Roger Foley a besoin d’être nourri
Roger Foley.
Pétition par la Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
Madame la ministre de la Santé, l’honorable Sylvia Jones, et le service des relations avec les patients du LHSC,
Roger Foley n’a pas mangé depuis le 6 mai 2025. Roger a besoin d’être nourri.
Roger Foley vit au London Health Sciences Centre (LHSC) depuis plus de neuf ans. Il est atteint d’une ataxie spino-cérébelleuse de type 14, une maladie neurologique dégénérative. Cette maladie provoque chez Roger une grave photosensibilité à l’éclairage normal, ce qui l’oblige à garder la lumière de sa chambre d’hôpital éteinte. Il y a plusieurs années, l’hôpital lui avait fourni un éclairage spécial, mais au début du mois de mai (2025), cet éclairage a été supprimé. Comme Roger a besoin d’un éclairage limité dans sa chambre, le personnel de l’hôpital a décidé qu’il ne pouvait pas le nourrir en toute sécurité. Roger a donc accepté d’être nourri par voie intraveineuse (IV) tout en continuant à demander l’installation d’un éclairage adapté.
L’alimentation par voie intraveineuse n’est pas une solution à long terme, car elle ne fournit pas une nutrition adéquate et peut éventuellement conduire à l’affaissement de ses veines. Il a déjà eu des problèmes avec la ligne intraveineuse.
Roger a acheté une paire de lunettes pour protéger ses yeux de la lumière et permettre un éclairage adéquat pour le nourrir. Après qu’il se soit habitué aux lunettes, l’hôpital a décidé qu’il fallait plus de lumière pour le nourrir.
Lire la suiteDeux commentateurs québécois suggèrent publiquement l’euthanasie des handicapés
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec a ouvert une enquête après qu’une femme de 24 ans souffrant d’une déficience intellectuelle et ayant les capacités mentales d’un enfant ait été emprisonnée en isolement à l’Établissement de détention Leclerc, une prison pour femmes, pendant huit jours. Le scandale a été révélé par La Presse ; le gouvernement se déclare « profondément choqué ».
Mais la réaction de Luc Ferrandez, ancien maire du Plateau-Mont-Royal, et de Nathalie Normandeau, ancienne vice-première ministre du Québec, est plus grave encore. Selon le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec, dans une missive furieuse publiée le 18 mai, les deux anciens politiciens ont suggéré, lors d’une conversation radiophonique, que l’euthanasie pourrait être la meilleure « solution » à la situation de cette femme [Le cas de « Florence » a été l’occasion pour les commentateurs de parler du manque de moyens du système de santé et de suggérer l’euthanasie des personnes handicapées prises dans ce système — et non tellement de suggérer l’euthanasie de « Florence » elle-même. Ce qui demeure honteux quand même !]*
« Nous sommes ébranlés. Nous sommes indignés. Et surtout, nous refusons de nous taire », écrit le RAPLIQ dans un communiqué de presse intitulé « Complices d'une pensée eugéniste – La honte sur nos ondes – Écœurés. Dégoûtés. En colère. »
« Cette semaine, au 98,5 FM, Luc Ferrandez et Nathalie Normandeau ont franchi une ligne rouge. Devant la situation tragique de Florence [nom fictif], une jeune femme présentant une déficience intellectuelle et emprisonnée faute de ressources adéquates, ces deux ex-politiciens devenus commentateurs ont sérieusement envisagé — à voix haute — que la “solution” pourrait être... la mort. »
Lire la suiteLes parents d'une fille atteinte de mucoviscidose poursuivent le médecin qui n’a pas fait de tests
Par Gabby Reid (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ipopba/Adobe Stock
Les parents d'une petite fille atteinte de mucoviscidose ont intenté un procès à un gynécologue-obstétricien et ont obtenu un règlement de 2 millions de dollars après avoir affirmé que l'existence de leur fille leur avait fait perdre leur capacité à profiter de la vie.
Elizabeth et Eric Trotter ont intenté une action en justice - en leur nom et au nom de leur deuxième fille, Madelyn - en 2020. Madelyn a été diagnostiquée de la fibrose kystique (FK) peu après sa naissance en 2018. Ses parents affirment que s'ils avaient su qu'ils étaient tous deux porteurs du gène, ils n'auraient pas engendré Madelyn. Les médecins d'Elizabeth ne l'ont pas testée pour le gène de la fibrose kystique lors de sa première grossesse, ni lors de sa deuxième.
La fibrose kystique est une maladie causée par une mutation génétique héritée des deux parents. Elle provoque un épaississement et une viscosité du mucus dans l'organisme, ce qui peut entraîner des problèmes respiratoires, de digestion et de fertilité, ainsi que d'autres problèmes de santé. Dans les années 1950, la plupart des enfants atteints de FK ne survivaient pas au-delà de la petite enfance. Aujourd'hui, l'âge médian de survie estimé pour les personnes atteintes de FK est de 61 ans. Cet âge continue d'augmenter.
Lire la suiteUne femme handicapée est critiquée parce qu’elle a eu un enfant : « Je suis tout à fait capable de prendre soin de ma fille »
Sydney Anne Barrett et sa fille.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : the.annegirl/Instagram
Sydney Anne Bennett, connue sous le nom de « Annie Girl » sur les réseaux sociaux, est atteinte d’un trouble neurologique fonctionnel (TNF), qui affecte la façon dont son cerveau communique avec son système nerveux central. Elle a récemment dénoncé les attaques dont elle a fait l’objet en raison de sa décision d’avoir un enfant.
Sur son site internet, Mme Bennett explique : « En moins d’un an, je suis passée d’une santé parfaite à un fauteuil roulant la plupart du temps. Cela a été un long chemin de confiance dans le Seigneur pour en arriver là, mais il est fidèle. J’espère pouvoir vous encourager ici et vous donner plus de confiance, de joie et d’espoir dans votre maladie chronique ou avec votre aide à la mobilité. Votre vie n’est pas terminée lorsque vous devenez handicapé. J’en suis la preuve vivante. »
Sur son compte Instagram, Bennett a partagé que depuis qu’elle a un bébé, elle reçoit des commentaires discriminatoires. « Nous sommes en 2024 et les gens ne sont toujours pas prêts à ce qu’une femme handicapée ait un bébé », écrit-elle. Elle a ensuite partagé un échantillon des commentaires horribles qu’elle a reçus.
Lire la suiteMargo Naranjo et Jack Dolan sont la preuve de la nécessité d’une aide bienveillante, et non du suicide assisté
Jack Dolan (à gauche) et Margo Naranjo (à droite).
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Le dimanche 23 juin, Jack Dolan, 15 ans, a fait un saut périlleux arrière depuis la jetée de Stone Pier à Margate, dans le Kent, alors qu’il se trouvait à la plage avec ses amis. Élève à l’école Howard de Medway, en Angleterre, Jack voulait épater plusieurs amis et sa petite amie — c’était la première fois qu’il se rendait à la plage sans ses parents en raison de son trouble déficitaire de l’attention. L’adolescent a été assommé lorsqu’il a touché l’eau, et même s’il flottait le visage dans l’eau avec des bulles sortant de sa bouche, ses amis ont d’abord pensé qu’il plaisantait. Puis il a coulé.
Jack est resté huit minutes sous l’eau avant d’être secouru par un kayakiste. Ses amis ont appelé les services d’urgence, sa petite amie a appelé sa mère. Jack a été pris en charge par des ambulanciers, puis transporté par avion au King’s College Hospital, où les examens IRM ont révélé que la majeure partie de son cerveau était endommagée. Il a également eu un affaissement du poumon et a commencé à souffrir d’une infection. Les médecins ont annoncé à la famille qu’il était dans un état végétatif et leur ont dit de faire leurs adieux. Mais lorsqu’ils l’ont débranché du respirateur artificiel, une chose étonnante s’est produite, qui a stupéfié les médecins.
Jack a commencé à respirer seul.
Au début, l’optimisme des médecins était prudent : bien qu’il s’agisse d’un signe positif, cela signifiait seulement avec certitude que le tronc cérébral de Jack fonctionnait encore. Mais au cours des semaines qui ont suivi, d’autres signes de rétablissement sont apparus. Jack s’est tourné vers sa mère Lisa et a prononcé son premier mot depuis l’accident fatidique : « Au secours ». Il a même souri lorsque le chien de la famille Dolan, Chewbacca, est monté sur son lit et l’a léché.
Lire la suite« Dieu avait un plan pour ma vie » — une survivante de l’avortement raconte son émouvante histoire
Hope Hoffman.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube
8 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Une nouvelle vidéo pro-vie présente l’émouvante histoire de Hope Hoffman, une femme de 32 ans qui a survécu à une tentative d’avortement dix semaines [après sa conception] et a ensuite été adoptée par une famille aimante.
Dans une vidéo diffusée le 28 juin par Students for Life, Terri et Hope Hoffman, mère et fille adoptive, ont expliqué comment Hope a survécu à l’avortement à seulement 10 semaines et s’épanouit maintenant dans une famille aimante 32 ans plus tard.
« C’était le plus beau bébé que j’aie jamais vu », se souvient Terri. « Elle aime de tout son cœur. Sa vie a un grand but ; son histoire sauve des vies et change les cœurs. »
Alors qu’elle était enceinte de dix semaines, la mère biologique de Hope a tenté de tuer son bébé par avortement. En quittant la clinique d’avortement, la mère biologique de Hope croyait bien qu’elle avait tué son enfant.
Cependant, quelques semaines plus tard, elle s’est rendu compte que son bébé était toujours là, bien en vie et, heureusement, elle a décidé de ne pas retourner à la clinique d’avortement, mais de donner Hope en adoption.
Lire la suiteAprès avoir envisagé l'avortement à cause d’un diagnostic prénatal alarmant, elle a choisi la vie plutôt que la peur
Karen Connor et sa fille.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Karen Connor
Karen Connor a toujours été une militante pro-vie, même à 19 ans, lorsqu'elle a lutté contre la peur et l'incertitude d'une grossesse non planifiée.
Connor a déclaré à Live Action News : « Je voulais avoir mon bébé, tout en réalisant que j'aurais des difficultés en tant que mère célibataire. L'avortement n'a jamais été une option ».
Mais 18 ans plus tard, les convictions pro-vie de Connor allaient à nouveau être mises à l'épreuve de manière inattendue.
Son aînée, une fille, avait 16 ans lorsque le deuxième enfant de Connor est né. Une autre grossesse a suivi peu après, et Connor a appris qu'elle portait des jumeaux. « À ce moment-là, j'avais 37 ans et les médecins voulaient faire des tests génétiques », explique-t-elle. « J'ai accepté afin d'être prête au cas où il y aurait un problème ».
Lire la suiteDes parents du Missouri attendent l’arrivée de jumeaux handicapés, avec une confiance inébranlable en Dieu
La famille DeWitt.
Par Kelli Smith — Traduit par Campagne Québec-Vie
22 août 2023 (LifeSiteNews) — Gemma DeWitt et son mari Aaron sont des catholiques fidèles qui assistent à la messe latine traditionnelle dans le Missouri central. Ils sont mariés depuis 14 ans et ont 4 enfants, Rachele (13 ans), Moses (11 ans), Ezykiel (7 ans) et Jeremiah (5 ans). Gemma est une mère au foyer qui fait l’école à la maison, et Aaron travaille dans l’industrie informatique.
Les deux plus jeunes enfants, Ezykiel et Jeremiah, sont atteints d’un syndrome extrêmement rare, le syndrome d’Allan-Herndon-Dudley (SAHD). Ce syndrome est un trouble du développement cérébral qui ne touche qu’un petit nombre d’enfants dans le monde. Ce syndrome touche exclusivement les garçons. Il entraîne une déficience intellectuelle modérée à sévère et des problèmes de motricité. Ezykiel et Jeremiah sont tous deux en fauteuil roulant et incapables de parler ou de marcher. Leur espérance de vie est malheureusement très limitée.
Aaron et Gemma sont des parents extrêmement compétents qui s’occupent avec constance et amour de tous leurs enfants, en particulier de leurs deux fils ayant des besoins spéciaux. Bien qu’Ezykiel et Jeremiah n’aient jamais été capables de communiquer au sens traditionnel du terme, j’ai personnellement été témoin des regards d’amour indéniables qui brillent dans leurs yeux — et de leurs sourires heureux et sincères — lorsqu’ils interagissent avec leur famille, assis dans leurs fauteuils roulants, pendant et après la messe.
Gemma et son mari sont toujours restés ouverts à une nouvelle vie si c’est la volonté de Dieu. Gemma (39 ans) a subi de multiples fausses couches, mais elle a gardé une confiance inébranlable en Dieu. Récemment, après avoir reçu la bénédiction de leur curé, Aaron et Gemma se sont réjouis lorsqu’ils ont découvert que non seulement ils attendaient à nouveau un heureux événement, mais que Gemma avait la chance d’être enceinte de jumeaux !
Lire la suite« Que la volonté de Dieu soit faite » : une mère choisit la vie pour ses jumelles conjointes qui ont peu de chances de survivre
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 mars 2023 — Une mère de jumelles conjointes à naître offre un témoignage émouvant sur les raisons pour lesquelles elle choisit la vie, même s’il est presque certain que ses enfants mourront soit in utero, soit quelques instants après la naissance.
Nicole LeBlanc a récemment parlé avec LifeSiteNews de la pression extérieure qu’elle a subie pour faire tuer ses jumelles par avortement, ainsi que de la façon dont sa foi l’a maintenue forte tout au long de cette épreuve déchirante.
Mme LeBlanc, qui en est à la 23e semaine de sa grossesse, explique que ses filles Maria Therese et Rachel Claire ont été diagnostiquées comme étant des jumelles conjointes thoracopagiques, ce qui signifie qu’elles partagent un ensemble de poumons, un cœur et d’autres organes vitaux. Le pronostic de survie est très faible.
« Il y a une chance sur 100 000 pour qu’une telle grossesse se produise. Cela a donc été une expérience très émouvante, avec beaucoup de réunions de médecine fœto-maternelle très intenses, ce n’est pas ce à quoi ressemble une grossesse typique », a-t-elle déclaré.
Mme LeBlanc a témoigné des pressions extérieures qu’elle a subies pour avorter ses jumelles, se déclarant choquée qu’un hôpital catholique qui ne pratiquait pas d’avortements soit néanmoins disposé à la transférer dans un hôpital qui en pratiquait.
« Mon mari et moi avons fermement dit : “Absolument pas”. Il est impossible d’y penser. C’est brutal et c’est le meurtre de mes propres enfants. Pourquoi ferais-je cela ? »
LeBlanc a ajouté : « Lorsque les médecins m’ont annoncé leur diagnostic, ils m’ont dit : “Vous allez faire une fausse couche. Et si vous ne faites pas de fausse couche, l’autre option devrait être l’interruption de grossesse, parce qu’on ne s’attend pas du tout à ce qu’ils vivent longtemps”. Ils étaient surpris que je sois arrivée jusqu’à 16 semaines, alors ils m’ont mis la pression et m’ont dit que ma vie était également en jeu. Pour quelle raison ? Je ne sais pas, parce que c’est la même chose que pour n’importe quelle grossesse gémellaire. Les grossesses comportent toujours des risques, mais nous vivons à l’époque de la médecine moderne. Les bébés naissent si tôt ».
Mme LeBlanc, qui devra probablement subir une césarienne, car il est impossible d’accoucher de deux têtes à la fois, a exprimé l’espoir que ses jumelles naissent vivantes afin qu’elles puissent être baptisées. Elle a encouragé les autres personnes qui traversent de grandes difficultés à s’en remettre à leur famille ou à un conseiller spirituel, tel qu’un prêtre.
« Au fur et à mesure que nous acceptions le diagnostic, nous avons prié davantage, laissant Dieu faire son œuvre, non pas notre volonté, mais la Sienne », a-t-elle déclaré. « Et [mon mari] a été d’un grand soutien, très aimant, surtout pendant le premier trimestre. Il m’a beaucoup aidée, et je n’aurais pas pu avoir un meilleur époux à l’esprit. »
« Les gens me disent à quel point je suis forte, et je leur réponds : “Non, je ne suis vraiment pas forte du tout”. Tout ce que j’ai, c’est grâce aux prières. Les gens prient pour moi. Je pense que c’est très important. »
Des groupes canadiens de personnes handicapées annoncent à leurs membres qu’ils ne proposeront pas l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Adobe Stock
Un excellent article de Tristan Hopper a été publié dans le National Post du 5 janvier 2023, intitulé : Disability groups now insuring members they won't recommend euthanasia (MAiD) [Les associations de personnes handicapées assurent désormais leurs membres qu’elles ne recommanderont pas l’euthanasie (AMM)].
Hopper fait état d’une coalition croissante de groupes de personnes handicapées et de défense des droits de la personne qui affirment que la loi canadienne sur l’euthanasie est allée trop loin. Ces groupes assurent également à leurs membres qu’ils ne suggéreront ni ne recommanderont l’euthanasie à aucun d’entre eux. Hopper écrit :
Lire la suiteUne coalition croissante de groupes de défense des droits des personnes handicapées et de la santé mentale a commencé à s’opposer ouvertement au régime libéralisé d’aide médicale à mourir du Canada (AMM), notamment en publiant des affiches assurant aux patients qu’ils ne leur recommanderont pas le suicide assisté.
« Cette organisation ne recommandera, ne suggérera ni n’orientera personne vers l’aide médicale mourir comme alternative à l’aide à l’obtention des soutiens et services nécessaires dont vous avez besoin », peut-on lire sur une affiche récemment diffusée sur les médias sociaux par le groupe Disability Without Poverty.
L’affiche était accompagnée d’une note exhortant les autres organismes liés à la santé à s’engager à ne jamais recommander l’aide médicale à mourir comme solution à la pauvreté, « peu importe ce que certains voudraient vous faire croire ».