Échouer à imposer le silence aux conservateurs sociaux
Communiqué de presse de REAL Women of Canada — Photo : Shutterstock
Les journalistes ne cachent pas leur parti pris en faveur des torys rouges dans leurs reportages sur la course à la direction du Parti conservateur. Leur objectif est d’éliminer la vision sociale conservatrice au Canada, qu’ils trouvent détestable, voire déplorable. Ils considèrent avoir le droit d’éliminer un à un les candidats sociaux conservateurs dans la course à la direction du parti conservateur en détruisant leur crédibilité. Ils veulent que les cinq [grands] partis excluent les valeurs sociales traditionnelles de leurs politiques et ne représentent que les opinions socialistes de la gauche. Il en résulterait un affaiblissement notable de la démocratie.
Le chef conservateur Andrew Scheer a été poursuivi sans relâche par les médias qui ont souligné ses prétendus défauts, le plus flagrant étant ses convictions catholiques romaines sur lesquelles il a fondé ses opinions [personnelles — pour ce que ça veut dire...]* sur le mariage et l’avortement.
Le candidat à la direction du parti, Richard Décarie, a été attaqué pour avoir tenu une position particulière sur les attirances envers le même sexe, contraire aux opinions des militants LGBTQ. Les opinions de M. Décarie peuvent toutefois être étayées par des études scientifiques pertinentes.
Il est significatif que ces journalistes aient décidé que le fait de défiler à la Gay Pride de Toronto constituât un test décisif pour accéder à la direction d’un parti conservateur possédant de nombreuses politiques familiales établies démocratiquement. Pourquoi les médias ne se préoccupent-ils pas des autres parades culturelles des minorités, comme le populaire Festival Caribana qui a lieu chaque été à Toronto ? Pourquoi cette discrimination ?
Le Comité organisateur de l’élection du chef du Parti conservateur (COEC) a rejeté la candidature de M. Décarie sans donner de raison.
Jim Karahalios a été le prochain candidat à être ciblé, sa candidature a également été rejetée, sans raison. M. Karahalios a fait appel de ce rejet devant la Cour supérieure de l’Ontario, sa plaidoirie devant être entendue le 15 mai 2020.
Un autre candidat social conservateur, Leslyn Lewis, est une avocate noire, ce qui place les médias dans une position délicate, puisque toute critique à son égard pourrait être considérée comme sexiste, raciste ou misogyne. C’est pourquoi elle a été épargnée par les médias.
Lire la suiteUn imprimeur sur vêtement refuse de fabriquer des chandails LGBT et gagne en cour
Blaine Adamson.
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture)
Victoire importante pour la liberté religieuse [joie à tempérer, car la façon dont on regarde la liberté religieuse n’est pas la bonne aux É.-U.] aux Etats-Unis ! La Cour suprême du Kentucky a donné raison au propriétaire d’une imprimerie sur vêtements qui refuse de confectionner des maillots pour la Gay Pride de sa ville en raison de sa fidélité à la morale chrétienne.
« La décision d’aujourd’hui indique clairement que cette affaire judiciaire n’aurait jamais dû exister. Pendant plus de sept ans, des représentants du gouvernement ont utilisé cette affaire pour bouleverser la vie de Blaine, même si nous leur avions dit depuis le début que le procès n’était pas conforme aux exigences légales », a déclaré l’avocat principal de l’imprimeur. « Le Premier Amendement protège le droit de continuer à servir toutes les personnes tout en refusant d’imprimer des messages qui violent sa foi. Le juge David Buckingham l’a reconnu dans son opinion concordante, et aucun membre du tribunal n’a contesté cela », a-t-il ajouté.
M. Adamson a souligné qu’il était heureux de servir et d’employer des homosexuels, mais qu’il ne souhaitait pas pour autant appuyer leur cause : « lorsqu’on présente un message qui entre en conflit avec mes convictions, ce n’est pas quelque chose que je peux imprimer — c’est ma ligne de conduite. »
Au cours des dernières années, aux Etats-Unis, des militants LGBT ont poursuivi en justice de nombreux propriétaires d’entreprises chrétiennes à travers le pays, notamment des photographes et des fleuristes, dans le but de les forcer à créer des œuvres célébrant l’homosexualité ou à participer à des cérémonies de « mariage » entre personnes du même sexe.
Un garçon seul brandit le crucifix pour protester contre la marche LGBT, la police l’emmène
Jakub Baryła
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Gloria.TV
12 août 2019 (LifeSiteNews) — La photo d’un garçon de 15 ans debout seul avec son crucifix et son chapelet, alors que la police avec un équipement antiémeute et les manifestants LGBT marchent vers lui, est devenue virale.
La photo du brave écolier Jakub Baryła — debout au milieu d’une rue, alors que des manifestants brandissant le drapeau arc-en-ciel marchent vers lui avec la police du gouvernement en tête — est une métaphore visuelle impressionnante, représentant parfaitement la menace très réelle d’une idéologie LGBT politisée et armée contre les enfants du monde entier.
Cette image vaut plus de 1 000 mots.
C’est un écho à l’image emblématique de 1989 d’un homme seul debout contre les chars qui s’approchent sur la place Tiananmen à Pékin. Le gouvernement communiste chinois avait fait appel à l’artillerie lourde pour réprimer une manifestation menée par des étudiants et en appelant à la démocratie, à la liberté d’expression et à la liberté de presse en Chine.
C’est aussi un écho à la photo de 1957 sur laquelle une jeune étudiante américaine d’origine africaine, courageuse, a tenté d’entrer dans une nouvelle école secondaire n’étant plus ségrégée de Little Rock en Arkansas, entourée d’une foule de racistes blancs lui crachant de la haine. Alors que la foule criait : « Lynch-la ! » et « Rentre chez toi, *** ! », la jeune Elizabeth Eckford marchait seule.
Baryła a tenu bon pendant que la phalange d’agents de police lourdement armée le repoussait lourdement. À la fin, il a été physiquement enlevé par la police, toujours tenant haut son Crucifix et son chapelet.
La scène s’est déroulée lors d’une « Marche pour l’égalité » à Płock, en Pologne.
Lire la suiteLe procès en homophobie de la Pologne après l’ultime provocation du lobby LGBT à Białystok
Par Olivier Bault (Visegrad Post)
Pologne – « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes », titrait Le Figaro le 21 juillet pour illustrer une vidéo des moments les plus chauds publiée sur le site du journal le soir-même des troubles qui avaient agité la ville de Białystok, dans l’est de la Pologne, le samedi 20 juillet. Pour Le Monde, « Une Marche des fiertés LGBT à Białystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (titre du 22 juillet) : « Dans la région très conservatrice de la Podlachie, soixante contre-manifestations – nationalistes, ultracatholiques, parfois violentes – ont été signalées ».
Ce que les deux grands quotidiens français ne précisent pas, c’est que la « Marche des égalités » de Białystok était l’ultime provocation du lobby LGBT en Pologne. Un lobby peu nombreux mais massivement soutenu par les multinationales et les ambassades occidentales dans ce qui ressemble fort à une entreprise de colonisation culturelle du dernier grand pays majoritairement catholique du vieux continent. Ce lobby bénéficie aussi ces derniers temps du virage progressiste-libertaire tenté par l’opposition libérale polonaise, ce qui a sans doute fortement contribué à sa cuisante défaite aux élections européennes face au PiS.
Les militants LGBT ont beaucoup œuvré cette année pour remonter un grand nombre de Polonais contre eux, avec leurs profanations contre la foi catholique à Gdańsk (parodie de procession du Saint-Sacrement), Varsovie (parodie de messe) et Częstochowa (tentative de marche sur le sanctuaire de Jasna Gora au moment où s’y déroulait un pèlerinage d’enfants), sans parler les images de l’icône de la Vierge noire de Częstochowa repeinte avec une auréole aux couleurs de l’arc-en-ciel LGBT qu’ils brandissent régulièrement dans leurs manifestations depuis le printemps.
Białystok est au cœur d’une région conservatrice, comme l’est toute la partie orientale du pays où le parti social-conservateur Droit et Justice, qui gouverne la Pologne depuis 2015, est nettement mieux implanté que dans la moitié ouest. C’était donc l’endroit idéal pour organiser la première gay pride de l’histoire en sachant que beaucoup s’y opposeraient. Car le but du lobby LGBT en Pologne semble bien de causer les réactions les plus vives possibles afin de pouvoir se présenter en victimes de violences et de discriminations. Or si cela doit obligatoirement passer par une stratégie de la provocation permanente, en s’attaquant aux symboles les plus sacrés, cela montre bien que la société polonaise est de nature plutôt tolérante.
Lire la suiteLe cardinal Dominik Duka en appelle à un soutien mutuel des catholiques de l’Est contre le lobby LGBT
Au centre, Mgr Dominik Duka.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Un Vent d’Est souffle contre le lobby Lgbt ! Après s’être défait courageusement de la peste rouge, les catholiques des pays de l’est de l’Europe se battent contre la puissante et mondiale Gaystapo, autre dictature des forces antichrétiennes.
Le cardinal tchèque Dominik Duka est descendu sur le champ de bataille pour défendre les évêques polonais qui ont affronté avec courage le lobby gay et sont en train de vivre une offensive médiatique violente sans précédent.
La polémique est née début août lorsque l’archevêque métropolite de Cracovie, Mgr Marek Jędraszewski, a exhorté, dans le sanctuaire mariale national de Jasna Góra, les fidèles polonais à « repousser la menaçante erreur anthropologique qui ressort sous la forme de deux grandes idéologies : genre et Lgbt ». En particulier l’archevêque a expliqué que l’idéologie Lgbt est une « peste arc-en-ciel » comparable « à la plaie rouge du communisme » et qu’elle menace les valeurs traditionnelles et la famille naturelle, avec pour but de « dépraver la nation polonaise » et d’«empoisonner les cœurs et les mentalités des Polonais », leur causant « un grave dommage spirituel, en particulier chez les enfants et les jeunes ».
Ces réflexions de Mgr Marek Jędraszewski ont déchaîné de violentes réactions, et de la part des associations homosexuelles, et de la part des médias œuvrant à l’instauration de l’agenda Lgbt. La laïciste Gazeta Wyborcza a défini les thèses de l’archevêque comme « antichrétiennes » tandis que les associations arc-en-ciel ont dénoncé auprès du parquet le haut prélat en l’accusant de « promouvoir le système totalitaire fasciste ».
Lire la suiteDes LGBT pro-burqa durant une parade gay !
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Pays-Bas — Lors de la Gay Pride d’Amsterdam, le conseiller municipal Hendrik Jan Biemond (PvdA [Parti travaillliste de Belgique], gauche) et d’autres militants LGBT ont porté la burqa pour protester contre « l’interdiction de la burqa » aux Pays-Bas. La campagne provoque beaucoup d’indignation.
La section du très gay-friendly PvdA d’Amsterdam écrit sur Twitter : « Notre membre du conseil, Hendrik Jan Biemond, était la reine de la burqa jaune hier ». Et d’ajouter « Pour le PvdA Amsterdam, la liberté signifie que vous pouvez être qui vous êtes et donc porter ce que vous voulez ».
Les propagateurs de la subversion étalent ainsi toute l’incohérence de leurs propos. Car si ces militants gauchistes LGBT vivaient dans un pays où les femmes portent habituellement la Burqa, leur sort serait vite réglé.
Des pédophiles veulent faire leur promotion durant la « semaine LGBT » d’Amsterdam
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : Max Pixel
Aux Pays-Bas, l’affaire fait grand bruit au point d’être l’objet de débats sur les plateaux de télévision : un collectif de pédophiles a annoncé sa participation à la semaine de la gay pride d’Amsterdam sous le hashtag #PedoPride2019 sur Twitter.
Ce collectif de pédophiles est lié au « Front de libération des enfants » qui prétend vouloir « libérer les enfants sexuellement ».
Les Pays-Bas sont un vivier d’initiatives visant à légitimer la pédophilie. Un parti pédophile y avait même vu le jour il y a quelques années.
Ces militants pédophiles souhaitent légitimer la pédophilie comme une forme de sexualité alternative parmi d’autres. Avec les développements des nombreuses « identités de genres », ils souhaitent également qualifier la pédophile comme « normale » et qu’elle devienne une « identité de genre » comme une autre.
A Amsterdam, la semaine de la « fierté » LGBT a commencé ce week-end et se poursuit jusqu’au 4 août.
Au passage, repérez bien le logo rose et bleu utilisé par ce collectif Pedopride. Il fait partie d’un ensemble de logos utilisés à travers le monde par des pédophiles, logos signalés (voir ci-dessous) dans un rapport du FBI sur les activités pédophiles. Autant savoir !
Un employé d’IKEA renvoyé pour critique biblique de l’homosexualité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : mastrminda/Pixabay
À cause d’une critique interne, consistant en une citation biblique, d’un événement de la « Fierté gaie » organisé par le magasin IKEA de Cracovie un employé de longue date s’est fait renvoyer ; celui-ci intente une poursuite en justice. Extrait de RT :
Un homme nommé dans les médias polonais sous le nom de Tomasz K., un employé de longue date du magasin IKEA de Cracovie, a récemment été licencié après avoir publié une citation de la Bible en réponse à un avis sur l’intranet du détaillant qui annonçait un événement gay pride. Les versets en question dénonçaient l’homosexualité. Le travailleur congédié a alors intenté une poursuite en justice [...]
Vendredi, le ministre polonais de la Justice, Zbigniew Ziobro, a annoncé qu’il avait ordonné au bureau du procureur d’enquêter sur cette affaire [...]
Suivant les nouvelles, le détaillant a déclaré qu’il avait licencié Tomasz K. pour avoir insulté les sentiments des personnes LGBT « en utilisant des citations de l’Ancien Testament à propos de mort et le sang dans le contexte de quel sort devrait attendre les personnes homosexuelles ».
Toutefois, l’ancien employé, ainsi que le groupe juridique Ordo Iuris, qui représente ses intérêts, nient que sa déclaration contienne quelque menace ou une insulte que ce soit.
Un prêtre avertit ses ouailles de ne pas participer aux événements LGBT : son évêque le désavoue
Messe du 16 juin 2019, célébrée par le Père Robert Chisholm en l'église St. Gregory the Great de Picton en Ontario.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jeff Gunnarson, président de Campaign Life Coalition
Dommage que cet évêque n’ait pas soutenu son prêtre devant la tourmente LGBT. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn évêque canadien s’est distancié d’un prêtre qui avait dit à ses paroissiens, dans un bulletin, qu’ils ne devaient « pas assister » aux événements de la Fierté pro-homosexuelle de juin.
Le P. Robert Chisholm, de la paroisse St. Gregory the Great de Picton en Ontario, avait dit aux paroissiens que « les catholiques et tous les autres chrétiens ne devraient pas assister aux événements LGBTQ2 du “Mois de la Fierté” tenus ce mois-ci ».
« Ils promeuvent une culture et encouragent des activités contraires à la foi et à la morale chrétiennes. C’est particulièrement néfaste pour les enfants parce que cela pourrait les éloigner de la vérité révélée par Dieu », écrit-il dans son bulletin du 9 juin.
L’annonce a provoqué des réactions immédiates de la part des militants LGBT qui ont prévu de manifester devant l’église pendant la messe cette fin de semaine. Les parents et les enseignants de l’école catholique locale se sont même joints à la mêlée, allant jusqu’à porter des couleurs de la « Fierté » le vendredi matin devant l’école pour manifester leur soutien au mouvement LGBT.
Un chrétien arrêté pour avoir prêché la bible
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : diegoattorney/Pixabay
C’est une affaire assez étonnante, où la victime est arrêtée à la place des fauteurs de troubles, au Canada, à Toronto, en plein Church-Wellesley Village ! L’homme inculpé prêchait la bible (à sa manière certes) sur un coin de trottoir et faisait l’objet du harcèlement d’une bande de trublions LGBT, il ne faisait ni ne disait rien de particulier, et… la police l’a arrêté, d’après Big League Politics (BLP) :
Un pasteur chrétien nommé David Lynn a été arrêté et accusé d’avoir troublé la paix avec des « commentaires désobligeants » mardi, pour avoir prêché la parole de Dieu sur un coin de rue dans à Toronto […]
David Lynn « a été harcelé par un groupe de manifestants turbulents, il a été menotté par les forces de l’ordre parce que prêcher l’Évangile a été considérée comme une violation criminelle, » rapporte BLP, et un policier a même dit deux mots à une personne qui enregistrait la scène indigne. Tout ceci peut être vu dans cette vidéo.
BLP continue :
La horde LGBT a applaudi alors que l’homme était menotté et emmené […]
« Il est fâcheux que je fasse l’objet de ce genre de discrimination, d’intimidation et de marginalisation simplement parce que je dis que Dieu vous aime, qu’il y a de l’espoir pour vous, que je vous accepte et vous tolère. Je ne devrais pas être dans cette position, je n’ai rien fait d’illégal », a déclaré Lynn après son arrestation. Il est maintenant libéré sous caution.
David Lynn ne savait même pas que c’était ce que certains ont décidé d’appeler le « mois de la Fierté », d’après BLP :
« Je ne savais pas que c’était le début du mois de la fierté... Je n’ai rien dit de particulier à la communauté LGBTQ, tout a été diffusé en direct », a-t-il dit aux journalistes.
David Lynn s’est vu interdire plusieurs rues et n’a pas le droit d’approcher des événement de la « Fierté ».