« Elle veut vivre, » mais l’hôpital refusera de prendre en charge la jeune femme si elle a de nouveau une crise d’épilepsie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici un modèle de pensée euthanasique venant de la part de médecins : parce que la 7ᵉ crise d’épilepsie d’une jeune femme de 19 ans a résulté en une réanimation d’une durée trop longue à leur avis, qu’ils trouvent qu’elle « est dans une impasse thérapeutique » (?), et qu’ils considèrent que son handicap mental et moteur de celle-ci est trop avancé, eh bien ils refuseraient de la soigner si une nouvelle crise se présentait, la condamnant très probablement à mort. Extrait de France bleu :
L’hôpital […] invoque la loi Léonetti. Inacceptable pour les parents qui ont saisi la justice.
Une affaire sensible examinée ce mercredi devant le tribunal administratif de Caen, saisi en référé par ce couple domicilié à Fourneville (Calvados). Les parents de Léah, 19 ans, réclament le maintien des soins pour leur fille atteinte d’une maladie rare.
Léah est atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance, une maladie rare qui a retardé son développement moteur et mental. Cette pathologie provoque parfois des crises épileptiques nécessitant une prise en charge vitale au CHU de Caen. La jeune femme a connu sept hospitalisations ces cinq dernières années, avec à chaque fois prise de sédatifs sous assistance respiratoire.
La dernière crise remonte au 19 août. Elle a nécessité un séjour de deux mois au service réanimation. « Ce qui a incité l’équipe médicale à engager une réflexion éthique » a indiqué ce mercredi Martin Lavigne, l’avocat du CHU de Caen. « Parce que cette hospitalisation a été longue (NDLR Léah est toujours au CHU mais désormais au service neurologie) et l’équipe médicale estime que la jeune handicapée est dans une impasse thérapeutique. D’où cette réflexion avantages/risques à poursuivre les traitements ». Une réflexion qui est allée à son terme puisqu’une décision a été communiquée par mail à l’avocat des parents le 2 novembre : il n’y aura pas de réadmission de Léah au service réanimation en cas de nouvelle crise.
L’avocat des parents de la jeune fille dit que : « La raison avancée est le profond handicap mental et moteur de la patiente, » ce qui, selon avocat, ne devrait pas tomber sous le coup de la loi Lionetti
Voici Virginie Vota, catholique, pro-vie et aristotélicienne, et ses vidéos
Virginie Vota.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo : Le féminisme, conséquence du renversement de l'ordre naturel
Virginie Vota, catholique et Française est, comme elle l'explique, « née dans une famille de gauche athée » où elle a été élevée sur un fond de discours désignant la religion comme responsable des guerres, de l'intolérance, etc. Ayant grandie sans éducation religieuse et libres de ses choix en matière de religion, Mlle Vota a peu à peu découvert le catholicisme, d'abord dans un livre pour enfant de la Comtesse de Ségur, puis de diverses façon dont notamment dans la bible. Elle a été baptisée en avril 2014.
Ci-dessous la vidéo dans laquelle elle raconte son cheminement :
Lire la suiteLe Vatican pourra-t-il protéger Andorre de l’avortement ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il est amusant de savoir que les présidents de la République française et les évêques d’Urgell sont aussi coprinces de la Principauté d’Andorre, petit pays dans les Pyrénées entre la France et l’Espagne, qui fonctionne avec le régime de coprincipauté parlementaire. Les fonctions de coprinces sont essentielles dans le système d’Andorre et la démission de l’un d’eux le remettrait en question. En tout cas, espérons que l’Église tiendra ferme pour garder intact l’un des derniers pays d’Europe avec le Vatican, Malte et Saint-Marin où l’avortement est interdit. Extrait du Salon Beige :
… Le coprince espagnol est actuellement Mgr Joan-Enric Vives i Sicília et le coprince français est actuellement Emmanuel Macron. Le pouvoir exécutif est assuré par le chef du gouvernement, actuellement Antoni Martí.
Depuis quelques semaines, le débat sur l’avortement fait rage en Andorre. Des manifestations se sont déroulées pour la première fois fin septembre.
Le Saint-Siège a adressé une mise en garde aux autorités andorranes. Le souverain pontife a téléphoné au chef du gouvernement Antoni Martí : si l’avortement est légalisé, le Vatican ordonnera l’abdication de l’un des deux coprinces d’Andorre, l’évêque de la Seu d’Urgell.
Une solution a été imaginée par certains élus : que l’on fasse comme dans les années 90 où seul le coprince français avait signé la légalisation du divorce. L’évêque d’Urgell s’était en quelque sorte abstenu. Mais sur l’avortement, pas question de répéter ce scénario a prévenu le pape François.
L'infanticide en milieu médical en Europe
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo
Voici les témoignages émouvants d'infirmières et de médecins de France et de Grande-Bretagne qui racontent les infanticides auxquels ils ont assisté, sidérés. Vidéo du Centre européen pour la loi et la justice :
Une femme se disant homme transgenre ne veut pas être considérée comme mère mais comme « parent »
Par Pour une école libre au Québec
Au Royaume-Uni, une femme qui se dit homme transgenre accouche d’un enfant, mais refuse d’être mentionnée sur l’acte de naissance comme étant sa mère. Elle propose d’être désignée comme étant simplement son « parent ». Elle explique en effet qu’ayant fait la démarche sociale, publique et juridique d’être devenue homme, il ne pourrait pas supporter d’être désigné par un terme « intrinsèquement féminin ». « Cela revient à définir le mot mère : est-ce que cela signifie la mère de l’enfant ou la personne qui a donné naissance à l’enfant ? Il semble que le registraire général [de l’État-Civil] va faire valoir que cela signifie la personne qui a donné naissance à l’enfant ».
Ce n’est pas la première fois qu’une femme qui se dit homme donne naissance à un enfant, ni au Royaume-Uni, ni dans le reste du monde, mais c’est la première fois qu’il refuse le qualificatif de mère. Le « parent 2 » existe déjà sur les formulaires, pour les couples de même sexe, en cas d’adoption, cet homme transgenre réclame l’introduction du « parent 1 ».
Par ailleurs, en France, à l’inverse, un homme « devenu femme » réclame le statut de mère de son enfant... La cour d’appel de Montpellier est saisie d’un dossier « complexe » : Bernard et Marie sont mariés et parents de deux enfants, lorsqu’en 2011, Bernard « décide de devenir une femme, sans pour autant subir d’intervention chirurgicale ». Ce changement de sexe est accepté juridiquement par le tribunal de Montpellier qui reconnait « de façon irréversible son appartenance au sexe féminin, sans qu’aucune opération de réassignation sexuelle n’ait été exigée ni pratiquée ». Trois ans plus tard, Marie donne naissance à un troisième enfant « conçu biologiquement avec Bernard devenu entretemps Claire ». Pour cet enfant, Marie et Claire veulent être reconnues comme mères de l’enfant, ce qui est impossible. Claire refuse par ailleurs de passer par une procédure d’adoption, et ne peut pas être « qualifiée de père puisqu’elle est femme ». Saisi, le tribunal de grande instance de Montpellier estime alors que par « son acte de procréation masculine qu’elle revendique, Claire a fait le choix de revenir de façon unilatérale sur le fait qu’elle est désormais reconnue comme une personne de sexe féminin, et doit en assumer les conséquences ». C’est de cette décision que les « deux femmes » ont fait appel, et que la cour d’appel de Montpellier devra trancher le 14 novembre prochain.
Pour l’avocat de l’enfant, « Claire doit être reconnue comme le père de l’enfant ». Ainsi « ce troisième enfant aura lui aussi une mère et une filiation paternelle. Même si elle est assurée par une femme. Cela donne à cet enfant une égalité de droit par rapport à ses frères, et cela stabilise sa filiation » estime-t-il.
Sources : BioEdge, Jessica Smith (29/X/2018) et La Dépêche (24/X/2018)
Le catholicisme comme religion d'État, la meilleure solution à l'Islam envahissant ?
Michel Houellebecq, écrivain, essayiste et poète français.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Silvina Frydlewsky / Ministerio de Cultura de la Nación / Flickr
L'écrivain, essayiste et poète français Michel Houellebecq a récemment affirmé que « l’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État ». Il n'a après tout fait qu'énoncer que le Règne social de Jésus-Christ est nécessaire pour la paix.
Extrait de Pour une école libre au Québec :
Il [Houellebecq] a d’ailleurs la solution pour éviter la guerre civile en France. « Au fond, l’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État. Occuper la deuxième place, en tant que minorité respectée, dans un État catholique, les musulmans l’accepteraient bien plus facilement que la situation actuelle. Ils n’arrivent pas à se faire à l’État laïc, porteur d’une liberté de religion qu’ils ne comprennent pas. Le prophète Mahomet ne pouvait pas imaginer l’existence d’un athée », explique celui qui a écrit le très polémique Soumission, un livre d’anticipation où il imaginait l’arrivée au pouvoir d’un parti musulman. Avec une deuxième place, celle d’une minorité respectée dans un État catholique, les musulmans accepteraient mieux la légitimité de l’État français. Au contraire, au sein d’une société sécularisée avec un État laïc, ils considèrent la puissance publique comme un agent au service d’une guerre antireligieuse déguisée. Pour Michel Houellebecq, le régime de la laïcité n’est donc pas le meilleur garant de la concorde publique entre tous les citoyens pratiquant différentes religions.
Nouvelle tournée de la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon »
Par Réinformation.TV
Pour la troisième année consécutive, la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon » sera donnée lors d’une quinzaine de séances scolaires, en Occitanie et Nouvelle Aquitaine, sans compter les séances publiques. Entre janvier 2016 et juin 2018, la pièce a déjà été donnée 103 fois, dans 16 départements, touchant 16 000 spectateurs, dont une majorité d’enfants – avec le soutien des Conseils Départementaux.
Elle est tirée du roman éponyme (publié aux Éditions du Sourire qui mord, ça ne s’invente pas…) et a été jouée pour la première fois en avril 1982, à Québec. La déconstruction genrée a de vieilles racines…
Vigi-gender donne le témoignage d’une maman spectatrice en 2016 : « Cette pièce relate l’histoire d’une petite fille, garçon manqué, qui est opprimée par ses parents qui n’acceptent pas sa différence, et d’un petit garçon que tout le monde moque car il pleure comme une fille. Le final était, je cite textuellement : « Mais alors une petite fille a le droit d’être un garçon et un garçon a le droit d’être une fille » avec, en ombres chinoises, un garçon déguisé en fille et une fille déguisée en garçon. »
A cette même séance, les enseignants avaient aussi trouvé que certains passages étaient choquants et ont dû s’excuser auprès des parents
La théorie du genre ? Il n’en est absolument pas question selon la Compagnie, qui propose pourtant un dossier pédagogique avec des pistes d’exploitation en classe ad hoc, sur… les stéréotypes de genre.
Ignoble : L’AFP propose aux Français de faire moins d’enfants pour réduire l’empreinte carbone
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Le réchauffement climatique « causé par l'homme » est l'un des arguments qu'affectionnent les tenants de l'avortement et de la pilule. Quand on pense que la Nasa a récemment annoncé que l'activité solaire tendait vers une période de refroidissement... — CQV
La dernière folie ? Prétexter de la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique et réduire l’empreinte carbone pour encourager les Français à faire moins d’enfants… C’est la conclusion d’une pseudo-étude vantée par l’Agence France-Presse… qui dans quelques jours publiera probablement une autre pseudo-étude vous expliquant que pour résoudre le déclin démographique de la France et assurer le système de sécurité sociale, il faut faire venir plus d’immigrés africains en France, ce qui bien sûr, comme tout le monde le sait, n’a aucune incidence sur l’empreinte carbone.
Lire la suiteAutant de mortalité infantile qu'au XVIIIe siècle
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
L'écrivain, chroniqueur en disgrâce et journaliste Eric Zemmour a dit avec justesse, lors d'une conférence donné à Versaille, qu'aujourd'hui en France à cause de l'avortement la mortalité enfantine actuelle est équivalente à celle du XVIIIe siècle.
Extrait de Pour Une École Libre :
Il y a 200 000 avortements par an. 1/5e des enfants à naître. C’est autant que la mortalité infantile au XVIIIe siècle. Tous les progrès médicaux pour supprimer la mortalité infantile sont supprimés par l’avortement.
Le Canada parmi les quatre pays qui défendent le moins la vie humaine à naître
Olivier Bault, correspondant à Varsovie (Réinformation.TV) — Lunar Caustic/Flickr/Wikimedia Commons
Plusieurs mythes ont la vie dure en ce qui concerne l’avortement dans le monde, et l’association polonaise d’avocats et juristes pro-vie et pro-famille Ordo Iuris présentait mercredi à Varsovie un rapport destiné à rétablir quelques vérités. Cet effort s’inscrit dans le combat mené en Pologne pour interdire les avortements eugéniques. Ordo Iuris s’est donc intéressé aux législations sur l’avortement dans 196 pays du monde afin d’établir un classement international à la lumière de la protection de la vie humaine pendant sa phase de développement prénatal. Le premier mythe renversé par ce rapport, c’est celui d’une Pologne qui aurait une législation très restrictive en matière d’avortement. En réalité, cette affirmation n’est vraie qu’à l’échelle européenne car, à l’échelle mondiale, 126 pays sur 196 ont des législations plus restrictives que la Pologne, et plus de 160 ont des législations plus restrictives que la France. N’en déplaise aux progressistes français, il n’existe pas de droit international à l’avortement et la banalisation de l’avortement érigé en « droit inaliénable » de la femme est l’exception, et non pas la règle.
Le premier des mythes sur l’avortement : la France serait dans la norme et la Pologne aurait une législation exceptionnellement restrictive
En tête du classement, on trouve, outre Malte et l’Irlande (sans doute plus pour longtemps), principalement des pays d’Amérique latine et d’Afrique ainsi que certains pays musulmans et des îles du Pacifique. Tout en bas du classement se trouvent des pays européens, les Etats-Unis, Singapour et enfin quatre pays où il est possible d’avorter sur simple demande pendant les neuf mois de la grossesse : la République populaire de Chine, la Corée du Nord, le Vietnam et… le Canada. Le classement des pays européens est fermé par la Grande-Bretagne (191e) où il est possible d’avorter sur simple demande jusqu’à la 24e semaine de grossesse, une étape du développement où l’on arrive parfois à sauver les bébés nés prématurément.
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