L’autorité et la légitimité
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : zeno.org/Wikimedia Commons
Le débordement des compétences
Le putsch planétaire, en cours depuis mars 2020, vise l’imposition d’un Nouvel Ordre Mondial défini par les 17 Objectifs de Développement Durable de l’ONU via la mise en place d’une dictature sanitaire mondiale. Cette agression est orchestrée par les partenaires du Forum Économique Mondial, le FMI et la bureaucratie de l’ONU. À la suite d’un long processus de corruption, en cours depuis des décennies, presque toutes les élites de la planète, politiques, médiatiques, religieuses et scientifiques y contribuent. En particulier, le gouvernement canadien, sous Justin Trudeau, s’est engagé officiellement à nous soumettre aux agendas de l’empire mondialiste. Ce Nouvel Ordre Mondial serait l’aboutissement d’une démarche moderniste de rejet radical des valeurs traditionnelles et de la Loi naturelle. Les mesures sanitaires qu’on nous impose aujourd’hui anticipent déjà cette tyrannie.
Dans un premier temps, cette démarche de rejet des valeurs récompensait les individus libertaires en accordant une plus grande licence (surtout sexuelle) à ceux qui se « libéraient ». Cette licence, se répandant au cours des années, a sapé nos institutions. Les fondements mêmes des sociétés chrétiennes ont été lentement érodés sans que rien n’y paraisse. Cette sape aboutit à l’effondrement soudain, au moindre choc, des structures traditionnelles. C’est ce qui est arrivé en 2020. Un virus relativement bénin a suffi pour terrasser des institutions sociales qui avaient survécu à deux guerres mondiales et à des crises beaucoup plus graves au siècle précédent. Une tyrannie planétaire déshumanisée et dénuée de sagesse menace maintenant de combler ce vide.
Cette nouvelle tyrannie ne constituerait pas une nouvelle autorité civile dans le sens conventionnel du terme. En effet l’idéologie moderniste a une dimension spirituelle marquée qui est centrée sur le rejet, non seulement de la doctrine chrétienne mais des sagesses humaines traditionnelles et même de la Loi naturelle. Ceci mène à des régimes politiques qui débordent gravement de leurs compétences en tant qu’autorités civiles. Dans la tyrannie moderniste, l’état redéfinit la nature humaine et impose sa propre religion.
Par conséquent, si le putsch planétaire en cours parvient à imposer ce Nouvel Ordre Mondial, le chrétien se retrouvera devant une autorité civile qui n’émane pas de la volonté de Dieu mais provient plutôt d’une démarche satanique. Il s’agira, dans ce cas, d’un régime fondamentalement immoral dont les édits pourront être légitimement rejetés, même par la voie de l’insurrection, si les circonstances le justifient. D’ailleurs, personne ne conteste que les tyrannies modernistes précédentes, le nazisme et le stalinisme, pouvaient être légitimement combattues.
Lire la suitePutsch et pandémie
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
La cadence accélère
Jusqu’à récemment, les transformations radicales que les forces mondialistes voulaient mettre en place butaient sur la résistance des institutions démocratiques. Avec la pandémie, celles-ci ont sauté. À partir du 13 mars 2020 et en l’espace de quelques semaines, les sociétés occidentales sont devenues des dictatures. Un an plus tard nos gouvernements, en ligue avec le Forum Économique Mondial, ont poussé la population, grâce à un ensemble de mesures coercitives, à accepter, comme solution unique pour sortir de « la crise », la vaccination universelle suivie d’un contrôle généralisé des déplacements et des accès.
Aujourd’hui (en mai 2021), la campagne de vaccination avance à fond de train. Le gouvernement québécois ne se donne même plus la peine de justifier ses dernières « décisions » sanitaires : vaccination des femmes enceintes, vaccination des enfants, deuxièmes doses avec des vaccins différents… La population, harassée par les restrictions, le masquage, le couvre feu, les agressions économiques est assoiffée de liberté et se fait injecter sans poser de questions. Le régime ne fait même plus semblant d’hésiter avant d’imposer ses nouvelles mesures. On annonce la venue de contrôles sur la base de certificats sanitaires, les médias applaudissent. Le « père » Legault déclare qu’il veut voir 75 % de vaccinés, personne ne questionne. La deuxième dose n’est pas administrée et déjà on parle de la troisième, pourquoi pas, « jamais deux sans trois ». C’est quoi ces annonces de pourcentage à vacciner, de troisième dose sans même étudier les effets de la première, de la médecine ? de la science ? de la prophétie ? On s’en fout ! En mars 2020, au début de la pandémie, le gouvernement introduisait prudemment des mesures et tentait de les justifier avec des chiffres. Aujourd’hui, le régime dicte ses volontés et les médias les vendent en montrant des clips de mourants aux nouvelles.
Les mondialistes jubilent. En effet, le putsch planétaire est sur le point de triompher. La présidence de Trump a été éliminée, la vaccination avance, le certificat vaccinal s’en vient. L’empire mondial prend forme. Ses rouages de contrôle seront l’état d’urgence semi-permanent, les injections à répétition, le passeport sanitaire et le contrôle informatisé des accès.
Bientôt, au Québec, tous les décideurs seront des injectés. Comment faire autrement, en effet, puisqu’il faut se déplacer librement et socialiser ouvertement pour faire partie de l’élite. Quel politicien, quel entrepreneur, quel journaliste, quel universitaire, quel humoriste pourra maintenir son statut et sa notoriété sans certificat vaccinal ? Ainsi, l’injection du jus de « Big Pharma » deviendra, dans quelques mois, le prérequis incontournable de la réussite et même d’une simple participation à la vie sociale. Par ailleurs, les réfractaires au vaccin, ici et ailleurs, formeront une nouvelle caste d’intouchables ; leurs vies, systématiquement atrophiées, motivant les autres à se faire injecter. Chacun jouera son rôle dans la nouvelle tyrannie mondiale.
Il y a un an on aurait dit que tout ça n’était que du délire de complotiste, n’est-ce pas ? Maintenant, les applications de traçage sont installées dans vos portables, on émet les premiers certificats sanitaires, les médias réclament des contrôles internes, les variants se suivent et le gouvernement achète la troisième dose de vaccins en préparation de « l’après-déconfinement », qui débutera cet automne.
À la fin, un peuple peut-il se défendre quand l’agression vient d’en haut ? Peut-il résister quand les partis d’opposition, les journalistes, les intellectuels, les pasteurs et les artistes participent au coup d’état. Car c’est bien ce qui arrive ici : nos élites se sont liguées pour imposer le Nouvel Ordre Mondial et détruire nos libertés.
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Le Great Reset – Sommaire
Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : World Economic Forum/Flickr
Un bref résumé
Le « Great Reset », annoncé par le Forum Économique Mondial, n’est pas un délire de complotiste. C’est un agenda de transformation sociale précis et explicitement documenté. Cependant, cet agenda est si énorme, si radical, si englobant que, à moins d’avoir attentivement examiné la documentation, on peine à y croire. On dirait plutôt un scénario de science-fiction.
Le « Great Reset » ou Grande remise à zéro vise l’implantation accélérée de l’agenda d’ingénierie sociale radical parrainé par l’ONU (l’Agenda 2030) en 17 objectifs de développement durables (ODD) sur une période de dix ans (2020 à 2030). Celui-ci est mis en application par le grand capital à travers les partenaires du Forum Économique Mondial (FEM). Il est endossé par presque toutes les élites de la planète, politiques, académiques, religieuses et médiatiques. Ses objectifs et son échéance coïncident exactement avec ceux de l’ONU, du Club de Rome et du FMI. Il est endossé par presque tous les chefs d’états. Justin Trudeau et François Legault, en particulier le soutiennent activement. Horacio Arruda est le représentant de facto de ce Nouvel Ordre Mondial, sur place à Québec. Ce macaron des ODD qu’il porte en tous temps signale subtilement à la population et aux dirigeants du FEM que le gouvernement du Québec est entièrement soumis à l’empire mondialiste.
Ce programme, l’Agenda 2030, est en élaboration depuis plusieurs années. Il s’étend à tous les aspects de la société, des grands investissements énergétiques jusqu’aux cours d’école primaire. Il nous dit comment nous comporter, qui et quoi croire, comment élever nos enfants, quoi valoriser, quoi tolérer et quoi rejeter. Ses porte-paroles, y compris nos propres gouvernants, ont explicitement annoncé qu’ils entendaient profiter de « l’opportunité » conférée par l’urgence sanitaire pour l’implanter de façon accélérée.
Derrière sa façade souriante, cet agenda n’est que déception et mensonge. C’est un cartel capitaliste déguisé en socialisme ; un endoctrinement planétaire présenté comme une célébration de la diversité ; un système de contrôle maquillé en liberté. Ses prétentions semblent universalistes mais leur application concrète vise l’extermination de la civilisation chrétienne d’occident. Par rapport aux valeurs évangéliques, cet agenda nie la primauté du Christ, atrophie les âmes et pervertit les enfants. L’Agenda 2030 de l’ONU est un blasphème planétaire et une abomination.
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La piste hydroxy
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les séquences révèlent le plan
Ayant fait une analyse exhaustive de la documentation liée au « Great Reset », pendant l’automne 2020, j’ai compris qu’un putsch planétaire se déroulait derrière la pandémie du COVID. Cette agression avait été mise en branle par le Forum Économique Mondial et était explicitement soutenue par nos gouvernants. Plusieurs événements individuels soulignent l’étendue de l’agression en cours. Mais ce sont les séquences d’événements qui révèlent son niveau d’organisation. En effet, ce ne sont pas des événements individuels qui indiquent qu’une action est concertée mais leur agencement. Celui-ci sert, en quelque sorte, de fil conducteur.
Je décrirai ici un de ces fils conducteurs qui nous font percevoir l’étendue et aussi le degré d’organisation du putsch mondialiste en cours. Parmi ces fils, j’aurais pu choisir la destruction systématique du processus électoral américain et de la présidence de Donald Trump ou encore, l’utilisation planétaire coordonnée de slogans mondialistes. Cependant, la trame que j’ai plutôt choisie est l’une des plus simples des plus révélatrices. Il s’agit des événements entourant l’utilisation de l’Hydroxy Chloroquine (HCL), comme traitement, en phase initiale, de la COVID.
Avant la pandémie, le HCL était une drogue peu coûteuse, connue depuis 60 ans, utilisée par des millions de personnes comme remède contre la malaria, considérée comme sécuritaire et vendue sans prescription (comme l’aspirine) dans de nombreux pays. À la fin de mars 2020, au tout début de la pandémie, certains résultats préliminaires publiés par des chercheurs renommés semblaient indiquer que le HCL serait peut-être efficace comme traitement contre la COVID. Toute une série d’événements et de décisions a suivi. Voici une chronologie sommaire des événements principaux.
Lire la suiteDe retraité à complotiste
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un an de bouleversements
Au début de mars 2020, j’étais un retraité normal vivant dans une société paisible, démocratique et bienveillante. Je croyais que les médias étaient généralement crédibles, que nos élus servaient leurs citoyens et que nos partis d’opposition étaient des partis d’opposition. Je voyais les GAFAM (Google, Facebook et compagnie) comme de simples pourvoyeurs de contenu. Je pensais que les milliardaires du Forum Économique Mondial s’amusaient à « refaire le monde », à Davos les automnes, parce qu’il faisait trop froid pour le yacht et trop chaud pour le ski. À cette époque, je pensais que Qanon était une faute d’orthographe et que les « complotistes » étaient des gens qui ne savaient pas faire la différence entre les nouvelles et le cinéma. Globalement, je percevais un monde où il y avait suffisamment de diversité d’opinions, de compétition commerciale et de rigueur académique pour assurer la liberté de tous. Enfin et surtout, j’étais convaincu que ça prenait une guerre, une famine ou une crise économique pour pousser un peuple vers la catastrophe totalitaire. J’étais donc certain qu’un pays aussi paisible et prospère que le Canada était à l’abri, pour toujours, de tels bouleversements.
Aujourd’hui, quatorze mois plus tard, je pense que nos politiciens collaborent intentionnellement à un putsch mondialiste au service d’un agenda totalitaire fasciste, qu’ils ont décidé d’asservir leurs populations, de détruire nos droits et de pervertir nos enfants. Je considère que les médias sont des pourvoyeurs de propagande produisant un narratif de contrôle digne de la Pravda de Staline. Pour moi, maintenant, les « autorités » n’ont plus aucune crédibilité et les publications scientifiques les plus prestigieuses sont aussi les plus suspectes. Dans ma nouvelle réalité, le grand capital exerce une influence occulte et insidieuse qui pourrit toutes les sphères de l’activité humaine en influençant sans cesse la sélection des dirigeants. C’est un monde où les élites sont des collabos au service du Forum Économique Mondial. Autrement dit, plus ça vient de haut plus c’est faux.
Ouf ! L’an dernier j’étais un retraité qui pêchait l’éperlan dans un pays paisible ; me voici devenu un complotiste marginalisé en lutte contre un empire planétaire.
Lire la suiteLa vaccination, stade ultime de la consommation
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
L’injection subventionnée, rêve du grand capital
L’injection obligatoire et subventionnée de molécules brevetées est le stade ultime de la consommation. Des forces économiques immenses nous y poussent.
Sébastien Charles, dans De la postmodernité à l’hypermodernité (Revue Argument, Vol 8, N° 1), décrit « l’hyperconsommation » comme une exacerbation de la logique marchande qui se manifeste par une consommation de biens matériels motivée par une logique émotive et hédoniste.
Cette définition fait référence à la consommation de masse, c’est-à-dire la consommation individuelle de biens produits par le grand capital. Mais, s’agit-il du stade ultime de la consommation ? Non, pas si on considère que la consommation, dans sa forme la plus épurée, est la satisfaction d’un besoin par un bien propriétaire contre un paiement monétaire.
Dans cette optique, le bien matériel lui-même peut être perçu comme l’emballage du besoin et donc une source de coûts accessoires dans la relation de consommation. La nouvelle voiture, par exemple, pour satisfaire un besoin de transportation fournit un bien matériel qui pèse plus de deux tonnes qu’il faut concevoir, manufacturer et amener à un détaillant où il sera vendu. Pareillement, l’activation d’une « logique émotive et hédoniste » chez le consommateur implique des coûts de conception et de marketing pour susciter l’achat ainsi que la fabrication d’un bien dont l’utilisation procure un effet perceptible plaisant. L’activité de vente au détail plutôt que par achats collectifs génère des inefficacités additionnelles. Finalement, la production de ces biens matériels consomme des ressources immenses et leur disposition, après usage, génère énormément de pollution. Dans l’optique d’une économie durable qui demeure asservie aux intérêts du grand capital, la consommation de masse doit donc évoluer vers une forme de production qui nécessite un minimum de ressources matérielles et énergétiques et génère un minimum de déchets.
Quelle serait donc une relation consommation liant les individus au grand capital qui serait libérée de ces inefficacités ?
Lire la suiteLa masturbation universelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
Un projet immense et insidieux
Récemment, tous les chefs d’état de la planète, avec l’appui explicite du capital mondial et des grandes religions ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre, à l’école et en dehors, à partir de l’âge de neuf ans, que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance.
On déniche cet objectif d’endoctrinement mondial, dans quelques phrases enfouies parmi des dizaines de paragraphes édifiants, parsemés de jolis logos et d’images d’enfants souriants. Malgré ces apparences trompeuses, il s’agit d’un projet immense et spécifique qui dispose de tous les moyens financiers, idéologiques et politiques nécessaires pour être réalisé. La masturbation, cette petite chose que tous connaissent et dont personne ne parle, révèle ainsi toute l’étendue, la perfidie et la radicalité de l’agenda mondialiste.
En lisant ce qui précède, certains lecteurs pensent peut-être que je divague (« tous les chefs d’État… vraiment ! ») et que seul un complotiste ahuri et sexuellement obsédé pourrait imaginer une chose pareille. Je répète donc :
Récemment, (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019) tous les chefs d’état de la planète (Ibid., endossée par 193 états) avec l’appui explicite du capital mondial (https://fr.weforum.org/communities/gfc-on-sdg-investment) et des grandes religions (https://www.rfp.org/priority-global-partnerships/) ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019, items 5 et 6 ; UNDP document, Parliament’s Role in implementing the sustainable development goals, 2017, page 12) à l’école et en dehors (UNESCO/UNSD- International technical guidance on sexuality education, 2018, page 30) à partir de l’âge de neuf ans (Ibid., page 71) que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence (Ibid., page 71, objectif 7.2) et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance (Ibid., page 91).
Mais, me dira-t-on, pourquoi s’énerver à propos de quelques mots dans un ou l’autre des documents de l’ONU ; tout ça ne nous concerne pas, ce sont des généralités sans importance. C’est, en effet, ce que je croyais moi aussi, avant le 11 mars 2020 quand le putsch planétaire a commencé. La dictature sanitaire qui s’amplifie sans cesse au Québec et ailleurs a maintenant révélé à quel point l’Agenda 2030 est imminent et à quel point nos dirigeants sont déterminés à imposer ce fascisme radical dans toute son étendue, ici même. Et ceci inclut les doctrines sexuelles qu’on veut inculquer aux enfants.
La masturbation serait sans conséquence, vraiment ? Un cycle de stimulation récompense, pratiqué à répétition, n’aurait aucun impact sur le comportement ni sur les questions identitaires. Vraiment ? Suis-je le seul adulte au monde qui a déjà eu quinze ans ?
Lire la suitePrès de l’arbre : Les enfants et les élites
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Dans les derniers articles et ailleurs, j’ai déclaré que le Great Reset (la grande réinitialisation de l’agenda 2030) était l’agression la plus maléfique de notre génération. À mon avis, c’est une conjecture, les mesures sanitaires abusives que nous subissons présentement font partie d’un conditionnement social menant à cette tyrannie.
Certaines des raisons qui me portent à faire ces affirmations sont complexes et techniques. D’autres sont simples. Les enfants sont une des raisons simples. L’Agenda 2030 soutenu par le Forum Économique Mondial et par nos gouvernements est un projet planétaire de perversion des enfants. Je fonde cette affirmation sur mon adhésion au Christ. Plutôt que de l’étoffer avec des arguments théologiques, je vous propose plutôt une histoire.
Le Christ a dit : « Laissez venir à moi les petits enfants » (Luc 18 : 15). Imaginons que cette journée-là, en Palestine, il y a deux mille ans, Jésus est assis sous un arbre et se repose. Cinq enfants s’amusent autour de lui. Deux visiteurs, jeunes et souriants, s’approchent du groupe. Ils parlent en alternance :
― Nous avons un problème de déforestation en Palestine.
― Nos belles forêts disparaissent.
― Trop de gens coupent les arbres pour se chauffer et cuisiner.
― Il faut réduire la population en la stérilisant par des moyens détournés.
― Nous prendrons donc deux de ces enfants qui jouent près de toi pour les induire dans des identités sexuelles stériles et dénaturées. Nous leur donnerons, si possible, des hormones. Ainsi, en sacrifiant une portion des enfants, tout le pays sera soulagé.
― Ce sera une solution durable.
Chacun des visiteurs saisit alors un des enfants et s’apprête à partir.
Faisons, ici, une pause pour raffiner la scène. C’est l’après-midi. L’arbre, assez gros est un solitaire qui pousse sur le flanc d’un coteau. On peut voir un village au loin. Chacun des visiteurs tient la main d’un enfant. Jésus est assis sur son manteau replié et accoudé au tronc. Les deux enfants que les visiteurs tiennent regardent Jésus, incertains. Les trois autres, un peu gênés, ne savent pas quoi faire. Le Christ tourne son regard vers les visiteurs. Une brise agite une mèche de ses cheveux. On entend un grillon…
…
Bon, je poursuis. En effet, arrivé à ce point de la rédaction je me suis levé et j’ai marché en long et en large pendant cinq minutes, comme un tigre en cage.
Je suis un disciple de Jésus. Comme ces enfants près de l’arbre, j’écoute ce que les élites mondiales et nationales me racontent et je regarde le Christ. Pour moi, la réponse est claire : il faut abattre cette abomination.
Et vous les parents ? Vous êtes peut-être un peu libérés, agnostiques, indifférents, laïcs… Vous vous dites peut-être que ça ne vous concerne pas, que vous êtes comme tout le monde et vous faites comme les autres. Demandez-vous ceci : près de qui voulez-vous que vos enfants grandissent en ces jours de Great Reset ?
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L'exercice épidémique Event 201 d'octobre 2019, organisé par Bill Gates, sur une pandémie de coronavirus et des mesures sanitaires…
Bill Gates.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Je vous propose ci-dessous ma rapide traduction d’une tribune de Robert F. Kennedy, de Children’s Health Defense aux Etats-Unis, reproduite par LifeSiteNews. D’après les enregistrements en ligne de l’Event 201 par lequel Bill Gates et d’autres s’étaient livrés à une simulation d’une pandémie meurtrière de coronavirus… en octobre 2019, il souligne qu’à l’époque on s’interrogeait sur la nécessité de surveiller les réseaux sociaux et bloquer les critiques des vaccins qui permettraient de mettre fin à la pandémie.
L’ensemble offre des similitudes troublantes avec ce qui se passe aujourd’hui. – J.S.
*
Au cours des deux dernières semaines, Facebook et d’autres sites de réseaux sociaux m’ont banni, ainsi que de nombreux autres opposants à la corruption officielle et aux politiques de santé publique autoritaires. Voici donc de quoi nourrir ceux d’entre vous qui avez le sentiment étrange que la réponse du gouvernement et de l’industrie à la pandémie semble avoir été planifiée – avant même qu’il y ait une pandémie.
Le document ci-joint [retranscription en anglais des débats lors de l’Event 201] montre qu’une cabale d’individus puissants a effectivement commencé à planifier l’éviction massive des sceptiques vis-à-vis des vaccins des réseaux sociaux dès octobre 2019, une semaine ou deux avant que le COVID ne commence à circuler. C’est en octobre que le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a organisé un exercice de quatre simulations théoriques d’une pandémie mondiale de coronavirus avec d’autres gros légumes de l’« État profond ». L’exercice a été baptisé Event 201.
Les co-conspirateurs de Gates comprenaient des représentants de la Banque mondiale, du Forum économique mondial (Great Reset), du Bloomberg/Johns Hopkins University Populations Center, des Centers for Disease Control and Prevention, de divers médias, du gouvernement chinois, d’un ancien directeur de la Central Intelligence Agency/National Security Agency (les « anciens » agents de la CIA, ça n’existe pas), du fabricant de vaccins Johnson & Johnson, des secteurs de la finance et de la biosécurité, ainsi que d’Edelman, la plus grande société de relations publiques au monde.
Sous la direction de Gates, ces éminences ont joué le rôle de membres d’un conseil de contrôle de la pandémie, élaborant des stratégies gouvernementales pour contrôler la pandémie, le récit et la population. Inutile de dire qu’il n’a guère été question de la mise en place de systèmes immunitaires, de remèdes prêts à l’emploi ou de médicaments et vitamines thérapeutiques non brevetés, mais beaucoup de la promotion de l’adoption de nouveaux médicaments antiviraux et vaccins brevetables.
Mais les participants se sont surtout concentrés sur la planification de stratégies d’État policier, centrées sur l’industrie et axées sur la peur, pour gérer une contagion mondiale imaginaire par un coronavirus qui culminerait par une censure massive des réseaux sociaux.
Curieusement, Gates affirme aujourd’hui que la simulation n’a jamais eu lieu. Le 12 avril 2020, Gates déclarait à la BBC : « Maintenant, nous y sommes. Nous n’avons pas simulé cela, nous n’avons pas fait d’exercices pratiques, donc tant pour les politiques de santé que pour les politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu. »
Malheureusement pour ce bobard, les vidéos de l’événement sont toujours disponibles sur Internet. Elles montrent que Gates et son équipe ont bel et bien simulé des politiques de santé et des politiques économiques. Il est difficile de croire que Gates a pu l’oublier.
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce la « Grande réinitialisation »
Cardinal Gerhard Müller, ex-préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Par Maike Hickson ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Patrick Craine/LifeSiteNews
5 février 2021 (LifeSiteNews) ― Le cardinal Gerhard Müller, ex-préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a récemment ajouté ses réflexions, dans un entretien avec Edward Pentin du National Catholic Register, au débat entourant la Grande réinitialisation (Great Reset), telle que promue par le Forum économique mondial de Davos (FEM). Dans ce contexte, le cardinal lance un grave avertissement : il voit une alliance entre les organismes capitalistes occidentaux avec la Chine, formant un nouveau « capital-socialisme unifié ».
Le 29 janvier, le prélat allemand déclara à Pentin que les deux camps — « le capitalisme mercantile, les géants de la technologie des pays occidentaux » et le « communisme de la République populaire de Chine » — « convergent et s’allient aujourd’hui en un capital-socialisme unifié », donnant le jour à un « nouveau colonialisme ». Par ces propos, il semble laisser entendre que nous assistons ici à l’alliance des grandes puissances financières avec les États communistes — en particulier la Chine — visant à la domination des puissances mondiales capitalistes sur le monde, tandis que les masses sont maintenues dans des sociétés socialistes, contrôlées et réprimées par l’État. Ceci n’est pas sans rappeler les actions des pays occidentaux face à la crise du coronavirus¹ qui ont entraîné la suppression de nombreuses libertés au nom d’une crise sanitaire. LifeSite a pris contact avec le cardinal Müller pour approfondir la question. Nous écrirons un article sur ses commentaires si nous les recevons.
Le Great Reset est un programme publié par le Forum économique mondial (FEM) qui utilise la crise du coronavirus comme raison d’un remaniement fondamental sur la façon dont nous, être humains, vivons ensemble sur terre. Le FEM prétend sur son site internet que « les changements que nous avons déjà observés en réaction au covi-19 prouvent qu’une reconfiguration de nos bases économiques et sociales est possible ». À la lumière des crises économiques et environnementales prédites, le FEM affirme que « nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux ». La façon dont cette reconstruction de nos sociétés est perçue par ces acteurs financiers mondiaux (voici une liste des participants à la réunion du FEM 2020 à Davos, en Suisse) peut être vue dans une vidéo du FEM intitulée Huit prédictions pour le monde en 2030.
Cette vidéo annonce : « vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. Tout ce que vous voudrez, vous le louerez et il vous sera livré par drone ». Outre l’abolition de la propriété privée — un objectif typique des idéologies socialistes — le FEM prévoit également la fin des valeurs occidentales, lesquelles sont évidemment basées sur le christianisme : « Les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture. » Il faut se demander quel genre de valeurs remplaceront ces « valeurs occidentales » et d’où elles viendront.
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