La Floride raccourcit la période d’avortement de 24 à 15 semaines
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
La Floride vient d’adopter un projet de loi qui, une fois signé par le gouverneur et s’il survit à toutes les cours américaines, limiterait l’avortement à 15 semaines de grossesse au lieu de 24. Selon LifeSiteNews :
Le Sénat de Floride a adopté jeudi une loi interdisant l’avortement dans l’État après 15 semaines de grossesse, envoyant le projet de loi au gouverneur de l’État pro-vie Ron DeSantis (républicain) qui a promis de signer le projet de loi « dans les plus brefs délais. »
Le Sénat, dirigé par les républicains, a voté par 23 voix contre 15 en faveur du projet de loi, H.B. 5, jeudi soir, qui rendra les avortements illégaux en Floride quand il est déterminé qu’un enfant a été conçu au moins 15 semaines auparavant. La législation anticipe une éventuelle décision de la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade plus tard cette année.
Mais comme la plupart des lois sur l’avortement, elle prévoit hélas des exceptions :
Le projet de loi prévoit des exceptions pour deux cas : premièrement, lorsque « la suppression de la grossesse est nécessaire pour sauver la vie de la femme enceinte ou éviter un risque sérieux d’altération physique substantielle et irréversible d’une fonction corporelle majeure de la femme enceinte, autre qu’un état psychologique » ; et deuxièmement, lorsqu’un bébé est considéré comme souffrant d’une « anomalie fœtale fatale », que le projet de loi décrit comme « un état terminal qui, selon un jugement médical raisonnable, indépendamment de la fourniture d’un traitement médical de sauvetage, est incompatible avec la vie en dehors de l’utérus et entraînera la mort à la naissance ou de façon imminente par la suite ».
Le problème avec ces exceptions et la permission gestationnelle, outre qu’elles permettent de tuer des enfants à naître, c’est que rien ne les justifie, pas même le prétexte de la « vie de la mère », car l’avortement à cette fin est techniquement inutile.
Le stade de 15 semaines a été choisi, car, affirme Ron DeSantis, gouverneur de Floride :
« Il s’agit de protections pour des bébés qui ont le cœur qui bat, qui peuvent ressentir la douleur, et ceci est très, très tardif ».
Mais les animaux aussi peuvent ressentir de la douleur et avoir un cœur qui bat, aussi ce n’est pas au fond pour cette raison que les législateurs veulent empêcher l’avortement, mais parce qu’il s’agit d’êtres humains. Mais s’il s’agit d’êtres humains, ce sont tous les êtres humains qu’il faut protéger, même s’ils n’ont pas encore de cœur qui bat.
Floride: projet de loi interdisant le matériel scolaire pornographique et exigeant l'accord des parents pour l’éducation sexuelle
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
28 janvier 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — En Floride, un nouveau projet de loi, accueilli très favorablement par les défenseurs de la famille, instaurerait des sanctions strictes concernant le matériel pornographique dans les écoles publiques et interdirait d’enseigner aux élèves l’éducation sexuelle sans la permission explicite des parents.
Rédigé par le sénateur d’État républicain Dennis Baxley, le projet de loi SB 1842 imposerait une série de changements destinés à protéger les enfants et à renforcer le contrôle parental sur le contenu [cours et matériel] à caractère sexuel dans les écoles de la maternelle à la douzième année.
La proposition de loi élargit la définition de la « pornographie enfantine » pour inclure tout texte décrivant un mineur impliqué dans un comportement sexuel et élargit également les définitions du matériel jugé « nuisible aux mineurs » ou « obscène ». Les contenus répondant à ces définitions seraient interdits dans les bibliothèques et les salles de classe des écoles publiques de la maternelle à la douzième année et sur les listes de lecture des écoles publiques.
Les districts scolaires qui ne « retirent pas de manière proactive tous ces documents » risquent d’être accusés de crime en vertu du projet de loi de Baxley.
« Si le conseil scolaire de district estime que tout matériel pédagogique, y compris le matériel utilisé en classe ou assigné ou offert comme matériel de lecture, viole cet article, le matériel doit être retiré de manière proactive. Cette action requise ne dépend pas de la plainte d’un parent ou d’un résident », précise le SB 1842. « Toute personne violant une disposition de cette section commet un crime du troisième degré concernant les écoles. »
Lire la suiteLe Sénat de Floride adopte un projet de loi déclarant les services religieux « essentiels », limitant les futures interdictions de culte
Par Ashley Sadler (LifeSiteNews) — Traduction de Léo Kersauzie (Médias Presse Info) complétée par Campagne Québec-Vie
Floride (États-Unis) — En vertu de cette mesure, les lieux de culte seront considérés comme fournissant des « services essentiels » et aucune ordonnance d’urgence ne pourra « directement ou indirectement » annuler le culte public si d’autres « services essentiels » sont maintenus.
Les législateurs de Floride ont adopté un projet de loi qui interdirait à l’avenir les « décrets d’urgence », comme ceux promulgués lors de la réaction au COVID-19, de fermer les institutions religieuses si les commerces sont autorisés à rester ouverts.
Le Sénat dirigé par les républicains de Floride a approuvé la mesure (SB 254) lors d’un vote de 31 voix contre 3 jeudi. Un projet de loi complémentaire déposé à la Chambre, HB 215, a été avancé mercredi et attend un vote.
Des groupes religieux ainsi que des politiciens conservateurs et des commentateurs ont sonné l’alarme au cours des deux dernières années lorsque les lieux de culte ont été contraints de fermer leurs portes tandis que des commerces, y compris parfois spécialisés dans la vente d’alcool ou de marijuana, ont été autorisées à rester ouverts.
« Elle est née de la pandémie, et ne l’est pas », a déclaré l’auteur du projet de loi, le sénateur républicain Jason Brodeur, précisant que cette loi n’est pas une simple réaction impulsive au COVID-19 et aux restrictions, ostensiblement imposées pour ralentir sa propagation.
« Elle s’applique à toutes les ordonnances d’urgence qui seraient émises. En gros, elle dirait que si Publix est ouvert, votre lieu de culte l’est aussi », a déclaré M. Brodeur […]
S’il est adopté par la Chambre et promulgué, le SB 254 rendrait permanente une déclaration faite par le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, en avril 2020, lorsqu’il a publié un décret décrivant spécifiquement les églises comme des services essentiels et les exemptant du confinement.
Lire la suiteFloride : un projet de loi interdisant l'avortement à 15 semaines, soutenu par le gouverneur DeSantis
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
24 janvier, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le corps législatif de Floride, dominé par les républicains, a présenté mercredi un projet de loi qui interdirait presque tous les avortements dans l'État après 15 semaines de grossesse. Le projet de loi reflète une loi similaire au Mississippi, qui fait l'objet d'une cause très attendue, Dobbs v. Jackson Women's Health Organization, actuellement devant la Cour suprême des États-Unis.
Un comité de la Chambre des représentants de Floride a adopté la mesure, HB 5, le 19 janvier par un vote de 12 à 6, donnant au projet de loi son premier feu vert législatif. Le projet de loi va maintenant être examiné par deux autres commissions de la Chambre. Un projet de loi complémentaire, le SB 146, a été déposé au Sénat.
Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, qui devrait être réélu cette année et qui pourrait être un candidat sérieux à la présidence des États-Unis en 2024, a déjà indiqué qu'il soutiendrait une législation limitant l'avortement dans le Sunshine State.
Au début du mois, M. DeSantis a déclaré aux journalistes qu' « il y a beaucoup de lois pro-vie » en préparation au sein de l'assemblée législative de Floride, et que « nous allons les accueillir ».
Interrogé spécifiquement sur une interdiction des avortements après 15 semaines, DeSantis a déclaré qu'une telle mesure « a beaucoup de sens »*.
« Je pense que si vous regardez ce qui a été fait dans certains de ces autres États - je veux dire, quand vous commencez à parler de fœtus de 15 semaines qui peuvent vraiment ressentir la douleur et dont les battements de cœur sont perceptibles et toutes ces choses ─ avoir des protections, je pense que c'est quelque chose qui a beaucoup de sens », a déclaré le gouverneur catholique.
La législation pro-vie proposée par la Floride réduirait fortement la fenêtre d'avortement légal dans l'État, qui est actuellement limitée à 24 semaines de gestation.
Toutefois, selon les rapports d'analyse législative, l'interdiction n'aurait pas un grand impact sur la diminution des taux d'avortement réels : La plupart des avortements commis en Floride l'ont été à 12 semaines de gestation ou moins.
Selon le Florida Phoenix, en 2020, « 74 868 avortements ont été pratiqués en Floride », dont « la grande majorité - 70 594 - a été réalisée au cours du premier trimestre, c'est-à-dire à 12 semaines ou moins. Seuls 4 274 avortements ont été pratiqués au cours du deuxième trimestre, c'est-à-dire entre 13 et 24 semaines. Aucun avortement n'a été pratiqué au cours du troisième trimestre, selon l'analyse. »
Lire la suiteLes « personnes de l’année » 2021 de LifeSiteNews
Mgr Thomas Paprocki.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
10 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Pour de nombreuses personnes, 2021 a été une année exceptionnellement difficile, à certains égards plus difficile que 2020. L’année a vu l’émergence de mandats de vaccination draconiens et de « passeports » vaccinaux, une rhétorique déshumanisante et alarmante sur les personnes en bonne santé qui refusent de se faire injecter un nouveau produit médical, la poursuite des confinements dans certains endroits et une inflation paralysante. Le nouveau motu proprio du pape restreignant sévèrement la messe traditionnelle en latin a fait de 2021 une année dévastatrice pour les catholiques attachés aux sacrements traditionnels de l’Église.
En ce début d’année 2022, LifeSite présente sa liste des « personnes de l’année » 2021. Ces vaillants combattants de la liberté ont été une lumière dans les ténèbres en 2021... et sont des chefs de file à observer en 2022.
Ron DeSantis, le gouverneur de l’Amérique
En trois ans, Ron DeSantis est passé du statut de député intello peu connu qui a écrit un livre sur les principes constitutionnels à celui de républicain qui a remporté de justesse le poste de gouverneur de Floride, puis à celui de « gouverneur de l’Amérique », un dirigeant dont la réponse au coronavirus, à savoir un traitement précoce, sans coercition vaccinale ni confinement, a conduit plus de 300 000 Américains à déménager dans le Sunshine State en un an. Et beaucoup d’autres veulent qu’il se présente à la présidence en 2024. Il est intelligent, drôle, et n’a pas le bagage d’un certain résident de Floride.
DeSantis a fait de la Floride sans doute l’État le plus libre et le meilleur de l’Union pour y vivre. Et ce n’est pas seulement sa réponse pro-liberté, pro-traitement efficace contre le COVID que les conservateurs aiment : il s’est attaqué à la « théorie critique des races », à l’admission de garçons dans les compétitions féminines, à Big Tech, à la fraude électorale, aux municipalités de Floride qui ont essayé de masquer de force les enfants ou de rendre obligatoires les vaccins contre le coronavirus, à l’immigration illégale et à bien d’autres choses encore. DeSantis est un catholique pro-vie.
Lire la suite«Si nous ne nous levons pas maintenant», prévenait DeSantis, les Américains «entièrement vaccinés» se feront imposer des rappels pour conserver leur emploi
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
8 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Lors d’une conférence de presse jeudi, juste après que l’administration Biden ait publié sa règle qui contraint les grands employeurs privés d’obliger leurs employés à recevoir le vaccin COVID-19 ou de se soumettre à des tests fréquents, le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a annoncé les plans de son État pour lutter contre cette exigence, avertissant que ce mandat radical n’est « que la pointe de l’iceberg ».
« Il y a un an et demi, nous avons commencé avec 15 jours pour ralentir la propagation, et maintenant c’est parti pour se faire piquer ou perdre son emploi », a déclaré DeSantis.
« Les individus devraient pouvoir faire des choix éclairés sur leurs propres soins de santé », a-t-il ajouté. « Ils ne devraient pas être contraints de se faire piquer ».
Soutenant qu’aucun employé ne devrait avoir à choisir entre se faire vacciner et garder son emploi, le gouverneur a suggéré que si les mandats étendus sont autorisés, les personnes « entièrement vaccinées » devront bientôt recevoir des injections supplémentaires pour conserver leur gagne-pain.
« Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg », a-t-il averti. « Si nous ne nous levons pas maintenant et ne nous battons pas, cela va devenir plus restrictif et encore plus de pouvoir sera exercé à l’avenir. »
Nous avons commencé avec 15 jours pour ralentir la propagation, maintenant ils vous forcent à vous faire vacciner ou à perdre votre emploi.
La Floride se battra. pic.twitter.com/0ykfRAAcDI
— Ron DeSantis (@GovRonDeSantis) 8 novembre 2021
Alors que l’efficacité des vaccins COVID-19 sur le marché s’est effondrée, tombant bien en dessous des taux d’efficacité initialement rapportés, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déjà signalé qu’ils pourraient ajuster la définition de « complètement vacciné » pour inclure au moins une troisième injection.
Lire la suiteLe confinement pourrait avoir tué plus de Canadiens que le covid en 2020, malgré ce qu’on fait dire aux chiffres
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
20 octobre 2021 (LifeSiteNews) — L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a publié un rapport intitulé COVID-19 and deaths in older Canadians : Excess mortality and the impacts of age and comorbidity [COVID-19 et les décès chez les Canadiens âgés : La surmortalité et les impacts de l’âge et de la comorbidité]. Il s’agit d’un aperçu des données globales concernant les décès associés au COVID-19 au Canada en 2020.
Le rapport met l’accent sur ce que le gouvernement estime être l’effet disproportionné des décès « avec COVID » sur les personnes âgées et infirmes, principalement dans les maisons de soins infirmiers et de soins de longue durée (SLD).
Selon le document, le Canada a enregistré un peu plus de 16 000 décès excédentaires en 2020, sur la base des estimations relatives aux moyennes annuelles jusqu’en 2020. Le rapport ne précise pas combien de décès ont été enregistrés comme ayant été associés à un diagnostic de COVID-19, mais Statistique Canada affirme qu’il y a eu près de 15 300 décès de ce type.
Il convient de noter que, quelle que soit la véracité des informations fournies par les gouvernements fédéral et provincial concernant le COVID-19, les estimations sont essentiellement des suppositions éclairées, de sorte qu’une fluctuation dans une direction ou une autre ne signale pas nécessairement un changement notable de la maladie dans un pays. Il existe une myriade de facteurs qui pourraient entraîner une hausse ou une baisse de la mortalité contraire à ce qui avait été estimé. Cela dit, une allégation de 16 000 décès excédentaires dans le contexte canadien n’est pas insignifiante.
Selon le rapport, le gouvernement s’attendait à ce que 295 379 décès surviennent dans l’ensemble de la population canadienne en 2020, mais 309 912 décès ont été observés cette même année. Sur le total des décès enregistrés, près de 250 000 étaient des adultes de 65 ans et plus, ce qui est prévisible compte tenu de l’espérance de vie au Canada.
Lire la suiteUn premier « transgenre » à participer aux Jeux olympiques de Tokyo dans la section féminine
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info) — Photo : Piqsels
Nouvelle-Zélande – L’haltérophile néo-zélandais Gavin « Laurel » Hubbard, un homme qui prétend être une femme, sera le premier haltérophile « transgenre » à participer aux Jeux olympiques dans la catégorie des super-lourds féminins.
L’athlète né à Auckland prétend être une femme depuis l’âge de 35 ans. Il a maintenant été sélectionné pour participer aux Jeux olympiques de Tokyo le mois prochain après avoir satisfait aux qualifications pour les athlètes transgenres, avec des niveaux de testostérone inférieurs à un seuil fixé par le Comité international olympique.
« Nous reconnaissons que l’identité de genre dans le sport est une question très sensible et complexe nécessitant un équilibre entre les droits de l’homme et l’équité sur le terrain de jeu », a déclaré Kereyn Smith, chef du Comité olympique néo-zélandais.
« En tant qu’équipe néo-zélandaise, nous avons une forte culture de manaaki (attention) et d’inclusion et de respect pour tous », a-t-elle déclaré.
Hubbard, qui est le fils de l’ancien maire d’Auckland Dick Hubbard, est devenu éligible pour participer aux Jeux olympiques après que le Comité international olympique a modifié ses règles en 2015, permettant aux personnes qui se disent transgenres de concourir contre des athlètes du sexe opposé.
Hubbard a longtemps affirmé qu’il n’avait aucun avantage sur les concurrentes féminines.
« Écoutez, j’ai entendu cela et je pense que c’est incroyablement irrespectueux envers les autres concurrents », a-t-il déclaré en 2017.
« Je ne pense pas qu’il y ait de différence fondamentale entre moi et les autres athlètes, et suggérer cela est légèrement humiliant pour elles », a-t-il ajouté.
Lire la suiteLe gouverneur Ron DeSantis dénonce les politiciens pro-avortement : ils « se vendent à la clique de Washington »
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ron DeSantis, le gouverneur de la Floride, a un long parcours pro-vie en tant que dirigeant de l’un des plus grands États de la nation. Il a signé des lois pro-vie pour sauver les bébés de l’avortement et a travaillé dur pour protéger du coronavirus les personnes âgées de Floride [disont plutôt que ses mesures étaient moins débiles*] à une époque où les gouverneurs démocrates comme Andrew Cuomo ont signé des ordonnances qui ont abouti à la mort de milliers de personnes.
En ce qui concerne les politiciens de Washington, la plupart des Américains sont fatigués des accords conclus en coulisse et du « marais » louche auquel le président Donald Trump et tant d’Américains s’opposent fermement. Parmi ses commentaires les plus récents, DeSantis dit que les politiciens pro-avortement sont ceux qui généralement sont embourbés dans cette fange politique, et il dit qu’ils sont les « premiers » à « se vendre à la clique de Washington ».
De plus [selon Breitbart] :
Lire la suiteLors d’une entrevue avec Mary Margaret Olohan de la Daily Caller News Foundation, à la question d’Olohan « Comment les électeurs américains peuvent-ils faire la différence entre un politicien superficiel qui veut simplement leurs votes pour avancer [en carrière] et un autre qui est prêt à s’engager pleinement dans des batailles culturelles importantes ? », DeSantis a répondu : « Les personnes qui ne soutiennent pas la cause de la vie, ce ne sont pas des gens avec qui vous voulez être dans un terrier pour n’importe quelle autre bataille politique. Ils seront les premiers à se vendre à la clique de Washington quand les choses se compliqueront. »
L’une des clés pour déterminer cette différence de personnalité consiste à savoir si l’homme politique soutient réellement le droit à la vie, a déclaré le gouverneur.
« C’est ce que je pense et dis aux gens, en termes de droit à la vie », a-t-il expliqué. « C’est important, évidemment, en soi, mais les gens qui ne soutiennent pas la cause de la vie ne sont pas des gens avec qui vous voulez être dans un trou de renard pour toute autre bataille politique non plus. »
Le Texas rejoint les États américains qui interdisent le passeport sanitaire et la ségrégation covidienne
Gregory Wayne Abbott (dit Greg Abbott), gouverneur du Texas.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info) — Photo : J Dimas/Flickr
Les Texans qui choisissent de ne pas prendre de vaccin COVID-19 ne peuvent être punis pour leur refus. Le 7 juin, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a signé une nouvelle loi interdisant aux entreprises privées et aux bureaux du gouvernement de demander une preuve de vaccination. Il a annoncé la nouvelle loi dans un tweet qui déclarait : « Le Texas est ouvert à 100 %. Les Texans devraient avoir la liberté d’aller où ils veulent sans aucune limite, restriction ou exigence. »
Bien qu’il ait souligné « la liberté » de se rendre « sans aucune limite, restriction ou exigence », Abbott avait rendu obligatoires les masques pendant plus de huit mois.
L’article 161.0085 de la législation contient la directive selon laquelle les entreprises du Texas ne peuvent pas exiger des clients qu’ils présentent des papiers contenant la preuve qu’ils ont pris le vaccin ou qu’ils se sont remis de COVID-19.
Une entreprise dans cet État ne peut exiger d’un client qu’il fournisse des documents certifiant la vaccination COVID-19 du client ou la récupération post-transmission à l’entrée, pour accéder à ou pour recevoir un service de l’entreprise. Une entreprise qui ne se conforme pas à ce paragraphe n’est pas admissible à recevoir une subvention ou à conclure un contrat payable avec des fonds publics.
Cette section vise également les passeports de vaccination, déclarant : « Une entité gouvernementale de cet État ne peut pas délivrer un passeport vaccinal, une carte vaccinale ou tout autre document normalisé pour certifier le statut vaccinal COVID-19 d’un individu à un tiers à des fins autres que soins de santé ou publier ou partager le dossier de vaccination COVID-19 de toute personne ou des informations de santé similaires à des fins autres que les soins de santé. »
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