Stéréotypes à l’école : au nom de l’égalité des filles, on veut les empêcher de choisir ce qu’elles veulent
Par Pour une école libre au Québec — Photo : yanalya/Freepik
Zemmour s’oppose à ce que l’État [français] lutte contre « les stéréotypes » à l’école. Il faut respecter les choix et ne pas prendre les filles pour des pantins. Car, enfin, au nom de l’égalité des filles, on veut les empêcher de choisir ce qu’elles veulent et si elles préfèrent encore aujourd’hui les matières littéraires (les derniers chiffres le confirment) ce serait, selon cette vision constructiviste paternaliste, parce qu’elles sont débiles ou manipulées. En outre, rien ne prouve à l’ère de l’automatisation généralisée qui risque de supprimer de nombreux emplois techniques que les humanités ne seront pas ce qui sera le plus recherché.
Europe : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Hystérie médiatique (chez ces mêmes qui sont pour le masque) en faveur de l’immodestie
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Freepik
Le soutien officiel du ministre de l’Intérieur, Gerald Darmanin, aux trois femmes à qui des gendarmes avaient poliment demandé de se rhabiller à Sainte-Marie-la-Mer près de Perpignan le 20 août, alors qu’elles bronzaient seins nus sur la plage, est significatif des temps que nous vivons. La liberté est descendue d’un cran de plus d’une façon : le masque est obligatoire mais se dorer « topless » au soleil est un droit, tandis que sur le plan moral, la liberté a cédé le pas au libertinage. Et ce n’est pas un hasard si cette histoire fait gloser la presse nationale et internationale au moment où la contraception est devenue totalement gratuite en France… pour les adolescentes de quatorze ans et moins. A propos de l’incident, Darmanin tweetait mardi : « C’est sans fondement qu’il a été reproché à deux femmes leur tenue sur la plage. La liberté est un bien précieux. Et il est normal que l’administration reconnaisse ses erreurs. »
Il a osé écrire cela au moment où de plus en plus de localités en France rendent le port du masque obligatoire en raison de la crise du COVID-19, alors même qu’à l’aune de la population et des chiffres des mois de mars et avril les réanimations et les décès restent très faibles. Dès ce vendredi il faudra le porter dans tout Paris, ainsi que dans les écoles et les universités lors de leur réouverture en septembre — même en vélo ou en faisant du sport, ce qui va encore davantage contre le bon sens.
Au moins les choses sont-elles claires : ordonner aux citoyens de se couvrir le visage en dépit des nombreuses questions sur l’efficacité d’un masque par rapport une épidémie qui cause aujourd’hui très peu de décès par rapport à une population de 68 millions d’habitants peut être obligatoire, et ne constitue pas une atteinte à la « liberté, ce bien précieux », mais demander aux femmes de s’abstenir de prendre des bains de soleil seins nus est une mesure tyrannique.
La liberté pour une femme d’être à moitié nue sur la plage s’avère être ainsi une affaire d’importance nationale. Et il y a des méchants que toute la presse dénonce : cette famille qui à Sainte-Marie-la-Mer, s’est plainte de voir une sexagénaire topless à côté d’elle sur la plage. Les enfants en étaient « choqués »… Est-ce un crime ?
Pire ! C’est de la « pudibonderie », selon les journaux et la majorité des commentateurs sur les réseaux sociaux. Cette famille aurait les idées mal tournées. A croire que personne n’a jamais entendu un homme commenter grassement l’anatomie des femmes… D’ailleurs, le bronzage seins nus était une revendication féministe dans les années 1960, alors qu’aujourd’hui, il séduit de moins en moins les femmes de moins de 50 ans, notamment par lassitude des remarques de ces messieurs. Mais la France se veut libertine. Sur la plage, et à Sainte-Marie-la-Mer en particulier, la pratique n’est pas considérée comme de « l’exhibitionnisme sexuel », comme c’est le cas partout ailleurs. Certes les municipalités peuvent l’interdire sur leur littoral, le fait étant alors passible d’une amende de 38 euros. Mais dans le principe, le bronzage seins nus est donc un droit. Aux plus gênés… d’aller se rhabiller.
Lire la suiteFrance : contraception gratuite pour les filles de moins de 15 ans
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Le gouvernement français vient de publier jeudi dernier dans le Journal officiel un décret, entré en vigueur le jour suivant, rendant gratuit l’accès à la contraception aux filles de moins de 15 ans, rapporte LifeSiteNews :
Alors que les règlements sur le COVID-19 continuent d’occuper grandement le ministre français de la Santé Olivier Véran, et que de nombreuses procédures médicales « normales » ont été reportées de plusieurs mois, le contrôle des naissances chez les adolescentes figure en bonne place sur la liste des activités du gouvernement.
Les jeunes filles pourront obtenir des contraceptifs, y compris des implants et des dispositifs intra-utérins, dans un strict anonymat si elles décident de garder leur identité secrète.
Il n’y a pas de limite d’âge, car le décret a simplement supprimé les mots « âgées d’au moins 15 ans » d’un décret précédent offrant aux « filles mineures âgées d’au moins 15 ans » la possibilité d’obtenir des contraceptifs sans avoir à en payer de frais.
En France, le coût de la plupart des services médicaux est assumé en partie par le patient (sauf l'avortement qui est gratuit à 100 %). Ces frais, plus ou moins importants, sont couverts par les parents ou le tuteur dans le cas de mineurs de moins de 16 ans. Là, cependant, la totale gratuité de la contraception et l’anonymat garanti font en sorte que les parents, n’ont plus leur mot à dire à ce sujet.
Lire la suiteImplant contraceptif Essure : 1,6 milliard de dollars pour les plaintes d’environ 39 000 Américaines
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée et couleurs modifiées) : nastya_gepp/Pixabay
Les implants contraceptifs, en plus de leur aspect immoral, comportent des effets secondaires alarmants, à tel point que le laboratoire pharmaceutique Bayer, auteur de l’implant Essure, a versé 1,6 milliard de dollars pour régler environ 39 000 réclamations d’Américaines à qui on avait implanté le contraceptif, selon Gènéthique :
Jeudi 20 août, le laboratoire pharmaceutique Bayer a annoncé avoir accepté de verser « 1,6 milliard de dollars pour régler la quasi-totalité des [39 000] réclamations déposées aux États-Unis concernant l’implant contraceptif controversé Essure ».
L’implant en question serait l’origine de perforation à l’utérus, entre autres :
L’implant Essure est mis en cause pour des effets indésirables « parfois graves survenus après leur implantation et persistants, y compris après son retrait ». Selon les informations, il a notamment dans « certains cas causé des douleurs chroniques, la perforation de l’utérus et des trompes de Fallope et a conduit à des hystérectomies ».
Ici et là, les gouvernements on mis sous surveillance certains implants contraceptifs, ou les ont carrément retirés de la circulation :
Lancée en 2002, la commercialisation d’Essure a été arrêtée en septembre 2017, partout sauf aux États-Unis où elle n’a cessé qu’en 2018.
En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a placé Essure sous surveillance renforcée en 2015 avant de préconiser en 2017, « par mesure de précaution », l’arrêt de son implantation et le rappel des produits en stock […]
Comme on s’en doute, les autres implants sont probablement tout aussi dangereux :
Par ailleurs, l’ANSM a appelé à la vigilance sur d’autres dispositifs contraceptifs. Les stérilets au cuivre Novaplus et Ancora ont été retirés du marché […]
En outre, on compterait environ 200 000 femmes à s'être fait implanter le stérilet Essure, d'après les avocats de quatre plaignantes voulant agir contre l'État.
France: un évêque dénonce la loi de bioéthique, «les avortements seront rendus possibles jusqu’au terme de la grossesse»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon a publié sur Facebook un communiqué dénonçant l’extension de l’avortement dit « médical » (désigné selon l'euphémisme « interruption médicale de grossesse » : IVG) aux raisons « psychosociales », ce qui en pratique le permet pour à peu près n’importe quel prétexte, jusqu’à n’importe quel stade de la grossesse :
Communiqué de Monseigneur Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon.
Je dénonce avec gravité la nouvelle loi de bioéthique qui a été votée au milieu de la nuit du 30 juillet dernier.
En plus des multiples transgressions qui ont été dénoncées depuis de nombreux mois par l’épiscopat français, les parlementaires ont intégré au texte, en catimini un nouvel élargissement de l’avortement. En effet, les conditions d’une IMG (Interruption Médicale de grossesse) ont été élargies au critère de « détresse psychosociale ». Critère très dangereux car difficilement définissable. Ainsi les avortements seront rendus possibles jusqu’au terme de la grossesse. La suppression toujours plus importante des enfants à naître est une épouvantable tragédie et cette nouvelle atteinte à la vie doit être dénoncée avec la plus grande force.
La vie de l’enfant dans le sein de sa mère doit être respectée et protégée. Il s’agit du fondement d’une civilisation.
France : Facebook censure un commentaire pro-vie sur la loi bioéthique
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : memyselfaneye/Pixabay
C’est par le biais de CheckNews, instrument de « vérification » du journal Libération, que Facebook a estampillé « fausse nouvelle » le commentaire de Jean-Pierre Denis directeur de la revue La Vie. Pour lui qui se dit n’être pas de droite à défaut de se classer politiquement c’est une brusque révélation, la censure n’est pas réservée aux journaux ou aux hommes de droite, et pour les informations réellement fausses ! Non, après 25 ans passés dans le métier, il apprend que même la vérité est passible de censure, peu importe à peu près qui la répand. Son crime ? Avoir dénoncé l’amendement voté sans débat qui permet d’avorter jusqu’à la naissance sous prétexte de détresse « psychosociale ». Selon Présent :
« Fake news ! » a hurlé Libération, expliquant en substance que ce n’est pas l’IVG qui peut se pratiquer jusqu’au dernier jour grâce à cet amendement mais l’IMG, non pas l’interruption volontaire de grossesse, mais l’interruption médicale de grossesse, nuance ! Le problème, comme l’avait très bien relevé Denis, mais qu’il lui est donc interdit d’expliquer sur les réseaux sociaux, c’est que cet amendement a pour but de permettre l’avortement aux femmes qui voulaient avorter et qui n’ont pu le faire pendant la période du confinement. Nous sommes donc en plein dans l’IVG. Le confinement est fini, mais l’amendement restera. C’est même pire que cela : car sans attendre que l’amendement soit voté, le ministre de la Santé Véran avait diffusé un courrier permettant de recourir à l’avortement en dehors des délais légaux. Il a donc anticipé la loi. A partir du moment où des arguments psychosociaux permettent l’avortement jusqu’au dernier jour, cela signifie, dans la pratique, que l’avortement devient possible, optionnel, jusqu’au dernier jour. Il y a donc bien une nouveauté inscrite dans la loi.
Les moindres faits sont rejetés par Libération, révèle Présent :
Libération soutient également que le journaliste de La Vie ment quand il écrit que la loi a été votée en catimini. Pourtant cela fait trois ans que dure le processus de révision de la loi bioéthique, et jamais un tel amendement n’avait été discuté. Il a été voté de nuit, en présence de 50 députés, peut-être.
France : l'avortement pour raisons « psychosociales » jusqu'à la naissance, facilité
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Photo (modifiée) : PxHere
La loi de bioéthique : communiqué de l’Association catholique des Infirmières et Médecins
Voici les principales lignes des nouvelles lois d’éthique proposée à l’origine :
1) Abolition de la clause de conscience des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie.
C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.
Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n° 1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux ». De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa Constitution (1958 et 2008), la France reconnaît de la même manière la liberté de conscience et de culte et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse*.
Le droit à la liberté de conscience a été rejeté par pragmatisme à l’Assemblée nationale. En effet, il manque en France de gynécologues, de sages-femmes et ces professions sont désertées. Obliger à faire des avortements aboutirait à vider ces spécialités médicales de ses praticiens et praticiennes.
2) Allongement du délai pour avorter de 12 à 14 semaines. Après la loi Veil limitée à 8 puis 12 semaines, il fallait aller plus loin. En Amérique les États de New York et de Virginie autorisent l’avortement jusqu’à la fin de la grossesse : c’est alors l’infanticide. L’Assemblée nationale a reconnu cette boucherie infâme qui s’exerce sur les humains dans des conditions horribles. Ainsi, 2 000 ans de christianisme sont abolis avec le retour barbare du droit de vie et de mort sur les enfants que l’on retrouve aussi chez le marquis de Sade. La République a besoin de sacrifices humains… ce seront alors les plus petits sans défense qui seront exécutés à la fin de la grossesse dans d’atroces circonstances.
3) Autorisation de la pratique des « IVG » chirurgicales dans les centres de planification familiale. C’est fort difficile de monter une structure en matériel et en hommes qu’il n’est pas facile de trouver. Dans un avortement il est tout à fait possible de perforer l’utérus. Ceci demande une immédiate réparation par voie abdominale ; il faut donc avoir un bloc opératoire à disposition. Une complication de ce type peut bien arriver aux sages-femmes qui elles-mêmes ne sont plus assez nombreuses et ne sont pas chaudes pour pratiquer des actes de cette nature. Elles sont là pour donner la vie et non pour la tuer.
Lire la suiteFrance : remarquable intervention du député Emmanuelle Ménard contre le projet de loi « bioéthique »
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : tirachardz/Freepik
On oublie souvent de mentionner que la procréation médicalement assistée (PMA) ou, dirais-je plutôt, la procréation artificiellement provoquée est un problème en soi. — A. H.
Le député Emmanuelle Ménard, a déposé une motion de rejet du texte de loi bioéthique qui passe en 2e lecture à l’Assemblée nationale ces jours-ci, en catimini, « sans que les Français puissent manifester ».
Remarquable intervention qui dénonce ce texte qui « va donner vie à des enfants volontairement programmés sans père… sans père ! »
« En réalité, ce qui se joue ici, insiste madame Ménard, c’est une rupture. Profonde. Anthropologique. »
Et de conclure :
« La motion de rejet que je défends pose cette question simple : est-ce juste ? Est-ce juste de priver, en l’espace d’un vote, des milliers d’enfants de leur père pour les générations à venir ?
J’en appelle à votre conscience. J’en appelle à votre courage. Oubliez les stratégies partisanes. Pensez à la profondeur des bouleversements d’une telle loi et résistez ! Résistez aux idéologies d’une poignée et osez répondre à cette question en votre âme et conscience : qui suis-je pour infliger cela à un enfant ?
Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte… »
Lire la suiteVictoire de la Hongrie et de la Pologne face à l’Union européenne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : denzel/Pixabay
Le Conseil européen vient de voter le plan d’aide financière de l’Union européenne, destinée à relancer l’économie des pays membres après les dégâts causés par le confinement coronaviresque. Ce plan devait être, à l'origine, conditionnelle à la soumission des États aux exigences de l’UE, en termes d’« état de droit ». Cette condition visait sans doute la Pologne et la Hongrie qui sont la cible de manœuvres continuelles au sein de l'UE visant à les faire plier à coup de restrictions financières, notamment en matière de revendications LGBT auxquelles ces pays font face — notons que l'ennemi de l’état de droit est bien plutôt l'UE. Pour en revenir au plan de relance économique récemment voté par le Conseil européen, la clause sur l'« état de droit » n’a finalement pas été incluse dans le plan d’aide financière, selon Le blog d’Yves Daoudal :
C’est qu’il avait été décidé depuis des mois que désormais les aides de l’UE seraient soumises à conditions : que les Etats membres qui en sont bénéficiaires soient très obéissants à toutes les objurgations de Bruxelles concernant leurs activités législatives. Pour faire bref, la Pologne et la Hongrie devaient être exclues des aides, à moins de passer sous les fourches caudines.
[…] dans le texte final, il n’en reste rien. Parce que, selon des sources diplomatiques, le Premier ministre letton Arturs Krisjanis Karins a fait adopter « par acclamation » une proposition en ce sens appuyée par le groupe de Visegrad, mais aussi par l’Allemagne, la France […]
Le groupe Visegrad, c'est la Hongrie, la Pologne, la République Tchèque et la Slovaquie ; d'autres pays ont joint leur vote à la version finale : l'Autriche, le Danemark, les Pays-Bas, la Suède et la Finlande. Comment la république dirigée par Macron a-t-elle pu tolérer un tel débouché qui ne tiendra pas compte de la propagande LGBT ? Peut-être pour resserrer les derniers liens de l’UE qui la maintiennent encore ensemble, Macron déclarant : « [c'est] une réunion au sommet dont je suis certain que les conséquences seront historiques », rapporte Euractiv.
Victoire pour la Hongrie et la Pologne, selon Le Salon Beige :
Viktor Orbán s’est ouvertement réjoui de la chose, lors d’une conférence de presse commune avec… le Premier ministre polonais