve que ces filles sont intolérantes. Intolérantes, ou peut-être tout simplement trop stupides pour se rendre compte que notre culture a récemment décidé que les filles peuvent aussi avoir un organe bien particulier, et que, par conséquent, leur malaise naturel devra être surmonté. Il est temps de se conformer au programme.
Lire la suiteCrash mental : Air Canada abandonne «Mesdames, messieurs» !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) — Photo : Bill Abbott
La dictature LGBT se sent pousser des ailes au Canada et c’est tout le pays qui entre en zone de turbulences dans son sillage… Dernier exemple en date : la compagnie Air Canada a annoncé qu’elle supprimait la formulation « Mesdames, messieurs » à bord de ses appareils afin de ne pas offenser les personnes qui ont choisi le genre « X » — comprenez : « ni homme ni femme » — désormais reconnu par l’état civil canadien.
« On est en 2019, tout le monde a le droit de se sentir bien dans sa peau et de ne pas vouloir se faire appeler Monsieur ou Madame », tente de justifier une hôtesse de la compagnie nationale. Oui, en 2019, au Canada, il y a les hommes, les femmes et les « X » ! II ne faudrait surtout pas que ces derniers se sentent discriminés !
Le personnel navigant devra donc s’adapter à la novlangue et utiliser des expressions « non genrées » comme « tout le monde ». Selon un communiqué interne consulté par le quotidien québécois La Presse, « le changement se reflétera prochainement dans la transmission de l’Onboard Announcement Manual [l’annonce faite à bord de l’avion, NDLR] dans le cadre de notre engagement de respecter l’identité sexuelle, la diversité et l’inclusion ».
Le métro de Londres a fait de même en 2017, en congédiant la formule « ladies and gentlemen ». Au Canada, on peut aussi indiquer le sexe neutre sur son passeport. Au Québec, il n’est plus nécessaire d’avoir une opération de changement de sexe pour changer son identité sexuelle à l’état civil.
Interrogés par La Presse, des membres d’Air Canada affirment que le personnel navigant aura besoin de temps pour changer ses habitudes. « Certains n’aiment pas le changement. Il y a des gens habitués à faire la même annonce depuis 30 ans, il y aura donc une période d’adaptation pour eux », explique ainsi une hôtesse de l’air. Et après cette période de tolérance, une période de rééducation ? Il serait temps que les Canadiens débarquent Justin Trudeau et reprennent un peu d’altitude, car le crash mental n’est pas loin…
La police d’Ontario ne révélera plus l’identité sexuelle des suspects
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ni non plus celle des victimes de ces suspects, et ce, pour raison de respect de la vie privée et pour se mettre à la mode sur la question de l’identité du « genre ». Extrait de CTV.News :
Le porte-parole de la Police provinciale de l’Ontario, le sergent Carolle Dionne, a déclaré lundi que lors d’un récent examen de la réglementation la police a conclu que la Loi sur les services policiers n’exige pas que cette information soit rendue publique.
Le corps policier a donc pris l’initiative de cesser de publier les informations concernant le genre, par prudence et s’efforcer d’« être progressiste dans le changement des temps », précisa-t-il.
Le Sergent Dionne fait remarquer que les permis de conduire et autres pièces d’identité ne requièrent plus la mention du sexe, et que les agents ne devraient pas faire d’hypothèses fondées sur l’apparence d’une personne.
Mais si les agents de police ne peuvent pas faire de supposition sur l’apparence, sur quoi fonderont-ils leurs enquêtes ? pourront-ils du moins dire (par exemple) : Cette personne ressemblait à un homme ? L’article continue :
« Nous utilisons les termes “l’individu”, “l’accusé”, “le conducteur”, “le suspect” ou “une personne d’intérêt” pour rester neutres sur le plan du genre », révéla-t-il.
Toutefois, des données sur le sexe [de la personne] seront toujours recueillies à des fins d’analyse, et d’autres renseignements personnels — comme le nom, l’âge et la ville natale — seront rendus publics, indiqua-t-il.
Pourquoi fournirait-on l’information au sujet du nom, de l’âge et de la ville natale, et pas du sexe ? Grotesque ! Et si on s’en venait aux « transâges », ne donnerait-on plus d’informations sur l’âge de la personne incriminée, et les policiers ne devront-ils plus faire d’estimation devant des cheveux blancs ?
Témoignage : J’ai perdu mon père le jour où il m’a dit qu’il voulait devenir une femme
Par Denise Shick — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
15 juillet 2019 (LifeSiteNews) — De nombreux médias normalisent le transgenrisme, mais qu’advient-il des enfants élevés dans une famille où un parent est en train « de transitionner » ? À quel point leur vie est-elle normale ?
Malheureusement, il arrive que ces enfants se fassent conseiller d’accepter la nouvelle identité de leur parent, ou de supporter stoïquement les circonstances inconfortables ravageant la vie de famille. Ils peuvent également devenir victimes d’intimidation, de la part de leurs pairs, d’autres membres de la famille ou d’adultes. Un garçon de 10 ans a été persécuté par ses camarades qui lui disait, « retourne chez toi, et porte une robe, comme le fait ton père. » Pendant qu’ils faisaient les courses, deux enfants de moins de sept ans furent grondés par leur père en transition : « Ne m’appelez pas papa. »
Des membres préoccupés de certaines familles m’ont également confié que ces enfants ressentaient honte et gêne à propos de leurs situations familiales. La pression exercée sur eux afin qu’ils acceptent et protègent le parent en transition peut générer la colère, la peur et l’anxiété, de même que la solitude et le sentiment d’abandon. Parfois, le chagrin prolongé et non résolu de ces enfants peut mener à la dépression, des troubles alimentaires ou à l’abus de substances. Le sentiment d’être différent ou de non-appartenance peut nuire à l’intimité ou la confiance dans des relations. Ils expriment souvent une confusion face à Dieu, la religion, l’amour et la sexualité.
En raison de la glorification culturelle du mouvement transgenre, plusieurs enfants sont aux prises avec une dysphorie du genre. La gauche voudrait nous faire croire que les enfants ayant une identité sexuelle croisée devraient se sentir habiletés dans leur confusion, bien que la science démontre que « pour un garçon de croire qu’il est une fille n’est pas signe de connaissance, mais de fantasme. Et d’après des recherches, entre 80 et 95 pour cent des cas de confusion quant à l’identité de genre chez des enfants prépubères seront résolus par eux-mêmes. » (1)
Si j’étais un enfant confus aujourd’hui et avais du mal à me sentir bien comme une fille, mon conseiller à l’école suggérerait que je suis transgenre et que je devrais embrasser ma masculinité. (2)
Lire la suiteLes jupes interdites dans un collège anglais au nom du « genre neutre »
Collégiennes de Priory School.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Petit voyage en Absurdie : nous sommes à Lewes, dans l’East Sussex, en Grande-Bretagne, où le règlement de la Priory School a fait le tour du monde. Le collège a en effet interdit le port de la jupe à l’intérieur de l’institution et imposé un uniforme de « genre neutre » pour tous les collégiens : pantalons longs pour tous, filles et garçons ! Et cela afin, affirment les autorités du collège, de combattre la discrimination envers les homosexuels et, plus globalement, envers ceux qui ont mûri des incertitudes par rapport à leur identité sexuelle :
L’uniforme neutre est le meilleur moyen pour garantir l’égalité.
Cette folie émane en réalité de la volonté des autorités d’imposer un programme d’éducation obligatoire contre ce que le politiquement correct appelle l’homophobie. Au nom du progrès, et quitte à s’opposer à la libre éducation familiale, les élèves de la Priory School se sont vus imposer cette interdiction plus que bizarre, absurde.
Cette décision a quand même soulevé de nombreuses protestations : environ une centaine d’élèves et parents a manifesté sa désapprobation devant l’école vendredi dernier et des jeunes filles se sont présentées avec la terrible jupe sur elles.
Et ainsi ce jour-là, pour les empêcher d’entrer dans l’établissement, de nombreux policiers étaient présents avec le devoir de renvoyer les collégiennes qui avaient transgressé le nouveau règlement chez elles ! Mais les filles repoussées ont subi une autre avanie de la part des autorités du collège : la direction a écrit une lettre aux familles dans laquelle elle demandait des explications concernant l’absence injustifiée de leurs filles, qui certainement devront faire face à quelques sanctions disciplinaires. On ne transgresse pas le règlement dans la Grande-Bretagne de toutes les transgressions sexuelles…
Question : et lorsque les homosexuels ou ceux qui ont mûri des incertitudes par rapport à leur identité sexuelle décideront qu’ils sont tous des filles, les autorités adopteront-elles un nouveau règlement imposant la jupe comme « uniforme neutre meilleur moyen pour garantir l’égalité » ?
En définitive, le monde genderophile vogue en Absurdie…
La Nouvelle-Écosse cède à la pression LGBT : permis de conduire neutre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Globe and Mail/Voici la source de la photo : PxHere
Les Néo-Écossais n’ont plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo.
Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse vient d’annoncer que ses résidents qui refusent de s’identifier comme homme ou femme auront dorénavant la possibilité d’apposer un « X » ou de taire leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo. Cette province maritime rejoint donc dans cette démarche l’Ontario, la Saskatchewan, l’Alberta, Terre-Neuve-Labrador, le Nouveau-Brunswick, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest.
Cette politique n’est que la seconde étape dans le processus de reconnaissance des transgenres en Nouvelle-Écosse, car depuis septembre, les Néo-Écossais peuvent apposer un « X » sur leur certificat de naissance plutôt que d’indiquer « homme » ou « femme ».
Notons également que ces derniers auront maintenant le loisir de retirer la mention de leur sexe sur leur carte d’assurance maladie, tandis que les résidents nés à l’extérieur de la Nouvelle-Écosse ont maintenant accès à des services leur permettant de supprimer cette information.
D’après la ministre provinciale des Services internes, Patricia Arab, ces mesures visent à refléter la « diversité » de la population, ajoutant que le gouvernement avait été influencé par des personnes qui soutenaient que les vieux documents ne reflétaient pas leur « identité ».
« L’une des priorités de notre gouvernement est de s’assurer que nous sommes aussi inclusifs et diversifiés que possible, et de faire en sorte que les résidents se sentent en sécurité et qu’ils ont une place ici », a lancé Mme Arab avant d’ajouter « qu’il ne s’agissait pas de la dernière étape de la discussion ».