Les médias pro-LGBT déforment fortement la vérité sur le mouvement transgenre
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
26 septembre 2024 (LifeSiteNews) — PinkNews se présente comme « la plus grande et la plus influente marque de médias LGBTQ+ au monde », et se vante que leur prétendu « contenu primé à plusieurs reprises est à la pointe de l’actualité culturelle, créé à travers un objectif unique et inclusif ». En réalité, ce site internet est le bras armé de la propagande la plus extrême du mouvement LGBT, et ses « journalistes » servent de chiens d’attaque à des militants transgenres délirants et de plus en plus violents.
Comme l’a souligné Douglas Murray, qui dénigre fréquemment le site, utiliser « PinkNews comme source conduit à l’erreur construite sur l’erreur et à la méchanceté basée sur la méchanceté ».
En effet. Prenons l’exemple de leur principal « article » du 23 septembre :
Lire la suiteDes experts médicaux ont averti que des « dizaines de milliers » de personnes transgenres en Angleterre pourraient ne pas bénéficier de dépistages vitaux du cancer. Le Congrès mondial sur le cancer, qui s’est tenu à Genève du 17 au 19 septembre, a souligné l’importance des dépistages réguliers du cancer du sein et du col de l’utérus pour la communauté transgenre. Or, les hommes transgenres ne bénéficient actuellement d’aucun dépistage du cancer du sein ou du col de l’utérus. Les femmes trans dont les informations chez leur médecin généraliste ne correspondent pas à leur sexe [de naissance] ne se voient pas non plus proposer de dépistage du cancer du sein, bien que le NHS reconnaisse que l’utilisation d’un THS combiné (un médicament contenant des œstrogènes et de la progestérone) peut légèrement augmenter les risques de cancer du sein.
Transition secrète de genre pour les enfants en Ontario
Siège du York Catholic District School Board.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rossipedia/Wikimedia Commons
Pouvez-vous imaginer que des enseignants cachent à une mère que sa fille de 11 ans subit une transition secrète à l’école et qu’elle est traitée comme un garçon ? Pouvez-vous imaginer que des enseignants et des médecins — à l’insu des parents et sans leur consentement — encouragent cette jeune fille impressionnable à adopter de faux pronoms, à prendre un nom de garçon, à porter de douloureux « cache-seins » et à envisager une thérapie hormonale artificielle ? Et puis, pouvez-vous imaginer, lorsque la mère finit par l’apprendre, qu’au lieu de s’excuser l’école la signale à l’Aide à l’enfance avec la menace implicite qu’elle pourrait perdre son enfant en raison de ses objections ?
J’aimerais que ce ne soit pas le cas, mais il ne s’agit pas d’un conte dystopique imaginaire. C’est le pire cauchemar d’un parent qui se réalise. Comme l’ont récemment rapporté les médias nationaux, ces événements effroyables se sont produits en 2022 dans une école catholique de la région de York !
Le Catéchisme de l’Église catholique (n° 2393) affirme : « En créant l’être humain homme et femme, Dieu donne la dignité personnelle d’une manière égale à l’un et à l’autre. Il revient à chacun, homme et femme, de reconnaître et d’accepter son identité sexuelle ». Comme l’a enseigné Jésus, « Dieu les fit homme et femme ». (Marc 10,6). En d’autres termes, nous devons tous accepter qui nous sommes, dans le corps que Dieu nous a donné — hommes et femmes, garçons et filles. Le transgenrisme est en fait un mensonge. Mais cette école catholique de la région de York a décidé de rompre avec l’enseignement catholique, avec la Parole de Dieu, et de suivre la mode de l’idéologie transgenre !
Lire la suiteDes employés de Postes Canada suspendus pour avoir refusé de distribuer du courrier dénonçant les transitions de mineurs
Camion de Postes Canada à Victoria au Nouveau-Brunswick.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Guilhem Vellut/Flickr/Wikimedia Commons
24 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada est heureux que le service postal du pays ait finalement livré certaines de ses cartes postales à la suite de la récente suspension de deux employés de Postes Canada pour avoir refusé de livrer des documents qui dénonçaient les « changements de sexe » pour mineurs.
Les deux employés suspendus de Postes Canada venaient du Nouveau-Brunswick et avaient refusé de livrer les cartes postales pro-vie de la Coalition nationale pour la vie (CNV). L’une des cartes postales affirmait : « aucun enfant n’est né dans le mauvais corps » et une autre : « Dieu ne fait pas d’erreurs ».
Selon Shannon Aitchison — l’un des facteurs suspendus, mère d’un enfant transgenre —, elle a été mise en congé sans solde pendant cinq jours parce qu’elle ne voulait pas distribuer les cartes postales. Selon Mme Aitchison, cinq employés de la poste ont décidé de ne pas distribuer les cartes postales, et au moins un autre a été suspendu.
La Coalition nationale pour la vie a menacé le mois dernier d’intenter une action en justice contre Postes Canada parce que le syndicat des postiers avait affirmé que certains employés de la région du Nouveau-Brunswick avaient eu la « possibilité » de ne pas livrer leurs cartes postales.
Lire la suiteUne équipe féminine de hockey sur gazon déclare forfait plutôt que de risquer qu’un de ses membres soit blessé par un adversaire masculin
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
18 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Une autre équipe sportive de filles a choisi de déclarer forfait plutôt que de mettre ses membres en danger face à une équipe adverse dont un membre « transgenre » est en réalité un garçon, cette fois dans le Massachusetts.
The College Fix a rapporté que l’équipe féminine de hockey sur gazon de Dighton-Rehoboth Regional High School renonce à un match prévu contre l’école Somerset-Berkely Regional High School, citant le fait que cette dernière équipe compte un joueur biologiquement masculin.
Le directeur de Dighton-Rehoboth, Bill Runey, a défendu le choix de « donner plus de valeur à la sécurité qu’à la victoire », même en sacrifiant les « chances de remporter un championnat de ligue et éventuellement de participer aux séries éliminatoires », mais il a exprimé l’espoir que leur exemple inciterait « d’autres écoles à envisager de faire de même pour assurer la sécurité et promouvoir une concurrence loyale pour les athlètes féminines ».
Le danger n’est pas hypothétique pour cette école particulière ; l’année dernière, une joueuse de hockey sur gazon de Dighton-Rehoboth a été « gravement blessée » par un garçon, confus quant à son sexe, de l’équipe adverse de Swampscott High School, mais la directrice adjointe de la Massachusetts Interscholastic Athletic Association (MIAA), Sherry Bryant, a insisté à l’époque sur le fait que l’association avait « les mains liées en raison des poursuites judiciaires ».
Lire la suiteLes libéraux paniquent après la distribution au Nouveau-Brunswick de cartes postales exposant les dangers de l’agenda LGBT
Susan Holt.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Susan Holt/X
17 septembre 2024, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — À l’approche des élections, des cartes postales pro-famille distribuées au Nouveau-Brunswick semblent avoir semé la panique au sein du Parti libéral de la province.
Dans une vidéo du 14 septembre, le chef du Parti libéral du Nouveau-Brunswick, Susan Holt, a condamné les cartes postales, distribuées dans les boîtes aux lettres de la province, qui expliquaient les dangers de l’agenda LGBT. Holt a affirmé que le matériel contenait de la « désinformation », mais le groupe à l’origine des cartes, la Coalition nationale pour la vie (CNV), a produit ses références.
« J’appelle les dirigeants de tous les partis à dénoncer la désinformation qui se répand dans les boîtes aux lettres et les médias sociaux de notre province », a écrit Mme Holt.
« Les informations qu’ils diffusent ne sont pas vraies et sont extrêmement préoccupantes », a-t-elle affirmé.
En réponse, CNV a publié des photos de chaque carte postale ainsi que des liens vers les informations qu’elles contenaient.
Recto d'une des cartes envoyées par CNV.
« Elle » a raison d’avoir peur : quand l’idéologie du genre disloque l’âme et le corps
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
L’article du Devoir « “Elle” a peur » aborde les vives critiques que le magazine « Elle » a reçues pour avoir inclus deux transgenres parmi ses « huit femmes canadiennes extraordinaires » et la reculade d'« Elle » face audites critiques. L'article du Devoir pourfend les contempteurs réactionnaires d'« Elle » qui rejettent le genre et défendent la différence sexuelle. Bien que l'article s'apparente à un plaidoyer pour plus de liberté individuelle et une défense de la fluidité de genre, sa position mérite une réflexion critique, car elle repose sur une idéologie dangereuse aux conséquences anthropologiques sérieuses.
La dislocation corps-âme : une aliénation profonde
Le discours promouvant l’idéologie du genre — qui dissocie de plus en plus le corps du ressenti personnel — pose un risque fondamental pour la compréhension de la nature humaine. Cette idéologie soutient que le corps n’a pas de signification intrinsèque et que l’« identité de genre » (si on se considère comme homme ou femme) est uniquement déterminée par la subjectivité de chacun. Mais cette séparation entre l’âme et le corps, poussée à l’extrême, entraîne une perte du sens profond de ce que signifie être humain.
Lorsque la biologie, pourtant porteuse de vérités objectives sur la sexualité humaine, est totalement écartée, il devient alors impossible de fonder une morale cohérente. Si l’on accepte que l’âme et le corps soient si disjoints que le corps n’a plus de rôle à jouer dans l’identité, la notion même de nature humaine est éclipsée. La morale, issue de cette nature — ce que l’on appelle la loi naturelle — devient alors une construction arbitraire.
Lire la suiteLe cardinal Burke condamne l’idéologie du genre comme une « attaque contre la raison et la nature »
Le Cardinal Burke.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Our Lady of Guadalupe Shrine/YouTube
21 août 2024, Northfield, Massachusetts (LifeSiteNews) — Le cardinal Raymond Burke a décrit l’idéologie du genre et le changement de sexe comme « une attaque contre la raison » et « contre la nature ».
S’adressant au Thomas Aquinas College, une institution catholique d’arts libéraux avec laquelle le cardinal Burke entretient de bonnes relations, le cardinal américain s’est exprimé sur l’idéologie du genre et les attaques contre la vie familiale.
« Aujourd’hui, l’attaque porte sur la nature elle-même ainsi que sur la raison », a-t-il déclaré. « Par exemple, dire que je peux changer ma nature, que je suis né homme et que je peux, par le biais de divers produits chimiques et de mutilations, devenir une femme — c’est une attaque contre la raison, contre la nature ».
Le cardinal Burke, qui a occupé des fonctions clés au sein de la Curie romaine pendant une trentaine d’années, a appelé les catholiques à proclamer les enseignements de la foi. « L’Église doit donc continuer à enseigner les doctrines de la foi dans toute leur clarté, ce qui nous amènera à nous poser des questions sur la loi naturelle, sur le bon ordre qui est inscrit dans notre nature humaine et que nous devons respecter », a-t-il expliqué.
Un tel rôle, a noté le cardinal Burke, permet de souligner « l’importance de l’éducation telle qu’elle est dispensée au Thomas Aquinas College », cet établissement d’enseignement supérieur catholique qui existe depuis 53 ans et dont le programme d’études est centré sur les chefs-d’œuvre des grands auteurs.
Cette étude de la foi catholique et de la civilisation occidentale « nous permet de voir ces questions les plus fondamentales, qui ont trait à la loi naturelle, qui ont trait à ce que nous sommes en tant qu’êtres humains », a indiqué le cardinal Burke.
Lire la suiteLe système de santé britannique demandera désormais aux hommes s’ils sont « enceints » avant les radiographies
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : Freepik/Canva
13 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Service national de santé britannique (NHS) a demandé aux opérateurs de radiologie de demander aux hommes s’ils sont « enceints » avant d’effectuer des radiographies, ce qui aurait incité les patients à « quitter » leurs rendez-vous en colère face à l’absurdité de la question.
Cette directive dite « inclusive » a été inspirée par un incident au cours duquel une femme qui se présentait comme un homme a passé une radiographie alors qu’elle était enceinte sans le savoir, exposant ainsi son bébé à des radiations dangereuses, a rapporté The Telegraph.
Toutefois, le personnel du NHS a souligné que les nouvelles lignes directrices posaient un risque pour la sécurité des patients en décourageant les rendez-vous en raison de la détresse suscitée chez les hommes et les femmes par les nouvelles questions de rendez-vous, qui demandent leur « sexe à la naissance » et leurs « nom et pronoms préférés » et font des affirmations « ridicules » sur les « personnes qui sont nées avec des variations dans les caractéristiques sexuelles », selon The Telegraph.
Un homme bénéficiant d’un « parcours urgent de cancérologie » « a été tellement agacé par les questions du formulaire qu’il a crié, a quitté le service et n’a pas passé de radiographie », a déclaré un radiographe au Telegraph.
« Il y a un risque inutile pour ces patients s’ils sont tellement ennuyés qu’ils ne passent pas la radiographie », a déclaré le radiographe.
Des femmes auraient également pleuré à cause des questions « invasives » sur la fertilité, qui les invitent désormais à préciser les raisons de leur infertilité, ce qui leur rappelle des souvenirs traumatisants de fausses couches et de grossesses extra-utérines, qu’elles sont tenues de mentionner dans les formulaires de demande d’information.
Le personnel affirme que des patients des deux sexes ont été insultés ou gênés par la suggestion que leur sexe n’est pas nécessairement évident et que les formulaires « endoctrinent » les mineurs en leur demandant leurs noms et pronoms préférés, tandis que les parents sont « furieux » à ce sujet.
Lire la suiteUne ex-trans poursuit Planned Parenthood pour lui avoir administré de la testostérone après une consultation de 30 minutes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
12 août 2024, Hudson, New York (LifeSiteNews) — Bien qu’il soit surtout connu pour ses avortements, Planned Parenthood est également très impliqué dans le secteur de la « transition » de genre, ce qui lui a récemment valu un procès de la part d’une jeune femme autiste à qui PP a donné de la testostérone après seulement une demi-heure de consultation.
Le 7 août, The Free Press a publié l’histoire de Cristina Hineman, qui, à l’âge de 18 ans en novembre 2021, s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood à New York pour obtenir la thérapie à la testostérone qu’elle recherchait sans le consentement de ses parents.
Elle était confrontée à divers problèmes, notamment l’automutilation, la dépression, l’anxiété et l’autisme, dont beaucoup avaient été exacerbés par l’isolement social dû aux confinements du COVID-19. Et elle se souvient avoir été attirée par la possibilité que le genre en soit la source par des vidéos YouTube qui l’ont amenée à conclure : « le terme “trans” inclut toutes les choses que j’ai ressenties : mon inconfort avec ma poitrine, mon inconfort d’être appelée “jeune femme”, le fait de ne pas être sûre de qui je suis ou de ce que je voudrais être ».
Après avoir rempli un formulaire de consentement, répondu à quelques questions et passé en revue les « changements attendus » de l’hormone — un processus prenant moins de 30 minutes — Hineman a reçu une prescription de gel de testostérone. Mais après un an de traitement hormonal ainsi que l’ablation de ses seins sains à l’âge de 19 ans, Hineman regrette sa transition.
« J’ai subi un lavage de cerveau », a-t-elle déclaré. « Beaucoup de gens disent que les adultes devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent. Mais si vous souffrez d’une maladie mentale qui obscurcit votre vision, ou si vous êtes mal informé sur ce que signifie la dysphorie de genre, alors vous ne pouvez pas consentir à des traitements aussi invasifs. »
Lire la suiteLe Parlement bulgare adopte une loi interdisant la propagande LGBT dans les écoles
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Le 7 août, le Parlement bulgare a adopté un amendement à la loi sur l’éducation préscolaire et scolaire interdisant la « propagande » LGBT dans les écoles par une majorité massive de 159 voix pour, 22 contre et 12 abstentions.
L’amendement a été proposé par le parti Vazrazhdane (Renouveau) et a reçu un large soutien de la part de tous les partis politiques, les députés citant des brochures et des livres d’éducation sexuelle inappropriés fournis aux enfants et aux adolescents.
L’amendement interdit « la propagande, la promotion ou l’incitation de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, dans le système éducatif, d’idées et de points de vue liés à l’orientation sexuelle non traditionnelle ou à l’identité de genre autre que biologique ». Les parlementaires ont également voté un texte qui définit spécifiquement « l’orientation sexuelle non traditionnelle » comme « différente des notions généralement acceptées et établies dans la tradition juridique bulgare de l’attirance émotionnelle, romantique, sexuelle ou sensuelle entre personnes de sexes opposés ».
Kornelia Ninova, chef du parti socialiste, a déclaré que des familles bulgares expatriées l’avaient contactée pour la mettre en garde contre l’influence de « l’idéologie du genre » qui, selon elle, « s’insinue et s’empare des écoles bulgares » ainsi que de la société européenne en général, citant le spectacle blasphématoire des « transgenres » lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris ainsi que le récent vainqueur du concours Eurovision de la chanson, Nemo Mettler, qui s’identifie comme « non binaire ».
Mme Ninova a également déclaré que l’idéologie du genre était poussée par des personnes qui s’identifient comme « une chose le matin, une deuxième l’après-midi, une troisième le soir », et a affirmé sans équivoque : « Je répète ce que je dis depuis sept ans : ne touchez pas aux enfants bulgares ». Zvezdelina Karavelova, du parti Vazrazhdane, a abondé dans ce sens, déclarant dans un discours que la sexualisation des enfants et la « pédérastie » devaient être combattues, ajoutant qu’elle espérait que son fils, actuellement âgé d’un an, épouserait un jour une femme plutôt qu’un homme. La Bulgarie ne reconnaît en droit que le mariage naturel.
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