Les Américains pro-vie ne doivent pas se contenter de demi-mesures dans la défense des enfants à naître
Par Shaun Kenney (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
26 avril 2024 (American Life League) — Le Guttmacher Institute s’inquiète vivement de ne plus pouvoir contrôler la moitié du mouvement pro-vie, espérant que les mesures progressives — longtemps tournées en dérision comme le bras pro-réglementation de l’industrie de l’avortement — deviennent la norme. De son propre aveu, les soi-disant interdictions de 15 semaines n’en sont pas, alors que 97 % des avortements ont lieu dans les 15 premières semaines.
Même les interdictions après six semaines restent une saison de chasse ouverte de six semaines sur les bébés, alors que le propre décompte de Guttmacher montre que 63 % des avortements pratiqués aux États-Unis le sont par des moyens chimiques.
Soyons clairs une fois pour toutes. Le mouvement pro-vie n’est pas intéressé par les demi-mesures ou les compromis. Soit l’industrie de l’avortement a raison et la vie humaine est une chose bon marché et jetable, soit le mouvement pro-vie a raison et chaque personne humaine mérite le droit fondamental d’exister.
L’argument n’a jamais été de déterminer quand on peut tuer des enfants à naître, mais plutôt de savoir si cette pratique est acceptable dans une société civilisée. Il n’a jamais été question de mettre fin à l’arrêt Roe ; il s’agit de faire de l’avortement une impossibilité morale.
Alors que les démocrates continuent d’être sous l’emprise de fournisseurs d’avortement tels que Planned Parenthood, les républicains semblent espérer que le fait de rester dans un état de superposition facilitera d’une manière ou d’une autre les calculs électoraux en novembre. Pour les Américains pro-vie, cette superposition est et reste totalement insuffisante — et ils le savent.
Bien entendu, l’industrie de l’avortement défend un commerce de plusieurs milliards de dollars en convainquant les jeunes mères de détruire leur bébé.
Lire la suite63 % des avortements pratiqués aux États-Unis le sont aujourd’hui à l’aide de pilules : rapport Guttmacher
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 mars 2024 (LifeSiteNews) — Les pilules abortives sont maintenant responsables de 63 % de tous les avortements aux États-Unis, selon un nouveau rapport dont les conclusions mettent en lumière les efforts de la clique de l’avortement pour contourner les lois des États qui protègent la vie des enfants à naître.
Mardi, l’institut pro-avortement Guttmacher a publié une nouvelle étude selon laquelle, en 2023, 63 % des avortements ont été pratiqués à l’aide de pilules, poursuivant ainsi une progression constante depuis 2000, date à laquelle la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé pour la première fois la mifépristone pour l’avortement. La proportion était de 53 % en 2020 et de 39 % en 2017.
« L’accès et l’utilisation accrus de l’avortement médicamenteux sont probablement l’une des raisons pour lesquelles le nombre global d’avortements dans le système de soins de santé formel a augmenté de 10 % à l’échelle nationale entre 2020 et 2023 », indique le rapport. « Le nombre de prestataires américains proposant une consultation par télémédecine — par vidéo, appel téléphonique, texte ou plateforme en ligne — et envoyant des pilules abortives par la poste est passé de 7 % de tous les prestataires connus pour proposer l’avortement médicamenteux en 2020 à 31 % en 2022. Les cliniques uniquement en ligne, après être apparues comme un nouveau type de prestataire d’avortement en 2021, représentaient 8 % de tous les avortements pratiqués dans le cadre du système de santé officiel au cours des six premiers mois de 2023. »
Lire la suiteUn grand journal britannique admet ce que les pro-vie savent déjà : les avortements clandestins sont un mythe
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 février 2022 (LifeSiteNews) — Les grandes sociétés d’avortement telles que Planned Parenthood et Marie Stopes font pression pour légaliser l’avortement dans les pays en développement depuis des années, un fait exposé dans le brillant livre du militant pro-vie nigérian Obianuju Ekeocha, Target Africa : Neo-Colonialism in the 21st Century.
Soutenus par des milliardaires tels que Bill Gates et George Soros, ainsi que par de puissantes organisations telles que les Nations Unies, l’Union européenne, l’administration Biden et l’Organisation mondiale de la santé, les pays pauvres d’Afrique, d’Amérique latine et d’Amérique du Sud sont soumis à une pression quasi constante pour qu’ils suppriment leurs protections des enfants à naître et laissent passer à travers leurs frontières les profiteurs sanguinaires de « Big Abortion ».
Le scénario est presque toujours le même. Les nations riches font miroiter l’aide étrangère aux nations plus pauvres, exigeant qu’elles se conforment aux valeurs post-chrétiennes sous peine de se voir couper les vivres. Les médias occidentaux s’emploient à dépeindre ces pays non pas comme des nations axées sur la famille qui aiment et valorisent les enfants, mais comme des paysages d’enfer amers où des millions de femmes meurent dans des ruelles. Ils ne prétendent jamais qu’ils cherchent à légaliser l’avortement pour leur propre profit, ou parce que leurs valeurs l’exigent — ils prétendent toujours que c’est pour le bien des personnes qu’ils demandent de l’accepter. Aucun mensonge n’est trop gros pour ne pas être imprimé.
C’est pourquoi une récente correction de la publication britannique The Telegraph est particulièrement surprenante — non pas parce qu’elle s’est trompée dans les chiffres de l’avortement, mais parce qu’elle a pris la peine de l’admettre. Voici leur aveu, dans son intégralité :
Lire la suiteLe 19 février 2021, nous avons publié un article qui rapportait qu’environ « 12 000 femmes meurent d’avortements clandestins chaque année au Malawi… »
L’article faisait référence à des données produites dans un rapport conjoint du Centre pour la santé reproductive du Collège de médecine de l’Université du Malawi et de l’Institut Guttmacher, basé aux États-Unis.
L’avortement encore en tête des causes de décès dans le monde en 2019 : plus de 42 millions d’enfants à naître
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 2 janvier 2020 (LifeSiteNews) – Le nombre d’enfants tués dans l’utérus représente plus de la moitié du total des décès dans le monde.
D’après l’organisme de compilation Worldometers, plus de 42 millions d’avortements ont eu lieu en 2019 dans le monde, ce qui veut dire que l’avortement est, encore une fois, en tête des causes de décès à travers la planète cette année.
Au 31 décembre, Worldometers comptait 42,4 millions d’avortements, soit plus de la moitié du nombre total de décès pour toutes causes (58,6 millions). Les avortements ont éclipsé toute autre cause de décès, y compris les décès mondiaux dus à la maladie (13 millions).
Le nombre réel d’avortements peut être supérieur ou inférieur. Toutefois, Worldometers s’appuie sur les statistiques de santé et de mortalité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fonde ses estimations sur celles du pro-avortement Guttmacher Institute.
« Des 56,3 millions d’avortements mondiaux estimés par Guttmacher, pas plus de 10 % peuvent être officiellement comptabilisés et il n’y a pas de preuve empirique que pour 23 %, » a écrit Michael Spielman d’Abort73. « On suppose l’autre 77 % sur la base d’un modèle statistique complexe qui prend en compte plusieurs facteurs. » Plus important encore, Guttmacher « suppose un taux d’avortement constant qui ne se voit pas affecté par la légalité de l’avortement, » sans doute pour donner des conclusions appuyant l’affirmation des groupes de pression pro-avortement qui disent que les lois pro-vie sont inefficaces.
Worldometers a trouvé des nombres similaires l’année dernière, conduisant les agences de gauche tel Snopes à tenter de minimiser les nouvelles non pas en contestant les chiffres, mais en faisant valoir que l’avortement ne devrait pas être considéré comme « cause de décès ». Pourtant, du point de vue scientifique, dire que les embryons et les fœtus détruits par l’avortement sont des êtres humains vivants relève d’un fait biologique.
Worldometers suit et prépare des statistiques sur une grande variété de sujets en temps réel, basé sur des donnés qui viennent de sources telles que les Nations unies, l’OMS, le Fonds monétaire international (FMI), et plus encore. Ils se vantent de la reconnaissance d’une grande variété d’agences médiatiques et de travaux universitaires, de citations de leurs travaux dans les médias ainsi que de l’approbation de l’American Library Association.
À date du 2 janvier, Worldometers a déjà compté plus de 190 000 avortements dans le monde en 2020.
On dit l’avortement être en baisse, sans tenir compte des avortements auto-administrés par pilules
Par Tessa Longbons (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
8 novembre 2019 (Daily Signal) — Les pro-vie ont annoncé de bonnes nouvelles récemment : le taux d’avortement aux États-Unis est tombé à un niveau record, selon un récent rapport du Guttmacher Institute.
Cependant, le rapport contenait aussi de mauvaises nouvelles. Sur les plus de 860 000 avortements aux États-Unis en 2017, les avortements chimiques ont augmenté de 25 % par rapport à 2014 et représentent maintenant près de 4 avortements sur 10.
Et cela n’inclut pas les avortements effectués soi-même, qui, selon le rapport, sont en hausse.
En 2014, 12 % des centres d’avortement traitaient une femme qui avait tenté un avortement de son propre chef et qui avait souffert de complications, mais en 2017, ce chiffre avait atteint 18%. Ce pourcentage est peut-être encore à la hausse en raison d’Aid Access, une organisation d’avortement relativement nouvelle qui vise à répandre la pratique des avortements chimiques auto-induits aux États-Unis.
Aid Access est une entreprise américaine dérivée de Women on Web, qui est une organisation créée pour la promotion de l’avortement chimique dans les pays où il est interdit par la loi, ou difficilement accessible.
Depuis un an et demi, Aid Access a illégalement expédié plus de 7 000 paquets de pilules d’avortement à des Américaines. Aid Access a publié des témoignages de femmes de Géorgie, du Dakota du Sud, de Pennsylvanie et de Virginie et reconnaît qu’au moins 39 résidentes de l’Idaho ont reçu des pilules.
En mars, la Food and Drug Administration des États-Unis a ordonné à Aid Access de cesser ses activités, mais cette dernière a ignoré l’avertissement et a réagi en intentant un procès contre la FDA. La poursuite d’Aid Access prétend que la FDA a saisi jusqu’à 10 cargaisons de pilules abortives.
Lire la suiteHystérie médiatique autour d'une loi contre l'avortement en Alabama
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Evil Erin/Flickr
J'ai un peu de mal à comprendre ce qui a bien pu choquer à ce point les tenants médiatiques de l'avortement pour qu'ils se mettent à publier article sur article, sur une gamme de tons allant du lugubre au tragique, au sujet d'une toute récente loi, signée par le gouverneur d'Alabama le 15 mai dernier, interdisant l'avortement depuis la conception et ne l'autorisant que pour les « raisons » de danger de risque grave d’altération substantielle physique d’une fonction corporelle majeure, et de danger que pourrait représenter la grossesse pour la vie de la femme, ou d’anomalie létale chez l'enfant à naître.
Comme vous avez pu le voir, ça n'est pas une loi extraordinairement pro-vie, par rapport à d'autre lois votées par d'autres États, vu qu'elle contient encore l'idée de santé de la femme comme raison pour justifier l'avortement. Son originalité reviendrait plutôt à ce que cette loi interdit l'avortement depuis la conception. Mais est-ce la seule raison pour laquelle les médias canadiens se lamentent ? Voyons un peu ce qu'ils disent...
Judith Lussier gémissait dans le Journal Métro... pardon, écrivait le 23 mai :
On débat encore d’avortement?
La semaine dernière, nous n’étions pas en train de parler d’avortement. C’était un droit acquis. Et tant qu’on n’en parlait pas, la menace de nous retirer ce droit semblait ne pas exister, même si les organisations de planning des naissances savent combien cette prérogative sur nos propres corps est fragile.
Ce passage me laisse songeur, cela fait depuis qu’il a été question de permettre l’avortement qu’on ne cesse d’en débattre, il est faux d’affirmer que la semaine dernière on ne parlait pas d’avortement, à moins que l’auteure de ce texte ne parlât de son propre journal. Par ailleurs, tant qu’à évoquer le concept de « droit acquis » les esclavagistes pouvaient aussi dire que c’était un droit acquis de posséder des esclaves, ce qui ne le rendait pas l’affaire plus morale pour autant. De plus, il est évident que la meilleure méthode pour faire en sorte que l’avortement reste en place, c’est de ne pas en parler, ça s’appelle cacher la tête dans le sable ou jeter de la poudre aux yeux. Enfin, je ne sais pas si le « droit » à l’avortement est fragile ou non, mais ce qui est sûr c’est que l’avortement tue un enfant à naître et que le droit de disposer de notre corps ne saurait justifier le meurtre d’un innocent.
La semaine dernière, la Fédération du Québec pour le planning des naissances soulignait que les débats sur l’avortement aux États-Unis trouvaient des échos chez nous.
Continue plus loin Judith Lussier. Sans doute, mais ce n'est le pas le principal moteur du mouvement pro-vie au Canada. Au passage, une citation savoureuse du même article :
Au Québec, une médecin de Laval s’est rendue en Cour supérieure pour demander la révocation de l’interdiction de manifester devant les cliniques d’avortement. Les femmes qui ont eu recours aux procédures d’IVG savent à quel point il s’agit d’une technique passive-agressive d’intimidation.
Il faudrait que l’on m’explique en quoi le fait de se tenir paisiblement avec des pancartes pacifiques devant un avortoir, au milieu de passants hostiles puisse être une « technique passive-agressive ». Mais cela ne nous explique pas pourquoi ce subit intérêt pour la question.
Lire la suiteLes femmes ne mouraient pas par milliers à cause des avortements clandestins avant Roe contre Wade
Par Carole Novielli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tammy Sue/PublicDomainPictures
Dans les jours précédant la décision de la Cour Suprême de légaliser l’avortement aux États-Unis lors de l’affaire Roe contre Wade, les partisans proavortement avaient affirmé que des centaines de milliers de femmes mourraient des suites d’avortements clandestins. À cause de cela, plusieurs législateurs ont voté pour décriminaliser l’avortement avant Roe, et encore aujourd’hui, des législateurs sont hésitants quant à interdire l’avortement pour la même raison. Ces statistiques ont été inventées par les mêmes personnes qui bénéficieraient de la légalisation de l’avortement.
Fausse affirmation n° 1 : 5 000 à 10 000 femmes sont décédées chaque année suite à des avortements clandestins avant Roe.
Faits: Ces statistiques ont été fabriquées. Les chiffres exacts n’en représentent qu’une fraction.
L’avorteur Bernard Nathanson a avoué avoir fabriqué, ainsi que d’autres, le grand nombre de décès causés par avortements clandestins avant Roe. Nathanson et Larry Lader, un biographe de Margaret Sanger, ont œuvré à décriminaliser les lois sur l’avortement. Ensemble, ils ont fondé NARAL (alors connu comme l’Association nationale pour l’abrogation des lois sur l’avortement).
Lire la suiteLe monde compte 55,7 millions d’avortements par an : l’OMS regrette surtout qu’une partie d’entre eux ne soient pas « sûrs »
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Un nouveau rapport co-signé par l’OMS et l’Institut Guttmacher se lamente de ce que près de la moitié des avortements pratiqués dans le monde soient « peu sûrs », c’est-à-dire représentant un danger pour la santé des femmes qui y ont recours. Mais l’information la plus bouleversante contenue dans ce rapport est celle du nombre d’éliminations d’enfants à naître, que ce soit légalement ou illégalement : 55,7 millions d’avortements par an dans le monde. Il n’est pas interdit de s’interroger sur l’exactitude de ce chiffre, sachant que les organismes favorables à l’avortement légal ont une tendance bien ancrée à surévaluer le nombre d’avortements clandestins. L’étude elle-même précise qu’on travaille sur des modélisations et des estimations, notamment pour les avortements clandestins (dont le comptage est évidemment compliqué). Quant aux petites victimes, elles sont totalement ignorées.
Quelque 45 % d’avortements dans le monde « moins ou peu sûrs » selon l’OMS
Il est intéressant de noter dans un deuxième temps que l’Organisation mondiale de la santé est un institut d’études pro-avortement, jadis organiquement lié à la Fédération américaine du planning familial, fassent équipe pour mener une étude dont la conclusion est courue d’avance : il s’agit de mettre en évidence le fait que l’avortement illégal est moins « sûr » que l’avortement légal et donc de faire campagne pour une légalisation de l’avortement, présenté comme un facteur de diminution des « IVG » là où en outre « l’égalité de genre » et l’accès à la contraception sont assurés. Assertion qui ne se vérifie pas dans de nombreux pays comme la France ou l’augmentation de la couverture contraceptive n’a pas fait diminuer le nombre d’avortements.
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Ma grossesse n’était pas prévue mais c’était ce qui pouvait m’arriver de mieux
Bonjour, mon nom est Camille et une grossesse non-planifiée n’est qu’une partie de l’histoire que je vais vous raconter, mon histoire. #wecandobetterthanabortion
Par Susan Michelle-Hanson (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Et voilà comment Camille Williams débuta sa récente publication virtuelle parce qu’elle avait besoin de partager son point de vue, au milieu du flot de messages médiatiques qui glorifient l’avortement.
Il y a environ douze ans, Camille se retrouva enceinte sans l’avoir planifié. Elle avait alors 23 ans, était célibataire et sans diplôme. Elle ne pouvait s’imaginer comment elle pourrait élever un enfant. Le père de l’enfant, Dan, est vite devenu un ex petit ami, après lui avoir fait savoir très clairement que ça ne l’intéressait pas de l’épouser. Cela aurait conduit certaines femmes à avorter, mais pas Camille qui a choisi une autre voie.
Ne dissimulant pas les périodes difficiles, elle a récemment choisi de parler pour donner aux femmes une image réaliste accompagnée d’espoir, comme pour dire, « oui c’est dur, mais c’est le bon type de difficulté, que vous ne regretterez pas d’avoir choisi. »
Lire la suiteDismantling the « 98% of Catholic women use contraception » (bogus) statistic
To all those of you who honestly believed (or were shocked) by the Guttmacher Institute’s finding that « 98% of Catholic women use contraception », rest assured, this research does not fall into the category of reliable scientific research. Let’s take a look at several of the problems with their inclusion and exclusion criteria…
The survey was limited to women who are:
Using such restricted, biased inclusion criteria means the results of this study are not representative of the whole population of Catholic women. Please don’t be fooled…any study can be skewed by poor research practice. Thanks for sharing!