Européennes : Viktor Orbán se tourne vers les partis souverainistes
Voktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, au milieu, Matteo Salvini, ministre de l'Itérieur d'Italie, juste droite de M. Orbán (cet-à-dire à sa gauche à lui).
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, se rapproche des souverainistes, notamment Matteo Salvini. A quelques semaines des élections européennes, le Hongrois a reçu le ministre de l’Intérieur italien, jeudi 2 mai. En invitant Salvini, Orbán montre qu’il se tourne vers des formations politiques qui lui sont plus proches politiquement.
C’est aussi le signal que le bras de fer engagé par le PPE, le Parti populaire européen, afin d’exclure le Fidesz, le parti d’Orbán, arrive à sa conclusion. Le PPE, cette fausse droite européenne, a fait son choix : Soros plutôt qu’Orbán !
Orbán a fait le sien : Salvini et leurs valeurs communes anti-immigration et en défense de la civilisation chrétienne d’Europe.
Le ministre de la Famille de Hongrie : soutenir la famille n’est pas du «nazisme»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (montage) : German Federal Archives/Wikimédia Commons et Wikimédia Commons
« … Le Parlement hongrois a adopté le 1er avril une loi de taille importante en faveur de la famille, garantissant à divers couples mariés et familles des prêts sans intérêt, une aide hypothécaire et même des allocations de garde d’enfants pour les grands-parents, » rapporte le Catholic Register.
Ce journal a posé une série de questions concernant la famille au ministre de la Famille de Hongrie, notamment sur les politiques familiales récemment adoptées. Le Catholic Register continue :
Lire la suiteCe programme en sept points est une « étape importante » dans l’histoire de la politique familiale hongroise, déclare Katalin Novák, ministre hongroise de la Famille, dans une Europe qui renonce à sa culture chrétienne et « se suicide lentement ».
Mme Novák explique également dans cet entretien du 12 avril avec le Register pourquoi la Hongrie a adopté une approche aussi ouvertement pro-famille depuis 2010, une approche qui, selon les statistiques, a fait chuter le taux d’avortement de la Hongrie de 33,5 % entre 2010 et 2018, le mariage augmentant de 43 % et le divorce de reculant de 22,5 % entre 2010 et 2017.
La Hongrie vote des mesures pour aider la famille
À gauche, Katalin Novák, secrétaire d'État pour la Famille et la Jeunesse, à droite, Viktor Orbán, Premier ministre de la Hongrie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Getty
La Hongrie a l’air de plutôt se tirer d’affaires, comparée à plusieurs pays européens qui se dépatouillent avec une dénatalité cuisante et des invasions d’étrangers. Extrait du Catholic Herald :
Alors que d'autres pays s'inquiètent de l'immigration, les Hongrois résolvent leur crise démographique d'une façon différente.
De nombreuses démocraties libérales sont aujourd'hui confrontées à une crise sociale parce que leur gouvernement a mené des politiques qui ont miné la famille.
Mais depuis 2010, un pays a vu ses taux de mariage augmenter de 43 % et le taux de divorce de 22,5 %. Il n'est pas surprenant de constater qu'avec l'augmentation du nombre de mariages, 33 % moins de femmes se font avorter aujourd'hui qu'il y a huit ans. De même, le taux de natalité national est actuellement à son plus haut niveau en 20 ans.
Ce pays est la Hongrie. Et plus tôt ce mois-ci, son parlement a adopté une deuxième série de politiques pro-familiales énergiques.
[…]
La nouvelle loi qui entrera en vigueur le 1er juillet prévoit une nouvelle série d'avantages pro-famille tels qu'une réduction d'hypothèque de 3.000 euros au deuxième enfant, et une réduction de 12.000 euros au troisième.
Orbán : «Nous devons décider, soit nous protégeons notre Europe chrétienne, soit nous nous rendons au multiculturalisme»
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Capture d'écran via Wikimedia Commons ― origine de la Photo : Deribaucourt.com, European People's Parti/Flickr
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, s’engage résolument à défendre une Europe chrétienne, et pour ce faire, il a un plan en sept points pour les élections européennes. Extraits d’About Hungary :
Alors que la campagne pour les élections au Parlement européen démarre officiellement le 13 avril, le Premier ministre Viktor Orbán a présenté son plan d'action en sept points qui sera mis en œuvre après les élections.
S'adressant à une foule cet après-midi au centre-ville de Budapest, il a parlé d'une élection qui aura un impact considérable. « L'Europe choisira son avenir à la fin du mois de mai », a-t-il déclaré, et l'immigration sera l'une des questions décisives.
[...]
« L'Europe choisira son avenir », a-t-il déclaré, décidant s'il y aura « des dirigeants de l'UE issus des partis pro-immigration ou de ceux qui s'opposent à l'immigration ».
« L'Europe restera-t-elle européenne ou cédera-t-on la place aux masses venant d'autres cultures », a demandé le Premier ministre, ajoutant que « nous déciderons de protéger notre culture européenne chrétienne ou de céder la place au multiculturalisme ».
Le plan en sept point de Viktor Orbán :
- La gestion des migrations doit être retirée aux bureaucrates de Bruxelles et rendue aux gouvernements nationaux.
- Nous devons dire clairement qu'aucun pays ne sera tenu d'accepter des migrants contre sa volonté.
- Personne ne devrait être admis en Europe sans papiers d'identité et documents valables.
- Nous devons abolir les cartes prépayées et le visa de migrant.
- Bruxelles ne devrait plus accorder de fonds aux ONG financées par George Soros [qui est pour les invasions de « migrants », l'avortement et qui soutient les mouvements LGBT]
- En Europe, personne ne devrait faire l'objet de discrimination parce qu'il se déclare chrétien.
- Que ceux qui ont le droit de décider, plutôt le Parlement européen et le Conseil européen, décident que les dirigeants qui s'opposent à l'immigration dirigent les institutions européennes
Une alliance pour contrer le mondialisme se forme en Europe
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Breitbart et The National Post/Voici la source de la photo : ActuaLité/Wikimedia Commons, CC BY-SA 2.0, Leewarrior/Pixabay
Vous aurez peut-être remarqué que Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur d’Italie, et Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie ont une orientation sensiblement chrétienne dans leurs politiques et parti respectifs, ainsi que certains partis, bien qu’à des degrés différents, comme le PiS, au pouvoir en Pologne, Vox en Espagne, etc. Ils ont à cœur de défendre la famille normale saine et chrétienne. Viktor Orbán propose un plan en sept point, dont celui-ci, le sixième, « personne ne devrait être discriminé parce qu'il se déclare chrétien, » d'après Breitbart.— A. H.
Beaucoup de fil à retordre attend le duo Allemagne-France en vue des prochaines élections européennes.
Emmanuel Macron, président de France,
et Angela Merkel, chancellier d'Allemagne.
Des partis politiques sous la direction du ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, ont scellé lundi une nouvelle alliance dont l’ambition est de former la faction la plus puissante du parlement européen et de revoir les politiques de l’Union européenne (UE) en matière de migration, de sécurité, de famille et d’environnement. Lors d’une conférence de presse à Milan, Matteo Salvini a déclaré que l’objectif premier du nouveau mouvement, appelé « Vers une Europe du bon sens », est de « gagner et transformer l’Europe ». Le ministre italien y était accompagné de représentants de partis populistes de l’Allemagne, de la Finlande et du Danemark.
Lire la suiteLe Premier ministre de Hongrie : Sans culture chrétienne, il n’y aura pas de vie libre en Europe
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : European People's Party/Flickr
C’est ce qu’affirmait le Premier ministre de Hongrie, Viktor Orbán, dans un discours prononcé au Musée national de Budapest. La Hongrie est l’un de ces pays d’Europe qui met des bâtons dans les jambes de l’Union européenne affairée à ses obscurs projets, notamment LGBT. Extrait du Website of the Hungarian Governement :
Sans culture chrétienne, il n’y aura pas de vie libre en Europe, si nous ne défendons pas notre culture chrétienne, nous perdrons l’Europe et l’Europe n’appartiendra plus aux Européens.
Dans le Jardin du Musée national de Budapest, vendredi, le Premier ministre Viktor Orbán a déclaré : « Nous voulons que les écailles tombent des yeux des peuples européens et qu’ils comprennent ceci : sans culture chrétienne, il n’y aura plus de vie libre en Europe et que si nous ne défendons plus notre culture chrétienne, nous perdrons l’Europe et elle ne sera plus aux Européens ».
Lors d’une cérémonie marquant la commémoration annuelle de la Révolution de 1848-1849 et de la lutte pour la liberté, le Premier ministre a souligné que sans culture chrétienne, il n’y a pas de liberté hongroise, ni de Hongrie libre [...]
M. Orbán a souligné que « Nous voulons que les écaillent tombent des yeux des peuples d’Europe », afin qu’ils réalisent que dans un empire européen libéral, chacun perd sa liberté.
Lire la suiteLe ministre de la Sécurité sociale de Suède insinue que la politique familiale hongroise rappelle le nazisme
Annika Strandäll, ministre de la Sécurité sociale de Suède.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : EU2017EE Estonian President/Flickr
Et pourtant, la Hongrie possède une excellente politique familiale… c’est à n’y rien comprendre. Le ministre d'État pour la Famille et la Jeunesse de Hongrie, Katalin Novák, lui a répondu en mettant les points sur les i. Extrait d’About Hungary :
Votre Excellence, ministre Strandhäll,
J’ai été choquée d’apprendre que sur Twitter, vous avez affirmé que le plan d’action pour la protection de la famille, annoncé dimanche dernier par le Premier ministre Viktor Orbán, rappelle les années trente de l’Allemagne et que notre gouvernement exploite les Hongroises.
En tant que ministre d’État pour la Famille et la Jeunesse, je rejette fermement vos accusations. Il est également inusuel et hostile qu’un membre d’un gouvernement européen condamne un autre gouvernement européen pour ses politiques internes de cette manière et dans ce style sans au moins s’informer et utiliser les voies diplomatiques traditionnelles auparavant.
[…]
En Hongrie, nous croyons que les familles fortes sont la base de notre communauté. Nous avons mené une gouvernance favorable à la famille et obtenu les deux tiers de la majorité parlementaire trois fois de suite lors d’élections générales démocratiques. Les citoyens hongrois ont maintes fois exprimé leur volonté et nous ont autorisés à mettre un terme à la migration illégale à nos frontières, à ne pas laisser entrer en masse des migrants économiques, mais à donner aux femmes et aux hommes hongrois les moyens d’avoir autant d’enfants qu’ils le souhaitent et de les avoir dès qu’ils le souhaitent. C’est pourquoi nous avons introduit une série de mesures en faveur de la famille qui sont fortement soutenues par les Hongrois. Notre intention est de donner la liberté de choix aux femmes et aux hommes hongrois.
Il est inacceptable que vous compariez la Hongrie à l’Allemagne nazie. Je rejette fermement cette [comparaison] au nom de notre pays.
Votre Premier ministre Stefan Löfven a déclaré lors d’une conférence que la question la plus importante des élections européennes de mai sera la lutte contre l’extrémisme de droite et le nationalisme. Il a également mentionné que les sociaux-démocrates européens sont capables d’arrêter ces extrémistes. J’ajouterai que la Hongrie a été citée à tort comme étant un pays extrémiste.*
*Il est à noter que le mot « extrémiste » est couramment utilisé de façon péjorative, dans le sens de « prêt à tout, » « violent, » « fanatique, » ce qui est assurément une façon de descendre quelqu’un ou tout un pays dans l’opinion générale. Cependant, si on utilise normalement ce mot (disgracieux), il désigne plutôt quelqu’un qui est prêt à aller jusqu’au bout d’une idée, d’une pensée, d’un raisonnement, quelqu’un cohérent avec lui-même et par conséquent logique, ce qui est bon en soi.
Discours du Premier ministre de la Hongrie sur l'état de la Nation : Dieu, la famille et la patrie
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : European People's Party/Flickr
J'écris ce billet de blogue, au cas où vous n'auriez pas eu connaissance du formidable discours sur l'état de la Nation de Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie. Il y est grandement question de la famille, tellement que l'on pourrait dire que tout tourne autours de ce sujet ; les questions du christianisme, de la culture et de la patrie sont indissolublement liées. La question de la croissance économique de ce petit pays (10 millions d'habitants, un nombre très similaire à celui du Québec) ne saurait manquer de vous intéresser. Enfin, le nom de Dieu est présent dans ce discours, tant pour Le remercier au début que pour Lui demander sa bénédiction à la fin. Extraits du discours sur l'état de la Nation, disponible en français sur miniszterelnok.hu :
Lire la suite... Si nous réfléchissons sur notre pays, sur la vie commune des Hongrois, nous devons au fond répondre à une seule question, et de la réponse à cette question découle aisément ce que nous devons faire et comment. Cette question fondamentale est la suivante : pouvons-nous considérer l’état actuel de notre pays comme suivant une trajectoire ascendante ? Les Hongrois suivent-ils une telle trajectoire ? Nous trouvons la réponse en comparant notre situation actuelle à celle d’avant. Une décennie est une unité de mesure assez longue, assez représentative, même dans l’histoire d’une nation. Elle permet d’en tirer des enseignements. En 2009, vers la fin du gouvernement socialiste de triste mémoire, qui avait épuisé notre richesse nationale, nos réserves et, au travers d’une montagne de dettes, jusqu’à nos perspectives d’avenir, j’avais affirmé que la Hongrie n’a pas seulement besoin d’un paquet de gestion de crise, mais de beaucoup plus : d’une véritable refondation, d’une nouvelle orientation. Et aujourd’hui, dix ans plus tard, je puis vous dire ceci : un enfant hongrois qui naît aujourd’hui peut raisonnablement compter voir le 22ème siècle, parce que la durée de vie des Hongrois s’est allongée et qu’ils peuvent espérer vivre plus longtemps. Le nombre des mariages augmente, et nous avons considérablement réduit la mortalité infantile. Le taux d’emploi de la population est passé de 55% à 70%, et nous avons divisé le taux de chômage par trois. Nous avons descendu la dette publique de 85% à 71%. Et pendant ce temps, les revenus augmentent de manière constante, le salaire minimum a plus que doublé. Vous me direz que ce ne sont que des chiffres, et que le bonheur de l’homme ne dépend pas du sens des courbes des graphiques. C’est vrai, mais il n’est absolument pas indifférent pour les gens de savoir qu’ils peuvent organiser leur vie dans le cadre d’un environnement économique ordonné et prévisible. Je crois fermement que la confiance, la résilience, la volonté, et même le succès personnel d’un individu est fortement déterminé par la manière dont il considère sa vie, celle de ses enfants et les perspectives de son pays. Ce que je vois aujourd’hui, c’est que les Hongrois travaillent beaucoup, échafaudent des plans, embellissent leurs foyers, construisent des maisons, envoient leurs enfants à l’école et les encouragent à bien y travailler, afin qu’ils aient quelque chose à transmettre à leurs enfants et à leurs petits-enfants. Qu’est-ce donc, sinon une trajectoire ascendante ?
[...] Que demandent les Hongrois moyens, ceux qui forment la colonne vertébrale de notre pays, la grande majorité de ceux qui ne sont ni pauvres, ni particulièrement aisés ? Ils demandent d’avoir du travail, un travail qui ait du sens, de vivre en sécurité, de voir leur travail reconnu et de recevoir le respect qui leur est dû, de disposer d’un foyer sûr en échange d’un travail honnête, de vivre une vie honorable et d’assurer un avenir à leurs enfants. Tout cela, nous l’avons atteint, avec 800.000 emplois nouveaux, un salaire minimum doublé, les avantages fiscaux liés aux enfants, les repas et les livres scolaires gratuits, le congé parental exceptionnel, la baisse des tarifs de l’énergie, des retraites stables [...]
La Hongrie, un modèle politique pour le Québec ?
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Breitbart/Voici la source de la photo : European People's Party, Flickr, CC BY 2.0
La politique de la Hongrie a quelques défauts, mais celle-ci vaut largement mieux que la politiques actuelles que nous subissons au Québec et au Canada. — Augustin Hamilton
Le gouvernement Orbán base ses politiques sur l’affirmation identitaire, malgré l’opposition des multiculturalistes.
Sous le gouvernement de Viktor Orbán, la Hongrie a fait le pari de l’affirmation identitaire. Une position fort bien exprimée par le ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó : « L’Union européenne ne peut être forte [...] que si les États membres sont eux-mêmes forts et, pour être fort, vous devez vous en tenir à votre héritage et être fier de vos racines », a-t-il déclaré en entrevue au média en ligne Breitbart.
C’est là une démarche fort complexe dans une Europe où le nationalisme a été enterré dans le cimetière des « idéologies à oublier ». Mais la Hongrie reste ferme dans ses intentions et ne craint pas l’adversité qui provient du flanc gauche.
Cet héritage dont il est question, le gouvernement Orbán y tient mordicus, mais il veut aussi en faire la promotion. « Nous sommes fiers d’avoir un héritage chrétien très riche et nous voulons le préserver », a fait savoir M. Szijjártó. « C’est pour cette raison que nous soutenons les communautés chrétiennes du monde entier parce que nous prenons cela comme une question de responsabilité ».
Lire la suiteHongrie : Exonération fiscale à vie pour les mères d’au moins 4 enfants
Par Pour une école libre au Québec — Photo : riverwalker/Pixabay
Le gouvernement hongrois augmente considérablement son aide financière et ses subventions aux familles de plusieurs enfants, a annoncé dimanche le Premier ministre Orbán.
Les mesures annoncées par Viktor Orbán lors de son discours sur l’état de la nation visent à encourager les femmes à avoir plus d’enfants et à enrayer le déclin de la population en Hongrie.
Les avantages comprennent une exonération à vie de l’impôt sur le revenu des personnes physiques pour les femmes qui donnent naissance et qui élèvent au moins quatre enfants ; une subvention de 2,5 millions de forints (11 500 $ canadiens, 7 800 euros) en faveur d’un véhicule de sept places destiné aux familles de trois enfants ou plus ; et un prêt à faible taux d’intérêt pour les femmes de moins de 40 ans qui se marient pour la première fois.
[« Les femmes de moins de 40 ans qui se marient pour la première fois auront droit à un prêt [bonifié de 10 millions de forints (36 000 dollars [É.-U. ?]), a indiqué M. Orbán. Un tiers de la dette serait annulé à la naissance d’un deuxième enfant et la totalité du prêt serait annulée après le troisième enfant, » d'après Thomson Reuters Foundation News]