La plus grande cause de décès dans le monde : l'avortement — 42,6 millions en 2020
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
La première cause de décès dans le monde n’est certes pas le virus chinois, tant s’en faut, loin derrière des maladies bien plus graves, mais l’avortement, avec quelque 42,6 millions d’avortements recenser sur la terre par le Worldometer en 2020, d’après les données de l’Organisation mondiale de la santé. C'est un nouveau et triste record par rapport aux dernières décennies qui comptaient environ 40 millions d'avortements par année.
Évidemment, le Worldometer ne considère pas l’avortement comme une cause de décès, mais comme une simple donnée médicale, n’indiquant donc que 59 millions de décès en 2020. Pourtant, chaque avortement réussi signifie la mort d’un enfant à naître ; en fait si le Worldometer tenait compte de ce facteur, de loin le plus important, il porterait le nombre de décès à 101,2 millions dans le monde en 2020.
C’est un massacre innommable perpétré avec l’accord et l’appui de gouvernements et de milliardaires qui se donnent des airs de philanthropes et de bienfaiteurs de l’humanité…
La Chine recourt-elle à l’avortement et à la stérilisation forcés pour exterminer une minorité ethnique ?
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pikist
En tant que seul témoin occidental de la brutale politique de l’enfant unique du parti communiste chinois (PCC), j’applaudis lorsqu’elle prit fin en 2016.
Mais ce que fait le PCC maintenant pour réduire la natalité des minorités ouïghoure et kazakhe dans la partie occidentale de la Chine est sans doute pire. Bien que l’application de cette politique sociale soit identique à celle de 1979, dont les mesures comprenaient l’avortement et la stérilisation forcés, pratiques horrifiantes que je décrivis pour la première fois en 1980 (pratiques que le Tribunal de Nuremberg avait qualifiées de crimes contre l’humanité), il y a ici une différence saisissante : ces pratiques ne sont imposées qu’aux minorités ethniques, à savoir les Ouïghours turcophones de la province du Xinjiang.
Oui, vous avez bien lu. Ces dernières années, alors que les dirigeants chinois encouragent les femmes chinoises de l’ethnie majoritaire han à avoir plus d’enfants, ils ordonnent aux femmes ouïghoures d’en avoir moins. Des centaines de milliers de femmes ouïghoures ont été contraintes à avorter, à se faire stériliser, ou à porter un stérilet, afin de réduire la natalité ouïghoure. Celles qui résistent sont stérilisées de force et condamnées à des camps de concentration.
Cette nouvelle politique du parti communiste chinois est en fait un génocide, bien que d’une façon plus lente : la Chine n’extermine pas le peuple ouïghour du jour au lendemain, par exemple en l’enfermant dans des chambres à gaz. Mais, en empêchant la prochaine génération de naître, elle parviendra à la même fin : une réduction considérable de cette population ancienne, qui pourra être alors plus facilement dispersée et assimilée.
Jusqu’à récemment, nous n’avions que des comptes rendus anecdotiques de cette nouvelle campagne de régulation des naissances. Par exemple, une femme ouïghoure nommée Mihrigul Tursun témoigna en 2018 qu’elle et d’autres femmes dans un camp de concentration chinois furent chimiquement stérilisées. Une autre ancienne détenue, Rakhima Senbay, déclara s’être fait poser un stérilet contre sa volonté (Washington Post, 5 octobre 2019). Une troisième, Zumrat Dawut, dut payer une lourde amende et se faire stériliser après avoir eu un troisième enfant (Washington Post, 17 novembre 2019).
Jusqu’à présent, nous ne connaissions pas avec certitude l’étendue et l’ampleur de l’application de cette nouvelle politique menée par le gouvernement central — le chercheur Adrian Zenz vient de publier une enquête qui répond à ces questions.
Maintenant, nous savons maintenant que la campagne de régulation des naissances en cours dans le Xinjiang est encore plus coercitive que celle imposée depuis des décennies à la majorité de la population chinoise han. Les documents du gouvernement chinois obtenus par Dr Zenz indiquent que la sanction pour infraction au règlement sur la régulation des naissances est l’internement dans l’archipel des camps de concentration du Xinjiang. Aussi sévère que fût la campagne précédente, les contrevenants étaient soumis à de fortes amendes voire à la stérilisation, mais pas à de longues peines de prison. Les femmes ouïghoures le sont.
Lire la suiteScandaleux : Des femmes se font dire qu'il est de leur «devoir moral» d'avorter leur enfant trisomique
Petite fille trisomique.
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les personnes porteuses de trisomie 21 (ou syndrome de Down) sont souvent condamnées à mort, même dans notre monde actuel, qui est supposément plus éthique et tolérant.
Dans plus de 50 pourcent des cas, les femmes qui reçoivent un diagnostic prénatal choisissent d'avorter leur bébé à naître, dans pratiquement tous les pays où les tests prénataux sont disponibles. Bien que la communauté des personnes trisomiques dénonce les taux ahurissants d'avortement, il y a encore de l'opposition, accompagnée de mensonges, de désinformation et de coercition.
Il y en a même qui prétendent que nous avons l'obligation morale de condamner la trisomie à mort.
Plus tôt cette année, un scandale international a éclaté lorsqu'il a été révélé que l'Islande avait un taux d'avortement des enfants trisomiques qui frôle les 100 pourcent. Au même moment, l'Australie présentait de façon éclatante un reportage spécial à l'émission « 60 Minutes », qui vantait un nouveau test prénatal non invasif [Non-Invasive Pre-Natal Test (NIPT)]. Ce test permettrait d'« éliminer efficacement la trisomie » en Australie. Et maintenant, aux Pays-Bas, les femmes se font dire qu'elles ont le devoir moral d'avorter leur enfant trisomique.
Lire la suiteLa nièce du Dr Martin Luther King Jr estime qu’il faut rendre l’avortement inconcevable
Par Danny David (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
18 novembre 2016 -- Dans la journée du 14 novembre, Alveda King, nièce de Martin Luther King Jr et activiste pro-vie s’est exprimée devant une foule immense à la cité des étudiants de Lory de l’Université du Colorado située à Fort Collins. L’événement était organisé par les Étudiants pour la Vie.
Lors du dit événement, King a déclaré qu’on avait demandé à ses propres parents de l’avorter avant sa naissance. Il est écrit dans ‘The Rocky Mountain Collegian’ :
Alveda King déclare que Planned Parenthood avait demandé à ses parents après sa conception de penser à l’avortement. Son père refusa et Martin Luther King Sr raconta un rêve qu’il eut quelque temps avant, rêve en relation avec l’enfant à naître et il décrivit King à ses parents.
Lire la suiteNick Cannon: L’avortement est un ‘vrai génocide’ contre la communauté noire
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
21 nov. 2016 - La semaine dernière, le rappeur Nick Cannon est intervenu à l’émission de radio new-yorkaise, «Le club du petit-déjeuner». Lorsque l’animateur «Charlamagne Tha God» a soulevé la question des élections, la conversation s’est rapidement tournée vers la comparaison entre le président élu Donald Trump et Hillary Clinton. Cannon qui a décidé de ne supporter aucun des candidats, a refusé d’accepter que Clinton serait un meilleur choix en affirmant ceci :
Hillary c’est fini – Pensez à toutes les choses qu’elle a faites avec Planned Parenthood et toutes choses du genre. Ce genre de choses menacent notre communauté – et oubliez la gentrification – C’est un vrai génocide et ça dure depuis des années. Ce système n’est pas fait pour nous.
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