Une femme mentalement handicapée, dont un tribunal avait ordonné l’avortement, a donné naissance à son enfant
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio
La décision de la Cour de protection de Londres, qui avait autorisé l’établissement qui prenait soin d’elle de la faire avorter contre son gré, a été par la suite annulée par la Cour d’appel de Londres, laissant donc cette femme pouvoir donner le jour à son enfant, naissance qui a eu lieu récemment. Le bébé un fois né échappe donc aux possibles tentatives des médecins de se pourvoir en appel pour son avortement maintenant impossible. Extrait de Gènéthique :
En juin dernier, un juge de la Cour de protection de Londres avait ordonné à une jeune femme handicapée mentale enceinte de 22 semaines d’avorter, contre sa volonté et celle de sa mère. Cette dernière avait finalement eu gain de cause auprès de la Cour d’appel de Londres, donnant raison aux avocats qui avaient argumenté qu’« elle devait être autorisée à accoucher ». La jeune femme vient de donner naissance à un enfant en bonne santé.
La même Cour de Protection a récemment rendu un autre jugement similaire au premier, malheureusement dans le cas présent, personne ne porte la décision en appel, laissant donc une femme mentalement handicapée, et son enfant à naître, entre les mains de ses « soignants ».
Vincent Lambert : une vie qui aurait pu être améliorée
Vincent Lambert.
Par le Dr Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Photo :
Bien que le titre du communiqué puisse induire en erreur sur l’état actuel de Vincent Lambert, il n’est pas encore mort, mais mourant. Vincent Lambert n’est pas en sédation profonde et doit souffrir atrocement de cette mise à mort par faim et déshydratation, car comme le disent plusieurs membres de sa famille, d’après le Salon Beige :
« Vincent n’a pas de sédation profonde. Nous l’avons entendu gémir plusieurs fois. Nous en avons le cœur retourné. » Mots des parents, frère et sœur
A. H.
Ils ont fini par le tuer
Communiqué de l’Association catholique des infirmières et Médecins, 09/07/2019. Reproduction libre.
L’exécution de Vincent Lambert officialise le concept de « vie ne valant pas la peine d’être vécue ». Hitler avait chargé le Dr Brandt du programme d’élimination des handicapés et des incurables ; lequel ira jusqu’à la mise à mort des personnes hospitalisées depuis plus de trois mois. Ce qui est arrivé à Vincent ouvre une porte que seul un miracle réussira à refermer. La conception utilitariste de la vie ne saurait faire dépenser de l’argent pour entretenir l’existence des plus vulnérables d’entre nous. Voilà qui nous mène droit à l’euthanasie.
Pourtant médicalement parlant le cas de Vincent Lambert pose de multiples questions. Il a été présenté comme étant dans un état végétatif. Un légume est-il capable de pleurer, d’ouvrir les yeux quand on l’appelle ? Est-il inconscient comme on nous le raconte ? Or même si c’était le cas, il a été découvert que 15 % des personnes dites en état végétatives ou inconscientes, réalisent très bien ce qui se passe autour d’elles. (The New England Journal of Medicine du 27 juin 2019.) L’imagerie médicale montre que si ces personnes sont incapables de bouger, elles peuvent tout à fait comprendre ce qui se dit autour d’elles. D’où les pleurs de Vincent quand il a compris qu’on allait mettre fin à ses jours. Maître Jérôme Triomphe me faisait remarquer que Vincent était plus ou moins réactif selon les moments et que les examens pratiqués notamment à Liège l’avaient été à un moment où il était très fatigué. Il convenait de faire ces tests d’imagerie médicale de manière répétée, si possible dans la même journée.
Lire la suiteVincent Lambert : l’ONU réitère sa demande de maintien de l’alimentation et de l’hydratation
Édifice de l'ONU à Genève.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Chia già José/Flickr
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
L’ONU, par le biais de son Comité international des droits des personnes handicapées, a réitéré sa demande du 4 mai auprès de la France de ne pas faire mourir l'handicapé Vincent Lambert par privation d’alimentation et d’hydratation, en attendant que le Comité se soit prononcé sur l’affaire, demande que le gouvernement français prétend ne pas être astreignante, lui qui a signé les accords internationaux qui permettent au Comité de lui faire une telle demande. Extrait de Gènéthique :
L’ONU a réagi ce mardi 2 juillet à la nouvelle annonce de l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, via le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH), pour réaffirmer sa demande du 4 mai dernier : « Le service des requêtes et des enquêtes du CDPH vient de réitérer en urgence auprès de l’Etat français sa demande de maintien de l’alimentation et de l’hydratation de M. Vincent Lambert à titre conservatoire. » Dans ce communiqué est rappelé : « Le caractère obligatoire des mesures conservatoires afin de garantir l’effectivité du recours auprès du CDPH qui impose qu’il ne soit pas porté atteinte à la vie de Vincent Lambert. »
Nouvel arrêt de l’hydratation et de l’alimentation de Vincent Lambert
Vincent Lambert
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
L’exécution de Vincent Lambert, handicapé en état pauci-relationnel, serait donc relancée aujourd’hui, avec l’approbation de l’État, si l’on en croit les courriels que le Dr Vincent Sanchez (quelle ironie que d’être tué par son homonyme !), médecin de M. Lambert, a envoyés aux membres de la famille de sa victime, d’après France 24 :
Le médecin de Vincent Lambert, tétraplégique depuis 2008, a annoncé mardi un nouvel arrêt des traitements […]
L’arrêt des traitements de Vincent Lambert, patient tétraplégique en état végétatif depuis plus de dix ans, reprend aujourd’hui, a annoncé, mardi 2 juillet, le médecin du CHU de Reims à la famille, a-t-on appris de sources concordantes.
« Le cours de la procédure d’arrêt des traitements », à laquelle la Cour de cassation avait ouvert la voie vendredi, « sera poursuivi à partir de ce jour », a déclaré par courriel le docteur Vincent Sanchez à chacun des membres de la famille de Vincent Lambert.
Remarquez au passage qu’il ne s’agit pas d’un arrêt de soins ou de traitements, mais d’hydratation et d’alimentation, deux éléments essentiels à la vie qui ne constituent ni des traitements ni des soins. De plus M. Lambert n'est pas en état végétatif, mais en état pauci-relationnel.
Vincent Lambert, handicapé depuis un accident survenu en 2008 s’est déjà vu plusieurs fois privé d’alimentation et d’hydratation, ou seulement du premier, sous prétexte de le laisser mourir naturellement, prétexte qui dissimule en fait un meurtre par omission volontaire. Il s’est vu maintes fois sauvé ou condamné par divers jugements. Maintenant le dernier recours légal humain serait atteint.
Lire la suiteLa condamnation à mort de Vincent Lambert permise par la justice se précise
Vincent Lambert.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
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Euthanasie cachée mais euthanasie tout de même, la mise à mort du grand handicapée Vincent Lambert par décision de justice se précise.
L’État veut euthanasier Vincent Lambert comme en témoigne la saisie par le ministère de la Santé de la Cour de cassation afin qu’elle casse la décision de la cour d’appel de Paris qui, le 20 mai, avait ordonné la reprise de son hydratation et de son alimentation. Ce que vient de faire une justice aux ordres des lobbies du la culture de mort : la Cour de cassation a ouvert la voie vendredi 28 juin à un nouvel arrêt des traitements [il s'agit principalement de son hydratation et de son alimentation, ce qui n'est donc pas des traitements] maintenant en vie le patient tétraplégique en état végétatif [pauci-relationnel plutôt] depuis 10 ans, devenu symbole du débat sur la fin de vie [il n'est pas en fin de vie, seulement handicapé] en France, selon son arrêt consulté par l’AFP.
La haute juridiction a cassé la décision de la cour d’appel de Paris qui, le 20 mai, avait ordonné la reprise de son hydratation et de son alimentation. Elle a jugé que la cour d’appel, juge judiciaire, n’était pas compétente, et prononcé cette cassation “sans renvoi” devant une autre juridiction, ce qui rend possible un nouvel arrêt des traitements par les médecins du CHU de Reims.
Les traitements de Vincent Lambert peuvent s’arrêter « dès maintenant », a déclaré l’avocat de son épouse, Rachel. L’État français, l’épouse de Vincent Lambert et le CHU de Reims ont formé ce pourvoi en cassation pour que l’arrêt des soins soit effectif. Tandis que les parents du malade s’y opposent toujours.
« Il n’y a plus de voies de recours possibles car il n’y a plus de juges à saisir », a cependant déclaré à la presse Me Patrice Spinosi [avocat de l'épouse de M. Lambert], après la décision de la plus haute juridiction judiciaire de casser l’arrêt de la cour d’appel qui avait ordonné la reprise des soins. « C’est un point final à cette affaire », a-t-il affirmé.
En réaction à cette ultime décision, les avocats des parents de Vincent Lambert ont déclaré qu’ils entameraient des poursuites pour « meurtre » si l’arrêt des soins entrait en vigueur, rapporte l’AFP.
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Une centaine de juristes en appellent aux Français pour sauver Vincent Lambert
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
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Presque cent juristes, notaires, avocats, professeurs et universitaires en droit, et autres ont signé une lettre ouverte s’adressant aux Français, leur demandant de ne pas rester indifférents devant l'exécution par privation d’alimentation et d’hydratation de Vincent Lambert qui doit commencer ce lundi, 20 mai prochain. Extrait de la lettre, qui peut être lue dans son intégralité sur Valeurs Actuelles :
Si nous ne faisons rien d’ici au 20 mai 2019, Vincent Lambert va mourir. Abandonné par ses soignants qui ont décidé « collégialement » de mettre fin aux soins, à l’hydratation et à l’alimentation d’une personne qui n’est pas en fin de vie, Vincent va mourir de faim, de soif et d’absence de soins élémentaires, sous le regard froid d’un corps médical qui a sciemment décidé de violer son serment de ne pas nuire à son prochain. Vincent Lambert n’est pas en fin de vie, il n’est pas atteint d’une maladie incurable, il est dans cette situation terrible d’une dépendance absolue après un grave accident, celle d’un être humain qui peut continuer à vivre simplement en recevant les soins auxquels toute personne a droit (lesquels devraient inclure le fait d’être nourri et hydraté, qualifiés hélas par la loi de « traitement »).
Une décision de mort, inhumaine et injustifiable
Le médecin du Centre hospitalier universitaire de Reims a pris cette décision, ultime décision après de nombreux recours exercés par une partie de la famille de Vincent Lambert et finalement rejetés par les juridictions françaises et la Cour européenne des droits de l’homme […]
Accepter cette décision, pour la société française, signifierait que l’on a perdu, chez nos concitoyens, le sens de la valeur infinie de la vie […] C’est aux Français que nous nous adressons pour qu’ils demandent fermement au ministre de la Santé et aux responsables du Centre hospitalier de Reims de ne pas commettre l’irréparable.
Une solution est possible : déplacer Vincent Lambert dans une structure plus adaptée
[…] Le Comité international des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH) a rendu le vendredi 3 mai 2019 une décision de « mesures provisoires » demandant à l’État français de ne pas mettre à exécution la décision d’arrêt d’alimentation et d’hydratation. […]
Une solution est possible et l’on voudrait comprendre pourquoi elle n’a pas été mise en œuvre : déplacer Vincent Lambert dans une structure plus adaptée, comme il en existe plusieurs dans notre pays, afin de redonner à Vincent une perspective de vie que personne n’est en droit de lui refuser. Ce serait un soulagement pour tous : pour Vincent […] dont l’horizon est nettement rétréci par une véritable incarcération hospitalière […]
Aux autorités publiques et aux médecins : respectez la vie de Vincent !
Chaque Français doit, en conscience, défendre la vie de Vincent Lambert car, en Vincent, c’est notre humanité qui est souffrante et qui nous ressemble. C’est parce que la vie est diminuée qu’il faut d’autant plus la respecter. Que chacun d’entre nous adresse cette demande aux autorités publiques et aux médecins : respectez la vie de Vincent Lambert et confiez-le à ceux qui veulent lui conserver sa dignité d’homme.
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Si rien n’arrête le Dr Sanchez, Vincent Lambert sera euthanasié
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
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Vincent Lambert, cet handicapé tétraplégique aux moyens de communication très limités risque bien cette fois-ci, après de nombreuses années de combats judiciaires qui se sont déroulés autour de lui pour le sauver, de se faire euthanasier par privation d’alimentation et d’hydratation, le retrait de ces éléments de base pour la vie devant être retirés le 20 mai, selon la volonté de l’opiniâtre Dr Sanchez. Les avocats des parents, qui se battent énergiquement pour la vie de leur fils, en ont maintenant appelé au Défenseur des droits (autorité française). Extrait de l’AFP :
Les avocats des parents de Vincent Lambert, tétraplégique en état végétatif devenu le symbole du débat sur la fin de vie [remarquez que Vincent Lambert est simplement handicapé et non en fin de vie] en France, ont annoncé à l’AFP avoir saisi lundi le Défenseur des droits après l’annonce à la famille de l’interruption des soins à partir du 20 mai.
Les avocats Me Jean Paillot et Me Jérôme Triomphe attendent qu’il intervienne pour faire appliquer les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH), enjoignant la France de suspendre toute décision d’arrêt des soins de Vincent Lambert avant une instruction sur le fond.
Les parents de Vincent Lambert projettent de se poster devant le lieu de l’exécution de leur fils, d’après Gènéthique :
« Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés ». Malgré le dernier avis du Comité international de protection des droits des personnes handicapées de l’ONU (CIDPH), à nouveau, le médecin de Vincent Lambert envisage de mettre fin à sa vie. Sa mère a annoncé qu’elle serait dimanche prochain devant l’hôpital de Reims dès 15 h pour « supplier » le personnel de ne pas euthanasier son fils.
Et cet endroit est bien gardé par un déploiement de militaires, selon Medias-Presse.Info qui rapporte un communiqué des avocats des parents de Vincent Lambert :
Dès cette annonce du docteur SANCHEZ, la famille a découvert la mise en place par le CHU de REIMS d’un plan Vigipirate contre on ne sait quels terroristes.
Vincent Lambert à nouveau menacé
Vincent Lambert.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
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Nouveau coup de théâtre dans l’affaire Vincent Lambert : ignorant délibérément la décision de mesures provisoires du Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU enjoignant à la France de surseoir à l’exécution du protocole de fin de vie décidée par le Dr Vincent Sanchez du CHU de Reims, soutenu par la juridiction administrative française, le dit médecin à fait savoir par lettre aux parents du jeune tétraplégique qu’il fera retirer son hydratation et son alimentation au cours de la semaine du 20 mai.
J’ai voulu en savoir davantage sur les engagements exacts de la France vis-à-vis de la convention internationale des droits des personnes handicapées et sur la portée de la décision à son encontre du CDPH. Gregor Puppinck, directeur du Centre européen pour la loi et la justice (ECLJ), a accompagné de nombreuses procédures devant les instances internationales de défense des droits de l’homme. Il a bien voulu répondre à mes questions. — J.S.
Gregor Puppinck, vous connaissez très bien les rouages du Conseil de l’Europe, de la Cour européenne des droits de l’homme, des comités de l’ONU. Quelle réaction provoque chez vous cette décision française de passer outre à la demande du CDPH concernant le cas de Vincent Lambert ?
La stupéfaction de voir le gouvernement violer ses engagements internationaux de façon manifeste dans le seul but de faire mourir plus rapidement une personne handicapée : un but symbolique et politique parce que Vincent Lambert est le symbole du conflit social qui traverse la France sur la fin de vie et plus particulièrement sur l’euthanasie. La mort de Vincent Lambert est devenue une nécessité d’ordre politique pour les tenants de l’euthanasie et ils sont prêts à violer leurs propres engagements internationaux pour y parvenir. Je crois que le gouvernement a peur de la décision du Comité des droits des personnes handicapées ; il n’a pas confiance en sa propre position et préfère donc d’emblée arrêter la procédure plutôt que de la suivre et de respecter ses propres engagements.
Lire la suiteLes médecins disaient que Jaxon ne survivrait pas et maintenant il a deux ans
Brittany Buell et son fils Jaxon
Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Cela fait maintenant deux ans depuis qu’on a dit à Brittany et Brandon Buell que leur enfant à naître Jaxon ne vivrait pas et qu’ils devraient sérieusement considérer l’avortement. Jaxon avait alors une condition non-diagnostiquée, mais les médecins étaient inquiets à propos de la forme et grosseur de sa tête. Cependant, ses parents refusèrent l’avortement et n’ont pas abandonné leur fils.
J’étais irritée, de dire Brittany, ça ma mise en colère parce qu’ils ont eu si vite recours à l’avortement avant même d’être certain, de savoir quel était le diagnostic. Ils ont déclaré forfait. Nous avons fait faire tous les tests possibles. Nous étions rendus à la 23e semaine de grossesse et là, ils nous dirent qu’il nous restait une semaine pour mettre un terme à ma grossesse.
Après que Jaxon vint au monde, les médecins demandèrent à ce couple de signer un document de non-ressusciter, mais le couple refusa. Au contraire, ils étaient plus que déterminés à tout faire pour aider leur fils et pour les deux années qui suivirent, ils regardaient grandir et montrer maintes fois combien ces médecins avaient torts. Tout d’abord, Jaxon fut diagnostiqué comme souffrant de lissencéphalée, un désordre neurologique rare en lequel le cerveau n’a pas la forme ni la grosseur normale. Mais les symptômes de Jaxon ne correspondaient pas à cette condition.
Lire la suiteDes parents qui ont refusé d'avorter leur bébé dont le cerveau se développait en dehors de son crâne reçoivent un miracle
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
À cinq mois de grossesse, Sierra Yoder alla à sa visite médicale régulière pour voir si son bébé était normal et si c’était une première fille ou un deuxième garçon. On lui dit que c’était un garçon mais aussi que c’est un bébé encéphalocèle et donc qui a une partie de son cerveau qui se développe en-dehors de son crâne. Son médecin lui conseilla d’avorter puisque de toute manière ce ne serait pas viable, le bébé ne survivrait pas. Faisant confiance au médecin et croyant donc que le bébé mourrait à la naissance, le couple opta pour l’avortement. Mais plus la date de la procédure d’avortement approchait et plus Sierra optait pour annuler l’avortement.
La nuit précédant l’avortement, j’ai dit à Dustin, mon mari, que je ne pouvais me résoudre à aller jusqu’au bout. C’est ce qu’elle déclara au The Washington Post, puis de poursuivre : Il eut un grand soupir de soulagement et était très heureux de ma décision. Le médecin continua de dire à ce couple que leur bébé avait toutes les chances d’être un mort-né et même que ce serait une coquille vide. Mais Sierra décida que son fils ne vivrait pas ce pronostic médical. Le moment vint où ils se rendirent à l’hôpital pour l’accouchement de leur bébé qu’ils choisirent de nommer Bentley. Ils n’étaient pas du tout préparés à le ramener à la maison mais plutôt le contraire. Mais ils étaient excités et ravis de pouvoir le prendre dans leur bras et ce, même si ce n’était que pour un au revoir. À leur grande surprise, Bentley vint au monde en criant et en se débattant comme tout bébé normal.
Il est parfait! Peu importe le temps qu’on l’aura, on est reconnaissant de pouvoir l’avoir dans nos bras.
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