Un groupe chrétien poursuit le gouvernement du Québec pour avoir annulé un événement présumé promouvoir une position pro-vie
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock
11 août 2023, Québec (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec est poursuivi par une organisation chrétienne après que celle-ci ait été forcée d’annuler un événement en raison de la présomption que celui-ci inclurait des messages pro-vie.
Mercredi, le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (CJLC) a annoncé qu’il représentait Harvest Ministries International dans sa poursuite contre le gouvernement du Québec, le ministère du Tourisme et le Centre des congrès de Québec pour avoir « annulé soudainement un contrat pour le Rallye Foi, Feu et Liberté qui devait avoir lieu à Québec du 23 juin au 2 juillet 2023 ».
« Harvest réclame des dommages-intérêts contractuels et des dommages de Chartes pour atteintes injustifiées et inconstitutionnelles à ses droits aux libertés de religion et d’expression, et à la non-discrimination », peut-on lire dans un communiqué de presse publié le 9 août par le groupe d’avocats.
L’annulation du contrat de location a été ordonnée le 1er juin par Caroline Proulx, ministre du Tourisme de la province, qui a déclaré que l’événement allait « à l’encontre des principes fondamentaux du Québec ». La ministre de la Condition féminine a ajouté que « nous sommes un gouvernement résolument pro-choix » et que « oui, la liberté d’expression j’en suis, mais au gouvernement, on a des principes et on a décidé d’être conséquents ».
Lire la suiteUn événement tenu par des pro-vie interdit au Centre des congrès de Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Renaudp10/Wikimedia Commons
Le ministre du Tourisme, Caroline Proulx, a fait annuler un événement privé devant avoir lieu au Centre des congrès de Québec, société d’État. La raison invoquée pour ce geste inusité était que le site de l’organisateur de l’événement, Harvest Ministries International (HMI), mène entre autres, vers le site Muraille de feu Canada (MFC) qui exprime des opinions allant à l’encontre de l’avortement. Le site MFC appartient à HMI ; en bref, les organisateurs de l’événement annulé sont pro-vie.
Le gouvernement Legault est « pro-choix » (pro-avortement), clame Mme Proulx, et ne saurait donc autoriser un événement tenu par des gens s’opposant à l’avortement. Selon Radio-Canada :
Informée de la tenue de l’événement, la ministre Proulx a conclu qu’il n’était pas le bienvenu dans une institution gouvernementale. « Notre gouvernement est résolument pro-choix. Et c’est un sujet qui fait largement consensus au Québec », nous a écrit son cabinet dans un échange de courriels.
Mme Proulx affirme même que l’avortement fait partie des « principes fondamentaux du Québec », rapporte TVA Nouvelles :
« Parce que c’est contre les principes fondamentaux du Québec, [...] ce type d’événement-là n’aura pas lieu chez nous, a signalé Mme Proulx. Et j’ai avisé le PDG (du Centre des congrès de Québec) ce matin qu’il n’y aura pas d’accompagnement de l’entreprise qui doit se relocaliser. Elle devra le faire toute seule. »
Ne pas accompagner l’entreprise ainsi jetée à la porte ? Cela sonne bizarre pour un gouvernement qui se dit « pro-choix », il me semblait que les « pro-choix » se targuaient de savoir accompagner...
Lire la suiteIl ne devrait pas y avoir de candidats pro-vie au Québec selon Legault
François Legault.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Government of California/Twitter/Wikimedia Commons
Suivant les remous médiatiques entourant la fuite d’un document de la Cour suprême des États-Unis, le premier ministre du Québec a répondu aux questions de la presse qu’il ne devrait pas y avoir de candidats pro-vie au Québec lors des élections d’octobre, selon Le Devoir :
Les arguments antiavortement n’ont pas de raison d’être sur la scène politique québécoise, selon le premier ministre François Legault. Et tous ses députés sont pro-choix, a-t-il dit mercredi.
« Il ne devrait pas y en avoir », a lancé le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ) lorsqu’il a été interrogé sur la possibilité que des formations politiques présentent des candidats défavorables à l’interruption de grossesse aux élections générales d’octobre.
Comme si, dans cette démocratie dont se revendiquent tous ces « pro-choix », les pro-vie n’avaient pas leur mot à dire…
Pourtant, du moins en dehors de la CAQ, au moins un candidat pro-vie se présentera lors des élections provinciales sous la bannière du Parti conservateur du Québec, le Dr Roy Eappan, qui tenait en 2015 dans un blogue les propos suivants : « Je suis pro-vie. Je ne vais pas tuer des bébés ou des adultes, comme il a été prescrit par Hippocrate ».
Le Parti libéral du Québec s’annonce tout aussi fermé d’esprit que son vis-à-vis caquiste, le chef des libéraux, Dominique Anglade, proclamant que l’on ne doit pas faire de « compromis sur le droit des femmes », d’après Le Devoir :
« On ne doit faire aucun compromis sur le droit des femmes ». Les candidatures antiavortement, « on ne devrait pas accepter ça », a-t-elle affirmé mercredi à l’Assemblée nationale. « Je peux vous assurer d’une chose, c’est que, dans ma formation politique, on n’aura aucun candidat qui va remettre en question le droit des femmes », a-t-elle ajouté.
Ainsi, l’avortement, puisque c’est de ça qu’il s’agit, serait un « droit des femmes » ? Depuis quand est-il moralement licite de tuer son bébé ?
Lire la suiteEn réponse à la fermeture des églises, des catholiques à Montréal lancent un Rosaire public
Catholiques priants le chapelet devant la cathédrale Marie-Reine du monde à Montréal pour la réouverture des églises.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
En réponse à la passe sanitaire obligatoire dans les églises et à la fermeture des églises, un groupe de catholiques pro-vie, qui désirent rester anonymes, a décidé d’agir avec l’arme puissante du Rosaire.
Quoi : chapelet public
Où: sur le parvis de la cathédrale de Montréal (Marie-Reine-du-Monde)
Quand : 11h00 tous les dimanches
Le 20 décembre 2021, le gouvernement a imposé la passe vaccinale dans les lieux de culte et a ensuite fermé toutes les églises, classant ce service absolument essentiel comme « service non essentiel ».
Le dimanche suivant, le 26 décembre 2021 ce groupe débute leur premier Rosaire extérieur pour prier pour la réouverture des églises et la disparition du passeport sanitaire, croyant fermement que, « la vaccination doit être volontaire comme indiqué par le numéro 5 de la CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI »
L’une des responsables explique, « Nous avons un énorme besoin de prier et rentrer dans la maison du Seigneur surtout dans ces temps difficiles et nos églises sont fermées. »
Depuis 3 semaines, ils se réunissent devant la cathédrale Marie-Reine-du-Monde à Montréal chaque dimanche. Face à l’injustice, face à la privation des sacrements, face au besoin de rendre gloire à Dieu, ils demandent instamment l’intercession de la Vierge Marie pour que les autorités ouvrent les églises.
Leurs objectifs se résument à quatre points,
- La réouverture de nos églises
- La disparition du passeport sanitaire pour les églises
- La réparation de nos péchés
- La persévérance finale
Ils lancent un appel à tous à s’unir et prier ensemble.
Le gouvernement priorisait la santé avant Dieu. Il ne restait qu’une seule chose à faire : assaillir le ciel de prières !
La taxe de Legault pour les non-vaxx : une punition pour les hérétiques
François Legault en compagnie de Justin Trudeau -- Photo : Adam Scotti (Flickr)
Ce qui m’est venu à l’esprit, à l’annonce de la taxe de Legault pour les non-vaccinés, c’est la taxe Djizîa traditionnellement payée par les dhimmis ou non-musulmans en hommage à leurs « supérieurs » disciples de Mahomet. Ici au Québec, ce n’est pas la non-croyance à « Allah » qui est punie, plutôt, c’est le dieu de la « santé » corporelle qui exige un hommage des hérétiques qui refusent de le mettre au centre de leur vie, à l’exclusion du vrai Dieu. Ils doivent payer une cotisation annuelle en souvenir de leur péché… Quant à Legault, il me semble que son air d’avuncularité, de « gentil mononcle », la seule qualité sur laquelle il court depuis des années, est usée à la corde. L’acte a vieilli, car qu’il le sache ou non, Legault s’est montré un instrument souple entre les mains de l’Ennemi de Dieu et de l’homme.
Le tyran Legault impose le passeport covid pour les messes de Noël
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ian Livesey/Flickr/rawpixel
Legault impose le « passeport vaccinal » aux lieux de culte dès le lundi 20 décembre, donc pour Noël. D’après le site du Gouvernement du Québec :
À compter du 20 décembre 2021, le passeport vaccinal sera requis dans les lieux de culte et les spas (sauf pour soins personnels). Pour les mariages et les funérailles, possibilité de tenir une cérémonie sans passeport vaccinal avec un maximum de 25 personnes.
Ainsi, pour un vaccin qui n’est même pas censé arrêter la prétendue propagation du « variant Omicron », les Québécois non vaccinés seront privés de messe de Noël. C’est donc une mesure qui n’a en soi aucune raison pratique, mais qui vise plutôt à punir les gens exerçant leur sens critique par rapport aux agissements du gouvernement (sans compter que l’État empiète sur les prérogatives de l’Église se faisant – encore un exemple de la malfaisance de l’État laïciste, quand il considère que l’Église ne doit pas être prise en compte dans ses lois, sa « neutralité » le conduit à entraver l’Église dans les situations prétendument d’« urgence », comme n’importe quel commerce « non essentiel »…).
Ceci représente un geste antichrétien, les évêques réagiront-ils ?
L’injection rituelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : georgerudy/Adobe Stock
En mai 2021, j’avais prédit dans un article intitulé Je veux avoir tort que, dans la logique du déroulement d’un putsch planétaire, il y aurait une quatrième vague à l’automne, les discours des politiciens deviendraient plus stridents, ils viseraient les non-vaccinés et on verrait l’imposition des passeports sanitaires comme mode de contrôle et de coercition. Ces prévisions se sont réalisées.
Amplification et diversification
Selon cette même logique de prise de contrôle totalitaire, j’entrevois maintenant que, dans les mois qui viennent, le pouvoir mondial et ses exécutants nationaux (nos politiciens et médias) amplifieront et diversifieront les pressions pour tenter d’enfermer définitivement la population dans une tyrannie de contrôle électro-sanitaire. D’une part, nous voyons déjà une amplification de l’agression sanitaire. Ça continuera.
Le système : injection-certificat-récompense/conséquence, prend un caractère de plus en plus ritualisé aboutissant maintenant à cette abomination : l’injection sacrificielle des enfants. Je dis bien rituelle et sacrificielle, car, nous le savons tous, la COVID ne les menace pas et ce jus expérimental qu’on s’apprête à leur injecter comporte des risques. Nous pouvons aussi nous attendre à une diversification des crises dans d’autres secteurs. Éventuellement, les pressions croissantes susciteront un événement déclencheur qui sera alors instrumentalisé par nos élites pour compléter leur prise de contrôle de la population.
Dans cet article je traite de l’amplification et de la ritualisation des instruments de contrôle sanitaire. Dans le prochain article je discuterai de la diversification de la crise.
Comme un anti-baptême
Nous le voyons déjà, l’injection du jus des pharmas devient rapidement une condition essentielle pour participer à la société, avoir une voix dans les débats politiques et voyager. C’est même nécessaire pour pouvoir sortir du Canada. Ceux qui nous gouvernent s’apprêtent maintenant à injecter nos enfants. Cette nouvelle étape du protocole parachèvera la soumission des parents, assurera leur adhésion et les enfermera dans le système injection, contrôle et récompense.
Les régimes poursuivent maintenant leur stratégie d’injection universelle avec le consentement de la majorité. À mesure que les raisons médicales s’estompent, celle-ci prend de plus en plus l’aspect d’un rituel de soumission initiatique. Ça ressemble de plus en plus à une espèce d’anti-baptême. Le baptisé reçoit sur son corps une eau simple et pure qui le lave intérieurement sans l’affecter physiquement. Ici, l’injecté reçoit des substances inconnues dans son corps qui l’affectent physiquement.
Lire la suiteRien n’a changé ; tout est différent
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie)
Au soir des élections fédérales de septembre 2021, la répartition des sièges était essentiellement inchangée. Le parti libéral de Justin Trudeau était reporté au pouvoir dans un gouvernement minoritaire. « Rien n’a changé » ont dit les commentateurs ; « tout est comme avant »… « Cette élection était inutile ! ».
Un rien qui change tout
Rien n’était plus faux ! Cette élection était historique. Tout a changé ! En effet, les mêmes gens ont été reportés au pouvoir, sans presqu’aucun changement après deux ans de mesures totalitaires, deux ans d’agression sanitaire contre nos droits et nos libertés.
Juste avant l’élection, les libéraux avaient annoncé la suspension sans salaire de milliers de fonctionnaires, l’étiquetage de toute la population, l’instauration de passeports intérieurs pour voyager, des plans pour installer des mesures de censure de l’Internet. N’oublions pas, aussi, l’embauche d’agent privés pour saisir les Canadiens en sol canadien et les confiner dans des centres de détentions semi-secrets ainsi que la promesse, pendant la campagne, d’étendre l’utilisation des mesures du contrôle sanitaire pour imposer toute une brochette d’agendas progressistes.
Enfin, après avoir annoncé l’injection obligatoire des enfants, les injections à répétition des déjà vaccinés, ainsi que des déclarations brutales, dignes d’un régime fasciste à propos des non-vaccinés ; les Canadiens ont réélu Justin Trudeau dans les mêmes proportions qu’avant. Ils ont, pareillement, réélu sans changement, tous les politiciens de la fausse opposition qui soutenaient ces mesures.
Lire la suiteUn Québec plus fier pourrait-il ignorer le statut, la mission et la responsabilité de la famille?
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : teksomolyka/Adobe Stock
L’avenir du modèle québécois présenté par notre premier ministre du Québec, Monsieur François Legault, lors de son discours inaugural à l’Assemblée nationale, le 19 octobre 2021, m’amène à regretter, entre autres, qu’il en soit arrivé, au cours des trois dernières années, à adopter une attitude de mépris de la famille, de son statut, sa mission et sa responsabilité.
En votant pour lui en 2018, j’ai cru, avec bien d’autres, que Monsieur Legault serait un grand défenseur de la famille, un protecteur de la plus noble et importante des institutions humaines. Hélas, ce n’est pas ce que je perçois depuis un bon moment et, encore plus, aujourd’hui... Il ne cesse d’inciter les jeunes mères à confier leurs enfants à quelqu’un d’autre qu’elles-mêmes, en leur offrant un service de garde à bas prix. L’objectif voilé, mais manifeste est d’aider à relever le défi de la carence de main d’œuvre et, par ricochet, de faire progresser l’économie québécoise. Il affirme que c’est ce que désirent les femmes d’aujourd’hui et il veut leur laisser croire que, comme les hommes, les femmes ont ce devoir et cette mission sociale. On reconnaît l’idéologie des pays soviétiques d’antan.
Lire la suiteIl voulait avoir tort -- mais il semble avoir eu raison sur toute la ligne
Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial -- Photo : Forum économique mondial
Le 3 mai 2021, j'ai reçu, de notre collaborateur Jean Tardy (présentement candidat pour le Parti Populaire du Canada), un courriel contenant deux articles qui pronostiquaient sur les semaines et mois à venir. Le premier, intitulé « Je veux avoir tort », exprimait le souhait de l’auteur que ses pressentiments lugubres quant à l’avenir n’étaient que pure illusion concoctée par son esprit surchauffé de « complotiste ». Le deuxième, intitulé « la croisée des chemins » donnait les critères nécessaires pour juger si oui ou non ses prédictions allaient se réaliser, à savoir si vraiment nous faisions face à une véritable crise sanitaire qui allait se résorber pour donner place à une vraie normalité, ou bien si, comme le craignait notre auteur, il s’agissait en réalité d’un « putsch planétaire qui vise l’implantation d’une tyrannie mondiale sous le contrôle des partenaires du Forum Économique Mondial ». Eh bien, à mon horreur, alors que ses prédictions semblent s’accomplir avec une précision déconcertante en ces jours de septembre 2021, l’auteur me fait savoir par un message ce matin que j’avais oublié de publier ses textes prophétiques. Je corrige donc cette erreur, publiant aujourd'hui, sans modification, les deux textes qu’il m’a envoyé par courriel le 3 mai 2021, textes qui prédisent à la virgule près ce que nous semblons voir se déployer devant nous à la vitesse « grand V », soit l’implantation d’une tyrannie mondiale sous prétexte de crise sanitaire.
-- Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Je veux avoir tort
Je rêve de me tromper
La plupart des gens veulent avoir raison. Moi, en ce début de mai 2021, je rêve d’avoir tort. Je m’imagine, dans quelques années en train de dire à tous ceux que je rencontre que j’étais vraiment stupide, que je me suis trompé sur toute la ligne, que j’ai gâché un an ou deux de ma vie à m’énerver pour rien !
Ah ! que j’aimerais ça ! J’en rêve, je prie pour que ça arrive. Je pleurerais de joie si ça arrivait, si je découvrais que, contrairement à mes craintes, les gouvernements du Québec et du Canada n’étaient pas en ligue avec une cabale mondialiste fasciste et tenaient autant que moi à rétablir entièrement nos droits et nos libertés d’avant la pandémie. Ah ! si ça arrivait ! Le soleil reviendrait et je crierais partout en riant et en chantant que j’étais un con.
Avoir tort serait vraiment un délice, car, voyez-vous, je suis présentement convaincu que nos gouvernements collaborent sciemment avec un putsch planétaire qui vise l’implantation d’une tyrannie mondiale sous le contrôle des partenaires du Forum Économique Mondial et des bureaucrates de l’ONU. L’objectif de ce putsch est de détruire la capacité de résistance démocratique des peuples libres en les enfermant dans un état de dépendance chimique, électronique et économique totale. Cet objectif serait un préalable à l’implantation d’agendas d’ingénierie sociale si radicaux qu’ils ne seraient jamais acceptés dans une société véritablement libre et démocratique.
Ce régime que j’appréhende fonctionnerait avec quatre rouages :
Un état semi-permanent d’urgence sanitaire qui serait parfois allégé, mais jamais pleinement retiré. Il y aura juste assez d’allègement pour faire croire à la population que sa docilité a été récompensée puis d’autres variants surviendront et d’autres éclosions. Éventuellement, ce régime (comme tous les fascismes avant lui) blâmera les réfractaires. Si 60 % sont vaccinés, ça aurait pris 65 % ; 70 % alors c’est 75 % qu’il fallait atteindre et ainsi de suite. Comme dans le roman 1984 de Georges Orwell, nous entrerons dans une guerre larvée perpétuelle contre le COVID.
La vaccination universelle récurrente. Vaccins, vaccins complémentaires, vaccins d’appoint, vaccins saisonniers, vaccins de renforcement, vaccins de stimulation immunitaire, vaccins de déplacement, vaccins préventifs, vaccins correctifs pour réparer des pathologies imprévues causées par les autres vaccins…
Le certificat sanitaire, d’abord sous forme papier, puis de carte magnétisée puis d’implant sous-cutané. Un certificat justifiant l’étiquetage de tous les individus et la gestion électronique de leurs déplacements et leurs activités.
Le contrôle informatisé des déplacements et des accès. Permettant l’utilisation et la gestion centralisée du « certificat de vaccination » comme passeport intérieur et international. L’utilisation routinière et généralisée de ce certificat permettant de restreindre les déplacements internationaux, mais aussi l’accès aux hôtels d’autres régions, aux réunions publiques, aux activités sociales… cela, automatiquement et sans avoir recours à des forces de l’ordre. Un contrôle aussi, qui rendrait le certificat implicitement nécessaire pour plusieurs emplois.
Dans mes pires moments, j’imagine que nous vivrons, dans quelques années, dans une société où tous les décideurs, les gestionnaires, les journalistes, les universitaires, les vedettes… seront des vaccinés. En effet, ce sera une condition essentielle pour pouvoir voyager, étudier et socialiser librement, une nécessité de leur statut. La majorité se sera fait « volontairement » installer le certificat sous forme d’un implant sous-cutané et se déplacera ainsi avec une grande aisance, car les portes s’ouvriront devant eux sur détection de leur implant. Cependant, le prix qu’ils paieront pour ce pouvoir sera une soumission intime et répétée, sous la forme de l’injection dans leur chair consentie, des substances concoctées par Bill Gates et ses copains. Cette tension entre un statut social exalté et une soumission chimique intime les rendra de plus en plus intolérants et hargneux. Dans ce monde les non-vaccinés deviendront vite une nouvelle caste d’intouchables. On pourra d’ailleurs facilement les haïr et les mépriser puisqu’ils seront libres, en tout temps, de changer de statut et de se rallier aux injectés.
Ouf ! Quand je pense à ça, j’ai l’impression de vivre dans un cauchemar de science-fiction. Et je rêve de me réveiller ! Je prie que cette pandémie n’a pas été déclenchée pour détruire la présidence de Donald Trump, dernier obstacle majeur aux mondialistes, et parachever l’installation d’une tyrannie planétaire. Je rêve que Justin Trudeau et François Legault sont des gens sympas qui n’ont pas décidé de détruire nos sociétés, nos droits et nos libertés pour mettre notre pays au service d’agendas mondialistes.
Nous le saurons bientôt, car nous arrivons dans les semaines qui viennent, à la croisée des chemins.
La croisée des chemins
Des semaines lourdes de conséquences
Nous saurons bientôt si cette pandémie n’était qu’un mauvais rêve qui s’achève ou si elle est le début d’un cauchemar qui ne fait que commencer. En effet, nous sommes, en ce mois de mai 2021, à la croisée des chemins. Nous saurons, dans les semaines qui viennent, si cette urgence sanitaire qui perdure depuis plus d’un an était une réponse temporaire, de la part de politiciens épris de liberté, à un accident sanitaire ou bien si c’était le début d’une agression sournoise et planifiée de la part de nos élites politiques et médiatiques, de concert avec le grand capital mondial, pour détruire la liberté, atomiser toute forme d’assemblée et d’opposition et installer, en l’espace de quelques mois, un fascisme mondial. Voilà ce que je crains, mais, croyez-moi, je rêve et je prie d’avoir tort et de découvrir que cette pandémie n’était qu’un accident temporaire.
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