Mgr Viganò : « c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » — la vérité sur la peur : covid-19, vaccin et grande réinitialisation
Par Mgr Carlo Maria Viganò (LifeSiteNews) — Traduit par Guy Boulianne (Guy Boulianne)
Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet « La vérité sur la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation », du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Toutes les personnes ont droit au consentement éclairé.
Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante éclose par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont certes inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.
La réputation des entreprises pharmaceutiques
Nous savons que les géants pharmaceutiques — AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de dépistage des drogues, mais ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.
Les conflits d’intérêts
On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils — qui continuent souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma — auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur les effets secondaires graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation causale entre l’inoculation avec le vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.
Immunité contre les effets secondaires
Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.
Lire la suiteL'exercice épidémique Event 201 d'octobre 2019, organisé par Bill Gates, sur une pandémie de coronavirus et des mesures sanitaires…
Bill Gates.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Je vous propose ci-dessous ma rapide traduction d’une tribune de Robert F. Kennedy, de Children’s Health Defense aux Etats-Unis, reproduite par LifeSiteNews. D’après les enregistrements en ligne de l’Event 201 par lequel Bill Gates et d’autres s’étaient livrés à une simulation d’une pandémie meurtrière de coronavirus… en octobre 2019, il souligne qu’à l’époque on s’interrogeait sur la nécessité de surveiller les réseaux sociaux et bloquer les critiques des vaccins qui permettraient de mettre fin à la pandémie.
L’ensemble offre des similitudes troublantes avec ce qui se passe aujourd’hui. – J.S.
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Au cours des deux dernières semaines, Facebook et d’autres sites de réseaux sociaux m’ont banni, ainsi que de nombreux autres opposants à la corruption officielle et aux politiques de santé publique autoritaires. Voici donc de quoi nourrir ceux d’entre vous qui avez le sentiment étrange que la réponse du gouvernement et de l’industrie à la pandémie semble avoir été planifiée – avant même qu’il y ait une pandémie.
Le document ci-joint [retranscription en anglais des débats lors de l’Event 201] montre qu’une cabale d’individus puissants a effectivement commencé à planifier l’éviction massive des sceptiques vis-à-vis des vaccins des réseaux sociaux dès octobre 2019, une semaine ou deux avant que le COVID ne commence à circuler. C’est en octobre que le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a organisé un exercice de quatre simulations théoriques d’une pandémie mondiale de coronavirus avec d’autres gros légumes de l’« État profond ». L’exercice a été baptisé Event 201.
Les co-conspirateurs de Gates comprenaient des représentants de la Banque mondiale, du Forum économique mondial (Great Reset), du Bloomberg/Johns Hopkins University Populations Center, des Centers for Disease Control and Prevention, de divers médias, du gouvernement chinois, d’un ancien directeur de la Central Intelligence Agency/National Security Agency (les « anciens » agents de la CIA, ça n’existe pas), du fabricant de vaccins Johnson & Johnson, des secteurs de la finance et de la biosécurité, ainsi que d’Edelman, la plus grande société de relations publiques au monde.
Sous la direction de Gates, ces éminences ont joué le rôle de membres d’un conseil de contrôle de la pandémie, élaborant des stratégies gouvernementales pour contrôler la pandémie, le récit et la population. Inutile de dire qu’il n’a guère été question de la mise en place de systèmes immunitaires, de remèdes prêts à l’emploi ou de médicaments et vitamines thérapeutiques non brevetés, mais beaucoup de la promotion de l’adoption de nouveaux médicaments antiviraux et vaccins brevetables.
Mais les participants se sont surtout concentrés sur la planification de stratégies d’État policier, centrées sur l’industrie et axées sur la peur, pour gérer une contagion mondiale imaginaire par un coronavirus qui culminerait par une censure massive des réseaux sociaux.
Curieusement, Gates affirme aujourd’hui que la simulation n’a jamais eu lieu. Le 12 avril 2020, Gates déclarait à la BBC : « Maintenant, nous y sommes. Nous n’avons pas simulé cela, nous n’avons pas fait d’exercices pratiques, donc tant pour les politiques de santé que pour les politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu. »
Malheureusement pour ce bobard, les vidéos de l’événement sont toujours disponibles sur Internet. Elles montrent que Gates et son équipe ont bel et bien simulé des politiques de santé et des politiques économiques. Il est difficile de croire que Gates a pu l’oublier.
Lire la suiteMgr Jędraszewski au sujet du Great Reset : « Où est la place de Dieu là-dedans ? »
Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie en Pologne.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie en Pologne, dénonce le Great Reset (Grande réinitialisation) projeté par Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos qui réunit plusieurs grands pontes des finances et de la politique, car aucune place n’y a été prévue pour Dieu.
Dans une homélie donnée dans l’église de Notre-Dame du perpétuel secours de Cracovie le 3 mars, Mgr Jędraszewski souligne l’athéisme du livre de Klaus Schwab, Covid-19 : La Grande Réinitialisation, dans lequel ce dernier expose le Great Reset que doit subir le monde, ses modalités, ses aspects, enfin, son plan. Selon LifeSiteNews :
« Où est la place de Dieu là dedans ? » demandait Mgr Jędraszewski à l’assemblée.
« Comment peut-on parler d’un homme nouveau et d’un monde nouveau sans référence à Dieu ? » poursuivit-il.
« L’énorme ouvrage de plusieurs centaines de pages ne fait référence à la religion qu’une seule fois. Il ne fait aucune mention de la transcendance, de Dieu. Il est même question d’une indéfinie “Mère Nature”, écrite avec des majuscules ».
L’archevêque cita l’historien Grzegorz Kucharczyk, qui pense que les idées des mondialistes sont opposées au christianisme.
« Les mondialistes essaient de profiter de la pandémie de coronavirus pour déprécier complètement tout ce que le christianisme a apporté depuis près de 2 000 ans, et apporte encore, pour le bien de l’humanité », déclara-t-il.
On peut noter que des hommes politiques comme Justin Trudeau sont partisans d’une grande réinitialisation et voit une belle opportunité dans le confinement pour ce faire (non, ce n’est pas grâce à une « pandémie » qu’ils font tout ça).
Texte d’opinion : le non-sens des mesures « sanitaires » promues par l’OMS
Par Charles Danten ― Photo : Freepik
Voici un texte d’opinion qui a été envoyé à Campagne Québec-Vie par Charles Danten au sujet de la « pandémie » et des mesures « sanitaires » censées la combattre. ― A. H.
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Bonjour,
Disons d’emblée que je ne parle pas sans connaissance de cause, j’ai un B.Sc. en agronomie et un doctorat de premier cycle en médecine vétérinaire. J’ai de plus une maîtrise en traduction orientée vers les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Je connais bien les principes de la médecine pour les avoir appliqués sur le terrain pendant 18 ans, dont dix à mon propre compte dans ma clinique vétérinaire située en banlieue de Montréal. Pour en avoir traduit bon nombre à titre professionnel, je connais également relativement bien les études cliniques, comment elles sont conçues et comment juger de leur validité. En d’autres mots, je suis suffisamment compétent pour faire la part des choses et donner un avis éclairé sur ce crime contre l’humanité dont nous sommes victimes depuis maintenant un an et dont les responsables vont bientôt devoir rendre des comptes.
Christian Drosten : l’heure des comptes ?
Je vous écris, donc, car je ne sais pas trop à qui je pourrais m’adresser, personne ne vous écoute, les médias ne publient aucune opinion contraire au dogme, le débat est clos, on vous tourne le dos dès que vous contestez le moindrement la gestion sanitaire de la Covid calquée en tout point sur les recommandations mensongères de l’OMS. On vous ostracise, on vous prend pour un désaxé, un conspirationniste, voire un fasciste si vous avez le malheur de vous opposer au consensus sur :
― les mesures sanitaires inutiles, voire contre-productives faisant bien plus de mal que de bien au niveau économique, sociale et psychologique en plus d’être incapables d’arrêter le moindre virus.
Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses
— l’escroquerie du test PCR qui n’est pas un test de dépistage du Covid-19 et qui peut donner jusqu’à 90 % de faux +. Selon le Dr Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, ce test est en effet « fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement ». Il est utilisé uniquement pour créer la peur et faire perdurer la fausse pandémie pour des raisons politiques et financières.
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce la « Grande réinitialisation »
Cardinal Gerhard Müller, ex-préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Par Maike Hickson ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Patrick Craine/LifeSiteNews
5 février 2021 (LifeSiteNews) ― Le cardinal Gerhard Müller, ex-préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a récemment ajouté ses réflexions, dans un entretien avec Edward Pentin du National Catholic Register, au débat entourant la Grande réinitialisation (Great Reset), telle que promue par le Forum économique mondial de Davos (FEM). Dans ce contexte, le cardinal lance un grave avertissement : il voit une alliance entre les organismes capitalistes occidentaux avec la Chine, formant un nouveau « capital-socialisme unifié ».
Le 29 janvier, le prélat allemand déclara à Pentin que les deux camps — « le capitalisme mercantile, les géants de la technologie des pays occidentaux » et le « communisme de la République populaire de Chine » — « convergent et s’allient aujourd’hui en un capital-socialisme unifié », donnant le jour à un « nouveau colonialisme ». Par ces propos, il semble laisser entendre que nous assistons ici à l’alliance des grandes puissances financières avec les États communistes — en particulier la Chine — visant à la domination des puissances mondiales capitalistes sur le monde, tandis que les masses sont maintenues dans des sociétés socialistes, contrôlées et réprimées par l’État. Ceci n’est pas sans rappeler les actions des pays occidentaux face à la crise du coronavirus¹ qui ont entraîné la suppression de nombreuses libertés au nom d’une crise sanitaire. LifeSite a pris contact avec le cardinal Müller pour approfondir la question. Nous écrirons un article sur ses commentaires si nous les recevons.
Le Great Reset est un programme publié par le Forum économique mondial (FEM) qui utilise la crise du coronavirus comme raison d’un remaniement fondamental sur la façon dont nous, être humains, vivons ensemble sur terre. Le FEM prétend sur son site internet que « les changements que nous avons déjà observés en réaction au covi-19 prouvent qu’une reconfiguration de nos bases économiques et sociales est possible ». À la lumière des crises économiques et environnementales prédites, le FEM affirme que « nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux ». La façon dont cette reconstruction de nos sociétés est perçue par ces acteurs financiers mondiaux (voici une liste des participants à la réunion du FEM 2020 à Davos, en Suisse) peut être vue dans une vidéo du FEM intitulée Huit prédictions pour le monde en 2030.
Cette vidéo annonce : « vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. Tout ce que vous voudrez, vous le louerez et il vous sera livré par drone ». Outre l’abolition de la propriété privée — un objectif typique des idéologies socialistes — le FEM prévoit également la fin des valeurs occidentales, lesquelles sont évidemment basées sur le christianisme : « Les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture. » Il faut se demander quel genre de valeurs remplaceront ces « valeurs occidentales » et d’où elles viendront.
Lire la suiteLe corps mystique du Christ et la Grande Réinitialisation
Par Robert Morrison (The Remnant) — Traduit par Pierre et les loups (PL)
Serions-nous confrontés aujourd’hui à la menace d’une « réinitialisation globale » désastreuse si l’Église catholique n’avait pas été minée de l’intérieur au cours des dernières décennies ? Notre réponse dépend, en grande partie, de la question de savoir si nous croyons que l’Église catholique est réellement ce qu’elle a toujours prétendu être.
S’il s’agit simplement d’une institution humaine avec des illusions d’ordre surnaturel (comme beaucoup au sein de sa hiérarchie semblent le croire), alors sa force ou sa faiblesse ont peu de poids face aux événements mondiaux majeurs que nous voyons actuellement. Par contre, si l’Église catholique est effectivement l’institution établie et soutenue par Dieu pour apporter la vérité et la grâce au monde, quiconque cherche vraiment à asservir l’humanité fera tout son possible pour subjuguer l’Église.
À titre purement hypothétique, supposons que l’Église catholique soit véritablement le Corps mystique du Christ. Dans son encyclique de 1943 sur le Corps mystique du Christ, Mystici Corporis Christi, le Pape Pie XII décrit la relation entre les grâces acquises par le Christ sur la Croix et le rôle de l’Église dans la distribution de ces grâces :
Lire la suiteTandis qu’en mourant sur la croix il a communiqué à son Eglise, sans aucune collaboration de sa part, le trésor sans limite de sa Rédemption, quand il s’agit de distribuer ce trésor, non seulement il partage avec son Epouse immaculée l’œuvre de la sanctification des âmes, mais il veut encore que celle-ci naisse pour ainsi dire de son travail. Mystère redoutable, certes, et qu’on ne méditera jamais assez : le salut d’un grand nombre d’âmes dépend des prières et des mortifications volontaires, supportées à cette fin, des membres du Corps mystique de Jésus-Christ et du travail de collaboration que les Pasteurs et les fidèles, spécialement les pères et mères de famille, doivent apporter à notre divin Sauveur.
La principale leçon à retenir du drame que fût 2020
Photo : Pixabay.
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Quelles leçons tirer du drame que fût 2020? Pour le savoir, il faut d’abord constater quelques faits :
Fait numéro 1 : Aux alentours de décembre 2019 en Amérique du Nord, et bien avant à d’autres endroits, un virus nommé Sars-cov-2, qui provoque une maladie pulmonaire nommée covid 19, était largement répandu. Oui, vous avez bien lu : le virus était largement présent en Amérique du Nord au moins à partir de décembre 2019. Le journaliste Tucker Carlson, citant une récente étude du Center for Disease Control, avait annoncé cette nouvelle sur son émission de grande écoute sur la chaîne Fox News le mercredi 2 décembre 2020 :
Dans une étude publiée lundi [le 30 novembre 2020], les chercheurs ont testé 39 échantillons de sang des États de Californie, de Washington et de l’Oregon. Ce sang a été collecté entre le 13 et le 16 décembre 2019.
À l’époque, personne aux États-Unis n’avait entendu parler du COVID-19. Le gouvernement chinois n’a même reconnu son existence que le 31 décembre [2019]. Et pourtant, chacun de ces échantillons qui viennent d’être testés est revenu positif pour les anticorps anti-coronavirus — tous.
Gardez à l’esprit que les anticorps ne se développent pas avant au moins une semaine après l’exposition au virus. Cela signifie que le coronavirus de Wuhan était transmis à l’ensemble de la population américaine bien plus tôt, peut-être des mois plus tôt qu’on ne nous l’avait dit.
Qu’est-ce que ça veut dire exactement? Et comment est-ce arrivé?
Nous ne savons pas encore comment cela s’est passé, mais nous savons avec certitude que cela s’est produit. Le CDC a trouvé des dizaines d’échantillons positifs supplémentaires à partir de tests sanguins effectués à partir de la fin décembre [2019], et ils les ont trouvés dans de nombreuses autres régions du pays, à travers le pays : Le Michigan, l’Iowa et le Massachusetts.
L’analyse des tests dans d’autres pays a montré une propagation encore plus précoce du virus. Les scientifiques connaissent désormais que le virus, le coronavirus s’est propagé en Italie dès septembre [2019] dernier et en Amérique du Sud deux mois plus tard en novembre [2019].
Fait numéro 2 : Ce virus est comparable à une grippe saisonnière sévère : il a un taux de mortalité de 2 à 3 décès par mille infections (la grippe sévère ayant un taux de mortalité de 1 décès pour mille infections). Que le coronavirus ait ce taux de fatalité relativement modeste est démontré entre autres par une étude de l’épidémiologiste John Ioannidis, de l’université de Stanford, qui est publiée sur le site de l’Organisme mondial de la Santé. La dangerosité varie avec l’âge, allant de quasi-impossibilité d’un décès pour les moins de 50 ans et allant à près de 5 % en moyenne (1 chance sur 20) pour les plus de 70 ans, la moyenne d’âge des décès tournant autour de 85 ans (sources).
Fait numéro 3 : Il y a eu au Québec (ainsi que dans d’autres localités), un grand pic de décès au printemps de 2020, même si, comme je l’ai affirmé plus haut, le virus était largement répandu bien avant. Si le virus était spécialement dangereux, nous aurions ressenti sa présence dès décembre, lors de son apparition chez nous. (Au Québec, le virus était probablement présent vers la mi-décembre, comme pour les États-Unis, avec lesquels le Québec et le Canada ont des échanges significatifs et constants.) Cependant, nous savons que le virus n’est pas spécialement dangereux. Et les données entre décembre et mars le prouvent : tout en étant largement répandu, le virus ne faisait aucun ravage. Le pic de décès n’a commencé au Québec à faire son apparition qu’au milieu du mois de mars. Mais pourquoi alors à ce moment précis?
La réponse est assommante : ce sont les mesures sanitaires elles-mêmes, mises en place dès la mi-mars, qui semblent avoir causé la plupart des décès « excédants » observés en mars, avril et mai. Cela, je l’ai expliqué dans ma lettre ouverte à Joanne Castonguay (Commissaire à la santé du Québec), message qui a aussi été envoyé à la Coroner en chef du Québec, Pascale Descary. Je cite l’essentiel :
À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons, parmi lesquelles :
- une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
- une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
- une politique de « triage » des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
- une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour « libérer » 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une « vague » de malades plus « prioritaires » qui n’est jamais venue;
- une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de « libérer » des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps;
- la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasique;
Faisons un petit résumé. Le drame de 2020 n’est pas celui d’un virus meurtrier. Il est plutôt celui d’un virus, pas si dangereux que cela, qui a servi de prétexte pour mettre en place des « mesures sanitaires » qui, elles, sont probablement responsables d’une grande part des décès « excédentaires » observés au printemps. La question qui s’impose devient alors : Pourquoi ? Pourquoi la grande majorité des gouvernements du monde se sont-ils alors précipités à instaurer des mesures sanitaires n’ayant que pour effet de provoquer la mort des plus vulnérables ? À quelle fin ? C’est la question de l’année !
Mais voici que le 13 décembre, à l’occasion de la fête de Notre-Dame de la Guadeloupe, le Cardinal Burke nous donne une réponse, à l’instar des autres lanceurs d’alertes : le virus « a été utilisé par certaines forces, hostiles aux familles et à la liberté des nations, pour faire avancer leur programme maléfique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de ce qu’on appelle le Great Reset, la “grande réinitialisation”, cette “nouvelle normalité” qui nous est imposée par leur manipulation des citoyens et des nations au moyen de l’ignorance et de la peur. » (Plus sur le « great reset »/la grande remise à zéro, ici) Et le Cardinal de conclure que l’essentiel de la tragédie de 2020, c’est d’avoir oublié Dieu pour idolâtrer la déesse « santé » : « Voici que nous sommes censés trouver dans une maladie et dans sa prévention la façon de comprendre et de diriger nos vies, plutôt qu’en Dieu et dans son dessein pour notre salut. »
Et voilà, donc, en somme, le drame de 2020 : Notre société, ayant déjà largement rompue avec Dieu, ayant mis au centre de son existence non le Créateur mais la créature (l’idéologie, l’argent, le pouvoir, etc.), s’est vu affolée par la présence d’un virus d’une létalité comparable à une grippe saisonnière sévère. Pire, la « crise » qui s’ensuit a toutes les marques d’une manipulation dirigée par de hautes instances internationales. Le drame, en somme, s’agit non d’un virus relativement bénin, mais d’une société maligne et corrompue, car détournée, et cela, il y a des décennies voire des siècles, de Dieu et poursuivant avec acharnement des chimères telles « le progrès » ainsi que les « droits » de l’homme sans Dieu.
La solution, donc, pour un 2021 moins délirant, ne peut que passer par une conversion, personnelle et sociétale, à Dieu et son Église, sans quoi, nous risquons à l’avenir d’être plongés dans de nouveaux et encore plus profonds drames. Il faut tout faire pour que les individus, mais aussi les associations, les familles et oui, même les États, tirent leur inspiration du Christ. Depuis plusieurs années, Campagne Québec-Vie ne fait que marteler cette nécessité de conversion personnelle et sociale et de la promouvoir de diverses façons, pour le plus grand bien de tous. Ceci doit être de nouveau notre priorité en 2021.
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Merci à vous qui nous avez aidés, par vos dons, vos prières, votre bénévolat, à persévérer dans cette lutte pour la vérité et contre les illusions et les mensonges de notre époque. Notre campagne de financement du temps de l’avent bat son plein : à 10 jours de la fin, nous sommes à 2 205 $ de notre objectif de 7500 $. Merci de faire un don sacrificiel aujourd’hui, pour nous aider à atteindre notre but.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
P.S. N’oubliez pas de mettre dans vos signets notre nouveau site de nouvelles, de style « agrégateur », que nous renouvellerons et développerons régulièrement. Dans ce site il y aura aussi une liste de « médias alternatifs » que vous pourrez consulter pour connaître la vérité sur plusieurs sujets.
Le cardinal Burke dénonce le « Great Reset », la grande réinitialisation sans Dieu imposée au nom du COVID-19
Cardinal Raymond Leo Burke.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Alpha News/YouTube
Le cardinal Raymond Burke était samedi dans son ancien diocèse de La Crosse, Wisconsin, pour la fête de Notre Dame de Guadalupe, qu’on honore outre-Atlantique sous le titre d’Impératrice des Amériques. C’est au sanctuaire de celle-ci qu’il a prononcé une homélie grave, centrée sur les graves dangers qui menacent les Etats-Unis et le monde.
Visiblement soucieux, il a dénoncé « la progression mondiale du matérialisme marxiste » à la faveur du COVID-19 : en effet, c’est bien un socialisme international qui se met en place, sans que l’Eglise ne semble réagir. C’est la progression du Great Reset que le cardinal Burke a nommément désigné, dénonçant plus loin « des forces séculières qui voudraient faire de nous les esclaves de leur projet meurtrier et impie » : sans Dieu.
En espagnol, le cardinal a longuement évoqué le message de Notre Dame de Guadalupe qui nous demande de ne pas avoir peur, puisque nous sommes entre ses bras.
Je vous propose ci-dessous ma traduction non officielle de la partie anglophone de ce sermon publiée par LifeSiteNews. — J.S.
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Nous venons à Notre-Dame de Guadalupe au jour de sa fête, le cœur lourd et troublé. Notre nation traverse une crise qui menace son avenir même en tant que nation libre et démocratique. La progression mondiale du matérialisme marxiste, qui a déjà entraîné mort et destruction dans la vie d’un si grand nombre de personnes, et qui a menacé les fondations de notre nation pendant des décennies, semble désormais s’emparer du pouvoir de gouvernement de notre nation.
Nous nous sommes autorisés en tant que nation, afin d’engranger des profits économiques, de nous rendre dépendants du Parti communiste chinois, une idéologie totalement opposée aux fondations chrétiennes sur lesquels les familles ainsi que notre nation s’appuient pour rester en sécurité et prospérer.
Je parle ici des États-Unis d’Amérique, mais il est évident que de nombreuses autres nations sont en proie à une crise similaire, tout aussi alarmante.
Il y a aussi le mystérieux virus de Wuhan, à propos duquel les médias nous donnent quotidiennement des informations contradictoires, tant quant à sa nature qu’aux moyens de s’en préserver. Ce qui est clair, cependant, c’est qu’il a été utilisé par certaines forces, hostiles aux familles et à la liberté des nations, pour faire avancer leur programme maléfique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de ce qu’on appelle le Great Reset, la « grande réinitialisation », cette « nouvelle normalité » qui nous est imposée par leur manipulation des citoyens et des nations au moyen de l’ignorance et de la peur.
Lire la suiteLa Grande remise à zéro ou « Great Reset », c’est quoi ?
Par Michèle-Marie (Medias Presse Info) — Photo : Włodi/Flickr
Le 3 juin 2020, en conséquence de la « crise sanitaire mondiale », le Forum économique mondial (WEF) de Genève a annoncé un sommet pour janvier 2021 à Davos, en Suisse, dont le thème serait « La grande remise à zéro ».
Le WEF est un rassemblement mondial des élites politiques, financières et sociales. Selon le « Telegraph », 119 milliardaires avaient assisté aux discussions de Davos en 2020. En 2018, 1 200 des participants étaient arrivés en jet privé.
Le communiqué de presse du WEF a poursuivi :
L’annonce de « La grande remise à zéro » a été faite par S.A.R. le Prince de Galles et le Professeur Schwab lors d’une réunion virtuelle, suivie par les déclarations du Secrétaire général des Nations Unies António Guterres et de la Directrice exécutive du FMI Kristalina Georgieva.
Le professeur Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial, a fait sa propre déclaration le jour même de l’annonce, sous le titre « Le temps est venu d’une “grande remise à zéro” », avec en sous-titre « Dans toute crise, se présente une opportunité ».
L’essence de ses propos et de ses idées exprimées ailleurs, dans ses publications, est résumée ci-après dans une série de tableaux.
Lire la suite« Le Covid est une des pandémies les moins mortelles qu’ait connues le monde au cours des 2 000 dernières années ».
Tucker Carlson corrobore Mgr Viganò au sujet du Great Reset : Trudeau voit une opportunité dans le confinement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Presidentia de la República Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)-Wikimedia Commons
Tucker Carslon, dans son émission Tucker Carlson tonight sur Fox News le 16 novembre, soulignant le manque de fondements scientifiques pour la mise en place d’une nouvelle phase de confinement dur aux États-Unis, attire l’attention de ses auditeurs sur l’opinion que Mgr Carlo Maria Viganò exprimait dans une lettre adressée à Donald Trump, président des États-Unis : le confinement, instauré sous prétexte de « pandémie », est destiné à établir une dictature universelle. Tucker Carlson, citant Mgr Viganò, dit :
« Personne, jusqu’en février de cette année », écrit Viganò, « n’aurait jamais pu imaginer que dans toutes nos villes, les citoyens pourraient être arrêtés simplement parce qu’ils avaient envie de se promener, de respirer, de garder leur commerce ouvert, d’aller à la Messe le dimanche. Et pourtant, c’est ce qui se passe actuellement partout dans le monde… les droits fondamentaux des citoyens et des fidèles sont bafoués au nom d’une urgence sanitaire qui s’avère de plus en plus instrumentalisée dans le but d’ériger une tyrannie inhumaine et sans visage. »
L’un des moments cruciaux de l’établissement de cette tyrannie serait, d’après Mgr Viganò, le Great Reset promu par le Forum économique mondial, qui se tient chaque année à Davos en Suisse, réunissant les plus grosses légumes de la finance, des politiciens et des idéologues divers. Le Great Reset, dois-je expliquer, est un plan pour l’avenir du monde dans la perspective d’un effondrement économique sur fond de l’inévitable coronavirus. Entre autres, il s’agit de mettre en place un fonds mondial — ce qui répond aux souhait d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU et ancien président de l’International socialiste, qui voudrait qu’un tel fonds s’élevât à 10 % du PIB planétaire — ainsi que la mise en place d’un revenu de base universel, utopie à saveur communiste.
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