L’hypocrisie de Disney et son film Mulan
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Coolceasar/Wikimedia Commons
La compagnie Disney, ainsi que d’autres compagnies et des célébrités cinématographiques, avait encore récemment déclaré qu’elle ne tournerait probablement plus de films en Géorgie à cause des projets de loi pro-vie que cet État américain tentait de mettre en place.
Bref, sauver la vie d’enfants à naître tout en enlevant la possibilité aux femmes de les tuer constitue un crime abominable aux yeux de Disney, à tel point que la Géorgie n’était plus fréquentable pour le producteur de films.
Cependant, Disney a tourné le film Mulan, qui va bientôt sortir en salles, dont plusieurs scènes dans la province de Xinjiang, en Chine, où se déroule ce qu’il convient d’appeler le génocide des Ouïghours par les soins du gouvernement communiste chinois. Non content de filmer dans une province peu fréquentable, selon les standards établis pour la Géorgie par Disney, la compagnie va jusqu’à remercier plusieurs instances du gouvernement chinois pour leur participation, selon The Washington Post :
Au générique, Disney remercie tout particulièrement plus d’une douzaine d’institutions chinoises qui ont aidé à la réalisation du film. Parmi elles, quatre départements de propagande du Parti communiste chinois de la région du Xinjiang ainsi que le Bureau de la sécurité publique de la ville de Turpan, dans la même région […]
L’idée de filmer en Chine devrait donner des convulsions aux dirigeants de Disney, ce pays où l’on tue et torture les opposants politiques, l’on stérilise et fait avorter les femmes qui ont « trop » d’enfants, où l’on récolte des organes sur des prisonniers politiques, où l’on persécute férocement les chrétiens.
Un juge brésilien ordonne à Netflix de retirer un film qui dépeint le Christ comme homosexuel
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Mise à jour (10 janvier 2020) : « Comme prévu par la source de renseignements LifeSite, la Cour suprême du Brésil vient d'annuler la décision du juge Benedicto Abicair, permettant ainsi à Netflix de laisser le film blasphématoire La première tentation du Christ disponible au Brésil », rapporte LifeSiteNews.
Un juge brésilien a ordonné à la branche brésilienne de Netflix de retirer le film blasphématoire La première tentation du Christ qui montre le Christ en homosexuel ayant un amant. Ceci est assurément une bonne nouvelle, bien qu’il y ait de forts risques que ce jugement soit cassé en de plus hautes instances, dans ce pays qui a eu deux décades de socialistes au pouvoir, et qui a, par conséquent, de mauvais juges. Selon LifeSiteNews :
Un juge a ordonné à Netflix de retirer un film blasphématoire de son service.
Le juge, Benedicto Abicair, a rendu son jugement mercredi dernier à Rio de Janeiro. La décision fait suite à une pétition signée par plus de deux millions de Brésiliens qui affirment que le film humoristique, intitulé La première tentation du Christ, a enfreint la loi et « a gravement offensé les chrétiens ». Dans le film, le Christ est représenté comme homosexuel.
Ricardo German, étudiant brésilien basé à Édimbourg, a déclaré à LifeSiteNews qu’il était enchanté de cette décision.
« Je pense que c’est génial », déclara-t-il via les médias sociaux, et il a expliqué que le juge s’appuyait sur une base juridique solide. Selon l’article 208 du Code pénal brésilien, « dénigrer publiquement un acte ou un objet de culte religieux » est un crime passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an ».
« Le juge Abicair n’a fait qu’ordonner la suspension provisoire d’une œuvre en violation flagrante de cette interdiction juridique », déclara German. Le juge, selon German, peut interdire à la succursale brésilienne de Netflix, officiellement une « personne morale » aux fins de la procédure judiciaire, de mettre le film à disposition pour le visionner. Il peut également interdire à Porta dos Fundos [le producteur] de faire de la publicité pour le film dans tout endroit accessible depuis le Brésil, « ce qui techniquement inclurait l’Internet dans son ensemble (du moins en langue portugaise, pourraient dire certains juristes) ».
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Un cinéaste explique comment l'avortement forcé de son enfant à naître l'a poussé à devenir pro-vie
Traduit par Campagne Québec-Vie
24 octobre 2019 (LifeSiteNews) — L'épisode hebdomadaire du Van Maren Show présente une discussion avec Jason Jones, militant pro-vie prolifique, qui raconte à Jonathan Van Maren comment il a été introduit à la réalité de l'avortement, lorsque le père de sa petite amie* d'alors a fait tuer leur enfant sans son consentement et à son insu.
« En fait, j'avais seize ans lorsque j'ai appris que ma copine du lycée était enceinte et que je me suis enrôlée dans l'armée, or j'étais en formation de base, quelques semaines seulement avant mon retour, lorsque son père a appris qu'elle était enceinte et l'a forcée à avorter », se rappelle Jones, qui est président et fondateur de Human Rights Education Organization et de Movie to Movement ainsi que producteur du film pro-vie Bella. « Et j'ai découvert que mon enfant avait été détruit quand le père de ma copine du lycée le révéla, parce qu'elle ne pouvait même pas me le dire. Elle n'arrêtait pas de pleurer en disant : "Je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée." Et puis son père a dit : " Nous connaissons ton secret, ton secret est parti. Tu peux venir à la maison maintenant." »
Jones, qui avait été « vraiment excité d'être père », indique que ç'a été l'« incident déclencheur » dans sa vie, qui l'a transformé, de l'état d'ignorance au sujet du fait que l'avortement était légal à « exploser en activité implacable » pour la vie.
« J'ai explosé. Je dirais que pendant les dix premières années, et même si j'étais impliqué dans le mouvement pro-vie, ce n'était pas très sain », admet Jones, expliquant comment il avait été mené au départ en grande partie par la vengeance de son enfant perdu, ceci se manifestant de diverses façons et allait depuis chercher la bagarre avec les défenseurs de l'avortement à railler les professeurs pro-avortement d'université. « Ce n'est qu'en devenant chrétien que j'ai pu dire que j'étais capable d'exploiter cette force explosive causée par l'avortement et de l'utiliser de manière constructive. »
Jones explique qu'à ses débuts dans le mouvement pro-vie, il craignait, s'il se convertissait au christianisme comme ses nouveaux alliés, que cela dissipât la colère qui alimentait son activisme visant à éliminer l'avortement, et qu'il devint comme ce qu'il appelait, des touristes pro-vie, « qui semblaient confier paresseusement à « la volonté divine » la tâche de mettre fin à l'avortement.
Lire la suiteEuphoria, la nouvelle série transgenre pour adolescents
Hunter Schafer, l'un des acteurs principaux d'Euphoria.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’idéologie « gender » n’a pas de limites, toutes les déconstructions sont à l’honneur. Après la révolution homosexuelle, voici la révolution transsexuelle, la nouvelle folie « gender » à la mode. Bien entendu, enfants et adolescents sont les premières cibles à pervertir par le biais des séries télévisées, très prisées par la jeunesse.
Euphoria est la nouvelle série, violente et pornographique, pour adolescents sur Sky Atlantic. La protagoniste est Rue, jeune fille de 16 ans, droguée, ayant des problèmes psychologiques, qui tombe amoureuse de Jules, un transsexuel qui de garçon est « devenu » fille.
Jules est interprété par le mannequin transsexuel Hunter Schafer qui a déclaré au New York Times :
Je suis en train de déconstruire l’idée de sexe, d’user les privilèges et la visibilité qui me sont concédés comme mannequin pour mettre cette thématique sous les feux des projecteurs. Je ne sais pas si on peut me définir « une » activiste seulement parce que je parle de mon être trans. Même si parfois exister comme trans peut être difficile. Nous sommes en première ligne dans cette révolution qui verra l’identité d’expression avoir le dessus sur les étiquettes qui nous sont assignées à la naissance. L’auto-identification aura la priorité sur la perception. Le sexe tombera définitivement.
Et pour mener à bien cette révolution anthropologique, on offre aux jeunes les « modèles » que sont la drogue, les troubles mentaux, l’homosexualité et la transsexualité.
Et puis l’on nous parle du mal-être de la jeunesse, et puis l’on s’étonne que tant de jeunes se suicident…
Séance de cinéma à Lévis : le film Unplanned
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Yves Gilbert, candidat du Parti Héritage chrétien dans la circonscription Bellechasse—Les Etchemins—Lévis, présentera le film Unplanned à Lévis le samedi 12 octobre.
Yves Gilbert, Candidat du
Parti héritage chrétien dans
la circonscription Bellechasse
—Les Etchemins—Lévis.
Le film Unplanned raconte l’histoire de la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’avortoir et maintenant directrice du groupe pro-vie And Then There Were None qui se consacre à l’aide aux travailleurs de l’industrie de l’avortement qui désirent la quitter.
Message de M. Gilbert à Campagne Québec-Vie :
Bonjour, Monsieur Buscemi nous allons présenter le film Unplanned version originale anglaise à Lévis le 12 octobre prochain, tous sont les bienvenus, entrée gratuite. Pour réservation mon courriel ou texto 1 418 446 5610
Merci et bonne journée.
Yves Gilbert,
Candidat du Parti de l’Héritage Chrétien du Canada.
« 13 Reasons Why » passe de la promotion du suicide à celle de l’avortement chez les adolescents
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews)
Le film de Netflix, 13 Raisons Why, (13 Raisons pourquoi) a été au centre de la controverse depuis sa toute première saison. L’intrigue originale a été critiquée pour avoir glorifié le suicide chez les adolescents, créant un scandale massif, mais les producteurs du spectacle semblent avoir pris cela comme un défi. Depuis, ils sont passés à une scène de viol et, au cours de la saison la plus récente, un épisode met en scène une adolescente se faisant avorter.
En juin, l’actrice Anne Winters de 13 Reasons Why a annoncé que la troisième saison serait consacrée à un scénario sur l’avortement. Winters joue Chloé, une adolescente « pom-pom girl » qui a été agressée par son petit ami, Bryce, pendant la saison 2. Dans le final de la saison, il est révélé que Chloé est enceinte. Winters a laissé entendre que Chloé allait se faire avorter. « Je pense que l’avortement sera discuté à coup sûr », a rapporté Newsbusters. J’ai l’impression que Chloé serait du genre à dire : « “Ouais, je vais m’en débarrasser”. J’ai l’impression que Bryce lui dirait qu’elle a besoin de s’en débarrasser, tout comme ses parents... J’arriverai là-bas et je me dirai : “Oh mon Dieu, je ne peux pas le faire. Je ne peux pas le faire.” »
Mais quand la saison trois a été relâchée, il s’est avéré que Chloé a effectivement avorté. L’épisode comprenait une scène dans laquelle Chloé a eu une conversation avec la mère de Bryce, qui lui a dit qu’il venait d’une longue lignée d’hommes qui n’auraient pas dû être pères. « Mon fils n’est pas différent », confie-t-elle à Chloé. « En fait, je pense qu’il est peut-être pire. »
Chloé se rend d’abord dans un centre de ressources pour grossesse, où la conseillère lui dit qu’elle et son bébé « peuvent avoir une vie pleine et merveilleuse », avant que Chloé décide finalement d’aller dans un centre d’avortement. L’épisode dépeint les conseillers pro-vie sur le trottoir de la pire façon possible. Quand Chloé revient pour son avortement, il y a des manifestants dehors qui lui crient dessus de l’autre côté de la rue, avant qu’une femme à l’air bienveillant ne l’aider à traverser de l’autre côté de la rue avec un gilet portant l’inscription « escorte de clinique » — seulement, il s’avère qu’elle est une autre des manifestants. Alors que Zach, l’ami de Chloé, dit « C’est déjà assez dur », la manifestante répond, « Eh bien... ça devrait être dur. Tuer est un péché. Mais il n’est pas trop tard. C’est le moment où vous décidez du sort de deux âmes ! Choisis judicieusement ou tu regretteras ce jour jusqu’à ta mort. » Tandis que Zach éloigne Chloé de la femme, elle met de force dans la main de Chloé une représentation sanguinaire d’un bébé à naître [avorté].
Toy Story 4 (Pixar/Disney) fait de la propagande LGBT
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Dans un précédent article, nous vous signalions que Disney se livrait à de la propagande transgenre dans la série animée Star Butterfly. Il faut également noter que le film d’animation Toy Story 4, réalisé par les studios Pixar repris par Disney, introduit subrepticement une scène avec deux « mamans » lesbiennes (et multiculturelles).
La scène se déroule au début du film, lorsque la nouvelle propriétaire de Woody, Bonnie, entame sa première journée d’école maternelle.
C’est une scène brève, mais c’est une authentique propagande LGBT qui suscite l’enthousiasme parmi ce lobby et ses relais. Car ce film d’animation est l’un des plus gros films de l’année, et il sera vu par des millions de personnes à travers le monde.
Kate Gardner, écrivain LGBT, a ainsi déclaré que le moment « n’était pas révolutionnaire à tous points de vue », mais l’a salué comme un « petit moment de normalisation ».
Aux Etats-Unis, plusieurs associations de parents ont appelé au boycott de ce film.
Unplanned projeté devant le « méga-centre d’avortement » de Planned Parenthood à Washington
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Les dirigeants de cet avortoir n’ont pas dû beaucoup aimer que des pro-vie projettent devant leur établissement le film pro-vie Unplanned, qui montre ce qui se passe réellement dans les cliniques de Planned Parenthood (au Québec une telle projection devrait se faire au minimum à cinquante mètres de l'avortoir). Extrait de LifeSiteNews :
Unplanned, le film racontant la conversion d’Abby Johnson de directrice d’établissement en avortement à celui de militante pro-vie, a été projeté sur le trottoir devant le complexe d’avortement de Planned Parenthood à Washington.
Patrick Mahoney, directeur de Christian Defense Coalition, fortement impliqué dans cette projection inusitée exprime ses pensées, selon LifeSiteNews :
« Montrer Unplanned devant un centre de Planned Parenthood est un témoignage puissant de la dignité de chaque vie et de l’exemple que nous devons tous suivre pour protéger les droits de la personne et mettre fin à la violence dans notre société », poursuit Mahoney. Le film explique aussi pourquoi la Dr Wen a été congédiée alors qu’elle révélait que Planned Parenthood avait « doublé » le nombre d’avortements et négligé les vrais soins de santé féminins.
Un vaste projet à la grandeur des États-Unis :
« Notre espoir est de lancer une campagne à l’échelle nationale pour éventuellement montrer Unplanned devant les centres d’avortement de Planned Parenthood à travers les États-Unis, » a-t-il ajouté.
La dictature du politiquement correct
Par Paul-André Deschesnes — Photo : geralt/Pixabay
Dans cette chronique, j’aborderai un sujet très d’actualité. Nos populations occidentales vivent une époque historique où le politiquement correct occupe toute la place.
Mais, en quoi consiste ce cancer généralisé qui contamine toute la société et même notre Église catholique à tous les niveaux ?
La censure est de retour. De nos jours, soyez sur vos gardes. Vous devez vous plier à l’orthodoxie idéologique en vigueur, sinon vous serez exclus. La rectitude politique, c’est un poison qui tue et impose sa vision dite d’avant-garde.
Si vous refusez de suivre le monde décadent, vous serez étiqueté de personnage méprisable qui refuse d’évoluer. Vous n’êtes tout simplement plus fréquentable.
La terrible rectitude politique ne recherche pas la Vérité, mais bien la popularité. Il faut être à la Mode si on veut être écoutés et respectés par nos médias et notre intelligentsia athées.
La rectitude politique gauchiste et socialiste doit être imposée de force pour changer les mentalités des personnes qui refusent de se convertir aux dictats de ce modernisme athée et très populaire.
Vous résistez et refusez d’obéir, alors vous serez discrédités, méprisés, condamnés, exclus, et cloués au pilori.
Devant l’empire du politiquement correct, il faudrait s’émerveiller et suivre la parade ! Ceux et celles qui rament à contre-courant sont dénoncés. Cependant, n’oublions pas que dans nos rivières, seuls les poissons morts suivent le courant !
Les esclaves du politiquement correct vous diront que vous êtes des vieilles branches accrochées au passé, refusant d’adhérer aux nouvelles modes de notre monde devenu complètement fou.
Vous serez peut-être hypnotisés par tous ces beaux discours et ces nouveautés. Non ! Il faut résister !
Lire la suiteLe film pro-vie Unplanned restera en salle jusqu'au 25 juillet
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : bru-nO/Pixabay
Le film Unplanned raconte la conversion d'Abby Johnson, de directrice d'un avortoir de Planned Parenthood à catholique pro-vie, directrice du mouvement And Then There Were None, organisme qui a pour but d'aider les travailleurs du domaine de l'avortement le quitter.
Cinémas Guzzo a décidé de garder en salle le film jusqu'au 25 juillet, alors qu'il ne devait être projeté à l'écran que du 12 au 18 juillet.