Sound of Freedom en français maintenant : Le son de la liberté
Image du film Le son de la liberté.
Par Hubert de Torcy
Cordial et fraternel bonjour à tous,
Voilà, tant attendu, le magnifique et incontournable film Sound of Freedom, qui est sorti traduit en français en DVD...
Voici le teaser en français :
Contrairement à la mauvaise publicité des grands médias, je peux vous assurer que ce film est accessible pour tous (supervision parentale obligatoire cependant)...
Ce film n’est pas conspirationniste comme on a étrangement voulu nous le laisser croire, au contraire même...
Il s’agit d’un fait 100 % réel dont une partie a été fusionnée avec un autre cas aussi réel.
Ainsi, le seul défaut de ce film est de laisser croire que deux événements sont pratiquement simultanés, alors que plusieurs années les séparent.
Lire la suiteLe film The Whale — « authenticité » contre morale
Photo : Freepik
The Whale... une prédiction facile !
Par un lecteur de CQV
J’ai reçu deux billets de cinéma (gratuits) en cadeau pour Noël (autrement dit, la donneuse des billets, ma mère, les a eus gratuitement aussi)... La dernière fois où je suis allé au cinéma, c’était pour voir La Passion du Christ, de Mel Gibson et 1917, juste avant la « covid »... N’étant pas en faveur de donner de l’argent à des producteurs hollywoodiens, dont on sait que leur hâte première est de faire disparaître le christianisme…
C’était donc une journée de tempête en janvier 2023 (et effectivement, nous nous sommes retrouvés à deux dans la salle pour toute la durée du film). J’hésitais donc entre Avatar II et The Whale. Nous avons choisi The Whale, sans vraiment savoir ce que c’était, mais surtout parce que je connais bien James Cameron qui est un autre des cinglés adeptes du contrôle et de la réduction de la population mondiale. Ainsi, nous avons choisi The Whale, histoire d’écouter un film plus calme et potentiellement réaliste, et puisque, me disais-je, l’acteur a toujours été qualifié de « cool », ayant déjà joué dans des comédies et des films pour enfants principalement de Walt Disney. Ainsi nous choisîmes celui-là, et de plus, la critique était très enthousiaste, mais étrangement avare de commentaires précis, comme s’ils voulaient cacher quelque chose... même le billettiste était comme gêné de nous en parler !
Et en effet, dès l’ouverture du film, une séance de porno homosexuelle et de masturbation d’un homme de 600 lb (Brandon Fraser gonflé) nous inonde de dégoût...
Je fus alors extrêmement déçu de cet acteur. Heureusement, de telles scènes ne se reproduisirent plus pour le reste du film. Par contre, sans entrer dans les détails, ce film hyper tendancieux contient une philosophie sous-jacente très perverse en ce sens que la fille de l’homme obèse morbide est un véritable monstre narcissique qui n’hésite pas à faire les actes les plus déloyaux et traîtres contre son père ou n’importe qui (souhaiter l’enfer éternel à son père dans une soupe de graisse enflammée ; enregistrer des conversations à l’insu et les diffuser sur Face de Bouc ; mensonges, arrogance, drogue, etc.). De plus, le film sombre dans la problématique du conflit parental (qui sont évidemment divorcés) en poussant à l’extrême de ce qu’il est possible d’imaginer de la dichotomie des deux parents car, en effet, le père et la mère sont deux opposés absolus en ce qui concerne leur vie et la vision qu’ils ont de leur fille. Pour le père pervers, la fille est un ange et pour la mère un monstre digne de disparaître de la surface de la Terre. Ainsi, le film pousse la perversité à louanger les mauvaises actions de cette jeune ado ultranarcissique et méchante, en montrant que finalement tout le mal qu’elle fait se transforme comme par magie en bien, justifiant ainsi de faire le mal ! Ici dans ce cas, le mal fait au jeune évangéliste aurait pu le mener au suicide facilement. Mais pire encore, le père s’obstine non seulement à ne rien voir de sa cruelle fille, qu’il adore littéralement (carence affective), mais de plus il déforme la réalité... Il est ici évident que le producteur du film cherche à faire du père un Christ pour sa fille. Un Christ qui, s’adressant à Marie Madeleine l’aurait absous sans ajouter le « … et ne pèche plus désormais ». Un tel père dépendant, affectif suprême, et donc complètement aveugle à la réalité, peut-il vraiment aider une jeune fille à se sortir d’autant de méchanceté simplement en se fermant les yeux sur ses horreurs ? On voit donc l’intention du réalisateur d’inverser les valeurs !
Évidemment, est-il besoin de vous dire que ce film fait subtilement la promotion de la haine de la religion chrétienne ?...
Lire la suiteEntrevue avec Abby Johnson au sujet du film « Unthinkable »
Abby Johnson.
Message écrit par un lecteur de Campagne Québec-Vie — Photo : The John-Henry Westen Channel/YouTube
Bonjour ou bonsoir à tous,
Le titre de mon message « Unthinkable », qui veut dire en français « Impensable », est le titre du film de Abby Johnson qui sera diffusé en première sur la chaîne YouTube de MarchForLifeCanada ce 15 janvier.
Abby Johnson, qui a été responsable d’une clinique d’avortement de Planner Parenthood au Texas pendant 8 ans, a vraiment réalisé l’horreur de l’avortement et a laissé son travail pour se consacrer entièrement à la cause Pro-Vie. Elle est bien connue aux Etats-Unis ainsi qu’au Canada pour promouvoir la vie et exposer les mensonges de ce géant de l’industrie de l’avortement qu’est Planned Parenthood.
Dans le film « Unplanned » inspiré de son livre portant le même titre, Abby raconte son expérience en tant que responsable d’une clinique d’avortement, comment elle a réalisé que l’avortement est le meurtre d’un enfant, comment elle s’est convertie et est devenue militante Pro-Vie.
Le film « Unthinkable » (qui porte bien son nom vous verrez pourquoi) est un film tourné à partir d’un ensemble de témoignages de différentes personnes qui ont soit travaillé dans une clinique d’avortement, soit qu’ils y ont mis les pieds pour subir un avortement, etc. Certaines personnes racontent certaines choses ignorées du grand public qui sont « Impensables ». Ce film fait la lumière sur la triste réalité de l’avortement puisque les intervenants sont des témoins de ce qui se passe réellement entre les quatre murs d’un avortoir.
Lire la suite« Le film pro-vie le plus puissant que j’aie jamais vu — et il n’a rien à voir avec l’avortement »
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : National Geographic/YouTube
1er novembre 2022 (Campaign Life Coalition) — Je peux honnêtement dire que ma vie a changé en bien après avoir regardé The Rescue [Le sauvetage].
Le documentaire National Geographic de 2021 relate la folle et pratiquement incroyable histoire vraie du sauvetage de douze jeunes garçons mortellement piégés dans une grotte inondée en Thaïlande.
Vous vous souvenez peut-être d’avoir entendu en 2018 les nouvelles de douze joueurs de football, âgés de 11 à 16 ans, et de leur entraîneur, pris au piège dans la grotte Tham Luang Nang Non pendant 18 jours. Les garçons étaient entrés dans la grotte sèche après un entraînement de football, voyageant profondément dans le complexe de grottes de dix kilomètres.
Alors qu’ils étaient à l’intérieur, les pluies de la mousson se sont mises à tomber de manière soudaine et inattendue. Au fond de la grotte, les garçons n’avaient pas conscience du danger que représentaient les pluies et la montée rapide des eaux qui commençaient à inonder la grotte.
L’eau est montée si rapidement et si soudainement qu’il était impossible pour les garçons de revenir sur leurs pas pour sortir. Ils ne pouvaient que fuir la marée montante en s’enfonçant plus profondément dans les passages de la sombre caverne pour tenter de trouver un terrain plus élevé.
Pendant ce temps, à l’extérieur de la grotte, des parents inquiets se demandaient où étaient leurs enfants et pourquoi ils n’étaient pas rentrés. L’inquiétude s’est rapidement transformée en alarme, puis en horreur totale lorsque les parents ont découvert que les garçons étaient dans la grotte lorsque les pluies ont commencé et qu’ils étaient bloqués à l’intérieur, l’eau se déversant déjà par l’entrée de la grotte.
Deux jours après la disparition des garçons, des plongeurs de la marine thaïlandaise sont arrivés sur les lieux et ont commencé à chercher les garçons dans la grotte qui était devenue une rivière souterraine boueuse au débit rapide. Il y avait peu d’espoir que les garçons soient en vie. Les plongeurs craignaient de devoir sortir des petits cadavres.
Lire la suiteLe film pro-vie Lifemark sort au Canada vendredi prochain !
Courriel de Campaign Life Coalition traduit par Campagne Québec-Vie
Nous avons d’excellentes nouvelles à vous communiquer au sujet de ce qui s’annonce comme le plus grand film pro-vie de l’année !
Lifemark sort dans plusieurs cinémas du Canada ce vendredi, et voici votre lien pour acheter des billets, mais vous devez faire vite, car il ne sera à l’affiche que pendant une semaine à partir du 9 septembre 2022. Alors, marquez vos calendriers !
Le film est la dernière collaboration entre Kirk Cameron et les frères Kendrick. Ces derniers ont fait équipe par le passé pour réaliser des films à succès inspirants, comme War Room et Fireproof, mais leur dernière offre pourrait être la plus convaincante à ce jour.
Lifemark est basé sur une histoire vraie. Il s’agit de la vie de David Scotton, qui était l’un des orateurs principaux du Sommet de la jeunesse organisé cette année dans le cadre de la Marche nationale pour la vie à Ottawa. Alors qu’il se développait encore dans l’utérus de sa mère, celle-ci s’est rendue dans un centre d’avortement. En fait, elle était sur la table dans la salle d’exécution, littéralement à deux doigts de prendre la pire décision de sa vie. Au dernier moment, cependant, Dieu a éveillé quelque chose en elle et elle a su qu’elle ne pouvait pas aller jusqu’au bout.
Au lieu de cela, elle a choisi de mener la grossesse à terme et a placé l’enfant en adoption. Elle a choisi la vie pour son bébé, et, des années plus tard, cet enfant a choisi de renouer avec elle — et c’est l’histoire qui se déroule dans Lifemark.
J’ai eu le souffle coupé par la façon excellente dont le message du film reflète le mouvement pro-vie… Et la façon dont il montre comment Dieu peut secourir les personnes et tourner la page de vies brisées — juste comme ça !
Aucun enfant ne devrait jamais être destiné à la mort, car chacun d’entre nous est fait à l’image et à la ressemblance de Dieu, notre Père aimant, qui nous destine à la vie. Ses voies sont toujours les meilleures, et c’est le message que les frères Kendrick ont réussi à transmettre sur grand écran.
Alors, regardez ici pour savoir où le film est diffusé près de chez vous.
Vous pouvez cliquer ici si vous voulez voir la bande-annonce, et, au cas où vous l’auriez manquée...
Voici la présentation spéciale de Life on Film […] Elle s’intitule Lifemark : In Conversation. Notre bon ami Kevin Dunn de DunnMedia s’est assis pour un franc entretien avec Kirk Cameron et Stephen Kendrick pour un aperçu des coulisses de leur dernier projet.
[…]
Essayer de trouver un moyen d’aller voir Lifemark lorsqu’il sortira dans les villes du Canada le vendredi 9 septembre. Pour l’instant, la sortie en salle du film n’est prévue que pour une semaine, alors achetez vos billets dès aujourd’hui.
C’est un merveilleux long métrage et une excellente façon de montrer à Hollywood que vous voulez plus de films comme celui-ci, au lieu des films sordides et des déchets qu’ils produisent habituellement.
Que Dieu vous bénisse.
Debbie Duval
Organisatrice de Campaign Life Coalition à la capitale nationale
Au nom du National March for Life Organizing Committee
P.S. Pour ceux d’entre vous qui n’ont pas de projection dans un cinéma près de chez eux, il y aura des possibilités d’organiser des projections dans votre église après la sortie en salle. Restez à l’écoute.
Nouvelle série pro-avortement « Désobéir : le choix de Chantale Daigle » pour le printemps 2023
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : bru nO/Pixabay
Le 8 août 1989, sombre jour lorsque la Cour Suprême du Canada donna a posteriori le « droit » à Chantal Daigle de tuer son propre enfant, et enleva au père le droit de s'opposer à l'avortement de son enfant au Canada, fait à nouveau surface dans les nouvelles avec le projet cinématographique de Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault.
Un communiqué de presse de Crave annonce que la nouvelle série « Désobéir : le choix de Chantale Daigle » paraîtra au printemps 2023, et que les tournages « débuteront cet été ».
« Racontée telle une véritable course contre la montre … met de l’avant un sujet qui, 30 ans plus tard, demeure encore d’actualité : la liberté des femmes de disposer de leur propre corps. » Aucune liberté des enfants à naître n’est mentionnée…
Selon Sophie Parizeau, directrice générale, fiction de Bell Média, « DÉSOBÉIR : LE CHOIX DE CHANTALE DAIGLE relate à l’échelle humaine le droit à l’avortement, un jalon important de l’histoire des droits des femmes au Canada qui, 30 ans plus tard, demeure fragile. C’est pourquoi nous avons décidé de traiter du sujet sous l’angle de ce fait vécu marquant, qui a défrayé les manchettes de l’époque et permis à de nombreuses femmes de pouvoir disposer de leur corps comme elles l’entendaient ».
N’est-ce pas paradoxal que tant de femmes, pourtant privilégiées de recevoir la vie, sentent un besoin de réclamer le « droit » de tuer leur enfant ?
Le Journal de Québec rajoute à la nouvelle de la série que « Les femmes ont le droit de disposer de leur propre corps, mais il reste encore des gens jusqu’à Ottawa qui militent pour interdire les interruptions de grossesse. » Ces « gens » -là, c’est nous pro-vie qui militons pour le droit des enfants à naître et qui n’abandonnerons pas de sitôt le combat indispensable pour la vie.
Le nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteEn France, le gratin féministe de gauche est furieux de la diffusion du film pro-vie « Unplanned »
Ashley Bratcher (à droite) dans le rôle d'Abby Johnson, dans le film Unplanned.
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 août 2021, France (LifeSiteNews) — Une petite chaîne de télévision privée française, C8, est dans la ligne de mire du CSA (« Conseil supérieur de l’audiovisuel »), l’organisme national de surveillance des médias, parce qu’elle a diffusé Unplanned, l’histoire vraie de la conversion pro-vie d’Abby Johnson après une carrière chez Planned Parenthood. Des ministres du gouvernement sont même intervenus pour condamner l’émission, suggérant qu’elle pourrait être contraire à la loi.
Le long-métrage a été diffusé le lundi soir à une heure de grande écoute et a rassemblé 304 000 téléspectateurs (1,5 % du total des téléspectateurs ce soir-là en France, au lieu de 2 % en moyenne les autres soirs, selon « PureMedias », une agence de notation de l’audience). Mais l’événement a fait les gros titres de la presse nationale après trois semaines d’une controverse qui a commencé à la fin du mois dernier lorsque deux voix « off » de C8, Chloé Sitbon et Guillaume Orsat, ont rendu public leur refus de contribuer aux publicités annonçant le film.
Au cours des semaines suivantes, C8 et sa chaîne d’information sœur, CNews, ont été pointées du doigt en raison de leur décision de diffuser des émissions « catholiques » aux alentours du 15 août, jour de la fête de l’Assomption de la Sainte Vierge, patronne de la France et fête nationale. Dimanche, deux messes ont été diffusées, l’une célébrée par Mgr Dominique Rey à Cotignac, où le roi Louis XIII a obtenu la grâce de la naissance d’un fils à son épouse Anne après 20 ans de mariage sans enfant, l’autre à Lourdes. Des mises en scène de la vie du pape Jean-Paul II, de Mère Teresa et de saint Philippe Néri ont été diffusées sans interruption sur C8 dimanche dernier ; Unplanned a suivi lundi.
Les commentateurs en colère des médias grand public ont critiqué le propriétaire de la chaîne, l’industriel milliardaire et propriétaire de médias Vincent Bolloré. Bolloré est connu comme un catholique pratiquant, bien que le catholicisme ne soit que très peu présent dans les programmes de ses chaînes grand public.
Avant la diffusion d’Unplanned, lundi, une pétition lancée par « Grossesse imprévue » a obtenu quelque 20 000 signatures, demandant la déprogrammation de ce « film de propagande mensonger » en raison du « danger qu’il représente pour la population vulnérable des femmes enceintes ». Si C8 devait continuer à diffuser ce film, la pétition demandait qu’elle le « contextualise » en rappelant avant sa diffusion que « le droit à l’interruption volontaire de grossesse est ancré dans le droit français et permet à celles qui choisissent d’avorter de bénéficier d’un accompagnement médical et social adapté, si nécessaire ».
Si C8 a tout de même diffusé Unplanned, la chaîne a cédé à la pression en présentant le démenti suivant avant le début du film : « En France, chaque femme a le droit de disposer de son corps comme elle le souhaite. Ce droit est garanti par la loi. Cette histoire, qui ne reflète que l’opinion de son auteur, ne signifie pas une remise en cause de ce droit, mais permet plutôt d’en mesurer l’importance. »
Lire la suiteUn film pro-avortement en préparation sur l’affaire Chantal Daigle
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jackmac34/Pixabay
Le Journal de Montréal rapporte que le cinéaste québécois François Péloquin va réaliser un film sur l’affaire Chantal Daigle pour la boîte Mustang Production, présidée par Angélique Richer. Le film, intitulé Chantale (oui, avec un « e »), a déjà reçu une aide au développement octroyée par la SODEC et devrait avoir son scénario fini d’ici la fin de l’année. Si l’éventuel film reçoit davantage de financement, il devrait commencer à être tourné en 2022.
L’affaire Chantal Daigle, si vous vous le rappelez, a opposé d’un côté Chantal Daigle voulant avorter de son bébé, et les mouvements pro-avortement, et de l’autre son conjoint Jean-Guy Tremblay désirant que le bébé fût épargné, les pro-vie et, par-dessus tout, l’enfant à naître que sa mère voulait avorter, bien que le principal intéressé n’eût pas un mot à dire. En gros, lors de l’été 1989, la Cour suprême du Canada, renversant l’injonction de la Cour supérieure du Québec, a déclaré que l’enfant à naître et le père de celui-ci n’avaient aucun droit face à ceux de la mère — rien, nihil, nada, niet !
Le film en question abordera l’histoire sous un angle probablement pro-avortement, si l’on se fie aux dires des producteurs, car, selon Le Journal de Montréal, ils sont proches des femmes qui ont aidé Chantal Daigle a se faire avorter aux États-Unis avant même la fin du procès :
« Ça fait trois ans qu’on travaille sur ce projet parce qu’on est très proches des activistes qui ont soutenu Chantal Daigle à la fin des années 1980 pour son avortement à Boston, a expliqué Angélique Richer. »
Notez, au passage, que Chantal Daigle n’a pas donné son approbation pour ce film, qui se fera, s’il reçoit les subsides de l’organisme gouvernemental, malgré tout parce que l’affaire a été de notoriété publique. Allez donc savoir si Chantal Daigle est toujours dans les mêmes dispositions d’esprit que lors de son procès… Toujours est-il qu’elle a depuis changé d’identité et ne désire pas passer en entrevue, affirme Mme Richer.
Lire la suiteL’hypocrisie de Disney et son film Mulan
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Coolceasar/Wikimedia Commons
La compagnie Disney, ainsi que d’autres compagnies et des célébrités cinématographiques, avait encore récemment déclaré qu’elle ne tournerait probablement plus de films en Géorgie à cause des projets de loi pro-vie que cet État américain tentait de mettre en place.
Bref, sauver la vie d’enfants à naître tout en enlevant la possibilité aux femmes de les tuer constitue un crime abominable aux yeux de Disney, à tel point que la Géorgie n’était plus fréquentable pour le producteur de films.
Cependant, Disney a tourné le film Mulan, qui va bientôt sortir en salles, dont plusieurs scènes dans la province de Xinjiang, en Chine, où se déroule ce qu’il convient d’appeler le génocide des Ouïghours par les soins du gouvernement communiste chinois. Non content de filmer dans une province peu fréquentable, selon les standards établis pour la Géorgie par Disney, la compagnie va jusqu’à remercier plusieurs instances du gouvernement chinois pour leur participation, selon The Washington Post :
Au générique, Disney remercie tout particulièrement plus d’une douzaine d’institutions chinoises qui ont aidé à la réalisation du film. Parmi elles, quatre départements de propagande du Parti communiste chinois de la région du Xinjiang ainsi que le Bureau de la sécurité publique de la ville de Turpan, dans la même région […]
L’idée de filmer en Chine devrait donner des convulsions aux dirigeants de Disney, ce pays où l’on tue et torture les opposants politiques, l’on stérilise et fait avorter les femmes qui ont « trop » d’enfants, où l’on récolte des organes sur des prisonniers politiques, où l’on persécute férocement les chrétiens.