Grande-Bretagne : Des élèves de 11 ans se font demander la définition de la pornographie dure…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : Freepik
Encore un exemple de la perversité des cours d’« éducation sexuelle », absolument délirant ! Précisons au passage que ce n'est pas le seul. Selon LifeSiteNews :
Une école britannique s’est excusée auprès des parents, ceux-ci s’étant plaints que des élèves d’à peine 11 ans se vissent donner des devoirs leur demandant de définir des termes tels que pornographie dure et pornographie transgenre.
L’Archbishop Sentamu Academy, une école de l’Église anglicane à Hull, s’est « excusée pour toute offense causée » devant les parents en colère qui s’étaient plaints des devoirs, rapporte le Daily Mail.
Selon l'article, les enseignants ont demandé aux enfants âgés de 11 et 14 ans « de “définir” la pornographie, la pornographie douce, la pornographie dure (hardcore pornography) et la pornographie transsexuelle, ainsi que la mutilation génitale féminine [...] le trafic, la circoncision masculine [...] et plus encore ».
Je ne mettrais pas les autres turpitudes dont il était question…
Une mère a déclaré au journal britannique que la recherche de ces expressions en ligne, en vue de trouver leur définition, aurait « détruit » l’esprit de sa fille de onze ans et l’aurait « marquée à vie ».
« Ma fille est encore une enfant, elle est encore dans le monde des elfes magiques, sa chambre est faite dans le style My Little Pony [aïe]. Elle est très innocente et naïve », dit-elle.
« Elle n’était qu’à l’école primaire l’année dernière et une vie la plus belle possible, maintenant on lui demande de chercher : pornographie dure. »
Cette mère a déclaré qu’elle avait vu des plaintes provenant d’autres parents concernant les devoirs sur un groupe Facebook et avait donc empêché sa fille de chercher les termes en question.
« On leur a dit d’utiliser Google et elle aurait fait une recherche. J’ai entré le terme “porno dure” sur Google et certaines des images qui sont apparues [étaient] assez dérangeantes », ajouta-t-elle.
Le gouvernement britannique a décrété la mise en place d’un nouveau cours d’« éducation sexuelle », incluant les aspects de l’idéologie LGBT (comme si le précédent n’était pas assez pervers). Ce programme sera cependant retardé pour cause de coronavirus :
À partir de septembre prochain, de nouveaux cours sur les relations et l’éducation sexuelle (RSE) devaient entrer en vigueur au Royaume-Uni, ce qui a été reporté à septembre 2021.
L’euthanasie vise les patients atteints d’Alzheimer
Photo : geralt/Pixabay
Lettre à l’éditeur du journal Le Droit, le 14 novembre 2018 par Jean Morse-Chevrier
Éliminons les souffrances et non les personnes
Suite à l’article dans Le Droit du 5 novembre sur Pierre Viens et son action d’aide médicale à mourir, je vous fais part de mes préoccupations suite à sa présentation hier soir, le 13 novembre à Hull. Sa présentation était une véritable promotion de l’aide médicale à mourir, qu’il a lui-même pratiquée 58 fois, et un plaidoyer en faveur d’étendre la loi pour couvrir des situations non présentement acceptées pour l’injection létale qui précipite la mort de la personne. En particulier, il a brandi le fait qu’un segment important de la population atteindrait l’âge vénérable de 80 [ans] et qu’environ le tiers d’entre eux seraient en route pour l’Alzheimer. Il revendique que toute personne sur la trajectoire vers l’Alzheimer soit éligible pour cette injection létale, et qu’un nombre appréciable de médecins en fassent leur champ d’expertise avec un meilleur appui légal.
Il prétextait ne tuer personne, disant que pour qualifier [quelqu’un de] tue[u]r l’action devait être violente. Cependant parmi les définitions du dictionnaire Larousse en ligne on trouve la définition suivante de tuer : « Être la cause de la mort de quelqu’un : une telle dose de calmant pouvait le tuer. »
Voulons-nous vraiment comme société passer le message à tous les vieux en début d’Alzheimer qu’ils seront un « fardeau social », une « charge » et que ceux atteints d’Alzheimer sont déjà « morts moralement et socialement », comme l’a dit publiquement Pierre Viens. Croyons-nous vraiment qu’ils seraient mieux d’être tués par l’injection létale que l’on nomme aide médicale à mourir ? Quelle trajectoire horrible pour une société ! On ne peut pas s’empêcher de penser aux nazis qui tuaient par le gaz handicapés et malades mentaux. Gardons notre sens moral et travaillons à éliminer les souffrances plutôt que les personnes !