Succès pour la Marche pour la Vie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Des milliers de manifestants [50 000] ont marché hier après-midi, dimanche 20 janvier, à Paris contre l’avortement et pour la Vie.
Cette 13e édition de la Marche pour la Vie a vu de nombreux jeunes et moins jeunes, mobilisés cette année également contre la PMA et la GPA, défiler dans les rues parisiennes, de Porte-Dauphine au Trocadéro. Le thème de la Marche était la défense de la clause de conscience des médecins qui refusent pratiquer des avortements.
« Ce sera sans doute la première alerte sur la mobilisation des anti-PMA » et « une manière de se compter, alors que la phase législative de la révision de la loi de bioéthique approche », a expliqué un des organisateurs de cette marche, Olivier Ruisseau, chargé de communication de la Fondation Jérôme Lejeune au Figaro.
Lire la suitePMA, GPA : l’inquiétant rapport adopté par la mission d’information bioéthique de l’Assemblée Nationale
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info) — Photo : Pixnio
Le mardi 15 janvier, la mission d’information bioéthique de l’Assemblée nationale a adopté le rapport formulant 60 propositions pour réviser les lois de bioéthique.
Parmi les propositions de ce rapport : l’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) aux duos de femmes et aux célibataires, et son remboursement par la Sécurité sociale.
Le rapport adopté, très influencé par le lobby LGBT, dit vouloir « dépasser les limites biologiques de la procréation de demain », et reconnaître ainsi les « nouveaux modèles familiaux » présents dans la société française.
Ce rapport évoque le critère d’« autonomie des choix reproductifs » inventé par la fondation Jean Jaurès, un think tank très à gauche.
Ce rapport préconise également de retranscrire automatiquement en droit français la filiation des enfants nés par GPA à l’étranger.
Lire la suiteDe la PMA-GPA à l’utérus artificiel et au transhumanisme, Alain Escada dénonce le projet de nouvel ordre sexuel mondial
Marion Sigaut, à gauche, Alain Escada, à droite.
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de Civitas
C’est dans une salle de la Mairie du Pontet qu’Alain Escada, président de Civitas, a tenu cette conférence à l’invitation de la section locale d’Egalité et Réconciliation, précédée d’une intervention de Marion Sigaut.
Alain Escada dévoile avec précision comment la PMA et la GPA ne sont que des étapes intermédiaires avant l’utérus artificiel et le transhumanisme, dans le cadre d’un plan global de nouvel ordre sexuel mondial.
Pour démontrer ses propos, Alain Escada a recensé une série de citations méconnues (notamment d’Elisabeth Badinter et de Jacques Attali, mais aussi de différents scientifiques) qui s’emboîtent pour promouvoir un scénario absolument effrayant.
Le meilleur des mondes, livre d’anticipation d’Aldous Huxley, se réalise sous nos yeux.
Marche pour la Vie 2019 de Paris
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Michael Bar Haim/Unsplash — Citation : Marche pour la vie
Le vingt janvier prochain aura lieu la Marche pour la Vie 2019 de Paris, où se rendent maintenant annuellement des dizaines de milliers de Français pro-vie pour manifester leur soutien à la cause des enfants à naître.
Cette marche, organisée par le groupe Marche pour la vie, aura pour thème la défense de l’objection de conscience des praticiens face à l’avortement.
Cette objection de conscience est en jeu, actuellement menacée par un projet de loi déposé par Mme Laurence Rossignol devant le Sénat de France en réaction (apparemment) aux propos du courageux Dr de Rochambeau, président du SYNGOF (Syndicat National des Gynécologues et Obstétriciens de France), qui disait lors d’une entrevue ne pas vouloir exécuter d’avortement, précisant sa pensée en affirmant : « Nous ne sommes pas là pour retirer des vies ».
Censure de la page Facebook de Media-Presse.info
Par Pierre-Alain Depauw (Media-Presse.info)
Le site catholique et français Media-Presse.info, bonne source d’information, se voit encore une fois bloquer sa page Facebook. Ce site traite de divers sujets, dont l’avortement, le LGBTQIsme, la PMA, la GPA, etc. — CQV
Alors que Medias-Presse Info connaissait depuis quinze jours une progression fulgurante de partages d’informations via Facebook, notre page Facebook se trouve une fois de plus bloquée depuis ce matin, ne permettant momentanément plus d’y ajouter les nouveaux articles.
Centenaire de la naissance d'Alexandre Issaïevitch Soljénitsyne, grand dénonceur du marxisme culturel
Alexandre Issaïevitch Soljénitsyne.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Verhoeff, Bert/Anefo/Wikimedia Commons
Le 11 décembre 2018 était le jour du centième anniversaire de la naissance d'Alexandre Issaïevitch Soljénitsyne. Soljénitsyne né le 11 décembre 1918 (dans le calendrier grégorien) à Kislovodsk en Russie, a passé la plus grande partie de sa vie sous le régime communiste d'inspiration marxiste.
Ayant fait de brillantes études, militaire et adhérant à l'idéologie régnante, Soljénitsyne se fait arrêter pour la première fois puis envoyer au goulag pendant huit ans pour avoir critiqué Staline.
Au sortir du goulag, il ne cessera de combattre le communisme par des écrits, malgré la censure soviétique et le danger que cela représentait. Plusieurs de ses œuvres parurent en Occident, malgré la censure, pendant cette période et lui valurent une réputation mondiale. il est finalement arrêté en 1974 et expulsé de l'URSS.
Soljénitsyne dénonçait aussi un autre ennemi de l'Homme, le marxisme culturel propagé dans le monde par l'URSS, qui nous afflige plus que jamais, entre autres sous les traits repoussant de l'idéologie du genre. Rappelons que l'avortement a été légalisé pour la première fois dans l'époque moderne en Union soviétique en 1920 et qu'il est par conséquent très certainement un fruit du communisme.
Soljénitsyne a par ailleurs démontré que la Révolution bolchévique s'était inspirée de la Révolution française.
Alexandre Issaïevitch Soljénitsyne est mort le 3 août 2008 à Moscou.
Lire la suiteRevoilà la chasse aux crèches de Noël — Première cible : Béziers
La crèche de l'Hôtel de ville de Béziers.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Les ayatollahs de la laïcité sont à nouveau en chasse des crèches de Noël. Et ils peuvent compter sur le zèle de la préfecture de l’Hérault et sur une justice expéditive. La république maçonnique a ses priorités…
La ville de Béziers avait installé une jolie crèche de Noël dans la cour d’honneur de l’Hôtel de Ville.
La théorie du genre : la dernière « dictature »
Par Armel Joubert des Ouches avec Jeanne Smits et Clémentine Jallais (Réinformation.TV) — PublicDomainPictures/Pixabay
Dans leurs nombreux articles, Jeanne Smits et Clémentine Jallais, toutes deux journalistes à RITV, reviennent régulièrement sur la nouvelle idéologie mise en place dans la plupart des pays industrialisés : la théorie du genre. Ce concept inique prétend que c’est la société et l’environnement qui conditionnent le sexe chez une fille ou un garçon et non la nature. En fait, les protagonistes de cette nouvelle « dictature » idéologique rendent volontairement les choses confuses afin de semer le trouble chez nos concitoyens. Ils affirment que le « type sexuel » fait référence aux différences biologiques entre hommes et femmes, alors que le « genre » réfère aux différences sociales. Pour être tout à fait précis, ce concept est apparu dès les années 1950 mais s’est à ce point répandu ces dernières années… qu’on l’enseigne à l’école.
La théorie du genre ? Bien sûr qu’elle est enseignée à l’école !
Il y a peu, la directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, a publié, par le biais de l’agence culturelle de l’ONU, les nouvelles normes en termes d’éducation auprès des plus jeunes. Dans un document de près de 140 pages, l’organisation internationale qui demande que l’éducation sexuelle complète soit enseignée dès l’âge de 5 ans, insiste lourdement sur le respect de l’orientation sexuelle, rejetant les stéréotypes.
Lire la suiteJustice : l’hôpital qui refusait de soigner Léah, si s’en présentait le besoin, y sera obligé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le CHU de Caen refusait la possibilité d’admettre à nouveau Léah, jeune femme de 19 ans, atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance qui est cause de crises d’épilepsie ainsi que de retards moteurs et mentaux. Extrait de France bleu :
Le 2 novembre dernier le CHU de Caen faisait savoir aux parents de Léah qu’il ne l’accueillerait plus en réanimation en cas de nouvelle crise. Un coup de massue pour le couple de Fourneville, parent de la jeune handicapée de 19 ans. Trois semaines plus tard, son recours engagé auprès du tribunal administratif de Caen lui offre un soulagement. La justice ordonne à l’hôpital caennais de traiter la jeune handicapée comme n’importe quel autre malade.
[…] Le CHU de Caen a encore la possibilité de contester la décision devant le Conseil d’Etat.
Pour les experts, Vincent Lambert n’est pas en situation d’obstination déraisonnable
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
Les experts nommés par le Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne reconnaissent que Vincent Lambert n’est pas en situation d’obstination déraisonnable. Ce rapport est un tournant. Ils évoquent également la possibilité d’un transfert vers un établissement spécialisé.
« Les experts considèrent que la réponse aux besoins fondamentaux primaires (alimentation, hydratation, émonctoires, prévention cutanée, hygiène de base) ne relève pas pour certains patients en état végétatif avéré, tel que Vincent LAMBERT, de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » (p. 24 du rapport)
Cela corrobore l’avis de nombreux médecins qui s’étaient exprimés dans un grand quotidien (L’appel de 70 médecins : il est manifeste que Vincent Lambert n’est pas en fin de vie). Vincent ne présente pas les caractéristiques d’une personne qui souffre et qui est en fin de vie.
(…)
« La condition médicale de Monsieur LAMBERT n’est pas unique, ne pose pas de difficultés de prise en charge dans notre pays, n’appelle aucune mesure d’urgence. Il existe en France des structures pouvant l’accueillir jusqu’à sa disparition si le maintien au CHU de Reims s’avérait impossible pour des raisons autres que relevant de la simple technique médicale » (p. 24)
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