Les médias déchaînent encore leur malice contre les lois pro-vie
Photo : Microgen/Adobe Stock
Vous avez peut-être lu ces derniers temps des titres étranges comme celui que TVA Nouvelles a produit dernièrement : « Même morte, une femme enceinte doit rester branchée en raison des lois sur l’avortement en Géorgie ». Il s’agit d’une femme enceinte qui a été déclarée en état de « mort cérébrale » et dont on maintiendrait, s’il fallait en croire ce titre, les fonctions corporelles afin que puisse naître le bébé que son corps porte, et ce, en vertu d’une loi sur l’avortement. Je reviendrai sur cette idée absurde de « cadavre vivant » un peu plus loin.
Pourquoi est-ce que je parle de cette affaire ? C’est parce qu’elle comporte plusieurs facettes de l’anticulture de mort dans laquelle nous vivons.
La première chose est la malice des médias qui parlent de ce cas. En effet, si la femme en question, Adriana Smith, est vraiment morte, en quoi lui fait-on tort en gardant en fonction son corps jusqu’à ce qu’une nouvelle vie naisse ? Il est vrai que les médias abordent surtout l’affaire sous l’angle du point de vue de la grand-mère qui exprime son inconfort face au fait que la décision ne revienne pas à la famille en qui concerne le corps de sa fille, mais qui affirme néanmoins, comme cela est rapporté ailleurs, qu’elle désire que le bébé naisse. Cette attitude médiatique incompréhensible ne s’explique que par la volonté des grands médias de casser du sucre sur le dos des lois pro-vie sous le moindre prétexte.
Mais leur impertinence ne s’arrête pas là, car il s’avère que ce n’est pas en raison de la loi sur les « battements de cœur » qui interdit la plupart des avortements à partir de 6 semaines en Géorgie que Mme Smith reste branchée sur les supports vitaux, mais en raison de la Loi sur les directives anticipées en matière de soins de santé, adoptée en 2007, c’est-à-dire quand Roe v. Wade était encore en place, loi donc qui prescrit qu’une femme enceinte dans un tel cas doive rester sur les soutiens vitaux, à moins que le bébé qu’elle porte ne soit pas encore considéré comme « viable » et qu’elle ait rédigé une directive anticipée — ce qui n’est pas le cas.
Le problème avec le concept de « mort cérébrale », c’est qu’il fait considérer une personne dont toutes les fonctions cérébrales ont cessé, mais dont le corps est autrement bien vivant, comme « morte ». Ce qui est absurde, puisque comme on le voit ici une femme peut porter son enfant à naître — chose impossible avec un cadavre... Or, vous le savez sans doute, on prélève les organes des personnes en état de « mort cérébrale » si celles-ci ont précédemment accepté d’être « donneuses » — dans certains pays, les personnes sont automatiquement considérées comme « donneuses », à moins qu’elles n’aient expressément indiqué qu’elles ne voulaient pas l’être... L’autre problème est que la dernière directive de l’American Academy of Neurology sur la « mort cérébrale » en permet la déclaration, même si on peut encore détecter des ondes cérébrales chez la personne ou que la partie de son cerveau appelée hypothalamus est encore fonctionnelle — ce qui enfreint dans les faits la Loi sur la détermination uniforme de la mort !
Parmi les partisans du don d’organes, certains vont même jusqu’à proposer le « don complet du corps » afin que l’on puisse utiliser les femmes déclarées en état de « mort cérébrale » comme incubateurs... Dans le camp de la mort, Adriana Smith n’est plus qu’un incubateur et pourtant il s’indigne ! Mais cette incohérence apparente a pour seul but d’attaquer les lois pro-vie. Dans le camp de la vie, Adriana Smith est toujours vivante et son enfant à naître est déjà vivant, et sont traités comme tels.
L’ironie de la chose, c’est que le fait que l’on garde Mme Smith branchée sur les supports vitaux en raison de sa grossesse lui sauvera peut-être la vie, il existe plusieurs cas de personnes déclarées en état de « mort cérébrale » qui se sont réveillées.
Si seulement les médias voulaient bien admettre que Mme Smith n’est pas morte, ils auraient un argument (fallacieux, il est vrai) de plus à leur attirail. En effet, garder branchée une femme enceinte dans le coma contre sa volonté auparavant exprimée reviendrait à brader son « choix ». Cela n’est cependant pas prêt d’arriver, car il faudrait pour cela qu’ils rejettent la notion de « mort cérébrale » qui veut qu’une personne n’est plus une personne quand elle perd ses fonctions rationnelles, idée corollaire de celle qui veut qu’une personne ne commence à exister que quand elle commence à avoir des capacités rationnelles fonctionnelles. Vous l’aurez compris, rejeter l’un reviendrait à abjurer l’autre ; reconnaître l’humanité des personnes en état de « mort cérébrale » reviendrait à admettre celle des enfants à naître dès ses stades les plus précoces.
Les deux extrémités de la vie sont menacées par l’anticulture de mort. C’est pourquoi je vous invite à nous rejoindre le samedi 31 mai, pour ceux de vous qui habitez assez proche, devant l’Assemblée nationale du Québec pour la 2e Marche pour la vie de Québec. Venez nombreux défendre avec nous la vie des enfants à naître et des personnes vulnérables !
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
Une femme maintenue en vie pour donner le jour à son bébé prouve que la « mort cérébrale » est une fiction juridique
Par Heidi Klessig, M.D. — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
16 mai 2025 (LifeSiteNews) — Une infirmière de 30 ans de Géorgie a été déclarée « en état de mort cérébrale », mais comme elle est enceinte, les médecins la maintiennent en vie jusqu’à ce qu’elle puisse donner naissance à son bébé. Mais comment une personne « morte » peut-elle être maintenue en vie ?
Adriana Smith était enceinte de neuf semaines en février lorsqu’elle a commencé à souffrir de terribles maux de tête. Elle s’est rendue à l’hôpital où, selon sa famille, elle n’a subi aucun test ou scan, mais a simplement été traitée avec des médicaments. Malheureusement, l’état de Mme Smith s’est aggravé et, le lendemain matin, son petit ami s’est réveillé en la voyant haleter. Il a immédiatement appelé le 911.
Selon une chaîne d’information locale, Mme Smith a été transportée à l’hôpital universitaire Emory d’Atlanta, où elle travaillait en tant qu’infirmière. Là, une tomodensitométrie (TDM) a révélé la présence de multiples caillots sanguins dans son cerveau. Dans un premier temps, les médecins ont recommandé un traitement agressif ; plus tard, ils ont dit à la famille qu’il n’y avait rien à faire — Mme Smith était « en état de mort cérébrale ». En raison de la loi géorgienne sur les battements de cœur*, qui interdit les avortements après la détection d’un battement de cœur fœtal, les médecins se trouvent dans une position logiquement incohérente : ils affirment que Smith est « morte » alors qu’ils sont légalement tenus de la maintenir en vie pour protéger l’enfant à naître.
Lire la suiteUne femme est-elle morte à cause de l’interdiction de l’avortement aux États-Unis ? Non…
Amber Thurman et son fils en 2020.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Facebook
Les grands médias se sont jetés goulûment sur un triste fait divers survenu aux Etats-Unis : une femme est morte après avoir contracté une septicémie consécutive à la prise de pilules abortives, et c’est la faute — bien entendu — à la révocation de Roe v. Wade qui a permis à certains Etats de repénaliser l’avortement. Amber Thurman, 28 ans, aurait pu être sauvée si l’hôpital qui l’accueillit n’avait pas eu peur de pratiquer une procédure de dilatation et curetage (D&C) pour vider son utérus alors que l’avortement chimique avait été incomplet. Les faits étaient survenus en août 2022, alors que l’Etat de la victime, la Géorgie, venait d’interdire les avortements à plus de six semaines de grossesse : les médecins auraient tant attendu pour lui prodiguer les soins nécessaires, qu’elle en serait morte.
Une récente publication sur le média ProPublica s’est fondée sur la consultation de « documents confidentiels » pour déclarer qu’il s’agissait du premier décès officiellement déclaré « évitable » lié à un avortement non procuré. L’article, très court, complètement à charge et écrit depuis un point de vue ouvertement « pro-IVG », donne peu de détails permettant de justifier son point de vue.
Lire la suiteUn grand-père pompier assiste la naissance de sa propre petite-fille à la caserne des pompiers
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une maman de Géorgie aura une histoire de naissance inhabituelle et inoubliable à partager avec sa fille lorsqu’elle sera assez grande — la petite fille est née dans une caserne de pompiers, avec l’aide de son grand-père pompier.
Bret Langston, pompier à Austell, a déclaré à 11 Alive News qu’il avait déjà mis au monde plusieurs bébés, puisqu’il travaille depuis 28 ans, mais qu’il ne s’attendait pas à ce que l’un d’entre eux soit sa propre petite-fille.
La fille de Bret, Hannah, était en train d’accoucher et se dirigeait vers le centre de naissance lorsqu’elle et sa mère April ont réalisé qu’elles risquaient de ne pas arriver à temps. Elles ont décidé de s’arrêter à la caserne des pompiers d’Austell, où Bret était de service. Dix minutes plus tard, la petite Adalynn est née.
« C’était inattendu, inhabituel, mais c’était une bénédiction et je ne changerais rien. Tout s’est bien passé », a déclaré April Langston, la mère d’Hannah.
« Je plaisante avec les gens en disant que c’était un bébé-surprise, qu’elle a eu une naissance surprise, que tout en elle est juste une surprise », a déclaré Hannah.
Bret a déclaré qu’il a aidé à mettre au monde une demi-douzaine de bébés et qu’il pensait toujours aux enfants après l’accouchement.
« Ce n’est pas la première fois que j’aide une mère à accoucher », dit-il, précisant qu’il a toujours aimé cette activité. « Après, on se demande toujours ce qui est arrivé à l’enfant. »
Mais il n’aura pas à se demander ce qui est arrivé à Adalynn. « Elle est belle, elle est parfaite », a déclaré Bret en la tenant dans ses bras.
Hannah a déclaré qu’elle n’oubliera jamais cette expérience. « Je suis plus forte que je ne le pense », dit-elle. « Je me sens vraiment plus forte après avoir accouché dans une caserne de pompiers. »
Le capitaine des pompiers d’Austell, Mitch Parrott, a également parlé de l’impact de la naissance d’Adalynn sur l’ensemble de la caserne. « C’était totalement inattendu », a-t-il déclaré à propos de la naissance d’Adalynn. « Ma petite fille est décédée il y a maintenant quatre ans. Et ce service m’a soutenu à 110 %, en m’aidant à surmonter cette épreuve », a-t-il ajouté. « Alors, qu’un bébé naisse dans la caserne pendant mon service — je me suis tenu dans le couloir et j’ai pleuré un peu. C’était un événement important pour moi », a-t-il ajouté.
La petite Adalynn est déjà revenue rendre visite à son grand-père à la caserne, ce qu’Hannah a l’intention de continuer à faire.
« Elle aura toujours une place à table », a déclaré Bret à propos d’Adalynn. « D’habitude, la recrue est la dernière à manger, mais je pense qu’elle aura sa place au début de la file. »
La Cour suprême de Géorgie rétablit l’interdiction de l’avortement à six semaines de grossesse
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andy Dean/Adobe Stock
24 novembre 2022, Atlanta (LifeSiteNews) — La Cour suprême de Géorgie a annulé la décision d’un tribunal inférieur de bloquer l’interdiction d’avorter dans l’État à partir de 6 semaines de grossesse.
« La requête d’urgence de l’État de Géorgie en vue d’obtenir un sursis de l’ordonnance de la Cour supérieure du comté de Fulton dans l’affaire [ÉTAT DE GÉORGIE c. SISTERSONG WOMEN OF COLOR REPRODUCTIVE JUSTICE COLLECTIVE et al.] est par la présente accordée », a écrit la Cour dans sa brève décision unanime rendue mercredi.
La semaine dernière, la Cour supérieure du comté de Fulton avait annulé la « Living Infants Fairness and Equality (LIFE) Act », familièrement appelée « heartbeat act (loi sur le battement de cœur) », qui rend l’avortement illégal après que les battements de cœur d’un enfant à naître sont détectables, généralement à six semaines de gestation. La loi n’interdit pas les avortements d’enfants à naître avant qu’ils ne développent des battements de cœur détectables.
Le juge Robert McBurney, du tribunal du comté de Fulton, a déclaré que la loi LIFE était nulle en vertu de la loi de Géorgie, car elle avait été adoptée en 2019, alors que la décision Roe v. Wade de 1973 de la Cour suprême des États-Unis était toujours en vigueur.
« [En 2019], partout en Amérique, y compris en Géorgie, il était sans équivoque inconstitutionnel pour les gouvernements - fédéral, d’État ou local - d’interdire les avortements avant la viabilité », a écrit McBurney, ajoutant qu’étant donné cela, la loi LIFE « n’est pas devenue la loi de la Géorgie lorsqu’elle a été promulguée et elle n’est pas la loi de la Géorgie maintenant ».
Lire la suiteUn duo homosexuel « marié » arrêté pour abus sexuels de leurs fils adoptifs et pour pédopornographie
William et Zachary Zullock.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Walton County Sheriff's Office
8 août 2022 (LifeSiteNews) — Un duo homosexuel « marié » de Géorgie a été arrêté à la suite d’allégations indiquant qu’ils auraient utilisé leurs deux jeunes fils adoptifs pour produire de la pornographie enfantine.
Les deux hommes, William Zulock et Zachary Zulock, âgés de 32 et 35 ans, ont adopté deux jeunes frères en 2018, après leur « mariage » en 2016.
Selon le bureau du shérif du comté de Walton, les hommes ont été arrêtés pour s’être « livrés à des actes sexuellement abusifs et avoir documenté par vidéo les abus » commis envers les garçons qui leur avaient été confiés.
Bien que l’âge des frères adoptés n’ait pas été communiqué, un billet Instagram de mai 2019 de William Zulock montrant les deux garçons se tenant entre les deux homosexuels montre qu’il s’agit de jeunes enfants vulnérables en âge d’aller à l’école primaire.
Zachary Zulock et William Zulock avec les garçons qu’ils ont adoptés, mai 2019. — Instagram
« Cela fait un peu plus d’un an que nous sommes leurs parents ! Nous en avons aimé chaque instant », a écrit William Zulock dans la légende d’une photo. « C’était un peu difficile au début, mais nous avons franchi le cap d’une année entière. C’était la deuxième fois que nous allions au bord de la mer. L’année dernière, c’était la première fois qu’ils voyaient l’océan. J’adore comment cette photo a tourné. Notre petite famille d’adoption. »
Une deuxième photo montre à quel point ces garçons sont jeunes, vulnérables et seuls :
Les garçons adoptés par les Zulock, mai 2019
Les Georgia Guidestones, et ses « 10 commandements » du mondialisme, ont été détruites
Par Francesca de Villasmundo (Médias-Presse Info) — Photo : Wikimedia Commons
Monument énigmatique et gnostique, les Georgia Guidestones viennent d’être démolies.
Une partie du mystérieux monument géorgien a été détruite par un engin explosif pendant la nuit de mardi à mercredi dernier, ce qui a conduit à une enquête policière à Elberton, selon le Georgia Bureau of Investigation. Une vidéo montre une voiture fuyant les lieux et une explosion détruisant le monument. Personne n’a été blessé lors de l’incident. L’un des piliers a été endommagé par l’explosion. Dans un communiqué, le Georgia Bureau of Investigation a déclaré que des agents avaient trouvé des preuves d’une explosion sur les lieux :
« Les informations préliminaires indiquent que des inconnus ont fait exploser un engin explosif vers 4 heures du matin le mercredi 6 juillet. »
Les Georgia Guidestones ont depuis été démolies pour des raisons de sécurité, ont annoncé mercredi soir les autorités locales.
Appelées aussi le « Stonehenge américain », les Georgia Guidestones étaient un monument en granite érigé le 22 mars 1980, de 5,87 mètres de haut. « Il a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian (pseudonyme allégorique pour Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-Croix) » selon la page Wikipedia.
Six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un poids total de 237 746 livres3 (soit presque 108 tonnes), forment le monument. Un trou dans la pierre horizontale du haut donne la date à midi. Un trou montre l’étoile Polaire dans la colonne centrale. Ses quatre dalles et son pilier central fonctionnent comme une boussole, un calendrier et une horloge. Le pilier central est sculpté de manière à permettre à un rayon de soleil de filtrer à midi tous les jours et de faire briller un faisceau sur la pierre centrale qui indique le jour de l’année. Sur les blocs de granite, un message s’affiche en plusieurs langues. La plaque du haut comporte des inscriptions en quatre langues sur ses côtés : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe égyptien, qui définissent l’objectif de la structure :
« Que ces pierres nous guident vers un âge de la raison. »
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteUne mère qui a été poignardée alors qu’elle était enceinte ramène chez elle son fils né à 25 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Un petit garçon né à seulement 25 semaines de grossesse après que sa mère ait été poignardée est maintenant rentré de l’hôpital. Il a passé cinq mois dans l’unité de soins intensifs néonatals (USIN).
Selon ABC News, Théodore Jude est sorti de l’hôpital pour enfants d’Atlanta à Egleston le 8 octobre après avoir passé les cinq premiers mois de sa vie hors de l’utérus à l’hôpital. Les infirmières se sont alignées dans le couloir avec des hochets pour dire au revoir à leur petit patient, né par césarienne d’urgence après l’agression de sa mère.
Le 5 juin, Valérie Kasper, la mère de Théodore, se promenait près de sa voiture avec son fils Benjamin, âgé de trois ans, lorsqu’elle a été poignardée à plusieurs reprises par un sans-abri qui a ensuite admis avoir porté le coup de couteau, a indiqué l’Associated Press. La police a constaté que la « maladie mentale de l’homme a joué un rôle » dans l’attaque. Benjamin n’a pas été blessé, mais Kasper a été transportée dans un hôpital local où elle a dû subir une césarienne d’urgence pour la sauver, elle et son bébé.
« Le traumatisme de l’attaque a été assez intense et le moment de l’opération a été tout aussi effrayant », a déclaré Mme Kasper. « Quand je suis entrée dans la salle d’opération, je pleurais en disant : “Sauvez mon bébé et sauvez mon utérus”, parce que je pensais que si mon bébé ne s’en sortait pas, je voudrais en avoir un autre. »
Théodore, qui pesait deux livres, a été emmené à l’unité de soins intensifs néonatals pendant que les médecins réparaient le côlon et le foie de Kasper. Ce n’est que 24 heures plus tard qu’elle a enfin pu voir son nouveau-né. Mais elle souffrait encore beaucoup et n’a pas pu le tenir dans ses bras, ce qui, selon elle, « était très difficile ».
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
*
Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suite