« Que la volonté de Dieu soit faite » : une mère choisit la vie pour ses jumelles conjointes qui ont peu de chances de survivre
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 mars 2023 — Une mère de jumelles conjointes à naître offre un témoignage émouvant sur les raisons pour lesquelles elle choisit la vie, même s’il est presque certain que ses enfants mourront soit in utero, soit quelques instants après la naissance.
Nicole LeBlanc a récemment parlé avec LifeSiteNews de la pression extérieure qu’elle a subie pour faire tuer ses jumelles par avortement, ainsi que de la façon dont sa foi l’a maintenue forte tout au long de cette épreuve déchirante.
Mme LeBlanc, qui en est à la 23e semaine de sa grossesse, explique que ses filles Maria Therese et Rachel Claire ont été diagnostiquées comme étant des jumelles conjointes thoracopagiques, ce qui signifie qu’elles partagent un ensemble de poumons, un cœur et d’autres organes vitaux. Le pronostic de survie est très faible.
« Il y a une chance sur 100 000 pour qu’une telle grossesse se produise. Cela a donc été une expérience très émouvante, avec beaucoup de réunions de médecine fœto-maternelle très intenses, ce n’est pas ce à quoi ressemble une grossesse typique », a-t-elle déclaré.
Mme LeBlanc a témoigné des pressions extérieures qu’elle a subies pour avorter ses jumelles, se déclarant choquée qu’un hôpital catholique qui ne pratiquait pas d’avortements soit néanmoins disposé à la transférer dans un hôpital qui en pratiquait.
« Mon mari et moi avons fermement dit : “Absolument pas”. Il est impossible d’y penser. C’est brutal et c’est le meurtre de mes propres enfants. Pourquoi ferais-je cela ? »
LeBlanc a ajouté : « Lorsque les médecins m’ont annoncé leur diagnostic, ils m’ont dit : “Vous allez faire une fausse couche. Et si vous ne faites pas de fausse couche, l’autre option devrait être l’interruption de grossesse, parce qu’on ne s’attend pas du tout à ce qu’ils vivent longtemps”. Ils étaient surpris que je sois arrivée jusqu’à 16 semaines, alors ils m’ont mis la pression et m’ont dit que ma vie était également en jeu. Pour quelle raison ? Je ne sais pas, parce que c’est la même chose que pour n’importe quelle grossesse gémellaire. Les grossesses comportent toujours des risques, mais nous vivons à l’époque de la médecine moderne. Les bébés naissent si tôt ».
Mme LeBlanc, qui devra probablement subir une césarienne, car il est impossible d’accoucher de deux têtes à la fois, a exprimé l’espoir que ses jumelles naissent vivantes afin qu’elles puissent être baptisées. Elle a encouragé les autres personnes qui traversent de grandes difficultés à s’en remettre à leur famille ou à un conseiller spirituel, tel qu’un prêtre.
« Au fur et à mesure que nous acceptions le diagnostic, nous avons prié davantage, laissant Dieu faire son œuvre, non pas notre volonté, mais la Sienne », a-t-elle déclaré. « Et [mon mari] a été d’un grand soutien, très aimant, surtout pendant le premier trimestre. Il m’a beaucoup aidée, et je n’aurais pas pu avoir un meilleur époux à l’esprit. »
« Les gens me disent à quel point je suis forte, et je leur réponds : “Non, je ne suis vraiment pas forte du tout”. Tout ce que j’ai, c’est grâce aux prières. Les gens prient pour moi. Je pense que c’est très important. »
Des groupes canadiens de personnes handicapées annoncent à leurs membres qu’ils ne proposeront pas l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Adobe Stock
Un excellent article de Tristan Hopper a été publié dans le National Post du 5 janvier 2023, intitulé : Disability groups now insuring members they won't recommend euthanasia (MAiD) [Les associations de personnes handicapées assurent désormais leurs membres qu’elles ne recommanderont pas l’euthanasie (AMM)].
Hopper fait état d’une coalition croissante de groupes de personnes handicapées et de défense des droits de la personne qui affirment que la loi canadienne sur l’euthanasie est allée trop loin. Ces groupes assurent également à leurs membres qu’ils ne suggéreront ni ne recommanderont l’euthanasie à aucun d’entre eux. Hopper écrit :
Lire la suiteUne coalition croissante de groupes de défense des droits des personnes handicapées et de la santé mentale a commencé à s’opposer ouvertement au régime libéralisé d’aide médicale à mourir du Canada (AMM), notamment en publiant des affiches assurant aux patients qu’ils ne leur recommanderont pas le suicide assisté.
« Cette organisation ne recommandera, ne suggérera ni n’orientera personne vers l’aide médicale mourir comme alternative à l’aide à l’obtention des soutiens et services nécessaires dont vous avez besoin », peut-on lire sur une affiche récemment diffusée sur les médias sociaux par le groupe Disability Without Poverty.
L’affiche était accompagnée d’une note exhortant les autres organismes liés à la santé à s’engager à ne jamais recommander l’aide médicale à mourir comme solution à la pauvreté, « peu importe ce que certains voudraient vous faire croire ».
Une ancienne combattante handicapée s’est fait proposer l’euthanasie lorsqu’elle se plaignait du retard pour l’installation d’un monte-escalier chez elle
Christine Gauthier témoignant devant le Parlement canadien.
Par Pour une école libre au Québec
Une ancienne combattante handicapée a critiqué l’administration du gouvernement canadien pour avoir proposé de l’euthanasier lorsqu’elle était frustrée par les retards dans l’installation d’un élévateur pour fauteuil roulant chez elle.
La caporale à la retraite Christine Gauthier, une ancienne athlète des jeux paralympiques, a témoigné jeudi au Parlement qu’un travailleur social d’Anciens Combattants Canada (ACC) avait fait l’offre de l’aider à se suicider.
Après des années de retards frustrants pour obtenir l’ascenseur résidentiel, Gauthier a affirmé que l’assistante sociale lui a dit : « Madame, si vous êtes vraiment si désespérée, nous pouvons vous donner une aide médicale à mourir maintenant. »
Le travailleur qui a suggéré l’euthanasie n’a pas été nommé, mais l’on craint que la même « solution » ait été proposée à trois autres anciens combattants qui avait contacté ACC pour se plaindre de problèmes, a rapporté Global News.
Le scandale a éclaté une semaine après que le ministre canadien des Anciens Combattants a confirmé qu’au moins quatre autres anciens combattants se sont également vu offrir l’accès à la loi canadienne sur l’aide médicale à mourir (AMM) en réponse à leurs problèmes.
Mme Gauthier a déclaré qu’elle demandait l’aide d’ACC pour obtenir un monte-escalier pour sa maison depuis 2017.
« Cela m’a beaucoup isolée, car je dois ramper sur mes fesses avec le fauteuil roulant devant moi pour pouvoir accéder à ma maison », a-t-elle déclaré à Global News.
Elle a dit qu’elle était choquée par l’offre de suicide de l’assistante sociale lors d’une conversation en 2019.
« J’étais comme “Je ne peux pas croire que tu vas… me faire une injection pour m’aider à mourir, mais tu ne me donneras pas les outils dont j’ai besoin pour m’aider à vivre” », a-t-elle dit. « C’était vraiment choquant d’entendre ce genre de commentaire. »
Lire la suiteLa demande d’euthanasie d’un Canadien de 23 ans contrecarrée par la campagne de sa mère sur les médias sociaux
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : joyfotoliakid/Adobe Stock
29 septembre 2022, Whitby, Ontario (LifeSiteNews) — La tentative d’une mère pour sauver son fils de 23 ans du suicide médicalement assisté a jusqu’à présent réussi.
Hier, Kiano V. a déclaré à LifeSiteNews que, grâce à la campagne de sa mère Margaret Marsilla sur les médias sociaux — qui comprenait une pétition publiée sur Change.org et CitizenGo — le médecin a retiré son soutien à la tentative du jeune homme de mettre fin à sa vie par le biais de l’AMM (aide médicale à mourir).
« Mon médecin a dit que tout le monde appelait sa clinique, son téléphone, envoyait des SMS, disait qu’il était un meurtrier, et le harcelait au point qu’il a retiré sa participation à mon plan de soins », a déclaré Kiano.
Marsilla est du même avis : « Nous avons réussi à effrayer un peu [le médecin], mais un autre médecin pourrait reprendre la situation ».
Cependant, d’après ce que LifeSitenews a pu vérifier auprès de son fils, aucun nouveau médecin ne s’est manifesté.
Kiano, dont le nom de famille est connu de LifeSiteNews, a déclaré au média que son rendez-vous pour l’AMM était initialement prévu pour le 22 septembre, mais qu’il a été reporté au 28 septembre peu après que sa famille en ait pris connaissance.
« Ma famille a paniqué », a-t-il déclaré. « Ma sœur a accès à mes courriels et l’a partagé avec toute ma famille : ma mère, mon père... Tout le monde était désemparé, alors ils faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher que cela ne se produise. »
Kiano, qui a été diagnostiqué pour la première fois d’un diabète de type 1 à l’âge de quatre ans, est maintenant malvoyant. Il a dit avoir argumenté avec ses parents que sa maladie incurable était une raison suffisante pour demander l’euthanasie.
Je disais à mes parents : « Vous savez, vous ne pouvez rien y changer. Je veux dire, mon diabète, ce n’est pas quelque chose que vous pouvez guérir ; ma perte de vision, ce n’est pas quelque chose que vous pouvez guérir dans un avenir prévisible, donc c’est toujours mon choix ».
Kiano a déclaré que ses parents ont insisté pour parler à ses médecins et n’étaient pas satisfaits des réponses qu’ils obtenaient, et il pense que son refus de les autoriser à parler avec « le médecin de l’AMM qui allait administrer la perfusion » les a frustrés au point qu’ils ont décidé « de lancer des campagnes sur les médias sociaux, de prendre les choses en main ».
Lire la suiteUn Canadien demande l’euthanasie après s’être fait retirer sa prestation d’invalidité
Les Landry.
Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un Canadien a annoncé qu’il envisageait de recourir à l’euthanasie par l’entremise du programme d’assistance médicale à mourir (AMM) à cause de l’insuffisance de l’aide financière qu’il reçoit afin de payer ses dépenses en lien avec son handicap.
Lors d’une entrevue par vidéo-conférence avec Bridge City News, Les Landry de Medicine Hat en l’Alberta a expliqué qu’à son 65e anniversaire, ses prestations d’invalidité ont été remplacées par des prestations de vieillesse. En revanche, la pension étant insuffisante, il n’était plus capable de couvrir ses transports médicaux, prescriptions ou les frais de son chien de service. Il estime que ses dépenses ont augmenté de 300 %.
En raison de ses difficultés financières, des douleurs chroniques ainsi que leurs effets sur sa qualité de vie, Landry envisage le suicide assisté. « Si je décide de le faire, je veux que le monde sache à quel point la situation est mauvaise », a déclaré Landry. « Je ne savais pas que la vie s’arrêtait à 65 ans ».
« Mon futur semble sombre », a-t-il ajouté. « Ce processus, en plus de la douleur et la souffrance émotionnelle que j’endure, rend cette décision difficile ».
Landry croit que si sa demande est approuvée, il est sûr à 90 % qu’il ira jusqu’au bout. « Êtes-vous prêt à mourir avec l’aide de docteurs ? » a demandé le journaliste. « Oui, je le suis », a-t-il répondu.
Lire la suiteC’est une erreur de tuer des bébés par avortement simplement parce qu’ils sont handicapés
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : oksix/Adobe Stock
Quand la société a-t-elle commencé à adhérer à la notion selon laquelle tuer un enfant malade relève de la « compassion » ?
Tant que l’enfant n’est pas encore né, il est considéré comme acceptable — même jusqu’au neuvième mois de grossesse — de mettre fin à sa vie par l’avortement. Soumettre l’enfant malade à une mort violente et prématurée est accepté, tandis que protéger ces innocents par des lois pro-vie est considéré comme méprisable.
Ainsi, la couverture médiatique de l’histoire tragique d’une famille de Louisiane après le diagnostic d’une anomalie potentiellement fatale chez leur enfant à naître.
Au début de sa grossesse, la mère, Nancy Davis, a déclaré que son bébé à naître avait été diagnostiqué comme souffrant d’acranie, une maladie généralement mortelle dans laquelle le crâne du bébé ne se développe pas.
Nancy Davis a déclaré avoir demandé un avortement dans un hôpital de Baton Rouge, mais celui-ci a refusé en raison de la nouvelle loi pro-vie de l’État.
« En gros, ils ont dit que je devais porter mon bébé pour l’enterrer », a déclaré Mme Davis lors d’une conférence de presse en août.
Mais au lieu de porter son bébé, elle a décidé de parcourir 2 253 km pour avorter de son enfant à naître dans un établissment de Planned Parenthood à New York au début du mois, selon le Daily Advertiser.
Pendant ce temps, des organes de presse prétendument impartiaux couvrant l’histoire de Mme Davis ont utilisé des mots comme « forcé » et « refusé » pour vilipender les législateurs de Louisiane qui tentent de protéger les bébés à naître contre les morts violentes par avortement. Cette semaine, dans le Dr Phil Show, Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, a été critiquée pour avoir défendu la vie des enfants à naître.
« Tuer le bébé avant qu’il ne meure naturellement n’est jamais la solution. Cela viole le principe fondamental de la médecine : guérir ou apporter du réconfort, ne jamais nuire », a déclaré Rose à l’auditoire hostile. « La réalité est que l’avortement ne résout ni ne guérit aucun problème — il ne fait que tuer un bébé. »
Lire la suiteUne mère a refusé d’avorter son bébé atteint de spina-bifida — « Pas une option, je l’aime déjà »
(De gauche à droite) Michelle, Michael et Lacey Grace Bower.
Par SPUC (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère qui a courageusement défié le conseil de son médecin d’avorter sa petite fille célèbre son petit miracle.
Michelle Bower et son mari, Michael, ont été incités à avorter après avoir reçu un diagnostic de spina bifida pour leur enfant à naître. Heureusement pour la petite Lacey Grace, ses parents se sont accrochés à sa vie et ont refusé de céder au défaitisme du personnel médical.
Mme Bower, originaire de l’Indiana, aux États-Unis, a déclaré : « Nous avons rencontré le médecin juste après l’échographie et avons entendu pour la première fois les mots “anomalie du tube neural”, “tête en forme de citron” et “spina bifida” pour décrire notre fille. »
« Nous étions complètement désemparés. Les larmes n’ont pas cessé de couler pendant quelques jours. »
Le spina bifida signifie que le canal rachidien du bébé ne se ferme pas complètement lors de son développement, ce qui entraîne de graves lésions des nerfs de la moitié inférieure du corps, pouvant conduire à un handicap.
« J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps »
Mme Bower a été orientée vers un médecin spécialiste qui lui a dit que l’état de Lacey Grace était grave, et lui a fortement conseillé d’avorter.
« J’ai pleuré à chaudes larmes à cette évocation. À travers mes larmes, j’ai dit : “Ce n’est pas une option, je l’aime déjà !” »
Lire la suiteUne mère, qui a refusé l’avortement pour son bébé ayant 3 % de chances de survie, se réjouit de ses premiers mots
Megan Whyte.
Par Dave Andrusko (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
(National Right to Life News) Les médecins ont donné à Cassy Gray, 36 ans, un pronostic terrible lorsqu’elle s’est présentée à l’échographie des 12 semaines : l’état de son bébé était « incompatible avec la vie » et on lui a « fortement conseillé » d’avorter.
Megan [Whyte] « souffre d’une maladie rare appelée holoprosencéphalie semilobaire, ce qui signifie que son cerveau a cessé de se développer dans le ventre de sa mère à cinq semaines de gestation », selon la journaliste Claire Elliot.
Cassy ne s’est pas laissé décourager, même lorsqu’on lui a dit qu’il y avait 97 % de chances que son bébé soit mort-né. « Nous avons décidé tout de suite que l’interruption de grossesse n’était pas une option », a déclaré Cassy. « Je ne suis pas croyante, mais je me suis dit que si Dieu voulait Megan, il la prendrait ; si elle devait mourir, elle mourrait à son heure ─ je n’allais pas lui enlever ça. »
Cette détermination a été sévèrement mise à l’épreuve, selon Elliot.
Lire la suiteEt cinq jours avant la naissance de son bébé, elle a appris que les scanneurs montraient que Megan — qui n’avait que trois pour cent de chances de survivre à la naissance — « avait des plaies ouvertes sur le visage, pas de pommettes et des yeux exorbités ».
Mais dernièrement, sa fière maman s’est réveillée avec un son qu’elle craignait de ne jamais entendre : la voix de sa fille de 18 mois appelant « Maman ».
L’histoire d’un champion international de natation qui a survécu à l’avortement
Ernie A. Gawilan.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 août 2021 (LifeSiteNews) — Si vous lisez le profil du nageur philippin Ernie A. Gawilan sur le site internet du Comité international paralympique, vous ne lirez rien sur l’avortement. Son « type de déficience » est répertorié comme « déficience d’un membre », et l’« origine de la déficience » est notée comme « congénitale ».
Gawilan a commencé à nager en l’an 2000 pendant son temps libre, alors qu’il travaillait comme homme de ménage à Samal, et un entraîneur de natation l’a remarqué. Gawilan a ensuite remporté trois médailles d’or et deux d’argent aux Jeux paralympiques asiatiques de 2018 en Indonésie, devenant ainsi le premier athlète philippin à le faire.
Gawilan participe cette année aux Jeux paralympiques de 2021 à Tokyo, mais l’histoire du célèbre nageur est plus complexe qu’il n’y paraît immédiatement. Dans une entrevue en 2014, Gawilan a révélé qu’il a bien failli ne pas sortir vivant de l’utérus. Il n’a pas de jambes et son bras gauche ne s’est pas complètement développé, mais il est aussi devenu orphelin lorsque sa mère est morte du choléra alors qu’il n’avait que cinq mois.
Gawilan a été conçu lors d’une liaison de sa mère avec un autre homme, et le petit garçon a failli mourir dans l’utérus lors d’un avortement raté alors qu’elle tentait de cacher sa grossesse à son mari (qui les a ensuite abandonnés).
« Je devais être un bon nageur même dans l’utérus de ma mère, car j’ai survécu à l’avortement », a-t-il déclaré au journaliste. « J’ai simplement nagé ».
Lire la suiteNous allons la défendre : ayant reçu un diagnostic d’anencéphalie pour leur fille, les parents d’Angela ont choisi la vie
Famille Morales.
Par Samantha Kamman (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les enfants comme Angela, la fille de Sonia Morales, prouvent que tous les bébés sont des miracles, quelle que soit la durée de leur vie.
En 2014, Angela, encore dans le sein de sa mère, a reçu un diagnostic d’anencéphalie, une anomalie du tube neural qui peut entraîner l’absence de certaines parties du cerveau et du crâne chez le bébé. De nombreux nourrissons anencéphales meurent peu après leur naissance, mais dans une interview accordée à Live Action News, Sonia a expliqué que la tête d’Angela n’était pas complètement ouverte comme dans certains cas d’anencéphalie, et que seule une partie de son cerveau était exposée. Angela a vécu hors de l’utérus pendant près de quatre ans après sa naissance.
Selon WJAR-TV, Angela est malheureusement décédée en 2017, à quelques mois de son quatrième anniversaire. Bien que la vie de sa fille ait été brève, Sonia a déclaré qu’elle se considère « bénie » d’avoir eu « plus de temps » que prévu avec Angela. Toute vie ayant un but, Sonia pense que celui de sa fille est d’apporter de l’« espoir » aux parents qui ont reçu un diagnostic similaire.
Grâce à la page Baby Angela : A Miraculous Journey with Anencephaly sur Facebook, Sonia partage l’histoire d’Angela ainsi que des informations sur l’anencéphalie. Elle publie également des photos de sa fille, montrant aux autres l’amour inconditionnel dont Angela a bénéficié pendant son séjour.
Refuser l’avortement
Sonia a reçu le diagnostic d’anencéphalie lors d’une échographie à 16 semaines, au cours de laquelle un médecin l’a informée qu’Angela était « incompatible avec la vie ». En entendant la nouvelle, Sonia a pleuré, car dit-elle : « j’aimais déjà cet enfant » et « l’attendais ».
Après qu’une autre échographie ait confirmé le diagnostic, on a demandé à Sonia de parler à des conseillers de l’hôpital qui l’ont informée que la plupart des parents confrontés à ce scénario choisissent l’avortement. Lorsque les conseillers ont demandé à Sonia ce qu’elle voulait faire, elle a répondu : « Je veux garder ce bébé ».
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