La France combat pour le droit des enfants d'avoir un père et une mère, contre son gouvernement socialiste
Sur le site du Salon Beige du 22 octobre 2012, cette affiche:
À quand nos manifestations québécoises?
L'homoparentalité contre l'intérêt supérieur de l'enfant selon un article du magazine Le Point
Sur le site du magazine Le Point du 23 octobre 2012 (via le Salon Beige):
(Le livre de Christian Flavigny au titre révélateur: Parents d'aujourd'hui, enfant de toujours)
Le désir de famille exprimé au travers de l'adoption par des couples d'homosexuels mariés est-il compatible avec "l'intérêt supérieur de l'enfant" protégé par la Convention internationale des droits de l'enfant ? "La responsabilité d'élever l'enfant et d'assurer son développement incombe au premier chef aux parents (...). Ceux-ci doivent être guidés avant tout par l'intérêt supérieur de l'enfant", précise son article 18.
Cette question interpelle les associations de protection de l'enfance. "Les promoteurs du projet se soucient avant tout de la revendication des personnes de même sexe à avoir droit à des enfants et non pas de l'intérêt des enfants eux-mêmes", déplore la présidente du Collectif pour l'enfance Béatrice Bourges. Mais en quoi la capacité d'éduquer l'enfant et de lui donner de l'amour dépendrait-elle de l'orientation sexuelle ? "Au-delà de l'amour et de l'éducation, l'autre besoin relationnel de l'enfant est de pouvoir s'ancrer dans une généalogie et dans une vérité de filiation", assure Béatrice Bourges.
"L'enfant est spontanément en mésestime de lui-même"
Un point de vue que partage le pédopsychiatre Christian Flavigny, responsable du département de psychanalyse de l'enfant et de l'adolescent à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris. "Le fait d'envisager cette question sous le prisme de l'éducation ne peut occulter les sentiments profonds de l'enfant et cette blessure narcissique originaire : pourquoi n'ai-je pas mérité d'avoir mon père et ma mère ? Le mécanisme de pensée d'un enfant abandonné est de croire qu'il l'a été parce qu'il était un mauvais enfant. Il est spontanément en mésestime de lui-même. L'adoption par des couples d'hétérosexuels absorbe cette problématique au travers du message : nous t'attendions comme notre enfant."
Christian Flavigny va encore plus loin dans son argumentaire. "Dans la mesure où l'enfant sait qu'il est né d'un père et d'une mère, cette complétude entre les sexes va le restaurer dans sa blessure narcissique et donner un socle à sa construction psychologique. Or, s'il est adopté par exemple par deux femmes, il se demandera inévitablement : pourquoi n'ai-je pas mérité d'avoir mon père ?, et le fait qu'il n'ait pas mérité la voie royale va remonter à la surface. Or le projet de loi actuel masque, voire banalise cet enjeu de fond pour l'enfant. Il fait oublier cette privation essentielle de l'enfant qu'il est issu d'un père et d'une mère et que l'adoption par des célibataires parvient à éviter à l'aide de la figure relais des grands-parents de l'enfant."
Et de pointer l'autre "effet pernicieux" véhiculé par le projet. "En créant une indifférenciation généralisée des "parents" au nom de l'égalité, on risque de brouiller non seulement les repères de l'enfant sur ses origines, mais aussi les mécanismes régulateurs de la famille, la différence des sexes jouant un rôle fondamental dans les interdits familiaux (l'inceste notamment). (...)
Fécondation in vitro ou donneur de sperme : le choix des partenaires lesbiennes désirant un enfant à tout prix
Sur le site du Journal de Montréal du 22 septembre 2012:
Après avoir eu recours au traitement in vitro pour leur premier enfant, un couple de lesbiennes s’est tourné vers Internet pour choisir le géniteur de leur deuxième. (...)
D’ailleurs, l’histoire de cette famille est loin d’être singulière. Selon les géniteurs rencontrés par le Journal, les couples de lesbiennes constituent environ la moitié de leur clientèle.
Grâce à une annonce mise en ligne sur un forum, le couple est entré en contact avec un homme dans la vingtaine qui réside à Québec.
« On voulait prendre quelqu’un qui habitait le plus loin possible, pour éviter les contacts, raconte Catherine. (...)
C’est compliqué (le programme provincial) et c’est long. Et ce n’est pas gratuit. Ce n’est pas vrai. Il y a des affaires gratuites, mais ils t’expliquent des affaires pis toutes sortes de patentes. Et là, ça te coûte 1 000 $, 2 000 $ », a souligné un des donneurs lors d’une rencontre.
Or, ce dernier croit aussi que le fait de connaître le géniteur est intéressant dans l’éventualité où l’enfant souhaiterait le rencontrer.
« Parce que l’enfant, ça se peut que ça le torture à l’adolescence », a-t-il ajouté.
De leur côté, Geneviève et Catherine n’ont eu aucun contact avec le géniteur de l’enfant depuis sa naissance. Il a appris que l’enfant était né par un intermédiaire, sans plus.
D’ailleurs, elles ne savent pas encore si elles diront un jour à l’enfant qui est son père biologique.
« On n’est pas rendues là. Chaque situation est différente, hésite-t-elle. Mais, on a la chance d’y penser. Notre autre garçon ne pourra jamais contacter son père géniteur. »
Avoir un géniteur connu est certainement mieux pour un enfant, que d'être conçu en éprouvette, c'est déjà un progrès. Mais on peut rêver... Pourquoi pas un géniteur qui connaîtrait bien la mère et pourrait avoir un contact épisodique avec l'enfant. Plus fou encore? Pourquoi pas un géniteur qui habiterait avec la mère et qui serait uni par une sorte de consentement de don réciproque pour la vie, dans un même amour pour cet enfant, une sorte de père quoi? On arrête pas le progrès...
En France, le Collectif pour l'enfant dénonce l'option de l'"homoparentalité"
Sur le site du Salon Beige du 12 septembre 2012:
C'est ainsi reconnaître que ces réformes annoncées au nom de la lutte contre les discriminations, auront des conséquences sociales, juridiques, économiques, éthiques et bouleversera la famille en profondeur. Elles concernent donc la société tout entière et non seulement les personnes directement impliquées. En particulier, le mariage et la filiation sont intrinsèquement liés en raison de la dimension familiale du mariage. Or, admettre deux femmes ou deux hommes comme parents d'un même enfant exigerait d'abandonner les réalités de père et mère au profit de concepts neutres comme parent 1 et parent 2, ou parent A et parent B. Tous les enfants français se verraient assigner des parents 1 et 2, ou A et B. Tous les parents français devraient se voir désigner à l'état civil et dans leur livret de famille comme parents 1 et 2, A ou B, au mépris de la complémentarité d'état de père et de mère.
Une fois admis les parents de même sexe, sur quel critère trancher les conflits de « parenté » comme, par exemple, entre la conjointe de la mère et le père de l'enfant ? Il ne restera plus qu'à admettre les trois protagonistes, la mère, sa conjointe, et le père, comme parents, comme c'est déjà le cas en Ontario au Canada, en attendant que le conjoint ou la conjointe du père ne réclame elle aussi la qualité de parent : pourquoi le conjoint du père serait moins légitime que la conjointe de la mère à être reconnu comme « parent » ? Reconnaître trois ou quatre parents d'un même enfant ne serait en rien un excès à éviter mais la conséquence NORMALE de l'admission de parents de même sexe. Et cette extension du nombre des parents pourrait concerner toute famille décomposée et recomposée : tous les parents français devraient admettre que le nouveau conjoint de leur « ex » puisse être considéré comme troisième ou quatrième parent à la mesure de son investissement affectif et éducatif auprès de l'enfant ! Est-ce vraiment un progrès au regard de l'enfant ?
Les enfants seraient les premières victimes d'une prétendue « homoparenté », car donner deux mères à un enfant, si tant est que cela puisse avoir un sens, reviendrait en réalité à le priver de père volontairement, de même que prétendre donner deux pères à un enfant reviendrait à le priver de mère volontairement. Prétendre qu'un enfant puisse avoir deux parents de même sexe le situe dans l'artifice, le mensonge, car deux femmes ou deux hommes ne peuvent engendrer un enfant, quelles que soient par ailleurs leurs qualités personnelles qui ne sont en rien en cause. Or l'enfant a besoin d'être connecté au réel, à la réalité, pour se construire sur un socle solide et non sur les sables mouvants des désirs irréalistes dont il est l'objet. Rattacher juridiquement un enfant à deux personnes de même sexe reviendrait à le doter d'éducateurs, mais à le priver de parents ! Nous voulons donc protéger les enfants de l'injustice que ces réformes envisagent d'institutionnaliser à leur égard. Mais nous serions en réalité TOUS concernés.
(...)
Attention à ce que lisent vos enfants à l'école...
Sur le site du journal Métro du 26 juillet 2012, un livre pour enfant voulant faire passer l'homoparentalité pour un type de famille parmi d'autres...
(Ulysse alias Easy Loup Galop)
Parce qu’il existe toutes sortes de familles et toutes sortes d’enfants, l’auteure Ariane Bertouille poursuit les aventures d’Ulysse. Le roman Ulysse, alias Easy Loup Galop, destiné aux enfants de huit ans et plus, raconte l’histoire d’un petit garçon comme les autres, qui a une petite sœur et… deux mamans lesbiennes.
La parution du livre offre l’occasion de souligner les 10 ans de la Loi québécoise instituant de nouvelles règles de filiation qui accorde l’égalité juridique aux couples homosexuels et aux familles homoparentales. Entretien avec l’auteure Ariane Bertouille, qui vient de faire paraître son premier roman jeunesse.
Qu’est-ce qui vous a motivée à écrire un roman jeunesse?
Depuis qu’on a sorti l’album Ulysse et Alice, qui s’adresse aux 3-4 ans, une formation a été mise sur pied avec le ministère de l’Éducation dans les écoles primaires. Je trouvais intéressant de continuer les aventures d’Ulysse et de créer un outil destiné aux plus de huit ans.Est-ce une manière de faire valoir les droits des homosexuels?
L’identité du Québec par rapport à l’homosexualité est assez particulière puisque les parents de même sexe ont les mêmes droits, depuis 10 ans, que tous les autres parents. Et, pour moi, c’est important qu’il y ait une reconnaissance sociale de cette loi. (...)
Le respect des personnes homosexuelles ne signifie certainement pas accepter des constructions sociales qui transforment les enfants en orphelins d'un père, dans le cas d'une mère lesbienne, ou orphelins de mère dans le cas d'un père homosexuel. L'"homoparentalité" cause de graves préjudices aux enfants. Nous ne sommes pas Elton John pour pouvoir affirmer que nous sommes déchirés de voir ces enfants manquer d'une mère ou d'un père, mais nous partageons certainement son constat : douleur de l'enfant causé par "l'homoparentalité".
La France veut combattre le "mariage gai" que veut imposer le président socialiste
Sur le site du journal Le Figaro du 29 juin 2012:
Les opposants à l'ouverture du mariage et de l'adoption aux personnes du même sexe fourbissent leurs armes. Plus de dix ans après le débat sur le pacs, les défenseurs de la famille «traditionnelle» savent qu'ils risquent d'être taxés d'homophobie en s'opposant au projet gouvernemental. Sans attendre le débat de la rentrée, ils ont déjà entamé leur réflexion sur la meilleure façon de faire entendre leurs arguments en déjouant la critique.
Sans prendre officiellement position sur la proposition 31 de François Hollande, l'Unaf (Union nationale des associations familiales) a déjà émis des réserves sur un futur projet de loi en empruntant les mots… d'Élisabeth Guigou.
«Mon refus de l'adoption pour des couples homosexuels est fondé sur l'intérêt de l'enfant, sur son droit à un milieu familial où il puisse structurer son identité et épanouir sa personnalité», a cité le président de l'Unaf, François Fondard, reprenant des propos de l'ancienne garde des Sceaux lors de l'adoption du pacs. Un peu chahutée lors de l'assemblée générale annuelle de l'Unaf, la ministre déléguée à la famille, Dominique Bertinotti, a cependant également été applaudie. Preuve du difficile consensus sur la question au sein de l'institution.
Boutin va «rentrer en résistance»
Pasionaria antipacs, Christine Boutin n'a pas la voix qui tremble. Très remontée, la présidente du Parti chrétien-démocrate annonce qu'elle a l'intention de «rentrer en résistance» et promet même qu'elle ira «jusqu'à l'incivilité si nécessaire». «Ce projet est gravissime. Il s'agit d'un changement de civilisation car toutes les sociétés sont fondées sur la différence des sexes. Je ne mets pas en cause l'amour entre deux personnes du même sexe mais si l'on se place du point de vue de l'enfant, tous les désirs d'adultes n'ont pas à être contentés», tonne l'ancienne ministre du Logement. «Les exceptions n'ont pas à être érigées en normes légales», rajoute-t-elle. (...)
L'association Alliance Vita, fondée par l'ancienne ministre, annonce de son côté une mobilisation centrée sur le droit de l'enfant à être élevé par un père et une mère plus qu'une opposition de principe au mariage gay, «même si les deux sujets sont liés». «L'escamotage du père ou de la mère, c'est une rupture de la correspondance entre la nature et la culture. Nous voulons également souligner le risque de basculement vers la procréation médicalement assistée pour les couples du même sexe», explique Tugdual Derville, délégué général de l'association.
Associations d'aide à l'enfance, volontaires à l'adoption effrayés par l'impact de la nouvelle loi sur leur propre projet: «Il y aura beaucoup d'autres acteurs mobilisés avec différents niveaux d'opposition au projet, prévoit-t-il. La question des dégâts de l'homofiliation devra également être abordée. Cela passera par une libération de la parole de ceux qui ont subi ces bricolages procréatifs. Il ne s'agit pas de stigmatiser mais de lever le tabou sur des souffrances.» (...)
La France résiste face à l'homoparentalité
Sur le site de Yahoo du 19 juin 2012:
(Deux pères pas de mère ou deux mères pas de pères, qu'est-ce qui est le mieux pour un enfant?)
L'association SOS Homophobie a dénoncé mardi dans un communiqué deux arrêts début juin de la Cour de cassation qui ont refusé à des couples homosexuels binationaux ayant adopté de reconnaître les jugements étrangers ayant prononcé ces adoptions.
(...)
Les cas jugés le 7 juin concernent des couples de même sexe binationaux qui avaient adopté un enfant, l'un au Canada, l'autre en Angleterre, et venaient vivre en France, où ils demandaient la transcription de l'adoption sur les registres de l'état civil français.
Dans les deux cas, la Cour de cassation a refusé cette transcription de l'adoption, arguant que cela heurterait "les dispositions d'ordre public relative à la filiation, qui interdisent l'établissement conjoint de la filiation par deux personnes du même sexe".
Elton John veut adopter un second enfant
Une nouvelle parue dans le Journal de Québec du 26 avril 2012:
(David Furnish et Elton John)
Elton John et David Furnish se préparent à avoir un autre enfant via une mère porteuse, afin que leur fils ait un frère ou une soeur.
Ils sont devenus parents de Zachary, 13 mois, le jour de Noël en 2010.
Même s'ils craignent que leur fils soit stigmatisé d'avoir des parents gays, David Furnish a révélé qu'ils avaient envie d'avoir un autre enfant.
Il a confié au journal London's Evening Standard: «J'aimerais que Zachary ait un frère ou une soeur. Je pense qu'il serait mieux avec un frère ou une soeur plutôt que tout seul. Nous en parlons tout le temps. Mais à savoir quand, où et comment, rien n'a encore été décidé. Je pense que nous allons attendre cet été. Notre vie est très remplie, avec Elton qui travaille sans cesse et qui est sans cesse en tournée. Mais lorsque nous nous rendons chez nous en France, c'est à ce moment-là que nous pouvons nous asseoir et dire "OK, comment allons-nous faire?".»
David Furnish ajoute que le couple pense utiliser la même mère porteuse que pour Zachary, mais ils ne sauront pas qui est le père biologique.
Il explique: «Nous pourrions retourner voir la même donneuse et du coup, biologiquement, il y aurait une connection certaine entre les deux frères ou entre le frère et la soeur.»
"J'aimerais que Zachary ait un frère ou une soeur. Je pense qu'il serait mieux avec un frère ou une soeur que tout seul." C'est un sentiment qui honore son auteur. Mais pourrait-il aller au bout du raisonnement avec tout ce que cela pourra impliquer de sacrifices affectifs et dire: "J'aimerais que Zachary ait une mère et un père. Je pense qu'il serait mieux avec un père et une mère qui s'aiment et l'aiment lui aussi, plutôt qu'avec deux pères et être orphelin de mère?"
La population slovène refuse l'adoption pour les partenaires de même sexe
Sur le site Le Salon Beige du 26 mars 2012, on retrouve cette information sur la volonté d'un peuple de préserver la famille et le mariage:
Les Slovènes ont rejeté un nouveau code de la famille offrant davantage de droits aux couples homosexuels, en particulier en matière d'adoption, lors d'un référendum hier. Le oui était donné gagnant par nos médias. 56,45% des électeurs ont voté contre la loi, 43,55% pou.
Cette loi avait été adoptée par le parlement en juin 2011, mais n'a jamais pu être appliquée, grâce à la mobilisation des militants pro-famille, soutenus par l'Eglise catholique. Ils avaient réuni les 40 000 signatures nécessaires à l'organisation d'une consultation populaire devant décider de son application.
L'adoption est d'abord pour le bien de l'enfant!
Un article paru sur le site du salon beige du 2 mars 2012 nous donne cette réflexion de Véronique Besse, membre de la commission spéciale sur l'enfance délaissée et l'adoption:
« Le sens de l'adoption, c'est de donner à des enfants les parents dont ils ont besoin et non l'inverse. Ne nous trompons pas, la question centrale de l’adoption, c’est la question de la place de l’enfant dans notre société et de ses droits. Ce qui doit primer, c’est l'intérêt de l'enfant, plutôt qu'un supposé droit à l'enfant. Il est encore moins question de répondre à des revendications communautaristes mais d’assurer la stabilité des familles et l’équilibre des enfants qui ont besoin pour cela de la complémentarité d’un père et d’une mère. Trop souvent délaissée au profit d’enjeux immédiats, la famille constitue pourtant le socle de notre société et doit être au cœur de nos priorités. Promouvoir la famille et soutenir les mesures d’aides à l’enfance en détresse, c’est un choix de société, c’est aussi faire le pari de l’avenir. »
Pour le bien de l'enfant, l'adoption par des partenaires de même sexe ne devrait pas être permise.