Pour regarder quelque chose de mieux que ce qui passe à la télé
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Depositphotos
De gré ou de force, nos soirées sont confinées à la maison. Il peut arriver bien sûr, que la paresse du soir nous écrase dans un fauteuil en face, tiens, d’un écran…
Mais voilà, par expérience vous savez que le contenu présenté sur l’écran d’une télé éteinte, est plus intéressant, et surtout plus intelligent, que ce qui paraîtra une fois la télé allumée. Gros dilemme, vous vous rappelez avoir déjà vu l’émission paraissant sur la télé éteinte…
Voici quelques suggestions qui vous permettront de trouver une raison à l’existence de cet élément plat qui semble plus vous regarder que l’inverse…
Si vous avez un ordinateur, prenez connaissance de « Pure flix » à ne pas confondre avec la copie au titre trompeur « Netflix » qui nettoie votre portefeuille, mais dont l’opération de nettoyage du cerveau, si elle enlève bien toute forme de pensée, les remplace par des cases vides alternant avec les cases poubelles que vous pensiez préalablement avoir mises au chemin lors de la dernière confession…
Vérifiez sur votre ordinateur, Pure Flix présente du contenu récent de divertissement chrétien. Le défaut est que tout est en anglais seulement. Si comme moi la langue de « Brasse la poire » (Shakespeare) vous apporte une version inusitée lorsque vos méninges vous présentent la traduction, il vaut mieux alors vous rabattre sur les vidéos qui, de moins en moins, vous présenteront la traduction française. Par contre, des sous-titrages en français sont fréquents. Cela vaut la peine d’investir pour un bon film, que vous pourrez revoir aussi à l’occasion. Vous pouvez trouvez ou commander ces livres à des librairies comme Bertrand Foucher et Bélanger, l’oratoire Saint-Joseph, les librairies protestantes CLC qui ont beaucoup de DVD en stock.
Lire la suite4 vidéos sur le développement de l’enfant à naître et la souffrance de l’avortement — en français !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : montage
Voici quatre vidéos pro-vie en français, ou traduites ou sous-titrées dans la langue de Molière mettant en valeur le développement de l’enfant à naître ou soulignant la souffrance des femmes qui avortent, qui ont avorté, et même celle des gens qui travaillent dans les avortoirs.
Peut-être aurez-vous déjà vu certaines de ces vidéos, je vous les présente néanmoins, car elles incarnent (façon de parler puisqu’une vidéo est virtuelle) ce que nous répétons depuis des années, des faits réels, l’avortement tue un être humain vivant qui est bien autre chose qu’un « amas de cellules », il blesse une femme dont la nature maternelle est déchirée par cet acte barbare — pour les pro-avortement cette nature n’existe peut-être pas, ou n’est-ce qu’un résidu de l’évolution, plus ou moins présent chez les femmes, qui doit disparaître — et un homme (n’oublions pas le père), il atteint également ceux qui y participent de proche ou de loin.
Première vidéo — un extrait du film Unplanned montrant une scène forte basée sur la biographie d’Abby Johnson l’ex-directrice d’un avortoir, où on la voit bouleversée par l’avortement auquel elle assiste :
Lire la suiteErin O’Toole dénonce le film « Cuties » pour sexualisation d’enfants
Erin O'Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Arlington National Cemetiery/Flickr
Vous avez sans doute entendu parler d’un récent film « Cuties » publié par Netflix, montrant des jeunes filles exécutant des danses sexuellement suggestives, entre autres. Face à ce modèle d’obscénité, qui devient de plus en plus courant sur Netflix, de nombreuses personnes ont véhémentement protesté, dénonçant l’hypersexualisation de préadolescentes et l’encouragement à la pédophilie que représente ce film.
Ce film mettant en scène une jeune fille issue d’une famille musulmane et luttant avec la mentalité de son milieu serait une histoire sur le passage à l’âge adulte (un peu jeune non ?) et sur les choix qu’impose la société aux jeunes filles (il est vrai qu’on peut critiquer ce qu’impose l’islam, mais non en allant à l’extrême opposé). REAL Women of Canada rapporte dans un courriel :
Netflix défend ce film, affirmant qu’il s’agit simplement d’une histoire sur la question sensible du passage à l’âge adulte, censée critiquer les choix que la société contemporaine impose aux jeunes filles. C’est une explication absurde. Il existe de nombreuses façons de raconter des histoires de passage à l’âge adulte sans exploiter sexuellement les enfants. Cuties est un film pornographique qui se fait passer pour un commentaire social et s’inscrit dans une tendance plus large de la sexualisation croissante des enfants.
L’auteur du film se défend en affirmant avoir voulu dénoncer l’hypersexualisation des enfants par le biais de l’écran. Que cela fût son intention ou non, ce n’est pas en produisant un film obscène et pornographique qu’on arrangerait ce problème, bien au contraire.
Surprise ! Erin O’Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada, est descendu dans l’arène pour blâmer à son tour le torchon cinématographique, s’attirant par là la critique des gros médias. Selon REAL Women of Canada :
Le chef conservateur Erin O’Toole a été critiqué pour avoir exprimé sa préoccupation à propos du film, déclarant : « Je suis un père qui est profondément perturbé par cette émission de Netflix. L’enfance est une période d’innocence. Nous devons faire plus pour protéger les enfants. Cette mauvaise émission est de l’exploitation ». M. O’Toole a raison.
Cela mérite qu’on lui tire notre chapeau, du moins sur ce chapitre, car autrement il se dit « pro-choix ».
Propagande LGBT diffusée par des chaînes de dessins animés durant le mois de juin
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) ― Photo : Freepik
Comme ce fut déjà le cas l’année dernière [...] Cartoon Network, chaîne de télévision américaine spécialisée dans la diffusion de dessins animés et fondée par Betty Cohen, a annoncé son intention de célébrer le « mois de la fierté LGBT ». Cela signifie que cette chaîne de télévision destinée aux enfants diffusera des programmes faisant la promotion de l’homosexualité et de l’idéologie du genre.
« Notre monde change tous les jours et c’est le courage des individus qui fait progresser », a tweeté mercredi Cartoon Network. « Alors que le monde continue de faire pression pour l’égalité, CN célèbre les personnes et les familles de la communauté LGBTQ +, tout au long du mois et toute l’année. »
Le tweet est accompagné d’une vidéo de divers adolescents et préadolescents faisant la promotion de l’activisme pro-LGBT en termes génériques d’« amour », « debout », « inclusion », etc. Des extraits de défilés LGBT sont entrecoupés de leur témoignage se terminant par les enfants déclarant qu’ils sont « fiers » d’être « transgenres », « queer », « non binaires » et « un allié LGBTQ ».
« La campagne Pride du réseau, qui s’étend sur tout le mois de juin », démarre aujourd’hui avec Drawn to… Courage, suivi par Drawn to… Love, déployé sur toutes les plateformes Cartoon Network, a rapporté Animation Magazine.
Le site Web de Cartoon Network héberge également une liste de lectures conseillées pour ce mois de la fierté LGBT, une sélection de vidéos de la série animée du réseau Steven Universe et Craig of the Creek, dont le premier a reçu un prix du lobby LGBT GLAAD.
La promotion de l’homosexualité et du transgenre est devenue une spécialité de cette chaîne de dessins animés qui a initialement gagné sa popularité grâce à la diffusion des classiques du dessin animé de Warner Bros mais produit aussi ses propres dessins animés, Hanna-Barbera et MGM. En 2018, la dernière saison de sa série originale à succès Adventure Time a dépeint un baiser lesbien ; cette même année, Steven Universe a également présenté un mariage lesbien.
D’autres exemples récents d’animation « pour enfants » ou « tous âges » incorporant du contenu LGBT ont été signalés dans des programmes de Netflix et Disney Channel.
Souvent, les réalisateurs attendent que la série animée ait fidélisé un public nombreux avant d’inclure dans les épisodes suivants de la propagande LGBT. L’effet est ainsi plus dévastateur car les parents ne sont pas méfiants.