Lorenzo Fontana nommé ministre des Affaires européennes d’Italie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Bonne nouvelle, le ministre de la Famille d’Italie, Lorenzo Fontana — catholique pratiquant, pro-vie signalé et homme d’État attaché à sa patrie — a été promu au ministère des Affaires européennes, selon Le Blog d’Yves Daoudal :
Le ministre italien des Affaires européennes Paolo Savona avait quitté le gouvernement en mars pour prendre la direction de la commission de surveillance de la Bourse italienne. On ne s’est pas pressé pour lui trouver un remplaçant… Manifestement on attendait les élections européennes. Matteo Salvini a choisi son ami Lorenzo Fontana, et le chef du gouvernement, Giuseppe Conte, s’est dit « content d’accepter la proposition ».
Lorenzo Fontana était jusqu’ici ministre de la Famille. Militant pour la vie, catholique pratiquant qui va à la messe de saint Pie V (il avait dit à propos du motu proprio Summorum Pontificum : « C’est un événement d’importance historique, qui marque un retour à la tradition »), il avait déclaré dès sa nomination : « Les familles arc-en-ciel n’existent pas dans la loi italienne. » « Les familles sont celles qui sont naturelles, où un enfant doit avoir un père et une mère », et « la famille naturelle est attaquée » par les militants LGBT qui « veulent nous dominer et effacer notre peuple ». Et aussi ceci qui est fort à propos ces jours-ci : « L’avortement est la première cause de féminicide au monde ».
Décès du député canadien pro-vie, Mark Warawa
Le député conservateur Mark Warawa de la circonscription Langley—Aldergrove.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Patrick Craine/LifeSiteNews
Le député conservateur Mark Warawa de la circonscription Langley—Aldergrove en Colombie-Britannique est décédé aujourd’hui, selon le compte Twitter du député conservateur également pro-vie Brad Trost :
Mon cher ami @MPmarkwarawa vient de mourir. C'était bien plus qu'un simple député, c'était un homme extraordinaire, un bon mari et un bon père. À sa femme et à sa famille, je prie pour le réconfort, pour la paix et pour que l'amour vous entoure tous. Mark, tu vas me manquer.
On peut dire que le député Mark Warawa était pro-vie, car il a, de son vivant, présenté au moins deux projets de loi privés à la Chambre des communes, l’un pour l’interdiction de l’avortement selon le sexe de l’enfant à naître et l’autre pour protéger les travailleurs de la santé de toute pression visant à les impliquer dans l’euthanasie ; il a aussi participé à la Marche pour la Vie d'Ottawa, d’après un article de LifeSiteNews, du 9 mai 2016 :
Le député pro-vie Mark Warawa a déposé jeudi à la Chambre des communes un projet de loi visant à protéger les médecins et autres travailleurs de la santé de toute pression visant à les rendre complices de l'euthanasie ou à le leur faire pratiquer.
Warawa, le parrain d'un projet de loi privé antérieur, visant à mettre fin à l'avortement sélectif selon le sexe, a prononcé une déclaration préparée disant que « les Canadiens d'un bout à l'autre du pays... s'inquiètent de ce que les médecins et les professionnels de la santé puissent être contraints de participer au suicide assisté ou à l'euthanasie contre leur gré ».
Réponse du gouvernement canadien à une pétition pro-vie…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Cette pétition, lancée par Brian Kroeker de Vernon en Colombie-Britannique, le 17 mai 2018, appuyée par le député conservateur Brad Trost, et qui a récolté 3759 signatures, demande au gouvernement canadien d’entamer un débat respectueux à la Chambre des communes, sur le sujet de l’avortement. En effet, la pétition rappelle la situation de l’avortement au Canada depuis le jugement R. c. Morgentaler de la Cour suprême en 1988. L’avortement n’est encadré par aucune loi ; 100 000 avortements sont effectués par année ; l’avortement a des effets négatifs sur la femme, tant psychologiquement que physiquement ; un certain nombre d’avortements sont pratiqués selon le sexe de l’enfant à naître ; le père de l’enfant n’a aucun droit de parole ni les parents de mineur. La pétition stipule, d’après le site du Parlement du Canada :
Lire la suiteAttendu que :
Le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la primauté du droit ;
Il n’y a aucune loi régissant l’avortement depuis que la Cour suprême a invalidé la loi antérieure dans l’affaire R. c. Morgentaler en 1988 ;
Approximativement 100 000 avortements sont effectués chaque année au Canada ;
Ces avortements ont des effets négatifs prouvés sur la santé physique, notamment reproductive, et mentale des femmes qui en font le choix ;
Le droit inconditionnel des femmes de choisir doit être contrebalancé par les droits des enfants à naître et des autres intéressés tels le père de l’enfant et les parents de jeunes filles enceintes ;
L’adoption de lois limitera le recours à l’avortement pour contrôler la race, le sexe ou d’autres caractéristiques jugées indésirables ;
L’article 7 de la Charte garantit le droit de chacun à la vie.
Nous, soussignés, citoyens du Canada, prions le gouvernement du Canada d’amorcer un débat de fond respectueux à la Chambre des communes dans l’optique de former un comité multipartite qui rédigera un projet de loi sur l’avortement au Canada, lequel sera soumis à un vote libre à la Chambre.
8 questions qui montrent à quel point les arguments pro-avortement sont irrationnels
Par Stephanie Gray (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixnio
22 janvier 2019 (Love Unleashes Life) — Vous a-t-on déjà posé une question à laquelle la réponse a changé votre vie ? Un membre du public m’a déjà parlé de la fois où elle avait postulé pour travailler dans une organisation missionnaire de chasteté en Amérique. Au cours de l’entretien, on lui a demandé : « Si on ne vous embauche pas, que feriez-vous d’autre ? ». Sans perdre de temps, elle répondit : « J’irais en Afrique et je travaillerais avec les pauvres. » Plus tard dans la journée, elle ne cessait de penser à cette question et sa réponse. Elle réalisa le désir de son cœur, elle retira sa candidature et alla en Afrique au service des pauvres. Tout comme la façon dont la réponse à une question a conduit cette jeune femme sur un chemin très différent de son plan initial, appliquer le pouvoir des questions au débat sur l’avortement peut aider à comprendre que Roe c. Wade, loin d’être une bonne décision juridique, est en réalité contre la raison.
Voici les questions que nous pouvons poser :
1. Comment mesurons-nous la viabilité ?
Lorsqu’on parle de Roe c. Wade, les gens parlent souvent de viabilité, certains affirmant que l’avortement est acceptable si l’enfant ne peut pas survivre en dehors de l’utérus. On considère que le seuil de viabilité d’un fœtus se situe autour de 24 semaines. Mais considérons ces 24 semaines et ce que cela veut dire : pour atteindre 24 semaines, cela implique que nous remontions jusqu'au début des 24 semaines. Alors que s’est-il passé ? Fusion sperme-ovule, également appelée fécondation. Puisque nous comptons le temps à partir de là, il s’agit en réalité d’une concession d’après laquelle la vie ne commence pas à 24 semaines mais bien 24 semaines avant.
2. Si l’avortement est autorisé après la viabilité, pour sauver la vie d’une femme, pourquoi ne pas sortir l’enfant vivant plutôt que mort ?
Les partisans de l’avortement soulignent souvent que l’avortement après la viabilité est parfois « nécessaire » car une femme enceinte pourrait décéder sans avortement. Puisque, à un stade aussi avancé de la grossesse, l’enfant peut survivre en dehors de ventre de sa mère, pourquoi le tuer ? Pourquoi ne pas retirer l’enfant vivant et le placer dans un incubateur ?
Lire la suiteTrump blâme les avortements et les infanticides de la Corée du Nord
Kim Jong Un.
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Corée du Sud, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le président Trump blâme les avortements forcés et les infanticides qui sont régulièrement pratiqués en Corée du Nord, demandant pourquoi la Chine devrait se « sentir obligée » d’aider un pays qui tue les bébés chinois parce qu’ils considérés comme étant « inférieurs ».
« Les femmes nord-coréennes sont forcées d'avorter les bébés considérés comme ethniquement inférieurs », a déclaré Trump à l'Assemblée nationale sud-coréenne. « Et si ces bébés sont nés, les nouveau-nés sont assassinés ».
« Le bébé d'une femme, ayant un père chinois a été emporté dans un seau », a rappelé Trump. « Le gardien a dit qu'il ne méritait pas de vivre parce qu'il était impur ».
« Aussi pourquoi est-ce que la Chine devrait-elle se sentir obligée d’aider la Corée du Nord ? » questionna-t-il.
Lire la suiteÉloges au président Trump pour avoir annulé le financement du Fonds des Nations Unies pour la population: « Le sang des Chinoises n’est plus sur nous »
Par Life News traduit par Campagne Québec-Vie
Une des principales militantes contre les avortements forcés et le contrôle démographique en Chine, a fait l’éloge du président américain Donald Trump pour sa décision de couper les vivres au Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP). Il s’agit du programme de l’ONU qui s’est avéré maintes fois complice du programme chinois d’avortement coercitif, dans le cadre de la politique des deux enfants.
Comme le rapporte Life News, le département d’État des États-Unis a envoyé une lettre à la Commission sénatoriale des affaires étrangères, dans laquelle est annoncée l’intention de cesser le financement FNUAP pour la population en raison de sa collaboration aux avortements et stérilisations forcés en Chine. Le montant de la réduction est d’au moins 32,5 millions $ pour 2017 ; les fonds seront redirigés à l’Agence des États-Unis pour le développement international, qui procure de l’assistance médicale à des familles partout dans le monde.
Reggie Littlejohn, fondatrice et présidente de l’organisme Droits des femmes sans frontières (Women’s Rights Without Frontiers) et l’une des plus ferventes militantes contre le gynécide en Chine, se déclare, à Life News, folle de joie que l’administration Trump annonce la coupure d’assistance financière américaine au FNUAP. Comme le démontrent clairement ses activités, relate-t-elle, « le FNUAP en Chine est allié du programme de contrôle démographique coercitif du pays, dont la mise en œuvre comprend l’avortement et la stérilisation forcé ».
Lire la suiteSi je suis en vie à ce jour, c'est parce que ma mère chinoise a enfreint la loi dans son pays pour me mettre au monde
Par Lisa Smiley de Bound for Life - traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a seulement quelques semaines que le parti communiste chinois annonçait un changement dans sa politique de l'enfant unique, qui devient une politique permettant deux enfants.
Bien que cette décision réponde à des attentes, cette répression contraignant le planning familial ne sera que relativement amoindrie par ce changement. Mettre fin à cette politique ne ramènera pas les vies perdues.
Les parents de Lisa avec quatre de leurs filles, en Chine
Pendant environ quarante ans, le régime chinois a ordonné des stérilisations forcées et des avortements sur des millions de femmes souhaitant avoir plus d'un enfant.
Le ministère de la santé chinois a officiellement reconnu le nombre de 330 millions d'enfants avortés depuis 1980, la mise en place de la politique. Bien souvent, les femmes découvertes enceintes et ayant déjà un enfant sont tirées de leur domicile, battues et contraintes à avorter par le planning local.
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