Une jeune mère dans le coma donne vie à son enfant, quelques heures avant sa mort
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio
Catarina Sequeira, la jeune mère, avait 26 ans quand elle devenue enceinte de son premier enfant et hélas le dernier. En décembre dernier, elle eut une grave crise d’asthme. Extraits de Sudinfo :
Son état s’est très rapidement dégradé et les médecins n’ont eu d’autres choix que de la placer dans un coma artificiel pour tenter de la soigner. En vain. L’état de Catarina s’est détérioré et le lendemain de Noël, la jeune femme a été déclarée en état de mort cérébrale alors qu’elle était enceinte de dix-neuf semaines à cette époque.
Encore la notion mortifère de « mort cérébrale », rien de plus ridicule. Car comme l’indique cette appellation, on se base sur le cerveau pour définir si la personne est morte, or une personne morte ne donnerait pas la vie… D’après l’article de Sudinfo, ce serait grâce à la loi du Portugal sur le don d’organe que les médecins auraient gardé Catarina Sequeira… en vie ! Car donner la vie serait dans ce cas considérer comme donner un organe, et comme au Portugal tout le monde est considéré comme donneur à moins d’avis contraire.
Vous pourrez remarquer que le prélèvement d’organe se fait sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », donc se faisant on les tue. Ensuite, il n’est pas nécessaire d’une loi sur le « don d’organe » pour que les médecins aient pu faire ce qu’ils ont fait. Du moins auront-ils sauvé l'enfant. L’article continue :
Alors, lorsque les fonctions respiratoires de Catarina se détériorent jeudi [18 mars] dernier, ils ont décidé de donner naissance avec un peu d’avance au petit garçon par césarienne. Prématuré, le bébé, qui porte le nom de Salvador, pèse 1,7 kg mais se porte bien. Il doit toutefois encore rester hospitalisé pour au moins trois semaines. « C’est un bébé miracle », a déclaré son père dans les médias portugais.
Catarina Sequeira a été débranchée quelques heures après la naissance.
Née prématurée à 29 semaines, Hannah Joy s’est bien développée contre vents et marées
Hanna Joy.
Par Susan Michelle-Hanson (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Quand Hannah Joy est née, elle était prématurée n’ayant seulement que 29 semaines, elle pesait moins de deux livres et son cri ressemblait plus à celui d’un chaton qu’à celui d’un bébé, raconta sa mère, Melody, à Live Action News. Ce petit cri était un véritable miracle de la vie.
Melody et son mari John étaient ravis de découvrir qu’elle était enceinte d’Hannah Joy. Son échographie prise à 20 semaines a confirmé que Melody portait un bébé fille en bonne santé, et la vie qui s’épanouissait en elle rendait les vomissements quotidiens et les autres difficultés de la grossesse comme une épreuve qui en valait la peine à chaque instant pour Melody, qui souffrait d’hypertension chronique. Malheureusement, ce n’est que six semaines plus tard, 26 semaines après le début de sa grossesse, lorsqu’elle dut quitter le travail avec un terrible mal de tête et de la fatigue, que ses problèmes ont commencé. La probabilité de donner naissance à un bébé prématuré était devenue très réelle.
Hannah Joy, née à 29 semaines de grossesse,
au centre de soins intensifs néonataux.
Cette mère garda son bébé à travers une grossesse à haut risque, il naquit à 24 semaines et tous deux vont bien
LeAnna Haggard et sa fille.
LeAnna Haggard (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 7 février 2019 (Live Action News) — Ma grossesse a commencé comme beaucoup d’autres : deux petites lignes roses, le choc, la joie et un amour submergeant. Mon mari et moi étions si excités. Nous avons remercié Dieu pour ce don ; pour nous avoir donné une autre chance après la perte au premier trimestre de notre premier [enfant]. J’avais une petite vie qui grandissait en moi. J’ai commencé à bien faire les choses. Vitamines et bonne alimentation. Boire beaucoup d’eau.
J’avais quelques problèmes médicaux mineurs que mes médecins ne pouvaient pas définir, alors j’ai demandé un rendez-vous à mon obstétricien le plus tôt possible. À six semaines, nous avons vu un petit battement de cœur. J’ai été choisie pour protéger cette petite âme. À l’âge de sept semaines, j’ai commencé à tomber malade et on m’a diagnostiquée une hyperemesis gravidarum. La maladie était si grave que j’avais plusieurs sacs de liquide IV et de médicaments anti-nausée. Rien ne m’a aidée à me sentir mieux, mais mon bébé était encore en bonne santé et c’est tout ce qui comptait pour moi.
À neuf semaines, j’ai fait mes analyses sanguines prénatales de routine. J’étais encore malade, somnolant tout le temps, et il m’était difficile de me déplacer sans être essoufflée ou étourdie. Mon bébé allait bien et c’était tout ce qui comptait pour moi. Quelques heures après mon rendez-vous de neuf semaines, mon obstétricien m’a appelée. Ils n’ont pas pu me soigner. Mon nombre de globules sanguins était trop bas pour porter un bébé. Ils m’ont suggéré de voir un autre médecin.
À 10 semaines, j’ai rencontré un médecin spécialisé dans les maladies du sang. De lui, j’ai eu d’autres mauvaises nouvelles : on m’a diagnostiqué une maladie rare de la moëlle osseuse appelée anémie aplasique. Ma moëlle osseuse ne produisait pas assez de globules sanguins pour me permettre de survivre, encore moins le bébé.
Lire la suiteUne adolescente en phase terminale choisit la vie pour son fils à naître
Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Rihanna Truman est une jeune femme qui accouchera dans tout juste une semaine. Ce qui en fait une adolescente unique c’est qu’elle a seize ans et se bat contre le cancer. C’est à l’âge de douze ans qu’elle fut diagnostiquée d'adamantinome, une forme rare du cancer des os qui évolue lentement, si rare en fait que seul 1% des cancéreux en souffrent. On lui a prélevé une tumeur de l’une de ses jambes mais le cancer continue ses ravages et est rendu maintenant dans ses poumons.
Cette toute jeune femme déclara à NewsHub :
La chimiothérapie et la radiothérapie n’ont pas eu sur moi l’effet escompté, alors ils essaient maintenant de me trouver une nouvelle drogue pour que je puisse --j’espère-- m’en sortir et en guérir.
Lorsqu’elle découvrit qu’elle était enceinte, sa famille ainsi que ses amis et amies lui dirent de soit avorter ou bien de placer l’enfant en adoption; ils étaient inquiets que cette grossesse la fasse mourir.
Lire la suiteUne mère souffrant de la maladie de Lou-Gehrig a refusé d’avorter et célèbre maintenant le premier anniversaire de sa fille
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Quelques semaines après l’annonce de sa grossesse, Amanda Bernier a été diagnostiquée avec une sclérose latérale amyotrophique, SLA, également connue sous le nom de maladie de Lou-Gehrig. Son époux et elle célébraient l’annonce d’une nouvelle vie tout en faisant face à un diagnostic tragique.
Sachant qu’elle ne vivrait probablement pas longtemps après la naissance de sa fille, Bernier était déterminée à donner naissance à son enfant. C’est d’ailleurs ce qu’elle a accompli le 4 novembre 2014, donnant naissance à une petite fille en santé, Arabella Grace.
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