Sauvée de l’avortement, la petite Destiny change déjà le monde autour d’elle
Par Jay Hobbs (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(Pregnancy Health News) — Dans un hôpital de Miami, une fille née lundi matin [6 mars 2017] a reçu de sa mère le nom […] Destiny (« Destin ») […] l’entrée de cette fille au monde un jour au début du mois de mars n’a rien d’anodin ; la petite réunit déjà sa famille d’une manière dont elle ne pourra se rendre compte qu’après plusieurs années.
C’était à la mi-octobre 2016 lorsque la mère de Destiny, Melissa, a reçu la nouvelle que son bébé avait reçu un diagnostic du syndrome Noonan, trouble qui, selon le site genome.gov, aboutit à des traits inhabituels et une stature anormalement petite, des troubles cardiaques dès la naissance, des hémorragies, des retards dans le développement, et la mauvaise formation de la cage thoracique.
Une peur a donc saisi Melissa, épouse et mère de deux enfants, et enceinte de 21 semaines — peur qu’elle n’avait jamais ressentie, qu’elle n’avait pas connue lors de la grossesse de ses deux premières filles. Mais si ce n’était que cela, sa mère a immédiatement fait pression sur elle afin qu’elle avorte le bébé plutôt que de s’obliger ainsi que sa jeune famille d’accueillir un enfant déficient.
Melissa aurait pu succomber à la pression et avorter Destiny, mais sa sœur, Joanna, collaboratrice de longue date du groupe Heartbeat de Miami, organisme pro-vie qui possède quatre cliniques à Miami, s’est avancée, devenant championne pour sa nièce à naître.
Lire la suiteJordan Peterson sur le genre et la soi-disant « masculinité toxique »
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Le débat sur les armes à feu, semi-automatiques ou pas, permises ou interdites a monopolisé encore une fois l’attention médiatique aux États-Unis, après la dernière fusillade de masse, celle de Parkland, en Floride, où un jeune homme — encore un — de 19 ans a tué à bout portant dix-sept personnes dans le lycée dont il avait été évincé l’année précédente. Pour tenter d’esquisser quelques explications à un tel phénomène, différentes pistes ont été explorées comme l’addiction aux psychotropes, fléau américain réel. D’autres ont visé plus haut, comme le psychologue bien connu des réseaux sociaux, Jordan B Peterson, l’homme aux 40 millions de vues sur YouTube (avec des conférences !)… Au-delà de facteurs plus visibles, il pointe le monde moderne et ses vides destructeurs — et pas la masculinité toxique dont le féminisme va affubler ces nouveaux tueurs.
Fusillades de masse : « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés »
Comment ces jeunes garçons, car le tueur de Parkland est loin d’être le seul de son espèce, en viennent à commettre l’irréparable, tant pour les autres que pour eux ? ! « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés », a répondu Jordan B Peterson, interviewé sur Fox News.
Lire la suiteUn juge de cet État juge inconstitutionnel le délai de réflexion avant d’obtenir un avortement
Par Reinformation.tv
Le gouvernement des juges est indispensable à la culture de mort… Le juge Terry Lewis vient de rendre permanente une injonction temporaire accordée l’an dernier par la Cour suprême de Floride à une clinique d’avortement contestant la mise en place d’un délai de réflexion obligatoire de 24 heures entre une demande d’intervention et sa réalisation.
Le juge a indiqué que l’Etat n’avait pas démontré son intérêt à faire appliquer la mesure ni que cet éventuel intérêt ait été défendu de la manière la plus restrictive possible. Il a notamment rejeté l’argument selon lequel la plupart des interventions médicales sont en pratique soumises à un délai, même si celui-ci n’est pas légal, ainsi que l’argument mettant en avant l’avantage de pouvoir obtenir un consentement mieux éclairé.
L’avortement continuera ainsi de constituer une des seules interventions médicales invasives à être pratiquées sur-le-champ, et ce lors d’une première visite à un avortoir.