Je suis pro-vie et j’ai pris le vaccin covid. Maintenant je le regrette
Patricia Maloney.
Par Patricia Maloney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Run with Life
Note de l’éditeur : CLC est heureux de vous présenter cet article exclusif de notre amie pro-vie Patricia Maloney, qui tient le blogue Run with Life. Patricia a écrit un article difficile mais important sur son parcours de militante pro-vie à travers les mandats de vaccination. Le parcours de chacun sur cette question est différent et CLC le sait et le respecte. Voici l’histoire de Patricia. Il se peut que certains d’entre nous puissent s’identifier à cette histoire. Et, pour cette raison, nous pensons qu’il vaut la peine de faire connaître l’histoire de Patricia à un public plus large.
24 août 2022 (Campaign Life Coalition) — Dès le début, j’ai eu du mal à prendre la décision de recevoir ou non le vaccin covid. Les gens que j’aime, et qui m’aiment, voulaient vraiment que je le fasse. J’ai fait des recherches. Les vaccins étaient entachés par l’avortement. Des lignées de cellules fœtales ont été utilisées dans leur production ou dans leurs tests. Et, fait troublant, les lignées cellulaires ont été créées à partir de tissus rénaux ou rétiniens prélevés sur des bébés délibérément avortés afin que leurs organes puissent être utilisés dans des expériences médicales.
En tant que catholique pro-vie, j’ai dû faire face à un énorme dilemme éthique. Je suis pro-vie de bout en bout. Que dois-je faire ?
J’ai prié à ce sujet. J’en ai parlé à mon directeur spirituel. J’ai écrit une lettre à Pfizer et une autre à Moderna pour protester contre l’utilisation de lignées cellulaires fœtales.
J’ai écrit : « Je voudrais exprimer ma forte objection morale à l’utilisation que fait Moderna de la lignée cellulaire HEK [-293] dans ses tests pour le vaccin covid. En tant que personne qui accorde de la valeur à toute vie humaine, de la conception à la mort naturelle, l’utilisation de fœtus avortés dans les vaccins est très très troublante pour moi. Moderna ne pourrait-il pas plutôt utiliser des lignées cellulaires d’autres types ? Je sais que d’autres fabricants ont été en mesure de le faire. Malheureusement, je suis maintenant dans la position (lorsque le vaccin sera disponible pour moi, ce qui n’est pas encore le cas) où Moderna et Pfizer sont les deux seuls vaccins covid disponibles au Canada. Je vais devoir prendre une décision très difficile : soit accepter un vaccin qui me paraît moralement répréhensible, soit refuser le vaccin et mettre ma vie et celle de mes proches en danger. Je vous demande de bien vouloir reconsidérer la position de votre société quant à l’utilisation de ces lignées cellulaires à l’avenir. »
Je n’ai jamais reçu de réponse, et je ne m’attendais pas à en recevoir.
Et puis j’ai dû prendre une décision concernant le vaccin. Je connais beaucoup de personnes qui l’ont refusé. Pour certains, cela signifiait être mis au ban de leur famille. Ils ne pouvaient pas manger au restaurant ou s’asseoir dans un café. Des gens ont perdu leur emploi pour ne pas avoir été vaccinés. Et ces âmes courageuses ont encore du mal à voyager en avion ou en train au Canada.
Lire la suiteLa réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.
Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.
Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :
- Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
- Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
- Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.
Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.
HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.
Lire la suiteLe plus grand groupe pro-vie du Canada demande aux évêques d’annuler l’obligation des injections covid liées à l’avortement
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Ontario, 26 janvier 2022 (Campaign Life Coalition) — Campaign Life Coalition a envoyé une lettre à tous les évêques, archevêques et cardinaux catholiques du Canada pour leur demander de respecter les prêtres et les fidèles laïcs qui ont décidé en toute conscience de refuser les vaccins COVID-19 parce qu’ils sont contaminés par l’avortement.
« Veuillez respecter et prendre en compte leur conscience ainsi que leur décision libre et éclairée. Veuillez faire en sorte que les églises restent ouvertes à tous, quel que soit leur statut vaccinal », indique la lettre du 14 janvier du président de CLC, Jeff Gunnarson (lire la lettre complète ci-dessous, version PDF imprimable ici).
La lettre, envoyée à 77 prélats dans plus de 70 diocèses du pays, dont les cardinaux Thomas Collins de Toronto et Gérald Lacroix de Québec, ainsi que le nonce apostolique du pape au Canada, Mgr Ivan Jurkovič, attire l’attention sur les bébés qui ont été assassinés et dont les parties du corps ont été prélevées pour fabriquer les lignées cellulaires HEK-293 et PER. C6 qui sont utilisées dans la production ou les tests de tous les vaccins COVID dont l’utilisation est actuellement approuvée au Canada (Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson).
« La lignée de cellules fœtales HEK-293 [Human Embryonic Kidney ou HEK, c’est-à-dire rein embryonnaire humain], utilisée dans la recherche et le développement des vaccins Moderna, Pfizer et AstraZeneca, provient d’une fille en bonne santé, avortée de manière volontaire à un minimum de 12 semaines de gestation aux Pays-Bas au début des années 1970. Elle a été ciblée pour ses organes. Ses reins ont d’abord été prélevés, puis “hachés avec des ciseaux” par le Dr Alex van der Eb, biologiste moléculaire néerlandais, et le Dr Frank Graham, biologiste canadien, dans le but de produire une lignée cellulaire “immortalisée” », indique la lettre.
M. Gunnarson poursuit en présentant le bébé aux évêques.
« Le mouvement pro-vie lui a donné le nom de Johanna, qui signifie “Dieu est miséricordieux”. Cette précieuse enfant a été créée à l’image de Dieu pour être aimée et pour aimer. Johanna avait son propre ADN, ses propres empreintes digitales, son propre beau sourire. Nous ne saurons jamais la couleur de ses yeux. Si on lui avait donné une chance de vivre, elle aurait aujourd’hui une cinquantaine d’années, avec peut-être des enfants et des petits-enfants. Alors que Johanna a été tuée pour les parties de son corps il y a tant d’années, ses cellules vivantes ont été utilisées pour créer une lignée cellulaire qui est encore utilisée aujourd’hui ─ et tout cela, sans son consentement. »
Lire la suiteUne défense de la condamnation par Pamela Acker des vaccins contaminés par l’avortement
John-Henry Westen (à gauche) et Pamela Acker (à droite).
Par Hugh Owen — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plus d’un an maintenant, nous, les laïcs catholiques, avons été soumis à toutes sortes d’opinions de la part d’« experts » dans le domaine de la théologie morale et de la bioéthique concernant la licéité morale des vaccins contaminés par l’avortement.
Nous avons discuté du phénomène déconcertant de notre tendance à avoir beaucoup plus d’estime pour ces personnes accréditées dans un article publié le 8 juillet 2021 sur notre site Tradidi Quod et Accepi, intitulé Perpetuating the Myth : Experts and the Application of Principles [Perpétuer le mythe : les experts et l’application des principes].
Cet article était en fait une réfutation d’un article écrit par le père Tadeusz Pacholczyk, directeur du National Catholic Bioethics Center de Philadelphie, paru dans l’édition du 21 avril de Today’s Catholic, le média du diocèse de Fort Wayne — South Bend, Indiana. L’article en question ne peut être décrit que comme une attaque contre Pamela Acker, la biologiste catholique dont l’interview de janvier 2021 par John-Henry Westen a choqué le cybermonde catholique. Nous avons soumis notre réfutation au rédacteur en chef de Today’s Catholic au début du mois de juillet, mais à ce jour, pour autant que nous le sachions, elle n’a jamais été publiée.
Nous avons souvent fait référence à Mlle Pamela Acker sur notre blogue. Les arguments de cette jeune scientifique courageuse sont véridiques, solides, logiques et tout à fait catholiques. Mais dans son article, le père Pacholczyk s’oppose, entre autres, à l’affirmation de Mlle Acker selon laquelle le développement de la lignée de cellules souches embryonnaires/fœtales HEK-293 a impliqué le meurtre de bien plus que le « seul » bébé assassiné (supposément) en 1973. Le père Pacholcyzk a accusé Mlle Acker d’utiliser des « affirmations exagérées » pour « susciter un sentiment d’indignation » chez son public.
Lire la suiteNon, vous n’êtes pas hypocrite si vous refusez le vaccin covid contaminé par l’avortement, tout en continuant à prendre de l’aspirine
Par Elizabeth Nemati (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jajam e/Adobe Stock
9 novembre 2021 (The Stream) — Demander une exemption religieuse pour le vaccin COVID-19 est désormais sur la liste des choses à faire pour de nombreux Américains. Un hôpital de l’Arkansas a récemment rendu cette démarche plus difficile. De nombreux employés se sont opposés à la vaccination COVID parce que les vaccins utilisaient des lignées de cellules fœtales provenant d’avortements.
La direction de l’hôpital a répliqué. Elle a dressé une liste de médicaments et de vaccins très courants, en affirmant qu’ils avaient également été développés à partir de cellules de bébés avortés. La liste comprenait des médicaments familiers comme l’aspirine, le Tylenol, l’ibuprofène, le Benadryl, l’Ex-Lax et le Tums. Les employés qui se plaignaient de la présence de cellules fœtales dans le vaccin COVID étaient censés signer la liste et s’engager à ne jamais utiliser ces produits. L’objectif était de tester leur sincérité et d’éliminer ceux qui étaient simplement « hésitants ».
D’autres organisations pourraient bientôt utiliser ce système. La semaine dernière, Jack Posobiec, un journaliste qui est un ami des « dénonciateurs », a obtenu et publié l’audio d’un appel entre des membres du personnel de la Maison-Blanche et du ministère fédéral de la Justice qui discutaient de cette façon de tester les demandes d’exemption religieuse. Leur intérêt était évidemment de trouver des moyens de refuser les demandes [d’exemption] et de faire vacciner plus de gens.
Pas vraiment un problème pour les médicaments anciens
Cela peut sembler être un problème sérieux pour les chrétiens, mais ce n’est pas le cas. Heureusement, la plupart des produits figurant sur la liste n’ont pas été développés à partir de cellules fœtales. La clé est de savoir faire la différence entre les tests utilisés lors du développement initial d’un médicament ou d’un vaccin, et les tests effectués ultérieurement par des scientifiques qui voulaient comprendre comment il fonctionnait.
Lire la suiteEst-ce vrai que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine sont entachées d'avortement, tout comme les vaccins covid ?
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Rumble
15 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Comme vous le savez tous, LifeSiteNews a pris une position très claire sur l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement, c’est-à-dire les vaccins qui ont employé des cellules fœtales avortées dans leur production, ou leurs tests ou les deux.
Cette position perdure depuis des années et nous l’avons maintenue récemment encore concernant les soi-disant « vaccins » contaminés par l’avortement. Nous avons également produit des articles sur l’utilisation de l’ivermectine comme traitement au COVID-19 et des complications liées aux vaccins.
Mais ces dernières semaines, nous avons vu une liste circuler parmi les catholiques; une liste de produits médicaux qui sont soi-disant contaminés par le mal de l’avortement, tout comme ces vaccins COVID — en particulier par la lignée cellulaire fœtale HEK-293, qui est dérivée d’un avortement pratiqué en 1973.
Cette liste comprend divers médicaments communs, ainsi que des traitements pour la COVID tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Lire la suiteCela fait 50 ans qu’on utilise des cellules de bébés avortés dans des vaccins…
Par Caryn Lipson (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : nuttawutnuy/Adobe Stock
26 octobre 2021 (America's Frontline Doctors) — Récemment, Melissa Strickler, inspectrice de la qualité de fabrication chez Pfizer, a lancé l’alerte et révélé certains des courriels internes de la compagnie. Mme Strikler a été horrifiée par les informations qu’ils contenaient et a parlé avec Project Veritas de ce qu’elle avait découvert ─ l’utilisation de cellules fœtales de bébés avortés pour tester leur vaccin COVID-19. Voici une partie de ce que la direction avait écrit :
« Du point de vue des affaires de l’entreprise », Vanessa Gelman, directrice principale de la recherche mondiale chez Pfizer, a écrit dans un courriel : « Nous voulons éviter que l’information sur les cellules fœtales ne circule dans la nature... Le risque de communiquer cette information maintenant dépasse tout bénéfice potentiel que nous pourrions en tirer ; en particulier, des membres du public pourraient s’emparer de cette information et la diffuser d’une manière que nous ne voulons peut-être pas voir. »
Dans un autre échange de courriels entre Advait Badkar, directeur principal du groupe Novel Delivery Technologies au sein de l’organisation Biotherapeutics Pharmaceutical Sciences de Pfizer, on peut voir Gelman admettre à Badkar qu’« Une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’à du tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination ».
Elle l’a averti que « nous avons essayé autant que possible de ne pas mentionner les lignées cellulaires fœtales ».
Project Veritas a tenté de parler avec Mme Gelman. Voici sa réponse (si le clip vidéo est retiré de YouTube, vous pouvez le voir sur la chaîne Telegram de Project Veritas ici)… [Mme Gelman ne répond pas et se met à courir.]
On doit se demander ce que Gelman savait et qui l’a poussée à « prendre son envol ».
Lire la suiteUne fuite de courriels montre que Pfizer voulait cacher le lien entre son vaccin covid et l’avortement
Melissa Stricker.
Par Pierre Boralevi — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Project Veritas/YouTube
7 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Une lanceuse d’alerte, employée du fabricant de vaccins Pfizer, a divulgué une chaîne de courriels de cadres de la société discutant de la meilleure façon de cacher au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales, dérivées d’un bébé avorté, dans le développement du vaccin Pfizer.
Dans une vidéo publiée par Project Veritas, la dénonciatrice de Pfizer Melissa Strickler a fourni une chaîne de courriels échangés entre des cadres supérieurs de Pfizer, dont le vice-président et directeur de l’exploitation Philip Dormitzer et la directrice principale de la recherche mondiale Vanessa Gelman, dans lesquels ils discutent du scénario approprié et de la « réponse approuvée » à utiliser pour éviter de divulguer au public des informations sur l’utilisation de lignées cellulaires fœtales dans la création du vaccin.
Melissa Strickler travaille chez Pfizer depuis une dizaine d’années et fait partie du service de la qualité de l’une des plus grandes usines de l’entreprise. Elle a accidentellement découvert cette chaîne de courriels dans lesquels il était question de tissu fœtal et du vaccin COVID.
« Ce qui m’a troublée, c’est qu’ils voulaient garder le secret », a déclaré Mme Strickler au fondateur de Project Veritas, James O’Keefe. « Ils ne voulaient pas vraiment que l’on sache qu’ils utilisaient les cellules HEK pour réaliser l’étude. Ils sont tellement trompeurs dans leurs courriels... ils sont vraiment trompeurs et ils pèsent chacun de leurs mots, et cela m’a empêchée de les croire. »
Le premier courriel ayant fait l’objet d’une fuite et présenté dans le rapport est celui d’Advait Badkar, un directeur principal chez Pfizer, qui demande à Gelman comment répondre à une question demandant si Pfizer a utilisé une lignée cellulaire provenant d’un fœtus avorté lors de certains tests sur le vaccin. Badkar admet dans ce courriel que Pfizer a déjà affirmé qu’aucune lignée cellulaire provenant d’un fœtus avorté n’avait été utilisée dans le « processus de fabrication ».
Lire la suiteUn prêtre : utiliser le vaccin covid c’est être moralement complice du prélèvement d’organes par vivisection de bébés avortés
Le Père Dominic Clovis.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
(Note de l’éditeur : le Père mentionne que [la lignée de cellules] HEK-293 a nécessité 292 avortements avant que l’on puisse obtenir la lignée cellulaire HEK-293. Pamela Acker, chercheuse en vaccins, affirme que ce n’est pas tout à fait exact — bien qu’il ait fallu certainement de multiples avortements pour obtenir des lignées de cellules souches, comme ce fut le cas avec les lignées cellulaires MRC-5, WI-38, PRC, etc.)
Toronto, Ontario, 22 juin 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre canadien a émis un blâme grave contre ce qu’il décrit comme une complicité morale avec le prélèvement d’organes sur des bébés vivants, dont les lignées cellulaires [qui en ont été issues] ont été utilisées pour développer les vaccins COVID-19.
Dans une homélie prononcée à la paroisse Saint-Augustin de Canterbury à Toronto, le Père Dominic Clovis, IVE (Institutum Verbum Incarnatum, Institut du Verbe Incarné), a insisté sur la gravité morale de l’acceptation et de l’utilisation de tels « vaccins » en rappelant que lors des procès de Nuremberg, les médecins et les scientifiques ont refusé d’utiliser les informations obtenues à partir des cruelles expérimentations humaines des nazis, car ils considéraient que cela revenait à en approuver les atrocités et pensaient que cela inciterait d’autres personnes à les reproduire.
Le Père Clovis a commencé ainsi : « Imaginez que vous connaissez un magasin qui appartient à un démon. Et tout dans ce magasin est bon marché. Vous pouvez obtenir d’excellents produits de haute qualité à des prix très bas. Vous obtenez les derniers iPhone pour environ vingt dollars, quelque chose de vraiment bon marché ─ et vous obtenez une crème anti-âge vraiment géniale, de sorte que vous paraissez 50 ans plus jeune, vous retrouvez l’apparence de vos 20 ans. Ou un médicament absolument extraordinaire ─ il pourrait vous guérir de n’importe quelle maladie. »
« Est-ce que vous iriez dans ce magasin, est-ce que vous achèteriez la crème anti-âge, est-ce que vous achèteriez cet iPhone ou ce médicament en sachant que vous l’achetez à un démon ? »
« Nous savons tous que le péché est un acte personnel. Lorsque nous péchons, nous choisissons personnellement de le faire. Cependant, nous pouvons être responsables des péchés commis par les autres en coopérant avec eux. Ainsi, je n’ai pas besoin de braquer une banque ou de tirer sur quelqu’un si j’ai aidé [les bandits] à braquer la banque et à tirer. En coopérant, je peux les aider. Mais il ne s’agit pas seulement d’aider directement. »
Le père Clovis a expliqué qu’il y a « quatre façons de coopérer au péché de quelqu’un d’autre », parmi lesquelles l’aide directe, comme « conduire volontairement » quelqu’un à un vol de banque, n’est qu’un type de coopération.
« Nous pouvons le faire en commandant ─ nous pouvons ordonner un assassinat, ou vous pouvez ordonner [à une femme] d’aller à la clinique d’avortement et de se faire avorter, ou vous pouvez ordonner [à quelqu’un] de voler quelque chose. »
« Vous pouvez non seulement commander, vous pouvez aussi conseiller, vous pouvez féliciter. “Bravo, tu as été avec tant de femmes, tu es un grand homme, tu es vraiment viril”. En approuvant, nous pourrions participer au péché de quelqu’un d’autre, et aussi en ne le divulguant pas ou en ne l’empêchant pas alors que nous avons l’obligation de le faire. »
« Nous pourrions aussi participer au péché de quelqu’un d’autre en protégeant le malfaiteur. Ainsi, le péché rend les hommes complices les uns des autres », a continué le P. Clovis.
« Après la Seconde Guerre mondiale, il y a eu les procès de Nuremberg. Ceux-ci ont révélé que des médecins [nazis] avaient fait des expériences humaines sadiques. Sadiques, car ils les faisaient en n’ayant aucun problème à voir leurs prisonniers souffrir. En fait, ils auraient même pu y prendre plaisir. Ils ont mené ces expériences dans leurs camps, par centaines, peut-être par milliers. »
Lire la suiteVaccins et cellules de fœtus avortés : la réponse de Pamela Acker à Emmanuele Barbieri de Corrispondenza Romana
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un débat de fond, pas toujours très élégant, oppose aujourd’hui des catholiques — y compris traditionnels — favorables à la vaccination anti-COVID, y compris par des vaccins développés au moyen de lignées de cellules fœtales obtenues à partir de bébés avortés, et ceux qui, à l’instar de Mgr Athanasius Schneider, estiment que ces vaccins « souillés par l’avortement », doivent ou devraient être refusés en conscience pour cette raison, rejetant par là même l’argument de la « coopération éloignée au mal » ou du « volontaire indirect ».
Dans un récent article paru sous la signature d’Emmanuele Barbieri dans Corrispondenza Romana, une charge violente a été menée contre Pamela Acker, l’une des porte-parole du mouvement d’opposition à l’utilisation de vaccins produits ou testés (voire les deux) au moyen de cellules de fœtus avortés. Ses capacités scientifiques, sa bonne foi, ses motivations et même ses capacités de raisonnement ordinaires sont attaquées. Je dois dire que l’ensemble est déplaisant, dans un contexte où l’on parle tout de même de choses graves.
Je vous avoue ne pas avoir la patience, du fait de sa tonalité, de traduire ce texte de Barbieri, qui reflète de toute façon la vision aujourd’hui majoritaire. Je vous propose plutôt, grâce à l’aide du CEP (Centre d’études et de prospective sur la science) qui m’a transmis une traduction par Roberto Bonato de la réponse de Pamela Acker à Barbieri dans LifeSite en m’autorisant aimablement à la diffuser.
C’est cette traduction, légèrement retouchée, que je vous propose de découvrir ci-dessous. Le texte m’a particulièrement intéressée par la qualité de ses sources. Vous noterez qu’il émane d’une femme qui a mis sa peau au bout de ses idées, puisqu’elle a mis fin à une prometteuse carrière universitaire pour ne pas collaborer à une étude dont elle a appris qu’elle aboutirait, en cas de réussite, à la production d’un vaccin réalisé au moyen d’une lignée de cellules souches fœtales. — J.S.
*
Vérités scientifiques, sophismes logiques et consentement
au mal :
une réponse à Emmanuele Barbieri
par Pamela Acker
On m’a demandé à plusieurs reprises de répondre à un récent article d’Emmanuele Barbieri, « Vaccins COVID-19 : Vérités scientifiques et Fake News ». Je trouve décevant qu’un tel article gagne en audience auprès de personnes raisonnables, car il commence par un sophisme ad hominem, se termine par un empoisonnement du débat, et il est truffé d’arguments épouvantail et d’erreurs pures et simples. Le ton fait appel à la fois à l’émotion et à l’autorité, car tout au long de son argumentation, l’auteur suggère — voire affirme carrément — que ceux qui ne sont pas d’accord avec lui sont soit ineptes, soit fourbes. En tout cela, il ignore la réalité du lien entre l’avortement et la science biomédicale – pourtant clairement documenté par les chercheurs eux-mêmes et contribue à la confusion croissante qui entoure la question du vaccin actuel contre le coronavirus, une technologie expérimentale contraire à l’éthique, imposée à la population à une échelle qui aurait été inconcevable il y a seulement un an.
Lire la suite