Un prêtre de la FSSP conseille aux laïcs d’éviter les vaccins covid et prévient qu’un «gouvernement mondial» est en préparation
Le Père Daniel Nolan.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
3 janvier 2022, Littleton, Colorado (LifeSiteNews) — Un prêtre catholique traditionnel de la FSSP a prononcé une puissante homélie le 19 décembre sur les faussetés et les mensonges dont la société a été abreuvée au sujet du COVID.
Le Père Daniel Nolan, prêtre de l’église Our Lady of Mt. Carmel, a déclaré que le Christ est « la source de la réalité » et que quiconque s’en écarte va se retrouver dans « l’illusion ».
C’est ce qui s’est passé avec la réponse politique au COVID, qui a inclus des fermetures massives, le masquage forcé et les mandats de vaccination, a déclaré le Père Nolan.
« Nous allons regarder ce qui s’est passé au cours des deux dernières années et remarquer ce que nous voyons. Qu’est-ce que nous soupçonnons ? Car vous pouvez les reconnaître à leurs fruits », a déclaré le Père Nolan.
« Si le Christ est derrière quelque chose, vous allez le voir. Mais Satan étant le Prince des Ténèbres et le Père du Mensonge, vous le remarquerez également. Si vous commencez à voir un tas de mensonges, vous pouvez probablement être certain que Satan est derrière tout cela », a déclaré le prêtre de la FSSP.
Il a déclaré que le COVID-19 était une maladie sérieuse et devait être considérée comme telle, mais la réponse politique a été « complètement disproportionnée et injustifiée par rapport au niveau de danger que pose ce virus ».
Lire la suiteGrâce à des religieuses, il ne fut pas avorté. Maintenant, il veut entrer au séminaire de la FSSP
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un jeune homme originaire de l’Inde, qui a été sauvé d’un avortement par des religieuses travaillant dans un hôpital, cherche à poursuivre sa vocation en étudiant au séminaire catholique traditionnel Our Lady of Guadalupe dans le Nebraska, qui est dirigé par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP).
Il a maintenant besoin d’aide pour réunir les fonds nécessaires pour répondre à l’appel et entrer au séminaire. Les lecteurs peuvent envisager de l’aider dans cette collecte de fonds par le biais de cette page LifeFunder.
Dominic Pavan, qui vit actuellement en Inde, est rempli du désir de répandre la joie et la vérité de l’Évangile, reconnaissant que tant de personnes ont besoin de connaître Dieu.
Sa mère s’est mariée jeune, mais à environ 16 semaines de grossesse, alors qu’elle était enceinte de Dominic, elle a commencé à vouloir se faire avorter. Cependant, l’hôpital local était dirigé par des religieuses qui l’ont convaincue d’attendre plusieurs semaines. Lorsqu’elle est retournée à la clinique, la mère de Dominic avait dépassé la limite légale pour les avortements en Inde.
Elle est retournée au même hôpital au moment de l’accouchement et les religieuses ont placé Dominic devant une statue de Notre-Dame peu après sa naissance, le confiant à Marie avec leurs prières.
Élevé dans une famille hindoue très traditionnelle, Dominic se rendait au temple « presque tous les jours ». Pourtant, vers l’âge de cinq ans, il a été fasciné par une image du Sacré-Cœur dans l’école catholique qu’il fréquentait, ainsi que par un sanctuaire marial qu’il visitait lors de voyages scolaires.
Lire la suiteLes catholiques français descendent dans la rue alors que le reconfinement interdit à nouveau les messes publiques
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie
Analyse
France, 9 novembre 2020 (LifeSiteNews) — Alors que les libertés publiques ont été une fois de plus supprimées en France par un second confinement censé « briser » une nouvelle vague de COVID-19, les messes publiques sont interdites depuis le 3 novembre et l’assistance aux messes de requiem et aux mariages sévèrement restreinte. Le recours d’urgence porté devant le plus haut tribunal administratif, le Conseil d’Etat, n’obtint pas de succès dans sa contestation du classement gouvernemental des cultes publics dans la catégorie « non essentiel ». Mais le dimanche, des manifestations devant les cathédrales de Nantes, de Versailles et de Lyon ont rassemblé des centaines de personnes. Dimanche prochain, d’autres villes comme Paris, Orléans, Bordeaux sur la côte atlantique, Rennes et Vannes en Bretagne, et probablement beaucoup d’autres seront également le théâtre de manifestations en plein air « pour la messe ».
Pour la première fois, cinq évêques et le représentant de la Conférence des évêques de France ont décidé de se joindre au recours juridique contre l’interdiction de la messe, avançant qu’aucun « groupe » de COVID-19 n’a été retracé jusqu’aux assemblées des églises. Il est intéressant de noter que le « Conseil scientifique » français officiel, qui est à l’origine de nombreuses mesures liberticides mises en œuvre en France, n’était pas favorable à l’interdiction du culte public.
Le nombre croissant d’hospitalisations attribuées au COVID-19 incita le président français Emmanuel Macron à annoncer un deuxième confinement qui a été mis en place le 29 octobre, afin, disait-il, d’éviter de « saturer » les lits de réanimation — dont le nombre d’environ 5 000 dans tout le pays n’a pas bougé depuis le premier confinement, qui s’est étendu du 17 mars au 11 mai, malgré des mois de répit en été pendant lesquels la contamination a progressé sans augmentation du nombre de personnes réellement malades. L’Allemagne voisine compte cinq fois plus de lits occupés et un nombre de décès beaucoup plus faible qu’en France.
Le nouveau confinement sera catastrophique pour les commerces locaux dans les centres-villes et devrait porter le coup de grâce à de nombreux restaurants, bars et entreprises liés au tourisme, théâtres et organisateurs d’événements spéciaux qui ont déjà tant perdu lors du premier confinement. Tous les supermarchés et les hypermarchés, les magasins d’alimentation, les commerces de vins, les bureaux de tabac et autres magasins dits « essentiels » pourront continuer à recevoir le public ; les écoles jusqu’au collège et au lycée sont ouvertes ; et les banques, les services publics et les transports continuent à fonctionner. Tout cela, parfois, avec des résultats déconcertants : certaines lignes de métro à Paris sont pleines à craquer, tandis que les travaux de construction et les entreprises qui ne reçoivent pas le public sont encouragées à continuer à fonctionner, mais en travaillant à distance chaque fois que cela est possible.
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