Le guide soigneusement planifié, étape par étape, que les élites mondiales utilisent pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation
Par le P. Frank Unterhalt — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wlodi/Flickr
6 janvier 2022 (LifeSiteNews) — La prétendue pandémie COVID-19 fait partie du plan maçonnique du Nouvel ordre mondial et est utilisée comme instrument de la « Grande Réinitialisation » [1]. Dans cette optique, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation mondiale, Gordon Brown, a appelé à la création d’un gouvernement mondial pour faire face au coronavirus [2].
L’auteur catholique Laurence England a donné la réponse appropriée : « Le gouvernement mondial unique a pour but le pouvoir pur et simple sur les populations, pas d’aider les gens. Ils veulent un monde d’esclaves. Il [Gordon Brown] était un participant-clé du Bilderberg » [3].
En fait, tout a été planifié longtemps à l’avance. Ainsi, en mai 2010, la Fondation Rockefeller a imaginé un scénario appelé « Lock Step » qui figurait dans un document intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », dans lequel le monde serait gouverné au moyen d’un « contrôle gouvernemental de haut en bas plus strict et d’un commandement plus autoritaire » [4] lors d’une réponse pandémique fictive pendant laquelle diverses nations imiteraient les mesures extrêmes adoptées par le gouvernement chinois [5].
Les membres du Centre pour la sécurité sanitaire de Johns Hopkins, qui fait partie [6] de l’École d’hygiène et de santé publique Johns Hopkins [7] et qui a été créé grâce à un financement de la Fondation Rockefeller, ont rédigé en octobre 2017 un livre de 77 pages intitulé « The Spars Pandemic 2025-2028. A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communicators » [8]. Il s’agit d’un « scénario de temps de guerre sur la façon dont la population devrait être contrôlée et surveillée dans une telle crise » [9].
Le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’exercice de pandémie « Clade X » à Washington le 15 mai 2018 [10]. La recommandation principale était de produire de nouveaux « vaccins » et médicaments en quelques mois ─ et non pas au moins dix ans, comme cela a été le cas dans le passé. Une référence particulière a été faite aux récents développements en biologie synthétique et aux « vaccins » à ARNm auto-amplifiés. [11]
Une réunion remarquable appelée « Event 201 » s’est tenue à New York le 18 octobre 2019 [12]. L’objectif déclaré était de simuler une pandémie — causée par un nouveau coronavirus (!) [13]. Cet exercice a été organisé conjointement par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill & Melinda Gates [14].
Lire la suiteL’offensive mondiale pro-avortement
Par Grégor Puppinck — Communiqué de presse de l’European Center for Law & Justice — Photo : Unsplash
Avortement : un conflit mondial
Alors que j’écris ces lignes, le combat pour la défense de la vie humaine se mène au Parlement européen contre la Résolution Matic, mais aussi au sein de parlements nationaux (en France, à Malte ou encore à Gibraltar), devant des juridictions : à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) contre la clause de conscience, à la Cour interaméricaine des droits de l’homme contre l’interdiction de l’avortement, ou encore à la Cour Suprême des États-Unis contre l’introduction d’un délai légal antérieur au seuil de viabilité. À chaque fois et en tous lieux, les mêmes lobbies de l’avortement agissent, et à chaque fois, quelques groupes pro-vie chrétiens tentent de résister.
Au-delà des arguments, l’issue de ces combats dépend largement des forces en présence au sein de ces instances, d’où l’importance de la composition de la CEDH ou de la Cour Suprême. En effet, depuis l’origine du Planning Familial, la promotion de l’avortement a toujours été faite par un petit groupe de militants, de préférence via les tribunaux plutôt que les urnes, et grâce aux soutiens de fondations et de milliardaires anglo-saxons, tels que, par ordre chronologique, les fondations Rockefeller, Ford, Open Society, et surtout Gates, en lien avec des instances internationales, en particulier la Banque Mondiale et le Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP). Ces fondations et institutions financent et collaborent étroitement avec les multinationales de l’avortement que sont la Fédération Internationale du Planning Familial (IPPF) et Mary Stopes International. Ce sont ces grandes institutions qui décident d’ouvrir un nouveau front, tantôt en Irlande, puis en Pologne ou en Amérique latine. Elles disposent d’un budget quasi illimité, en milliards de dollars. La Fondation Gates, à elle seule, a versé plus de 25 millions de dollars depuis 2010 à la branche européenne de l’IPPF et près de trois millions de dollars, rien qu’en 2018, au European Parliamentary Forum on Population and Development (EPF), le lobby de l’IPPF auprès des institutions européennes, l’auteur probable du Rapport Matic. L’EPF est aussi financé par 22 autres organisations dont les fondations Open Society de George Soros, Nike ou Hewlett, etc.
L’objectif du lobby de l’industrie de l’avortement est de normaliser le recours à cette pratique en la présentant comme une composante essentielle des droits de l’homme, et comme exigeant par conséquent de « lever tous les obstacles à l’accès à l’avortement », en particulier la clause de conscience des professions médicales, et jusqu’à l’existence de délais légaux. La reconnaissance de l’avortement comme un droit de l’homme permet aussi de dénoncer les opposants pro-vie comme des ennemis des droits de l’homme, et de justifier l’atteinte à leur liberté d’expression. C’est ainsi que la Résolution Matic recommande de lutter contre la « désinformation » pro-vie.
Lire la suiteProfesseur d'université : le véritable enjeu de la lutte autour du covid est spirituel
Le professeur Edward Curtin.
Par Edward Curtin (Edward Curtin) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edward Curtin, trouvée sur transcend.org
Après quinze mois de lectures assidues, d’études, d’observations et de recherches, je suis parvenu à certaines conclusions au sujet de ce qu’on appelle le COVID-19. Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail de manière obsessionnelle tant il me semblait important. J’ai consulté des informations et des arguments dans tous les médias, qu’ils soient corporatifs ou alternatifs, universitaires, médicaux, tirés de livres, etc. J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web du CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations de santé gouvernementales et non gouvernementales. En d’autres termes, je n’ai négligé aucune piste, malgré les tendances politiques manifestes ou cachées des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que nombre de mes sources soient des médecins et des études médicales.
Mes conclusions succinctes suivent, sans liens vers les sources, car je n’essaie pas de persuader qui que ce soit de quoi que ce soit, mais simplement d’énoncer pour le public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.
- Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version du COVID-19 présentée par les médias corporatifs. J’en ai conclu que des millions de personnes sont en état de transe et ne le savent pas. Elles ont été mises dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est appuyée sur la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont à l’origine de cette campagne ont sans doute étudié la forte incidence de l’hypocondrie dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour susciter l’obéissance.
- Je ne sais pas mais je soupçonne que ceux qui ont été ainsi hypnotisés ont tendance à être principalement des membres des classes moyenne et supérieure, c’est-à-dire ceux qui ont si profondément cru au système. Cela inclut des personnes hautement scolarisées.
- Je sais que le fait d’enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, d’insister pour qu’elles portent des masques inutiles, de leur dire d’éviter les contacts humains, de détruire la vie économique des gens ordinaires a créé une vaste souffrance qui était censée donner une leçon aux gens sur qui contrôlait la situation et leur imposer de revoir leur conception des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de substituer à la réalité humaine en chair et en os, en face à face.
- Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas détecter le prétendu virus ou tout autre virus et que, par conséquent, tous ces nombres de cas et de décès ne sont basés sur rien. Ils sont apparus, hors de nulle part, dans un acte massif de magie. Je sais que la croyance que l’on peut ainsi tester a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020 qui est devenu la méthode standard pour tester le SRAS-CoV-2 dans le monde entier. Je suis sûr que cela était planifié et faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole fixait le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que des résultats faussement positifs. On les appelait alors des cas : il s’agit d’un acte de fraude à grande échelle.