Une femme est-elle morte à cause de l’interdiction de l’avortement aux États-Unis ? Non…
Amber Thurman et son fils en 2020.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Facebook
Les grands médias se sont jetés goulûment sur un triste fait divers survenu aux Etats-Unis : une femme est morte après avoir contracté une septicémie consécutive à la prise de pilules abortives, et c’est la faute — bien entendu — à la révocation de Roe v. Wade qui a permis à certains Etats de repénaliser l’avortement. Amber Thurman, 28 ans, aurait pu être sauvée si l’hôpital qui l’accueillit n’avait pas eu peur de pratiquer une procédure de dilatation et curetage (D&C) pour vider son utérus alors que l’avortement chimique avait été incomplet. Les faits étaient survenus en août 2022, alors que l’Etat de la victime, la Géorgie, venait d’interdire les avortements à plus de six semaines de grossesse : les médecins auraient tant attendu pour lui prodiguer les soins nécessaires, qu’elle en serait morte.
Une récente publication sur le média ProPublica s’est fondée sur la consultation de « documents confidentiels » pour déclarer qu’il s’agissait du premier décès officiellement déclaré « évitable » lié à un avortement non procuré. L’article, très court, complètement à charge et écrit depuis un point de vue ouvertement « pro-IVG », donne peu de détails permettant de justifier son point de vue.
Lire la suiteUn grand-père pompier assiste la naissance de sa propre petite-fille à la caserne des pompiers
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une maman de Géorgie aura une histoire de naissance inhabituelle et inoubliable à partager avec sa fille lorsqu’elle sera assez grande — la petite fille est née dans une caserne de pompiers, avec l’aide de son grand-père pompier.
Bret Langston, pompier à Austell, a déclaré à 11 Alive News qu’il avait déjà mis au monde plusieurs bébés, puisqu’il travaille depuis 28 ans, mais qu’il ne s’attendait pas à ce que l’un d’entre eux soit sa propre petite-fille.
La fille de Bret, Hannah, était en train d’accoucher et se dirigeait vers le centre de naissance lorsqu’elle et sa mère April ont réalisé qu’elles risquaient de ne pas arriver à temps. Elles ont décidé de s’arrêter à la caserne des pompiers d’Austell, où Bret était de service. Dix minutes plus tard, la petite Adalynn est née.
« C’était inattendu, inhabituel, mais c’était une bénédiction et je ne changerais rien. Tout s’est bien passé », a déclaré April Langston, la mère d’Hannah.
« Je plaisante avec les gens en disant que c’était un bébé-surprise, qu’elle a eu une naissance surprise, que tout en elle est juste une surprise », a déclaré Hannah.
Bret a déclaré qu’il a aidé à mettre au monde une demi-douzaine de bébés et qu’il pensait toujours aux enfants après l’accouchement.
« Ce n’est pas la première fois que j’aide une mère à accoucher », dit-il, précisant qu’il a toujours aimé cette activité. « Après, on se demande toujours ce qui est arrivé à l’enfant. »
Mais il n’aura pas à se demander ce qui est arrivé à Adalynn. « Elle est belle, elle est parfaite », a déclaré Bret en la tenant dans ses bras.
Hannah a déclaré qu’elle n’oubliera jamais cette expérience. « Je suis plus forte que je ne le pense », dit-elle. « Je me sens vraiment plus forte après avoir accouché dans une caserne de pompiers. »
Le capitaine des pompiers d’Austell, Mitch Parrott, a également parlé de l’impact de la naissance d’Adalynn sur l’ensemble de la caserne. « C’était totalement inattendu », a-t-il déclaré à propos de la naissance d’Adalynn. « Ma petite fille est décédée il y a maintenant quatre ans. Et ce service m’a soutenu à 110 %, en m’aidant à surmonter cette épreuve », a-t-il ajouté. « Alors, qu’un bébé naisse dans la caserne pendant mon service — je me suis tenu dans le couloir et j’ai pleuré un peu. C’était un événement important pour moi », a-t-il ajouté.
La petite Adalynn est déjà revenue rendre visite à son grand-père à la caserne, ce qu’Hannah a l’intention de continuer à faire.
« Elle aura toujours une place à table », a déclaré Bret à propos d’Adalynn. « D’habitude, la recrue est la dernière à manger, mais je pense qu’elle aura sa place au début de la file. »
La Cour suprême de Géorgie rétablit l’interdiction de l’avortement à six semaines de grossesse
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andy Dean/Adobe Stock
24 novembre 2022, Atlanta (LifeSiteNews) — La Cour suprême de Géorgie a annulé la décision d’un tribunal inférieur de bloquer l’interdiction d’avorter dans l’État à partir de 6 semaines de grossesse.
« La requête d’urgence de l’État de Géorgie en vue d’obtenir un sursis de l’ordonnance de la Cour supérieure du comté de Fulton dans l’affaire [ÉTAT DE GÉORGIE c. SISTERSONG WOMEN OF COLOR REPRODUCTIVE JUSTICE COLLECTIVE et al.] est par la présente accordée », a écrit la Cour dans sa brève décision unanime rendue mercredi.
La semaine dernière, la Cour supérieure du comté de Fulton avait annulé la « Living Infants Fairness and Equality (LIFE) Act », familièrement appelée « heartbeat act (loi sur le battement de cœur) », qui rend l’avortement illégal après que les battements de cœur d’un enfant à naître sont détectables, généralement à six semaines de gestation. La loi n’interdit pas les avortements d’enfants à naître avant qu’ils ne développent des battements de cœur détectables.
Le juge Robert McBurney, du tribunal du comté de Fulton, a déclaré que la loi LIFE était nulle en vertu de la loi de Géorgie, car elle avait été adoptée en 2019, alors que la décision Roe v. Wade de 1973 de la Cour suprême des États-Unis était toujours en vigueur.
« [En 2019], partout en Amérique, y compris en Géorgie, il était sans équivoque inconstitutionnel pour les gouvernements - fédéral, d’État ou local - d’interdire les avortements avant la viabilité », a écrit McBurney, ajoutant qu’étant donné cela, la loi LIFE « n’est pas devenue la loi de la Géorgie lorsqu’elle a été promulguée et elle n’est pas la loi de la Géorgie maintenant ».
Lire la suiteUn duo homosexuel « marié » arrêté pour abus sexuels de leurs fils adoptifs et pour pédopornographie
William et Zachary Zullock.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Walton County Sheriff's Office
8 août 2022 (LifeSiteNews) — Un duo homosexuel « marié » de Géorgie a été arrêté à la suite d’allégations indiquant qu’ils auraient utilisé leurs deux jeunes fils adoptifs pour produire de la pornographie enfantine.
Les deux hommes, William Zulock et Zachary Zulock, âgés de 32 et 35 ans, ont adopté deux jeunes frères en 2018, après leur « mariage » en 2016.
Selon le bureau du shérif du comté de Walton, les hommes ont été arrêtés pour s’être « livrés à des actes sexuellement abusifs et avoir documenté par vidéo les abus » commis envers les garçons qui leur avaient été confiés.
Bien que l’âge des frères adoptés n’ait pas été communiqué, un billet Instagram de mai 2019 de William Zulock montrant les deux garçons se tenant entre les deux homosexuels montre qu’il s’agit de jeunes enfants vulnérables en âge d’aller à l’école primaire.
Zachary Zulock et William Zulock avec les garçons qu’ils ont adoptés, mai 2019. — Instagram
« Cela fait un peu plus d’un an que nous sommes leurs parents ! Nous en avons aimé chaque instant », a écrit William Zulock dans la légende d’une photo. « C’était un peu difficile au début, mais nous avons franchi le cap d’une année entière. C’était la deuxième fois que nous allions au bord de la mer. L’année dernière, c’était la première fois qu’ils voyaient l’océan. J’adore comment cette photo a tourné. Notre petite famille d’adoption. »
Une deuxième photo montre à quel point ces garçons sont jeunes, vulnérables et seuls :
Les garçons adoptés par les Zulock, mai 2019
Lire la suiteLes Georgia Guidestones, et ses « 10 commandements » du mondialisme, ont été détruites
Par Francesca de Villasmundo (Médias-Presse Info) — Photo : Wikimedia Commons
Monument énigmatique et gnostique, les Georgia Guidestones viennent d’être démolies.
Une partie du mystérieux monument géorgien a été détruite par un engin explosif pendant la nuit de mardi à mercredi dernier, ce qui a conduit à une enquête policière à Elberton, selon le Georgia Bureau of Investigation. Une vidéo montre une voiture fuyant les lieux et une explosion détruisant le monument. Personne n’a été blessé lors de l’incident. L’un des piliers a été endommagé par l’explosion. Dans un communiqué, le Georgia Bureau of Investigation a déclaré que des agents avaient trouvé des preuves d’une explosion sur les lieux :
« Les informations préliminaires indiquent que des inconnus ont fait exploser un engin explosif vers 4 heures du matin le mercredi 6 juillet. »
Les Georgia Guidestones ont depuis été démolies pour des raisons de sécurité, ont annoncé mercredi soir les autorités locales.
Appelées aussi le « Stonehenge américain », les Georgia Guidestones étaient un monument en granite érigé le 22 mars 1980, de 5,87 mètres de haut. « Il a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian (pseudonyme allégorique pour Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-Croix) » selon la page Wikipedia.
Six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un poids total de 237 746 livres3 (soit presque 108 tonnes), forment le monument. Un trou dans la pierre horizontale du haut donne la date à midi. Un trou montre l’étoile Polaire dans la colonne centrale. Ses quatre dalles et son pilier central fonctionnent comme une boussole, un calendrier et une horloge. Le pilier central est sculpté de manière à permettre à un rayon de soleil de filtrer à midi tous les jours et de faire briller un faisceau sur la pierre centrale qui indique le jour de l’année. Sur les blocs de granite, un message s’affiche en plusieurs langues. La plaque du haut comporte des inscriptions en quatre langues sur ses côtés : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe égyptien, qui définissent l’objectif de la structure :
« Que ces pierres nous guident vers un âge de la raison. »
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteUne mère qui a été poignardée alors qu’elle était enceinte ramène chez elle son fils né à 25 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Un petit garçon né à seulement 25 semaines de grossesse après que sa mère ait été poignardée est maintenant rentré de l’hôpital. Il a passé cinq mois dans l’unité de soins intensifs néonatals (USIN).
Selon ABC News, Théodore Jude est sorti de l’hôpital pour enfants d’Atlanta à Egleston le 8 octobre après avoir passé les cinq premiers mois de sa vie hors de l’utérus à l’hôpital. Les infirmières se sont alignées dans le couloir avec des hochets pour dire au revoir à leur petit patient, né par césarienne d’urgence après l’agression de sa mère.
Le 5 juin, Valérie Kasper, la mère de Théodore, se promenait près de sa voiture avec son fils Benjamin, âgé de trois ans, lorsqu’elle a été poignardée à plusieurs reprises par un sans-abri qui a ensuite admis avoir porté le coup de couteau, a indiqué l’Associated Press. La police a constaté que la « maladie mentale de l’homme a joué un rôle » dans l’attaque. Benjamin n’a pas été blessé, mais Kasper a été transportée dans un hôpital local où elle a dû subir une césarienne d’urgence pour la sauver, elle et son bébé.
« Le traumatisme de l’attaque a été assez intense et le moment de l’opération a été tout aussi effrayant », a déclaré Mme Kasper. « Quand je suis entrée dans la salle d’opération, je pleurais en disant : “Sauvez mon bébé et sauvez mon utérus”, parce que je pensais que si mon bébé ne s’en sortait pas, je voudrais en avoir un autre. »
Théodore, qui pesait deux livres, a été emmené à l’unité de soins intensifs néonatals pendant que les médecins réparaient le côlon et le foie de Kasper. Ce n’est que 24 heures plus tard qu’elle a enfin pu voir son nouveau-né. Mais elle souffrait encore beaucoup et n’a pas pu le tenir dans ses bras, ce qui, selon elle, « était très difficile ».
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteGéorgie : une nouvelle loi restreint l’accès à la GPA
Nathalie Burckhardt (Avenir de la Culture) ― Photo: PxHere
Le vingt-cinq août dernier, la loi concernant les mères porteuses en Géorgie a été modifiée : les amendements introduits par la ministre de la Justice, Tea Tsulukiani, apportant de nouvelles restrictions, ont été votés.
Désormais, les « parents d’intention », « impliquant à nouveau une femme et un homme seulement », doivent avoir vécu ensemble depuis au moins un an avant d’entamer les procédures de GPA.
Marié ou non, le couple, confronté ou non à des problèmes d’infertilité, qui souhaite réellement avoir et élever un enfant doit s’engager à l’éduquer et « ne pas prendre l’enfant en Géorgie pour violer ensuite ses droits », rapporte le site d’information Gènéthique.org.
« Les changements visent à prévenir le crime international de la traite des nourrissons », précise la ministre de la Justice, qui estime que « les changements devraient empêcher les couples fictifs d’avoir un enfant en Géorgie à des fins criminelles ».
Lire la suiteL’hypocrisie de Disney et son film Mulan
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Coolceasar/Wikimedia Commons
La compagnie Disney, ainsi que d’autres compagnies et des célébrités cinématographiques, avait encore récemment déclaré qu’elle ne tournerait probablement plus de films en Géorgie à cause des projets de loi pro-vie que cet État américain tentait de mettre en place.
Bref, sauver la vie d’enfants à naître tout en enlevant la possibilité aux femmes de les tuer constitue un crime abominable aux yeux de Disney, à tel point que la Géorgie n’était plus fréquentable pour le producteur de films.
Cependant, Disney a tourné le film Mulan, qui va bientôt sortir en salles, dont plusieurs scènes dans la province de Xinjiang, en Chine, où se déroule ce qu’il convient d’appeler le génocide des Ouïghours par les soins du gouvernement communiste chinois. Non content de filmer dans une province peu fréquentable, selon les standards établis pour la Géorgie par Disney, la compagnie va jusqu’à remercier plusieurs instances du gouvernement chinois pour leur participation, selon The Washington Post :
Au générique, Disney remercie tout particulièrement plus d’une douzaine d’institutions chinoises qui ont aidé à la réalisation du film. Parmi elles, quatre départements de propagande du Parti communiste chinois de la région du Xinjiang ainsi que le Bureau de la sécurité publique de la ville de Turpan, dans la même région […]
L’idée de filmer en Chine devrait donner des convulsions aux dirigeants de Disney, ce pays où l’on tue et torture les opposants politiques, l’on stérilise et fait avorter les femmes qui ont « trop » d’enfants, où l’on récolte des organes sur des prisonniers politiques, où l’on persécute férocement les chrétiens.