Nouvelle plainte contre la participation de transgenres dans les compétitions féminines scolaires
Selina Soule.
Par Pour une école libre au Québec — Photo : ADF
Trois athlètes féminines du secondaire dans le Connecticut, ainsi que leurs familles, ont déposé mercredi une plainte devant un tribunal fédéral pour empêcher les athlètes transgenres de participer aux compétitions d’athlétisme féminin, arguant que les athlètes biologiquement masculins* ont un avantage physique.
Selina Soule, lycéenne en dernière année à l’école secondaire Glastonbury, Chelsea Mitchell, lycéenne en dernière année de l’école secondaire de Canton, et Alanna Smith, une étudiante en deuxième année (14-15 ans) à l’école secondaire de Danbury, ont annoncé leur poursuite en justice lors d’une conférence de presse tenue sur les marches du capitole à Hartford, la capitale du Connecticut.
« Notre rêve n’est pas d’arriver deuxièmes ou troisièmes, mais de gagner, à la loyale », a déclaré Chelsea Mitchell. « Tout ce que nous demandons, c’est une chance équitable. »
Les trois filles soutiennent que concourir contre des athlètes biologiquement masculins les empêche injustement de gagner des médailles et de bénéficier de bourses d’études.
L’Alliance Defending Freedom [Défendre la liberté], une organisation conservatrice américaine à but non lucratif, représente les filles devant la justice fédérale. Il y a quelques mois, l’Alliance avait déjà déposé une plainte relative au titre IX des amendements à la Loi sur l’Éducation de 1972 auprès du ministère américain de l’Éducation. Cette plainte fait toujours l’objet d’une enquête par le Bureau des droits civils du ministère.
Lire la suiteLa plainte d'étudiantes du secondaire (américain), obligées de concourir avec des transgenres, sera entendue
Selina Soule, âgée de 16 ans, coureuse de Glastonbury au Connecticut.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : The Daily Signal
Leur plainte aboutira-t-elle à un changement sensé dans la façon de considérer les « transgenres » par rapport aux gens normaux et les premiers en eux-mêmes ? Extrait de LifeSiteNews :
Trois étudiantes du secondaire (américain), qui affirment avoir été exclues des compétitions féminines en raison d'un règlement du Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) qui autorise les hommes biologiques* prétendant être « filles », feront entendre leur plainte devant l'Office for Civil Rights (OCR) du Ministère fédérale de l'éducation.
Selina Soule, élève supérieure de Glastonbury, Connecticut, et deux autres jeunes filles, dont le nom n'a pas encore été mentionné par crainte de représailles, ont déposé une plainte avec l'aide de leur équipe juridique de l'Alliance Defending Freedom (l'ADF).
La plainte soutient que la politique du CIAC est discriminatoire à l'égard des filles biologiques* et viole leurs droits régis par le Title IX.
Le Title IX a été mis en œuvre en 1972 pour faire en sorte que les filles aient le même accès aux sports que les garçons, point sur lequel la plupart des observateurs conviennent que ç'a été un succès.
Mais il n'a jamais été prévu dans le Title IX que les garçons chercheraient à rivaliser en tant que filles, ni n'est mentionné l'« identité de genre ».
Aux Connecticut et dans 19 autres États, les filles sont maintenant obligées de rivaliser avec les garçons biologiques* qui prétendent être « filles », et ces règlements privent injustement les filles biologiques* du droit à des chances égales dans des compétitions qu'elles ne peuvent gagner malgré leurs meilleurs efforts.
[...]
Et, d'autre part, ces règlements mettent les filles en danger dans les sports de contact.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». Il est par conséquent absurdement atroce de déformer ou de mutiler un corps sain pour le faire paraître autre qu'il n'est. ― A. H.