Le moment Titanic
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Une légère secousse annonce la fin d’un monde
Les superstitieux peuvent célébrer ces temps-ci ! Si jamais il y a eu un moment où un alignement planétaire a coïncidé exactement avec un événement immense, c’est bien le 21 décembre 2020, jour de la conjoncture de Saturne et Jupiter. En effet, ces planètes se rencontraient au même moment que l’ordre mondial de l’après-guerre s’écroulait devant le putsch planétaire des mondialistes. Les astrologues vous diront que cette conjoncture signale la fin de l’Ère bimillénaire du Poisson et le début de celle du Verseau. Eh bien, ils n’auraient pas pu trouver une date plus probante !
Nous avons connu, pendant les neuf mois qui ont précédé cette conjoncture astrale, la plus grande mutation sociale de notre génération et peut-être de tous les temps. Nous avons vécu, en ce court laps, l’effondrement de l’ordre mondial de l’après-guerre, l’affaissement des démocraties nationales, la trahison généralisée des élites, la fin de la liberté de droit, la destruction de l’histoire et la marginalisation de tous les codes moraux traditionnels, chrétiens et autres, qui fondent nos sociétés. Tout a été bouleversé et pourtant on dirait en cet été 2021 que nous ne traversons qu’une crise sanitaire passagère. C’est un moment Titanic.
Quand un iceberg a éventré la coque du Titanic, le condamnant sans appel à sombrer, les passagers n’ont perçu qu’une légère secousse. Pendant un certain temps la vie à bord a continué apparemment inchangée, mais dans un climat irréel. On soupait, on lisait, on conversait, on faisait des plans d’avenir comme si tout était pareil. Seule une certaine anxiété, à peine perceptible, flottait dans l’air. Pourtant, la catastrophe, encore invisible, avait déjà commencé.
Nous vivons un moment semblable en cet été 2021, mais à l’échelle de la planète. Sur le Titanic, ce moment d’illusion a persisté pendant environ une demi-heure. À l’échelle planétaire, elle s’étale sur quelques années. Avec la « pandémie », le communisme mondialiste a éventré notre monde et détruit les fondements qui le soutiennent, mais nous n’avons encore perçu qu’une légère secousse. On planifie des barbecues, on fait des plans de vacances, on parle de « sortie de crise »… seule une certaine anxiété flotte dans l’air.
Lire la suiteProfesseur d'université : le véritable enjeu de la lutte autour du covid est spirituel
Le professeur Edward Curtin.
Par Edward Curtin (Edward Curtin) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edward Curtin, trouvée sur transcend.org
Après quinze mois de lectures assidues, d’études, d’observations et de recherches, je suis parvenu à certaines conclusions au sujet de ce qu’on appelle le COVID-19. Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail de manière obsessionnelle tant il me semblait important. J’ai consulté des informations et des arguments dans tous les médias, qu’ils soient corporatifs ou alternatifs, universitaires, médicaux, tirés de livres, etc. J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web du CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations de santé gouvernementales et non gouvernementales. En d’autres termes, je n’ai négligé aucune piste, malgré les tendances politiques manifestes ou cachées des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que nombre de mes sources soient des médecins et des études médicales.
Mes conclusions succinctes suivent, sans liens vers les sources, car je n’essaie pas de persuader qui que ce soit de quoi que ce soit, mais simplement d’énoncer pour le public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.
- Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version du COVID-19 présentée par les médias corporatifs. J’en ai conclu que des millions de personnes sont en état de transe et ne le savent pas. Elles ont été mises dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est appuyée sur la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont à l’origine de cette campagne ont sans doute étudié la forte incidence de l’hypocondrie dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour susciter l’obéissance.
- Je ne sais pas mais je soupçonne que ceux qui ont été ainsi hypnotisés ont tendance à être principalement des membres des classes moyenne et supérieure, c’est-à-dire ceux qui ont si profondément cru au système. Cela inclut des personnes hautement scolarisées.
- Je sais que le fait d’enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, d’insister pour qu’elles portent des masques inutiles, de leur dire d’éviter les contacts humains, de détruire la vie économique des gens ordinaires a créé une vaste souffrance qui était censée donner une leçon aux gens sur qui contrôlait la situation et leur imposer de revoir leur conception des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de substituer à la réalité humaine en chair et en os, en face à face.
- Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas détecter le prétendu virus ou tout autre virus et que, par conséquent, tous ces nombres de cas et de décès ne sont basés sur rien. Ils sont apparus, hors de nulle part, dans un acte massif de magie. Je sais que la croyance que l’on peut ainsi tester a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020 qui est devenu la méthode standard pour tester le SRAS-CoV-2 dans le monde entier. Je suis sûr que cela était planifié et faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole fixait le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que des résultats faussement positifs. On les appelait alors des cas : il s’agit d’un acte de fraude à grande échelle.
Mgr Viganò parle de la grande réinitialisation et donne de l’espoir à la lumière des messages de la Vierge à Fatima
Mgr Carlo Maria Viganó.
Par Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 mai 2021 (LifeSiteNews) — Mgr Carlo Maria Viganò m’a aimablement accordé une entrevue que nous avons réalisée pour Schloss Rudolfshausen, un bel apostolat catholique en Allemagne, dirigé par Mme Hélène Walterskirchen et sa fille, Alexandra. Elles publient des traductions de Mgr Viganò, ainsi que de LifeSite et de bien d’autres. Mme Walterskirchen et sa fille publient également la revue Kultur-Magazin, pour laquelle cette nouvelle entrevue du prélat italien a été réalisée.
Mgr Viganò couvre dans cette longue entrevue de nombreux aspects de la Grande Réinitialisation, ses liens avec la Chine et ses politiques de confinements sévères ; ses liens avec des acteurs mondiaux clés tels que le Forum économique mondial (FEM), le groupe Bilderberg, les Rockefeller et les Rothschild ; et sa « matrice essentiellement maçonnique ». Comme nous le voyons, il s’agit d’un remplacement du christianisme par une règle mondiale maçonnique qui est similaire à celle des anciennes expériences communistes dans le monde. Ce qui relie les anciennes expériences à cette nouvelle expérience internationale est en effet la franc-maçonnerie.
Mgr Viganò présente le discours d’un ancien franc-maçon français, le Dr Pierre Gilbert qui, il y a 25 ans, avait prédit l’apparition d’une maladie qui serait ensuite utilisée à des fins politiques :
Il existe une déclaration très intéressante et très révélatrice de Pierre J. Gilbert (ici) qui date de 1995 et qui énumère toutes les étapes que nous voyons aujourd’hui se dérouler sous nos yeux avec la farce tragique du Covid : de l’inoculation massive d’un vaccin à la création de camps de détention pour les dissidents. Ce franc-maçon converti a révélé les objectifs de l’infâme secte il y a 25 ans.
Mais à la lumière de ces nouvelles inquiétantes, l’archevêque italien ne nous laisse pas sans espoir ; il fait remarquer que, souvent, ces éléments révolutionnaires se retournent aussi les uns contre les autres, et il ne croit donc pas que le temps soit encore venu de la grande réinitialisation avec ses soubassements maléfiques.
Un signe qu’il pourrait avoir raison est le fait que l’un des principaux chefs de ce programme Corona, Bill Gates, est actuellement très critiqué pour sa proximité avec le délinquant sexuel Jeffrey Epstein, déjà connu à l’époque. De plus en plus d’informations sont actuellement révélées au grand jour, et ces informations sapent sérieusement la crédibilité de Gates.
Lire la suiteL’autorité et la légitimité
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : zeno.org/Wikimedia Commons
Le débordement des compétences
Le putsch planétaire, en cours depuis mars 2020, vise l’imposition d’un Nouvel Ordre Mondial défini par les 17 Objectifs de Développement Durable de l’ONU via la mise en place d’une dictature sanitaire mondiale. Cette agression est orchestrée par les partenaires du Forum Économique Mondial, le FMI et la bureaucratie de l’ONU. À la suite d’un long processus de corruption, en cours depuis des décennies, presque toutes les élites de la planète, politiques, médiatiques, religieuses et scientifiques y contribuent. En particulier, le gouvernement canadien, sous Justin Trudeau, s’est engagé officiellement à nous soumettre aux agendas de l’empire mondialiste. Ce Nouvel Ordre Mondial serait l’aboutissement d’une démarche moderniste de rejet radical des valeurs traditionnelles et de la Loi naturelle. Les mesures sanitaires qu’on nous impose aujourd’hui anticipent déjà cette tyrannie.
Dans un premier temps, cette démarche de rejet des valeurs récompensait les individus libertaires en accordant une plus grande licence (surtout sexuelle) à ceux qui se « libéraient ». Cette licence, se répandant au cours des années, a sapé nos institutions. Les fondements mêmes des sociétés chrétiennes ont été lentement érodés sans que rien n’y paraisse. Cette sape aboutit à l’effondrement soudain, au moindre choc, des structures traditionnelles. C’est ce qui est arrivé en 2020. Un virus relativement bénin a suffi pour terrasser des institutions sociales qui avaient survécu à deux guerres mondiales et à des crises beaucoup plus graves au siècle précédent. Une tyrannie planétaire déshumanisée et dénuée de sagesse menace maintenant de combler ce vide.
Cette nouvelle tyrannie ne constituerait pas une nouvelle autorité civile dans le sens conventionnel du terme. En effet l’idéologie moderniste a une dimension spirituelle marquée qui est centrée sur le rejet, non seulement de la doctrine chrétienne mais des sagesses humaines traditionnelles et même de la Loi naturelle. Ceci mène à des régimes politiques qui débordent gravement de leurs compétences en tant qu’autorités civiles. Dans la tyrannie moderniste, l’état redéfinit la nature humaine et impose sa propre religion.
Par conséquent, si le putsch planétaire en cours parvient à imposer ce Nouvel Ordre Mondial, le chrétien se retrouvera devant une autorité civile qui n’émane pas de la volonté de Dieu mais provient plutôt d’une démarche satanique. Il s’agira, dans ce cas, d’un régime fondamentalement immoral dont les édits pourront être légitimement rejetés, même par la voie de l’insurrection, si les circonstances le justifient. D’ailleurs, personne ne conteste que les tyrannies modernistes précédentes, le nazisme et le stalinisme, pouvaient être légitimement combattues.
Lire la suitePutsch et pandémie
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
La cadence accélère
Jusqu’à récemment, les transformations radicales que les forces mondialistes voulaient mettre en place butaient sur la résistance des institutions démocratiques. Avec la pandémie, celles-ci ont sauté. À partir du 13 mars 2020 et en l’espace de quelques semaines, les sociétés occidentales sont devenues des dictatures. Un an plus tard nos gouvernements, en ligue avec le Forum Économique Mondial, ont poussé la population, grâce à un ensemble de mesures coercitives, à accepter, comme solution unique pour sortir de « la crise », la vaccination universelle suivie d’un contrôle généralisé des déplacements et des accès.
Aujourd’hui (en mai 2021), la campagne de vaccination avance à fond de train. Le gouvernement québécois ne se donne même plus la peine de justifier ses dernières « décisions » sanitaires : vaccination des femmes enceintes, vaccination des enfants, deuxièmes doses avec des vaccins différents… La population, harassée par les restrictions, le masquage, le couvre feu, les agressions économiques est assoiffée de liberté et se fait injecter sans poser de questions. Le régime ne fait même plus semblant d’hésiter avant d’imposer ses nouvelles mesures. On annonce la venue de contrôles sur la base de certificats sanitaires, les médias applaudissent. Le « père » Legault déclare qu’il veut voir 75 % de vaccinés, personne ne questionne. La deuxième dose n’est pas administrée et déjà on parle de la troisième, pourquoi pas, « jamais deux sans trois ». C’est quoi ces annonces de pourcentage à vacciner, de troisième dose sans même étudier les effets de la première, de la médecine ? de la science ? de la prophétie ? On s’en fout ! En mars 2020, au début de la pandémie, le gouvernement introduisait prudemment des mesures et tentait de les justifier avec des chiffres. Aujourd’hui, le régime dicte ses volontés et les médias les vendent en montrant des clips de mourants aux nouvelles.
Les mondialistes jubilent. En effet, le putsch planétaire est sur le point de triompher. La présidence de Trump a été éliminée, la vaccination avance, le certificat vaccinal s’en vient. L’empire mondial prend forme. Ses rouages de contrôle seront l’état d’urgence semi-permanent, les injections à répétition, le passeport sanitaire et le contrôle informatisé des accès.
Bientôt, au Québec, tous les décideurs seront des injectés. Comment faire autrement, en effet, puisqu’il faut se déplacer librement et socialiser ouvertement pour faire partie de l’élite. Quel politicien, quel entrepreneur, quel journaliste, quel universitaire, quel humoriste pourra maintenir son statut et sa notoriété sans certificat vaccinal ? Ainsi, l’injection du jus de « Big Pharma » deviendra, dans quelques mois, le prérequis incontournable de la réussite et même d’une simple participation à la vie sociale. Par ailleurs, les réfractaires au vaccin, ici et ailleurs, formeront une nouvelle caste d’intouchables ; leurs vies, systématiquement atrophiées, motivant les autres à se faire injecter. Chacun jouera son rôle dans la nouvelle tyrannie mondiale.
Il y a un an on aurait dit que tout ça n’était que du délire de complotiste, n’est-ce pas ? Maintenant, les applications de traçage sont installées dans vos portables, on émet les premiers certificats sanitaires, les médias réclament des contrôles internes, les variants se suivent et le gouvernement achète la troisième dose de vaccins en préparation de « l’après-déconfinement », qui débutera cet automne.
À la fin, un peuple peut-il se défendre quand l’agression vient d’en haut ? Peut-il résister quand les partis d’opposition, les journalistes, les intellectuels, les pasteurs et les artistes participent au coup d’état. Car c’est bien ce qui arrive ici : nos élites se sont liguées pour imposer le Nouvel Ordre Mondial et détruire nos libertés.
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Le Great Reset – Sommaire
Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : World Economic Forum/Flickr
Un bref résumé
Le « Great Reset », annoncé par le Forum Économique Mondial, n’est pas un délire de complotiste. C’est un agenda de transformation sociale précis et explicitement documenté. Cependant, cet agenda est si énorme, si radical, si englobant que, à moins d’avoir attentivement examiné la documentation, on peine à y croire. On dirait plutôt un scénario de science-fiction.
Le « Great Reset » ou Grande remise à zéro vise l’implantation accélérée de l’agenda d’ingénierie sociale radical parrainé par l’ONU (l’Agenda 2030) en 17 objectifs de développement durables (ODD) sur une période de dix ans (2020 à 2030). Celui-ci est mis en application par le grand capital à travers les partenaires du Forum Économique Mondial (FEM). Il est endossé par presque toutes les élites de la planète, politiques, académiques, religieuses et médiatiques. Ses objectifs et son échéance coïncident exactement avec ceux de l’ONU, du Club de Rome et du FMI. Il est endossé par presque tous les chefs d’états. Justin Trudeau et François Legault, en particulier le soutiennent activement. Horacio Arruda est le représentant de facto de ce Nouvel Ordre Mondial, sur place à Québec. Ce macaron des ODD qu’il porte en tous temps signale subtilement à la population et aux dirigeants du FEM que le gouvernement du Québec est entièrement soumis à l’empire mondialiste.
Ce programme, l’Agenda 2030, est en élaboration depuis plusieurs années. Il s’étend à tous les aspects de la société, des grands investissements énergétiques jusqu’aux cours d’école primaire. Il nous dit comment nous comporter, qui et quoi croire, comment élever nos enfants, quoi valoriser, quoi tolérer et quoi rejeter. Ses porte-paroles, y compris nos propres gouvernants, ont explicitement annoncé qu’ils entendaient profiter de « l’opportunité » conférée par l’urgence sanitaire pour l’implanter de façon accélérée.
Derrière sa façade souriante, cet agenda n’est que déception et mensonge. C’est un cartel capitaliste déguisé en socialisme ; un endoctrinement planétaire présenté comme une célébration de la diversité ; un système de contrôle maquillé en liberté. Ses prétentions semblent universalistes mais leur application concrète vise l’extermination de la civilisation chrétienne d’occident. Par rapport aux valeurs évangéliques, cet agenda nie la primauté du Christ, atrophie les âmes et pervertit les enfants. L’Agenda 2030 de l’ONU est un blasphème planétaire et une abomination.
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La piste hydroxy
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les séquences révèlent le plan
Ayant fait une analyse exhaustive de la documentation liée au « Great Reset », pendant l’automne 2020, j’ai compris qu’un putsch planétaire se déroulait derrière la pandémie du COVID. Cette agression avait été mise en branle par le Forum Économique Mondial et était explicitement soutenue par nos gouvernants. Plusieurs événements individuels soulignent l’étendue de l’agression en cours. Mais ce sont les séquences d’événements qui révèlent son niveau d’organisation. En effet, ce ne sont pas des événements individuels qui indiquent qu’une action est concertée mais leur agencement. Celui-ci sert, en quelque sorte, de fil conducteur.
Je décrirai ici un de ces fils conducteurs qui nous font percevoir l’étendue et aussi le degré d’organisation du putsch mondialiste en cours. Parmi ces fils, j’aurais pu choisir la destruction systématique du processus électoral américain et de la présidence de Donald Trump ou encore, l’utilisation planétaire coordonnée de slogans mondialistes. Cependant, la trame que j’ai plutôt choisie est l’une des plus simples des plus révélatrices. Il s’agit des événements entourant l’utilisation de l’Hydroxy Chloroquine (HCL), comme traitement, en phase initiale, de la COVID.
Avant la pandémie, le HCL était une drogue peu coûteuse, connue depuis 60 ans, utilisée par des millions de personnes comme remède contre la malaria, considérée comme sécuritaire et vendue sans prescription (comme l’aspirine) dans de nombreux pays. À la fin de mars 2020, au tout début de la pandémie, certains résultats préliminaires publiés par des chercheurs renommés semblaient indiquer que le HCL serait peut-être efficace comme traitement contre la COVID. Toute une série d’événements et de décisions a suivi. Voici une chronologie sommaire des événements principaux.
Lire la suiteDe retraité à complotiste
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un an de bouleversements
Au début de mars 2020, j’étais un retraité normal vivant dans une société paisible, démocratique et bienveillante. Je croyais que les médias étaient généralement crédibles, que nos élus servaient leurs citoyens et que nos partis d’opposition étaient des partis d’opposition. Je voyais les GAFAM (Google, Facebook et compagnie) comme de simples pourvoyeurs de contenu. Je pensais que les milliardaires du Forum Économique Mondial s’amusaient à « refaire le monde », à Davos les automnes, parce qu’il faisait trop froid pour le yacht et trop chaud pour le ski. À cette époque, je pensais que Qanon était une faute d’orthographe et que les « complotistes » étaient des gens qui ne savaient pas faire la différence entre les nouvelles et le cinéma. Globalement, je percevais un monde où il y avait suffisamment de diversité d’opinions, de compétition commerciale et de rigueur académique pour assurer la liberté de tous. Enfin et surtout, j’étais convaincu que ça prenait une guerre, une famine ou une crise économique pour pousser un peuple vers la catastrophe totalitaire. J’étais donc certain qu’un pays aussi paisible et prospère que le Canada était à l’abri, pour toujours, de tels bouleversements.
Aujourd’hui, quatorze mois plus tard, je pense que nos politiciens collaborent intentionnellement à un putsch mondialiste au service d’un agenda totalitaire fasciste, qu’ils ont décidé d’asservir leurs populations, de détruire nos droits et de pervertir nos enfants. Je considère que les médias sont des pourvoyeurs de propagande produisant un narratif de contrôle digne de la Pravda de Staline. Pour moi, maintenant, les « autorités » n’ont plus aucune crédibilité et les publications scientifiques les plus prestigieuses sont aussi les plus suspectes. Dans ma nouvelle réalité, le grand capital exerce une influence occulte et insidieuse qui pourrit toutes les sphères de l’activité humaine en influençant sans cesse la sélection des dirigeants. C’est un monde où les élites sont des collabos au service du Forum Économique Mondial. Autrement dit, plus ça vient de haut plus c’est faux.
Ouf ! L’an dernier j’étais un retraité qui pêchait l’éperlan dans un pays paisible ; me voici devenu un complotiste marginalisé en lutte contre un empire planétaire.
Lire la suiteLa vaccination, stade ultime de la consommation
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
L’injection subventionnée, rêve du grand capital
L’injection obligatoire et subventionnée de molécules brevetées est le stade ultime de la consommation. Des forces économiques immenses nous y poussent.
Sébastien Charles, dans De la postmodernité à l’hypermodernité (Revue Argument, Vol 8, N° 1), décrit « l’hyperconsommation » comme une exacerbation de la logique marchande qui se manifeste par une consommation de biens matériels motivée par une logique émotive et hédoniste.
Cette définition fait référence à la consommation de masse, c’est-à-dire la consommation individuelle de biens produits par le grand capital. Mais, s’agit-il du stade ultime de la consommation ? Non, pas si on considère que la consommation, dans sa forme la plus épurée, est la satisfaction d’un besoin par un bien propriétaire contre un paiement monétaire.
Dans cette optique, le bien matériel lui-même peut être perçu comme l’emballage du besoin et donc une source de coûts accessoires dans la relation de consommation. La nouvelle voiture, par exemple, pour satisfaire un besoin de transportation fournit un bien matériel qui pèse plus de deux tonnes qu’il faut concevoir, manufacturer et amener à un détaillant où il sera vendu. Pareillement, l’activation d’une « logique émotive et hédoniste » chez le consommateur implique des coûts de conception et de marketing pour susciter l’achat ainsi que la fabrication d’un bien dont l’utilisation procure un effet perceptible plaisant. L’activité de vente au détail plutôt que par achats collectifs génère des inefficacités additionnelles. Finalement, la production de ces biens matériels consomme des ressources immenses et leur disposition, après usage, génère énormément de pollution. Dans l’optique d’une économie durable qui demeure asservie aux intérêts du grand capital, la consommation de masse doit donc évoluer vers une forme de production qui nécessite un minimum de ressources matérielles et énergétiques et génère un minimum de déchets.
Quelle serait donc une relation consommation liant les individus au grand capital qui serait libérée de ces inefficacités ?
Lire la suiteLa masturbation universelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
Un projet immense et insidieux
Récemment, tous les chefs d’état de la planète, avec l’appui explicite du capital mondial et des grandes religions ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre, à l’école et en dehors, à partir de l’âge de neuf ans, que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance.
On déniche cet objectif d’endoctrinement mondial, dans quelques phrases enfouies parmi des dizaines de paragraphes édifiants, parsemés de jolis logos et d’images d’enfants souriants. Malgré ces apparences trompeuses, il s’agit d’un projet immense et spécifique qui dispose de tous les moyens financiers, idéologiques et politiques nécessaires pour être réalisé. La masturbation, cette petite chose que tous connaissent et dont personne ne parle, révèle ainsi toute l’étendue, la perfidie et la radicalité de l’agenda mondialiste.
En lisant ce qui précède, certains lecteurs pensent peut-être que je divague (« tous les chefs d’État… vraiment ! ») et que seul un complotiste ahuri et sexuellement obsédé pourrait imaginer une chose pareille. Je répète donc :
Récemment, (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019) tous les chefs d’état de la planète (Ibid., endossée par 193 états) avec l’appui explicite du capital mondial (https://fr.weforum.org/communities/gfc-on-sdg-investment) et des grandes religions (https://www.rfp.org/priority-global-partnerships/) ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019, items 5 et 6 ; UNDP document, Parliament’s Role in implementing the sustainable development goals, 2017, page 12) à l’école et en dehors (UNESCO/UNSD- International technical guidance on sexuality education, 2018, page 30) à partir de l’âge de neuf ans (Ibid., page 71) que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence (Ibid., page 71, objectif 7.2) et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance (Ibid., page 91).
Mais, me dira-t-on, pourquoi s’énerver à propos de quelques mots dans un ou l’autre des documents de l’ONU ; tout ça ne nous concerne pas, ce sont des généralités sans importance. C’est, en effet, ce que je croyais moi aussi, avant le 11 mars 2020 quand le putsch planétaire a commencé. La dictature sanitaire qui s’amplifie sans cesse au Québec et ailleurs a maintenant révélé à quel point l’Agenda 2030 est imminent et à quel point nos dirigeants sont déterminés à imposer ce fascisme radical dans toute son étendue, ici même. Et ceci inclut les doctrines sexuelles qu’on veut inculquer aux enfants.
La masturbation serait sans conséquence, vraiment ? Un cycle de stimulation récompense, pratiqué à répétition, n’aurait aucun impact sur le comportement ni sur les questions identitaires. Vraiment ? Suis-je le seul adulte au monde qui a déjà eu quinze ans ?
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