« L'Église a tout compris de l'homosexualité »
Sur le site de Famille Chrétienne du 26 novembre 2012, une entrevue avec Philippe Arino, personne homosexuelle continente depuis 2011 , auteur du livre L'homosexualité en vérité:
(Philippe Arino)
(...)C’est faux de dire que l’Église est homophobe ?
L’Église a tout compris de l’homosexualité. Vraiment ! Sans le savoir, ce sont les personnes homosexuelles qui lui donnent raison. Parce qu’elles associent comme dans la Bible l’homosexualité à une idolâtrie, à la violence.
L’Église catholique, en me reconnaissant en tant que personne avant tout, et en ne me demandant pas de nier l’existence de mon désir homosexuel, mais au contraire de le valoriser en le donnant pleinement à Dieu, m’a aimé dès le départ tel que je suis, avec mes forces et mes failles.
Ceux qui applaudissent aux coming out et aux couples homos sans savoir ce qu’ils accueillent ne sont pas autant dans l’amour des personnes homos que l’Église !
« L’objectif premier de la légalisation du "mariage" homosexuel est bien la normalisation de l’homosexualité »
Sur le blog de Jeanne Smits du 25 novembre 2012:
(Cécile Duflot)
Mais il n’y a pas que cela. L’objectif premier de la légalisation du « mariage » homosexuel est bien la normalisation de l’homosexualité. Cela fait déjà longtemps que les homosexuels ne réclament plus le « droit à la différence » mais le « droit à l’indifférence » : être mis sur un pied d’absolue égalité avec les « hétérosexuels » (qui n’ont aucune raison de se définir ainsi – autant dire qu’on est un homme homme ou une femme femme) et de ce fait, ne plus voir considérée l’activité homosexualité de manière négative.
Cela ressort très nettement – par exemple – de ce qu’écrit Cécile Duflot dans sa tribune publiée jeudi par Libération : « A mes yeux, accorder le droit au mariage et à l’adoption pour tous n’est pas une injonction à rentrer dans la norme. C’est en revanche une manière d’affirmer que les personnes homosexuelles n’ont pas à baisser la tête, que leurs unions ne sont pas des unions de seconde zone, que ni leur sexualité ni leurs amours ne sont honteuses, que l’époque où elles devaient vivre cachées est révolue, que le procès en dangerosité pour les enfants qu’elles pourraient élever est terminé. »
Cela est dit de manière précise : une fois le « mariage » homosexuel adopté, la critique devient impossible, forcément discriminatoire, nécessairement homophobe, fût-elle le résultat de statistiques incontestables. Il est déjà difficile de parler de la surmortalité des hommes ayant une activité homosexuelle sans se faire taxer de haine et d’homophobie, alors même qu’on le fait pour leur signifier qu’on aimerait qu’ils vivent plus longtemps, qu’ils ne s’exposent pas aux dangers. A moins (et c’est déjà une victoire du lobby gay) que ce ne soit des homosexuels qui parlent eux-mêmes de leurs difficultés et de leurs souffrances.
Le Forum catholique publiait ce vendredi matin l’image d’albums britanniques pour très jeunes enfants mettant en scène des « familles » homosexuelles et des images de marques d’affection entre adultes de même sexe, que des activistes gays produisent pour diffusion dans les écoles maternelles et primaires. Avec la loi sur le « mariage », impossible de dire « non »… comme c’est le cas déjà au Canada, où les écoles catholiques vont devoir enseigner le « mariage » gay, ou comme au Royaume-Uni, où les professeurs refusant de le faire sont déjà explicitement menacés de révocation.
Ne passons pas à côté de la réalité de la bataille que nous menons. Sachons qu’il s’agit de savoir si la moralité naturelle pourra encore être affirmée, demain, ce qui se vérifiera en l’affirmant aujourd’hui – non parce que nous détesterions les homosexuels, mais parce qu’au contraire, nous les aimons, et que nous savons que l’activité homosexuelle conduit trop souvent à la maladie et à la mort du corps. Et aussi de l’âme.
Réflexions sur le désir homosexuel
Sur le site de Nouvelles de France du 24 octobre 2012, la recension d'un livre qui ouvre des pistes de réflexions sur le désir homosexuel:
(Philippe Arino, auteur du livre "L'homosexualité en vérité")
(...)Très vite, l’auteur met les choses au clair, rappelant que « la seule chose qui existe dans l’homosexualité, c’est le désir homosexuel. Il est une donnée physiologique indéniable, qui s’impose à l’individu qui la ressent sans qu’il l’ait a priori choisie. » En effet, « ‘l’espèce homosexuelle’, elle, n’existe pas. Le monde ne se divise pas, comme on essaie de nous le faire croire aujourd’hui,entre ‘les homos’ d’un côté et ‘les hétéros’ de l’autre; il ne se partage qu’entre hommes et femmes (la seule division fondatrice de la vie humaine, c’est la différence des sexes). On n’est jamais pleinement homosexuel. On ne se réduit pas à son orientation sexuelle du moment, même durable: la sexualité est un chemin évolutif et complexe (…). » Le couple homosexuel n’est donc pas la donnée sur laquelle il faut se pencher, car elle est beaucoup trop réductrice : voilà pourquoi le débat doit être recentré sur le désir homosexuel.
Après avoir défini de façon claire et précise ce qu’est le désir homosexuel, Philippe Ariño analyse ses caractéristiques, qu’il divise en sept catégories :
1) Désir homosexuel en tant que désir de viol, voire signe d’un viol réel : le désir du viol étant lié à une sexualité blessée, à un effondrement identitaire peut conduire à une certaine recherche de violence. La haine de soi-même (de son propre sexe biologique), ou du moins la non-acceptation de soi-même caractéristique de l’homosexualité est d’ailleurs homophobe, par stricte définition.
2) Désir homosexuel en tant que signe d’éloignement du Réel : la différence entre la simple réalité des couples homosexuels et ce que Philippe Ariño appelle « le réel humanisant » est démontrée. Ce « réel humanisant », c’est cette dynamique du respect des différences qui structurent la vie (différence des espaces, des sexes, des générations, et entre l’humain et le divin).
3) Désir homosexuel en tant que peur d’être unique : l’étude de nombreuses œuvres liées à l’homosexualité (par leur auteurs, leurs publics…) effectuée (pas dans L’homosexualité en vérité, briser enfin le tabou) par Philippe Ariño montre que, bien souvent, « le désir homosexuel est un désir fusionnel de division » (l’exemple de frères jumeaux illustre cela, car ils forment une paire divisée mais fusionnelle), impliquant une existence par le couple, et non par l’individu en tant que tel : la nuance est de taille !
4) Désir homosexuel en tant que désir d’être objet : cette configuration du « devenir objet » est très présente dans la fantasmagorie et dans les discours des personnes homosexuelles.
5) Désir homosexuel en tant que désir de se prendre pour Dieu : l’éloignement du Réel et le refus de s’accepter finit par l’affirmation de soi comme Tout-Autre, comme Dieu.
6) Désir homosexuel en tant que fusion, exact jumeau (en bassesse et en violence) du désir hétérosexuel, mais différent du désir femme-homme aimant et du désir entre célibataire consacré et Dieu. Ce passage est sûrement l’un des plus importants du livre. Philippe Ariño démonte complètement la notion commune d’hétérosexualité, en la replaçant dans sa réalité historique. On y découvre que le sens originel d’ « hétérosexuel » était équivalent à celui de « bisexuel » aujourd’hui, le glissement de sens s’étant subtilement opéré depuis la fin du XIXe siècle. Il cite Jonathan Katz, auteur d’un essai sur la question : « On attribuait à ces hétérosexuels une disposition mentale appelée ‘hermaphrodisme psychique’. Les hétérosexuels éprouvaient une prétendue attirance érotique masculine pour les femmes et féminine pour les hommes. Ils ressentaient périodiquement du désir pour les deux sexes. » En définitive, homosexualité et hétérosexualité sont tous deux une absence de désir exclusif envers le sexe opposé. Face à ces deux écueils idéologiques jumeaux mais que la dialectique contemporaine érige en oppositions constitutives de la sexualité, Philippe Ariño propose la notion de couple « homme-femme aimant », et de ce fait donne une direction entièrement nouvelle au débat actuel, une direction loin des oppositions idéologiques.
7) Désir homosexuel en tant qu’haine de soi, désir idolâtre (pour et contre lui-même) intrinsèquement homophobe : Philippe Ariño démystifie ce qu’est en réalité l’homophobie, « en réalité une haine de soi (‘homo’ en grec, signifie ‘même’; et ‘phobie’ renvoie à la ‘peur’ ou à la ‘haine’) applicable aussi bien aux personnes qui refoulent leur désir homosexuel (…) qu’aux personnes homosexuelles dites ‘assumées’, qui pensent naïvement qu’une fois qu’elles ont fait leur coming out et sont bien accueillies par leurs proches, sont totalement à l’abri de la haine de soi et de la haine à l’égard de leurs semblables d’orientation sexuelle. » Plus loin, il écrit : « l’homophobie est l’autre nom du désir homosexuel, car le désir homosexuel est intrinsèquement homophobe ; il dit une haine de soi qui s’est mutée en ‘orgueil’, en ‘identité’ et en ‘amour’, pour se cacher à elle-même son ‘horreur’. » À cette homophobie oubliée s’en ajoute une autre : celle de « la société qui se dit ‘non-homosexuelle et gay friendly‘ (…) Cette société qui rêverait d’imposer mollement à l’Humanité sa vision désincarnée, hédoniste, relativiste et désenchantée de l’Amour (…), qui nous oblige tacitement à deux choses : être bisexuels en actes (…) et ‘amoureux’ dans les discours. (…) Cela s’appelle tout bonnement l’homophobie de la bisexualité asexualisante. » Il en profite pour dénoncer l’homophobie de l’idéologie du Genre et du Queer, « car elle tente de faire barrage à la reconnaissance du désir homosexuel. » Il conclut par un appel : « Il est urgent qu’on ouvre les yeux d’une part sur la haine de soi que traduit le désir homosexuel, et d’autre part sur le fait que cette haine de soi dit les violences que s’infligent entre eux les femmes et les hommes, et que les êtres humains imposent à Dieu, toutes ces divisions qui ont fait qu’après, les personnes homosexuelles ne se sont pas acceptées et aimées elles-mêmes. »Nous rappelons que cette analyse du désir homosexuel n’est pas celle de l’être homosexuel. L’être n’est pas maître de ce désir, aussi il est normal, si l’on est une personne homosexuelle, de ne pas forcément retrouver sa personnalité dans ces sept points. Ils concernent le désir homosexuel, mais ne s’expriment certainement pas aussi clairement dans la personnalité quotidienne.(...)
Ceux qui légifèrent s’apprêtent à inscrire un droit dont ils ignorent les causes profondes et les conséquences qu’il apportera, uniquement parce qu’ils ne connaissent pas ce qu’est vraiment le désir homosexuel. Philippe Ariño donne aussi aux opposants à ce projet de loi le conseil de se concentrer sur des arguments centrés sur la réalité du désir et des actes homosexuel, au lieu de s’engouffrer dans les conséquences sociales et amoureuses de ceux-ci. Il faut commencer par parler « des limites du couple homosexuel, du caractère non-procréatif de la conjugalité homosexuelle, de la réalité et de la nature violente du désir homosexuel. »
À lire également le regard critique que porte sur ce livre le philosophe Yves Floucat, sur le site deFrance Catholique du 18 octobre 2012.
Le journaliste Jean-Claude Leclerc veut interdire la liberté de penser sur la question homosexuelle
Dans un article publié dans lejournal Le Devoir du 29 octobre 2012 , le journaliste, dans un très bel article sur la lutte à l'intimidation, glisse subtilement de la lutte à l'homophobie vers l'interdiction de tout débat sur l'homosexualité. Voici un extrait de ce texte révélateur d'une pensée bornée tentant de censurer le débat:
(Jean-Claude Leclerc)
Au moins trois courants néfastes devraient faire l’objet de politiques publiques. L’acharnement des confessions intégristes contre l’homosexualité entretient à l’égard de cette population une phobie et un mépris qui contribuent, même en société plus ouverte, aux persécutions qui perdurent. Cette injustice est particulièrement odieuse quand elle frappe des adolescents. Pareille « doctrine » ne devrait avoir de place dans aucune école.
Peut-on faire savoir à M. Leclerc que dans le catéchisme de l'Église Catholique, sur les 3 petits paragraphes traitant de l'homosexualité, deux font preuve de compassion et appellent au respect des personnes attirées par les personnes de même sexe et un seul critique l'homosexualité en elle-même et non pas les personnes? Il est dommage que Le Devoir n'ait aucune personne compétente et connaissante pour traiter des questions de "doctrine" religieuse dans ses pages...
Le journaliste Leclerc peut-il expliquer les causes de l'homosexualité et dire pourquoi la discussion sur le sujet devrait être taboue, lorsqu'elle est faite dans le respect et la compassion envers les personnes concernées?
4413 euros d'amende pour avoir refusé d'héberger des partenaires gais dans leur "bed and breakfast"
Sur le blog de Jeanne Smits du 23 octobre 2012:
(Michael Black et John Morgan, les partenaires de même sexe qui ont poursuivi un couple refusant de les héberger chez eux dans le même lit.)
3.600 £ de dommages et intérêts – soit 4.413 euros – c'est la somme qu'une propriétaire de “Bed & Breakfast” à Cookham, Berkshire, devra payer à un couple d'homosexuels pour leur avoir refusé une chambre et surtout un lit. Suzanne Wilkinson est condamnée au titre de la loi sur l'Egalité pour avoir « causé un dommage à la sensibilité » de deux hommes à qui elle a demandé de passer leur chemin parce qu'elle ne reçoit que des couples mariés.
C'est très poliment que cette femme chrétienne a annoncé à Michael Black, 63 ans, et John Morgan, 58 ans, qu'il était contraire à ses convictions que deux hommes partagent le même lit, précisant que ses chambres d'hôtes se trouvent dans sa maison familiale et en prenant soin de leur rendre immédiatement les arrhes qu'ils avaient versées. Aussitôt le couple, sachant que des faits similaires avaient abouti à une condamnation à des dommages et intérêts, avait porté plainte pour « discrimination ».Dans la parfaite logique des lois anti-homophobes, la condamnation est donc tombée dans cette affaire aussi alors même que Mme Wilkinson a avancé un argument supplémentaire : elle loue des chambres dans le cadre d'une entreprise familiale et sa maison n'est en aucun cas un hôtel ouvert au public.(...)Il faut savoir que les deux plaignants, Black et Morgan, avaient expliqué en engageant la procédure que les Wilkinson n'avaient qu'à faire un autre métier : « Si quelqu'un pense que le fait d'offrir un service au public peut entrer en conflit avec ses croyances religieuses, il doit sérieusement se demander si c'est le genre de métier qu'il doit exercer. »Autrement dit : les « hétéros » doivent respecter les homos en toute circonstances, mais ceux-ci n'ont pas à tenir compte de la différence de ceux qui ne sont pas comme eux.Et c'est ainsi que la poursuite de l'homophobie porte de plus en plus atteinte à la liberté religieuse des chrétiens. Elle ne distingue pas entre la manière dont on traite les personnes en fonction de ce qu'ils sont et celle dont on juge ou dont on refuse de promouvoir et de faciliter les comportements.
En Australie comme au Canada, on réprime "l'hétérosexisme"...
Sur le site du Salon Beige du 22 octobre 2012:
(Les lobbys gais à travers le monde tentent de censurer et contrôler le discours sur l'homosexualité ainsi que sur la recherche scientifique pour déterminer les causes de l'homosexualité, phénomène qui touche environ 1% de la population canadienne selon Statistiques Canada)
Les écoliers australiens doivent être informés que « l'hétérosexualité n'est pas la norme », selon un nouveau programme du ministère de l'Éducation nationale, lequel coûte 250.000 dollars. « Hétérosexisme » est l'un des maux que le programme vise à éliminer, ainsi que « l'homophobie et la transphobie ». Le programme définit que l' « hétérosexisme » est la pratique de l'« hétérosexualité comme la norme de positionnement pour les relations humaines » et ajoute que «l'hétérosexisme nourrit l'homophobie ».
Le comité a suggéré que les enseignants surveillent la cour de récréation afin d'éradiquer le langage "hétérosexiste".
Non, ce n'est pas réjouissant de constater que le Canada n'a pas le monopoles des lobbys homosexuels désirant censurer la réalité universelle de l'hétérosexualité comme norme de toute société basée sur la famille.
Le tout puissant lobby homosexuel
1- Écoles homosexuelles :
Au bulletin de nouvelles de RDI à la télévision de Radio-Canada, le 27 septembre 2012, un reportage nous informait que les autorités scolaires de Toronto seraient sur le point de donner le feu vert pour une école secondaire expérimentale. Cette institution scolaire n'accepterait uniquement que des élèves qui se disent homosexuels.
Plusieurs psychologues pensent que les étudiants gais et les étudiantes lesbiennes auraient ainsi un milieu beaucoup plus propice pour leur épanouissement personnel.
On peut se questionner sur les supposés bienfaits d'un tel projet. Ne sommes-nous pas en face d'un autre ghetto qui va stigmatiser encore plus cette communauté ?
Les homosexuels insistent continuellement sur l'importance de leur intégration à la société. Alors, ce n'est sûrement pas avec ces théories fumeuses échafaudées par de supposés spécialistes pour justifier ces écoles homosexuelles qu'on incitera les jeunes à atteindre ce but.
Village gai, défilé gai, vêtements gais, festival gai, spectacles gais, cinémas gais, festival du film gai, littérature gaie, magazines gais, jeux olympiques gais et maintenant écoles gaies, mais où s'arrêtera cette tendance complètement ridicule ?
2- Le dieu condom :
Depuis des décennies les personnes atteintes du VIH (le sida) devaient informer leurs partenaires sexuels de leur condition sous peine d'être accusées au criminel. Les lobbys homosexuels ont toujours dénoncé sur toutes les tribunes cette supposée atteinte à leurs droits fondamentaux.
Le 5 octobre 2012, la Cour suprême du Canada a rendu à l'unanimité un jugement historique. Une personne séropositive n'a plus l'obligation de divulguer sa condition à son partenaire avant leurs activités sexuelles à la condition d'utiliser le dieu condom.
Même si la science a prouvé que le condom n'est jamais sûr à 100 %, nos «savants» juges ont décidé sous la pression du lobby gai que les droits des homosexuels doivent primer sur la sécurité sanitaire.
Aussi incroyable qu'on aurait pu l'imaginer cette position de la Cour suprême n'a pas satisfait la communauté gaie et lesbienne. Les groupes de pression et de défense des droits des personnes séropositives semblent bien décider à exiger l'immunité totale, c'est-à-dire le droit au silence complet avec ou sans condom.
C'est effrayant de voir jusqu'à quel point ces groupes de pression sont capables de faire trembler nos gouvernements et même la Cour suprême !
3- Thérapie interdite :
Il y a aux États-Unis un organisme qui fait beaucoup parler de lui depuis une décennie : c'est «L'Association nationale de recherche et de thérapie sur l'homosexualité» qui est implantée un peu partout chez nos voisins du sud. De plus, ses nombreux succès, qu'on refuse de publiciser, lui attirent la foudre, la hargne et le mépris du tout puissant lobby gai.
Pour notre société postmoderne, vendue corps et âme aux idées à la mode, c'est impensable et inacceptable qu'une quelconque thérapie puisse changer un homosexuel en un hétérosexuel même si cela fonctionne souvent très bien. Voilà pourquoi cette association est actuellement dénoncée et clouée au pilori !
La furie et la colère des organisations homosexuelles contre cette thérapie leur ont permis de remporter une très grande victoire en Californie. Le 29 septembre 2012, le gouverneur Jerry Brown a promulgué une nouvelle loi qui interdit maintenant formellement, sous peine d'accusations criminelles, aux parents d'enfants et d'adolescents de moins de 18 ans de faire appel à ce genre de thérapie pour leur progéniture.
Les homosexuels crient victoire. Ils partent maintenant en croisade dans tout le pays pour que cette loi matraque de la Californie soit adoptée dans tous les autres états chez nos voisins du sud.
Depuis l'entrée en vigueur de cette loi, plusieurs parents risquent la prison s'ils font appel à «l'Association nationale de recherche et de thérapie sur l'homosexualité» pour traiter les tendances homosexuelles de leur enfant.
Dans nos pays décadents, les enfants appartiennent de plus en plus à l'État. Les groupes de pression font la pluie et le beau temps. Ils dictent aux autorités politiques la nouvelle morale à suivre et le système judiciaire fait une gentille courbette.
4- Enfin ! La théorie du genre :
Le lobby homosexuel annonce haut et fort cette théorie postmoderne sur toutes les tribunes avec la complicité de nos médias et de nos spécialistes de la chose.
Depuis quelques années la théorie du genre est devenue présente partout dans notre société : publicité, cinéma, partis politiques, écoles primaires et secondaires, cours d'éthique et de culture religieuse, télévision, arts, culture, etc.
Ce nouveau concept fumeux parle pompeusement de liberté, de libération et d'égalité. Mais attention, hypocritement et insidieusement, on nous fait accroire de façon biaisée que l'identité profonde de la personne humaine n'a rien à voir avec la nature sexuelle homme-femme. Alors, on ne naît plus homme ou femme ! À la naissance nous sommes neutres ! Incroyable ! Maintenant, au nom de cette théorie, il faut libérer les générations futures. Alors, le sexe biologique n'aurait aucune influence sur la sexualité. On construit avec le temps notre propre sexualité. Évidemment, dans notre société sans Dieu, nous sommes les nouveaux dieux.
Attention! Dans notre monde hyper malade, il faudra adhérer à cette thèse, sinon on sera étiqueté de conservateur de droite, de retardé et d'homophobe.
Les champions de la théorie du genre enseignent que l'humanité doit désormais faire la promotion de la diversité sexuelle tous azimuts : gais, lesbiennes, transgenres, transsexuels, allosexuels, bisexuels, métrosexuels, altersexuels, multisexuels, polysexuels, etc. La sexualité, c'est un amusement et un divertissement où la jouissance doit atteindre au maximum le paroxysme suprême et où toutes les fantaisies imaginables et inimaginables prennent la première place.
Maintenant que nos populations ont mis Dieu dehors à tous les niveaux de la société dite moderne et très avancée, on peut en toute liberté se complaire dans cette théorie douteuse. On doit même l'enseigner à nos enfants dans nos écoles supposément neutres. Les milieux universitaires, les artistes, les politiciens, les médias et les «-logues» de tout acabit applaudissent à tout rompre cette trouvaille du troisième millénaire.
À bas le moyenâgeux modèle du couple traditionnel homme-femme avec enfants ! Bon peuple tu dois te mettre à date ou tu seras cloué au pilori. À la poubelle le plan de Dieu !
Le message du Christ, de l'Église de l'Écriture sainte et de la raison même est diamétralement opposé aux idées véhiculées dans la théorie du genre, même si certains au Québec la défendent en se foutant royalement de la tradition et de la sagesse anciennes et fiables.
Dieu nous a créés sexués homme ou femme. Il faut avoir le courage de défendre notre foi et la loi naturelle face à tous ces populaires charlatans qui enseignent les pires faussetés et qui entraînent le monde dans l'abîme.
Une étude canadienne pour contrer "l'homophobie" chez les étudiants
Sur le site de Radio-Canada du 12 octobre 2012:
Plus de 60 % des étudiants gais, lesbiennes, bisexuelles et transgenres ne se sentent pas en sécurité dans les écoles canadiennes, selon des données récentes issues d'un sondage de l'Université de Winnipeg.
L'université mène actuellement une nouvelle étude nationale sur le sujet visant à vaincre l'homophobie dans les écoles.
Ashley Vieira, une jeune femme qui s'identifie comme une allosexuelle car ses préférences sexuelles ne sont pas exclusivement hétérosexuelles, dit connaître très bien l'ambiance et les préjugés à l'école pour les jeunes lesbiennes, gais, transgenres ou bisexuels. Les stéréotypes hétérosexuels à l'école la faisaient se sentir mal d'être différente, explique-t-elle.
C'est ce sentiment de malaise et l'ambiance dans les écoles que veut cerner la nouvelle étude nationale sur les ressources pour lesbiennes, gais, bisexuels et transgenres dans les écoles du pays.
L'étude débutera par un sondage mené auprès des professeurs et écoles anglophones de partout au pays, jusqu'en février prochain. (...)
L'histoire des Lesbiennes, Gais, Bisexuels et Transgenres enseignée à la maternelle...
C'est aux États-Unis, cette fois, que cela s'est produit. Sur le blog de Jeanne Smits du 24 septembre 2012:
(Dans une école québécoise près de chez vous, la campagne des lobbys gais sur l'homosexualité)
Les écoles publiques de Broward, Floride s'apprêtent à célébrer le « mois de l'histoire LGBT, qui comme chaque année depuis 1994 se fête en octobre aux Etats-Unis. Elles auront le choix, paraît-il, d'appliquer ou non la résolution du Bureau des écoles du comté attendue mercredi, qui prévoit des cours spéciaux dans les classes de maternelle…
(...)
De telles initiatives devraient encourager les opposants au « mariage » homosexuel à se pencher sur les conséquences prévisibles de la légalisation. Une fois l'union homosexuelle, et « l'homoparentalité » légalisées, il n'y a plus moyen de demander qu'il n'en soit pas question dans les écoles ni de dénoncer le sujet comme inadéquat pour des enfants de n'importe quel âge.
Comme c'est le cas au Québec, par exemple...
Pressions sur les chrétiens pour qu'ils acceptent le discours du lobby gai
Sur le blog de Jeanne Smits du 12 septembre 2012, deux articles sur des pressions inacceptables.
(L'Université Franciscaine de Steubenville, redonnant le message de l'Église catholique sur l'homosexualité, est accusée de propager une culture de haine)
Une « ministre » de l'« Eglise du Christ » – l'église protestante Church of Christ – qui assure depuis quinze ans les cérémonies de mariage civil à la mairie de la ville de Cambridge, Ontario, a été priée de célébrer des « mariages » homosexuels, sans quoi elle ne pourra plus remplir sa fonction. Cela a été décidé par huit voix contre une lors du conseil municipal qui a eu lieu lundi soir.(...)
Mise devant ce choix impossible, elle a répondu que sa foi chrétienne ne lui permettait pas de célébrer des mariages homosexuels, et son église pas davantage.Elle est pourtant accommodante. Les rares fois où, depuis la légalisation du « mariage » gay, on lui a demandé une telle cérémonie, elle s'est assurée que les candidats puissent se « marier » à Cambridge, en les aiguillant vers l'autre personne rémunérée par la municipalité pour célébrer les mariages civils et qui elle, n'y voit pas d'inconvénient. Et comme le souligne Jay Brown, elle n'est pas salariée de la Ville, mais engagée par contrat, tout comme l'autre célébrant à qui l'on pourrait tout simplement assigner la mission de s'occuper des « mariages » gays.(...)Thaddeus Baklinski, de LifeSite, signale que cela va dans le sens de ce que pressentent bien des commentateurs. Cette volonté de contraindre des ministres ou pasteurs chrétiens à célébrer des unions homosexuelles dépasse une simple question de « normalisation » ou d'égalité de droits, note-t-il.« Les activistes gays demandent souvent aux chrétiens en quoi le “mariage” gay peut bien leur faire du tort », commente Eric Metaxas de Breakpoint.org : pour lui, vouloir obtenir une reconnaissance totale du « mariage » gay est avant tout une tentative de détruire la liberté religieuse et la liberté d'expression. Et c'est un tort évident.Et de fait de nombreuses procédures sont engagées au Canada contre des institutions chrétiennes, des responsables et de simples fidèles qui ont osé manifester leur opposition au “mariage” des homosexuels
L'université fransiscaine – et donc catholique – de Steubenville, dans l'Ohio, fait l'objet d'une enquête de la part de l'agence nationale de l'Administration américaine chargée d'agréer les cursus universaires de « travail social » au motif que l'un des cours dispensés dans cette université présente l'homosexualité au nombre des comportements déviants, rapporte LifeSite. C'est sur délation d'un groupe d'étudiants qui s'appellent eux-mêmes les « Fransiscan Gay Alumni and Allies » (Les Etudiants gay de Fransiscan et leurs alliés) que l'enquête a été lancée ; le groupe réclame une modification du cours afin que l'université « cesse de contribuer à la culture de la haine et de l'ignorance ».
Le cours en question est intitulé : « Comportements déviants » et se penche sur le meurtre, le viol, le vol, la prostitution, l'homosexualité, maladie mentale et usage de stupéfiants.(...)
De son côté, l'université a fait cette déclaration :
« Nous comprenons que certains, ne comprenant pas le terme (déviant) ni son contexte, puissent se sentir offensés par cette description, et celle-ci est en cours d'évaluation. Cependant, changer les définitions sociologiques standardisées est au-delà du champ de notre travail. Comme l'est tout autant le fait de changer les enseignements de l'Eglise catholique. »
Il est difficile de ne pas voir dans cette attaque visant un établissement catholique un nouvel épisode de la guerre qui est faite à l'Eglise pour qu'elle cesse de dire ce qu'elle a toujours dit sur le comportement homosexuel.