Une ex-transgenre qualifie les interventions de « transition » de « pseudoscience » et de « charlatanisme »
Prisha Mosley.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a été persuadée de subir des interventions hormonales et chirurgicales pour « devenir » un « homme » et qui a, depuis, détransitionné, s’élève contre ce processus transgenre qui repose sur du « charlatanisme » et de la « pseudo-science ».
Prisha Mosley, maintenant âgée de 26 ans, luttait, à l’âge de 17 ans et à la suite d’un viol, contre l’anorexie et des idées suicidaires. Des conversations en ligne avec des activistes transgenres l’ont convaincue que sa détresse était due au fait que son « corps se battait pour être un garçon », comme elle l’a déclaré à Fox News.
Lorsqu’elle a fait part de ses idées aux professionnels de la santé qui tentaient de résoudre son anorexie, on lui a « presque immédiatement » donné des pilules hormonales qui ont perturbé son cycle menstruel.
Mme Mosley a mis en évidence l’irrationalité et le double standard absurde auxquels la profession médicale a recours lorsqu’elle aborde la dysphorie de genre.
« J’ai été traitée pour des croyances délirantes pendant un certain temps », a expliqué Mme Mosley à Fox News Digital. Mais lorsque j’ai exprimé un délire différent, à savoir « je suis né dans le mauvais corps » au lieu de « je suis grosse », alors que j’étais en train de mourir d’anorexie, j’ai été traitée médicalement pour cela.
Lire la suiteUn média canadien financé par le gouvernement affirme que les transgenres n’ont aucun avantage sur les femmes dans le domaine du sport
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nomad Soul/Adobe Stock
10 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un média canadien financé par le gouvernement prétend qu’affirmer que les hommes ont un avantage dans les sports lorsqu’ils concourent contre des femmes est un « mythe ».
Dans un article du 2 décembre, The Conversation, un média pro-LGBT qui reçoit des fonds fédéraux du gouvernement Trudeau, a dénoncé la loi Fairness and Safety in Sport Act (FASISA) de l’Alberta — qui vise à garder hors des sports féminins les hommes confus en matière de genre — alléguant que les hommes n’ont pas d’avantage physique sur les femmes.
« Ces législations, comme le projet de loi 29, sont basées sur un mythe répandu selon lequel les femmes transgenres ont un avantage biologique inhérent qui menace l’intégrité et l’équité des compétitions athlétiques féminines », affirme l’article. « Ce mythe n’est pas fondé sur des preuves scientifiques et socioculturelles complètes ».
Lire la suiteUn conseil scolaire réclame 47 000 $ à Josh Alexander pour avoir soutenu qu’il n’y a que deux sexes
Josh Alexander.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Jordan Peterson/YouTube
6 décembre 2024, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — La commission scolaire Renfrew County Catholic District School Board (RCCDSB) réclame maintenant des dizaines de milliers de dollars à Josh Alexander, un collégien canadien qui a été suspendu en 2022 pour s’être exprimé contre l’idéologie transgenre.
Dans un message publié le 28 novembre, Josh Alexander a révélé que RCCDSB lui réclamait près de 47 000 dollars après que la Cour divisionnaire de l’Ontario ait rejeté son appel visant à annuler la décision du conseil scolaire de le suspendre pour avoir défendu les croyances bibliques sur les questions regardant le sexe.
« La commission scolaire Renfrew County Catholic District réclame maintenant à Josh des dizaines de milliers de dollars », a posté Alexander sur X, citant une campagne GiveSendGo mise en place pour couvrir ses frais de justice.
« L’arrestation, la suspension, l’exclusion, la diffamation, l’échec et le retrait permanent de Josh n’étaient pas suffisants. Cela mettra Josh en faillite à l’âge de 18 ans », cite-t-il.
« Mon conseil scolaire, le RCCDSB, soutient que j’ai le droit de croire ce que je veux, mais à la seconde où j’exprime cette opinion, il est acceptable de me soumettre au ridicule, à la discrimination basée sur ma foi, à la suspension, à l’exclusion, aux arrestations, aux accusations, à une interdiction permanente d’éducation, et maintenant à une facture de près de 47 000 dollars », écrit Alexander dans un message de mise à jour le 4 décembre.
« S’ils peuvent me faire ça, ils peuvent le faire à vous et à vos enfants », avertit Alexander.
Lire la suiteLa Cour suprême semble ouverte à l’interdiction des « transitions » d’enfants
Cour suprême des États-Unis.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pycril/Pixabay
4 décembre 2024, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le juge en chef John Roberts et plusieurs autres juges nommés par les républicains ont repoussé l'idée selon laquelle les interdictions de produits et de chirurgies transgenres pour les mineurs sont inconstitutionnelles en vertu de la clause d’égale protection.
La Cour suprême a entendu aujourd’hui les plaidoiries dans l’affaire U.S. v. Skrmetti, qui porte sur la question de savoir si le Tennessee, le Kentucky et d’autres États par extension peuvent protéger les mineurs confus du genre contre des médicaments et des opérations chirurgicales qui causent des dommages permanents. L’audience a duré près de deux heures et demie, les juges conservateurs semblant généralement favorables à l’argument selon lequel les interdictions relèvent du droit des États à réglementer les procédures médicales. Les juges libéraux, quant à eux, ont affirmé que les interdictions s’apparentent à du racisme et sont discriminatoires.
Le scepticisme du juge en chef Roberts à l’égard de la position du gouvernement fédéral pourrait être un signe positif, puisqu’il s’est déjà prononcé en faveur de l’élargissement de la loi fédérale pour reconnaître le droit de se travestir sur le lieu de travail.
Dans l’affaire Bostock v. Clayton County, les juges Roberts et Gorsuch s’étaient déjà ralliés aux libéraux de la Cour pour élargir la définition de la loi fédérale afin d’y inclure l’« identité de genre », malgré leur croyance supposée en une lecture limitée et originaliste de la Constitution.
Lire la suiteLa Ligue des droits de l’homme fait une critique woke du nouveau dictionnaire de l’Académie française
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : monticellllo/Adobe Stock
Une bien belle neige est tombée aujourd’hui, recouvrant la nature d'une blanche couverture — combien triste et sombre serait cette saison sans cet élément immaculé !
Dernièrement, l’Académie française, remplissant l’office que lui avait confié en 1635 son fondateur le Cardinal de Richelieu de définir la langue française et d’en élaborer un dictionnaire, a remis son dernier ouvrage à son « protecteur » (qui est maintenant le président de la République).
La Ligue des droits de l’homme a cru bon de critiquer la 9e édition du dictionnaire de l’Académie française, notamment à l’endroit des termes « femmes » et « hétérosexualité ». Selon Le Monde :
[...] la femme est « un être humain défini par ses caractères sexuels qui lui permettent de concevoir et de mettre au monde des enfants », pointe la LDH. « Faut-il en conclure qu’une femme stérile ou ménopausée n’en est pas une ? », s’interroge-t-elle. Elle épingle également la définition de l’hétérosexualité, qui est décrite comme une relation « naturelle » entre les sexes ; « ce qui implique que l’homosexualité ne l’est pas », en déduit la LDH.
Cette critique de la définition du mot « femme » est bien faible, ce n’est pas parce que le potentiel d’une femme n’est pas actualisé ou n’est pas actualisable que celle-ci n’est pas une femme, autrement dit, ce n’est pas parce que la capacité d’une femme à porter des enfants est empêchée qu’elle n’est pas une femme. On dit des hommes qu'ils ont deux jambes, est-ce qu’un unijambiste ne serait donc pas un homme ? Non, ce sera un homme avec une seule jambe : le fait d’être stérile ou de n’avoir qu’une seule jambe dans ces cas est un accident et ne change pas la nature de l’être.
Lire la suiteWalmart abandonne ses politiques de « diversité, d’équité et d’inclusion », et supprime les produits transgenres destinés aux enfants
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Erik Mclean/Pexels
26 novembre 2024 (LifeSiteNews) — La campagne visant à « dé-wokiser » les entreprises américaines a remporté sa plus grande victoire à ce jour, avec la nouvelle que le géant du commerce de détail Walmart abandonne un large éventail d’initiatives de « diversité » dans lesquelles il avait précédemment investi massivement.
L’activiste conservateur Robby Starbuck a rapporté que les cadres de Walmart lui ont détaillé une série de changements de politique auxquels l’entreprise s’est engagée, alors que les causes culturelles de gauche perdent de plus en plus la faveur du grand public.
L’entreprise a l’intention de ne plus participer à l’Indice d’égalité des entreprises du groupe de pression LGBT Human Rights Campaign, d’« identifier et de supprimer les produits sexuels ou transgenres inappropriés commercialisés auprès des enfants » par des vendeurs tiers sur son site internet, de « revoir tout le financement [du défilé] de la Fierté et d’autres événements, afin d’éviter de financer des contenus sexualisés inappropriés ciblant les enfants » ; de « ne pas prolonger le Centre d’équité raciale qui a été créé en 2020 en tant qu’initiative spéciale de cinq ans » ; de cesser de prendre en compte les quotas d’identité dans les accords avec les fournisseurs ; et de mettre fin à la « formation à l’équité raciale » ainsi qu’à l’utilisation des termes « LatinX » et « DEI ».
Lire la suiteLe mouvement transgenre a été trop ambitieux et le monde commence enfin à s’en rendre compte
John Oliver.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
26 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il est encore trop tôt pour crier victoire, mais le mouvement transgenre est en train de passer une très mauvaise année. Comme je l’ai noté récemment, il y a de bonnes raisons de penser que les militants transgenres ont gagné l’élection pour Donald Trump — et les démocrates le savent. En fait, de nombreux libéraux plus modérés sont sur le sentier de la guerre, exigeant de savoir pourquoi la gauche s’est inféodée à une poignée d’hommes en jupe et d’extrémistes LGBT. La semaine dernière, par exemple, Bill Maher, furieux, s’en est pris à Neil DeGrasse Tyson, qui se présente comme un expert en sciences.
M. Maher a fait remarquer que les progressistes se sont discrédités en refusant d’admettre qu’il existe de réelles différences biologiques entre les hommes et les femmes, et que ces différences ont de l’importance dans le domaine du sport. Il a eu beau insister, Tyson s’est esquivé et a tenté d’utiliser ce qu’il pensait manifestement être des réponses pleines d’esprit pour éviter de répondre à la question. L’échange s’est terminé avec Maher qui a finalement dit à Tyson : « Eh bien, je vais vous classer dans la catégorie “partie du problème” ». Regardez vous-même, c’est un excellent moment de télévision.
Lire la suiteAu Royaume-Uni, les « transgenres » et les lesbiennes ont priorité pour la fécondation in vitro par rapport aux couples normaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andriy Bezuglov/Adobe Stock
23 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Si les conservateurs sociaux s’étaient assis, il y a 25 ans, avaient réfléchi et avaient tenté de trouver un titre qui résume le chaos moral et social provoqué par la révolution sexuelle, je doute qu’ils eussent pu faire mieux que celui-ci, publié par le Daily Mail le 16 novembre : « Les hommes trans et les lesbiennes seraient prioritaires pour la FIV deux ans avant les couples hétérosexuels dans le cadre du plan du NHS ».
Selon le rapport, le Service national de santé britannique a présenté des plans qui « donneront aux hommes trans et aux lesbiennes l’accès à la FIV — financée par le NHS — deux ans avant les couples hétérosexuels ». Les « hommes trans » sont bien sûr des femmes qui s’identifient comme des hommes et qui peuvent donc théoriquement devenir enceintes (à condition que des hormones transsexuelles ou d’autres médicaments ne les aient pas rendues stériles). Pour couronner le tout, le plan du NHS donne également la priorité aux femmes célibataires par rapport aux couples mariés, bien qu’il ne soit pas expliqué pourquoi la maternité célibataire devrait être une aspiration sociale de l’État.
Soyons clairs : la fécondation in vitro, qui consiste à créer des enfants dans des boîtes de Petri pour les implanter manuellement dans des patientes, est intrinsèquement immorale. Du point de vue des partisans de la vie, le coût en vies humaines est à lui seul ahurissant, et la séparation de la procréation et de l’intimité humaine constitue également une violation de l’ordre naturel. Pour ceux que cela intéresse, j’ai récemment eu une longue discussion avec Stephanie Gray-Connors sur cette question, dans laquelle nous avons examiné en profondeur la moralité de la FIV.
Lire la suiteNouveau-Brunswick : les écoles pourront cacher aux parents les changements de pronoms et de « genre » de leurs enfants
Susan Holt.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
21 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le nouveau premier ministre pro-avortement du Nouveau-Brunswick déclare que l’une de ses premières mesures sera de changer la loi afin que les enfants, y compris les jeunes élèves du primaire, puissent utiliser les pronoms qu’ils veulent à l’école et que les éducateurs ne soient pas obligés d’informer les parents de tout changement.
Le premier ministre Susan Holt a déclaré qu’elle avait décidé d’adopter de nouvelles règles sur la base des recommandations de militants LGBT et d’autres éducateurs.
Sa mesure annulera les règles actuelles mises en place sous le gouvernement conservateur de l’ancien premier ministre Blaine Higgs, qui exigent le consentement des parents pour que les enseignants utilisent des noms ou des pronoms différents pour les élèves de moins de 16 ans. La politique de M. Higgs prévoyait également des vestiaires et des toilettes séparés pour les garçons et les filles en fonction de leur biologie.
Le programme de Mme Holt contraste fortement avec celui de M. Higgs, qui, en septembre, alors qu’il était encore au pouvoir, a interdit des écoles une présentation graphique sur l’éducation sexuelle, trois jours après les protestations des parents.
Lire la suiteLa directrice et fondatrice de La Leche League, consacrée à l’allaitement maternel, démissionne en raison de l’idéologie transgenre qui veut s’approprier l’allaitement
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Alina Matveycheva/Pexels
On aurait pu croire La Leche League épargnée — il n’en est rien. La co-fondatrice de la LLL, consacrée à l’allaitement maternel, se trouve contrainte de démissionner du conseil d’administration, car l’association est confrontée à une lente, sourde mais inexorable reprise par des activistes transgenres… Car il faut bien que les hommes allaitent ! Eh oui, c’est l’idée.
L’organisation cible toutes les mères de cette planète mais on la presse parce qu’on veut que quelques transgenres, c’est-à-dire des hommes biologiques qui se déclarent femmes, puissent avoir accès aux séances d’allaitement, d’où ils feront fuir les vraies mères… Et ce sans s’inquiéter aucunement de savoir si nourrir un nouveau-né, en étant blindé de médicaments, est une bonne chose (car, évidemment, il faut un peu tromper ce corps dont ce n’était pas le programme initial) !
Comment déposséder la femme du geste le plus ancien du monde…
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