Le discours pro-avortement de l’actrice Michelle Williams lors de la remise des Golden Globes
Michelle Williams.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
L’actrice Michelle Williams a laissé entendre lors de son discours à la remise des Golden Globes qu’elle n’aurait pas pu gagner son prix si elle n’avait pas avorté son bébé des années auparavant.
Eden Linton, responsable de la jeunesse et de l’éducation de la SPUC, a réagi : « Bienvenue en 2020, où un trophée a plus de valeur que la vie humaine et les femmes doivent tuer leurs enfants pour réaliser leurs rêves. »
La cérémonie de remise des prix du cinéma américain a vu Michelle Williams recevoir un prix pour son rôle dans la série télévisée Fosse/Verdon.
Après avoir reçu son prix, l’actrice a utilisé son discours pour promouvoir un programme pro-avortement, où elle a laissé entendre au public que l’avortement de son bébé lui avait permis de réussir.
Saisissant son prix, Michelle Williams a déclaré : « Je n’aurais pas été en mesure de le faire sans exercer le droit d’une femme de choisir, de choisir quand avoir mes enfants et avec qui. »
Le discours de l’actrice a été accueilli par les applaudissements des stars d’Hollywood et a rapidement été diffusé sur les réseaux sociaux par le géant de l’avortement Planned Parenthood.
Mlle Linton a dénoncé cette attitude : « Mme Williams a envoyé le message aux jeunes filles impressionnables du monde entier que leurs rêves et leurs ambitions ne peuvent se réaliser sans avortement et que les femmes doivent sacrifier leurs enfants pour réussir.
En 2020, aucune femme ne devrait avoir à sacrifier son enfant pour réaliser ses rêves. Le message de Mme William dégrade les femmes et leurs capacités. Dans une société où les célébrités sont si glorifiées, il est extrêmement préoccupant de voir des déclarations comme celles-ci émaner d’événements de grande envergure avec la capacité d’influencer les autres. »
Hollywood pro-avortement Le discours de Michelle Williams n’est pas le premier tenu par des célébrités hollywoodiennes utilisant leur notoriété pour promouvoir une idéologie pro-avortement. En 2019, un groupe de plus de 40 célébrités hollywoodiennes a exprimé son indignation collective face à la perspective de protections légales dans l’État de Géorgie, qui protégeraient les enfants à naître de l’avortement. Les célébrités, qui comprenaient Ben Stiller, Amy Schumer et Alec Baldwin, ont écrit une lettre au gouverneur de Géorgie, menaçant de boycotter l’État si des protections juridiques pour les enfants à naître étaient introduites, et ont qualifié les garanties de « mal ».
Les géants du divertissement Netflix et Disney, qui vendent souvent leur programme pour un public de très jeunes enfants, ont protesté contre la perspective de protéger les enfants à naître de l’avortement. Les deux sociétés ont menacé de boycotter l’État de Géorgie si des protections légales étaient accordées aux enfants à naître.
C’est aussi ça Hollywood
Pressions LGBT : un acteur s’excuse d’avoir déclaré les enfants de 3 ans trop jeunes pour choisir un « genre »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Mario Lopez, Américain, acteur, producteur de films, animateur et père de trois enfants, avait eu l’imprudence (louable) de se prononcer sur le trangenrisme que l’on introduit chez les jeunes enfants, d’un âge aussi bas que trois ans, notamment parmi ceux des acteurs de cinéma. En retour, il a subi la critique de la gent LGBT, particulièrement transgenres et protransgenrisme, qui lui reprochait de tenir des propos qui osaient mettre en doute le bien-fondé d’accéder aux fantaisies d’un enfant de trois ans concernant son sexe. Extrait de People :
Le nouveau coanimateur d'Access Hollywood est apparu au The Candace Owens Show en juin, où la commentatrice conservatrice a évoqué « cette nouvelle tendance parmi les célébrités à se distinguer... en annonçant que leur enfant choisissait son genre. »
En réponse, Lopez dit à Owens que lui aussi avait du mal à comprendre cette mentalité, et qu'il était « en quelque sorte sidéré ».
« Écoutez, je ne suis pas du genre à dire à qui que ce soit comment élever ses enfants, évidemment, et je pense que si vous venez d'un lieu aimant, vous ne pouvez vraiment pas vous tromper », affirma-t-il. « Mais en même temps, mon Dieu ! si vous avez 3 ans et que vous dites que vous vous sentez d'une certaine façon, ou que vous pensez être un garçon ou une fille, ou peu importe ce que ça pourrait être, je pense qu'il est dangereux pour un parent de prendre cette décision : "Bon, alors vous allez être un garçon ou une fille", peu importe le cas. C'est un peu alarmant et, bon sang ! je pense aux répercussions plus tard. »
[…]
L'ancienne vedette de Saved by the Bell a continué, encourageant les parents de jeunes enfants à « être l'adulte dans la situation » et à attendre les « années formatives » de l'enfant pour avoir des discussions et faire des déclarations concernant le genre.
Je rajouterais aux paroles d’alors de M. Lopez que peu importe l’âge de l’enfant, il est dangereux et faux de prétendre qu’il est autre chose que ce qu’il est, à savoir un garçon ou une fille, ce qui est déterminé par sa biologie, par son ADN. Mais M. Lopez s’est fait tomber dessus par la vindicte LGBT et s’est soumis à ses volontés, dommage qu'il ait manqué de courage. Extrait de People :
Dans une déclaration publiée dans People, mercredi, Lopez s'est excusé pour ses remarques.
« Les commentaires que j'ai faits étaient ignorants et insensibles, et je comprends maintenant mieux à quel point ils étaient blessants », protestait-il. « J'ai été et je serai toujours un ardent défenseur de la communauté LGBTQ, et je vais profiter de cette occasion pour mieux m'éduquer. Allant de l'avant, je serai mieux informé et plus réfléchi. »
Le gouverneur de Géorgie signe une loi interdisant l’avortement dès le battement du cœur de l’enfant à naître
Capitole de Géorgie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : DXR/Wikimedia Commons
Le gouverneur de Géorgie Brian Kemp a signé un projet de loi pro-vie protégeant la vie des enfants à naître dont on peut détecter le battement de cœur, bravant ainsi la horde des célébrités hollywoodiennes, de journalistes et de dirigeants de gargantuesques compagnies, qui critiquaient ce projet de loi ou menaçaient le gouverneur de boycott s’il le signait, rendant ainsi le geste encore plus magnifique. Extrait de LiveActionNews :
Le gouverneur géorgien Brian Kemp a signé le « Heartbeat Bill » (projet de loi battement de cœur) mardi matin. Il interdira l’avortement en Géorgie lorsque le battement cardiaque fœtal pourra être détecté, dès la sixième semaine de grossesse.
[...]
Le projet de loi HB 481, ou « Living Infants Fairness and Equality (LIFE) Act » (Projet de loi pour les enfants vivants, la justice et l’égalité), qui a fait l’objet de critiques de la part d’acteurs hollywoodiens qui ont menacé de retirer la rentable industrie cinématographique de l’État de Géorgie si le projet de loi était adopté, prévoit [malheureusement] des exceptions pour les enfants conçus dans les cas de viol ou d’inceste ou lorsque la mère est en danger [...] Le représentant de l’État, Ed Setzler, a souligné lors de la signature du projet de loi que le bon sens nous dit qu’un cœur battant signifie que la vie existe.
Le projet de loi a été adopté à la Georgia House en mars par 92 voix contre 78 et M. Kemp a promis de le signer malgré la réaction négative des célébrités pro-avortement ainsi que des entreprises comme Amazon et Coca-Cola. Il a finalement tenu sa promesse, donnant à la Géorgie l’une des lois pro-vie les plus strictes du pays.
[...]
Le projet de loi entrera en vigueur au début de l’année prochaine. Une poursuite est attendue de la part l’ACLU [organisme pro-avortement] de Géorgie.
Genderless, la nouvelle lubie hollywoodienne
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info) — Photo : Pexels/Pixabay
Éduquer ses enfants genderless, c’est-à-dire sans sexe attribué, est la nouvelle mode diffusée parmi les stars de Hollywood, cette usine à rêve américain. Peut-être aussi la dernière manière de faire parler de soi en s’affichant sexuellement correct.
Récemment, c’est l’actrice américaine Kate Hudson qui, dans un entretien, a déclaré avoir pris une décision avec le père de l’enfant par rapport à son éducation :
« J’habille ma fille nouveau-née avec des vêtements de femme mais je suis de toute façon ouverte à toutes les possibilités. Il faut que ce soit ma fille qui choisisse qui elle veut être. »
La fille des acteurs Angelina Jolie et Brad Pitt, Shiloh, a été éduquée de manière gender free et non en conformité avec sa nature féminine. Le résultat ? Aujourd’hui elle a 12 ans, s’habille et a les cheveux courts comme un garçon, et se fait appeler « John ».
La folie d’une telle idéologie semble avoir gagné également la maison régnante au Royaume-Uni : le royal baby de Harry et de Meghan, qui devrait naître au printemps, n’aura pas de chambre blanche, rose ou bleu, mais aux murs gris. Les couleurs rose et bleu sont décidément rétrogrades, vieux stéréotype culturel d’un monde en extinction. Le gris en revanche, couleur neutre par excellence reflète, peut-être plus que l’arc-en-ciel, le prétexte idéologique de qui souhaite par tous les moyens nier la réalité intrinsèque des choses, que le blanc est blanc et le noir est noir, qu’une femme est une femme et un homme un homme !
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« Call me by your name », le nouveau film d’Hollywood qui ne parle pas de pédophilie – mais de pédérastie
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Il était attendu. Depuis l’été, des « trailers » aiguisaient l’intérêt et la curiosité des cinéphiles, mais aussi des observateurs attentifs du phénomène LGBT. Le film « Call me by your name » (« Appelle-moi par ton nom ») est sorti sur les écrans outre Atlantique le week-end de Thanksgiving : il met en scène la relation amoureuse éphémère, le temps d’un été, entre un homme de 24 ans et un jeune garçon de 17. Si l’on ne peut parler littéralement de pédophilie, on peut parler de pédérastie ou encore d’éphèbophilie.
L’écart d’âge n’est pas choquant entre hétérosexuels ? Il ne doit pas l’être non plus entre les homosexuels. Encore une fois, tout est une question de consentement… Et on normalise toujours un peu plus ces relations, en les sortant même du cercle strictement gay : la « romance » a valeur universelle.
« Le film le plus romantique de l’année »
C’est flou, c’est délicat… « une beauté lunaire » disent les critiques unanimes. Rolling Stone l’a déclaré « le film le plus romantique de l’année », « un classique instantané ». Le New Yorker y a vu « un triomphe érotique, émotionnellement aigu et extraordinairement sensuel »… Bref une « charmante » histoire qui va sûrement rafler des Oscars à la 90e cérémonie à venir – il est d’ailleurs déjà ressorti en tête des nominations aux Spirit Awards, prix américains du cinéma indépendant.
Lire la suiteLes abus sexuels sur mineurs de Kevin Spacey expose le lien entre homosexualité et pédophilie
Kevin Spacey
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
C’est comme s’il avait voulu se dédouaner en annonçant qu’il était gay – mais les LGBT n’ont pas du tout apprécié. Depuis dix jours, le célèbre acteur, réalisateur et producteur américain se voit l’objet d’une succession d’accusations, proférées par de jeunes hommes et des hommes jeunes : mineurs ou majeurs à l’époque des faits, ils ont été manifestement agressés sexuellement par Kevin Spacey. Évidemment, ce dernier ne se souvient pas de ces abus ; dans ses excuses, il a prétexté l’ébriété et s’est rapidement réfugié « sous l’arc-en-ciel LGBT », comme s’en sont offusquées les associations du même métal. L’homosexualité et la pédophilie auraient partie liée ! Quand la réalité vous rattrape…
Kevin Spacey rattrapé par ses abus sexuels sur des mineurs
Le processus est le même que pour Harvey Weinstein. Accusés, confrontés, mis au ban par la justice médiatique, ils vont tout perdre ou en tout cas beaucoup. Et pourtant ils étaient arrivés « haut » et du bon côté politique. A la suite des révélations visant Kevin Spacey, Netflix qui produit la série à succès « House of Cards » dont il tenait la tête d’affiche a tout simplement décidé de mettre un terme à sa participation : il ne recevra même pas l’Emmy Awards d’honneur en novembre prochain, comme c’était prévu. Au lieu de ça, il a été admis, tout comme Harvey Weinstein, dans une clinique huppée de l’Arizona, pour une cure de désintoxication sexuelle…
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