« On m’a forcée à avorter ; on ne me forcera pas à prendre le vaccin covid »
Par Theresa Bonopartis — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock
New York, NY, 21 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le jeudi 9 septembre, j’ai écouté le président Biden parler à la nation de ses nouveaux décrets. D’un ton intimidant et condamnatoire, il nous informait que sa patience était « à bout » et qu’il rejetait la responsabilité de la présence du virus dans ceux qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19.
Adoptant une approche totalement différente, le maire de New York, De Blasio, tente d’inciter les personnes non vaccinées à se faire vacciner en offrant des cadeaux, notamment 100 dollars à toute personne qui se fera vacciner dans un site géré par la ville.
Il ne fait aucun doute que le vaccin COVID fait l’objet d’une forte coercition. Bien qu’ils essaient de dire qu’il s’agit d’un « choix », les menaces de perte d’emploi, les limites quant aux endroits où vous pouvez aller et la suppression de choses qui vous sont chères ou dont vous avez besoin pour survivre en font tout sauf un « choix ».
En raison des liens du vaccin avec des cellules de fœtus avortés, beaucoup de personnes ont pris la décision de ne pas se faire vacciner. Je suis l’une d’entre elles. Peu importe que les cellules aient été obtenues il y a longtemps ou que le lien soit éloigné, je ne peux en toute conscience recevoir le vaccin.
Ayant passé des décennies de ma vie à souffrir d’un avortement salin qui m’a été imposé pendant mon adolescence et au cours duquel j’ai vu mon fils avorté, il est impensable pour moi de recevoir l’un des vaccins actuellement disponibles. Aucune coercition, que ce soit sous forme de récompense ou d’intimidation, ne me fera changer d’avis. Je ne juge personne pour sa décision personnelle ; tout ce que je sais, c’est que je ne pourrais jamais vivre avec moi-même si j’acceptais l’un des vaccins actuellement disponibles.
Au fil des décrets, j’ai été frappée par les similitudes entre la coercition que j’ai subie avant de me faire avorter contre mon gré et celle que je subis maintenant pour me faire vacciner. Adolescente, j’ai été chassée de la maison par mon père, sans argent, sans travail et sans endroit où vivre. Coupée de tout ce que je connaissais et aimais, j’ai cédé à d’énormes pressions pour mettre fin à la vie de mon fils à naître, et ce, à l’encontre de toutes mes convictions et de tous mes principes. J’étais isolée, rejetée, j’avais peur et je ne voyais pas d’issue à cette situation. Ensuite, la société a appelé cela mon « libre choix », mais il n’en était rien.
Lire la suiteDes parents adoptifs accueillent une adolescente enceinte dans leur famille
Famille de Mme Tamra Norman.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews)
Tamra Norman et son mari étaient parents de deux enfants. Ils rêvaient de prendre une retraite anticipée et de voyager mais tout a changé en 2013 lorsqu’ils ont décidé de devenir parents d'accueil. Sur une période de six ans et demi, ils reçurent plus de 20 enfants dans leur famille d’accueil, dont une jeune adolescente enceinte et âgée de 15 ans.
Le couple a accueilli plusieurs enfants, incluant un bébé prématuré avec des problèmes de santé et dont la mère était en prison. Ils ont accueilli deux jeunes sœurs et un bébé qu’ils ont finalement adopté. Par contre, une adolescente enceinte était un nouveau défi pour eux.
La jeune adolescente allait mettre au monde son enfant d’ici trois semaines et ne pouvait plus rester au centre d’hébergement. L’objectif fut don de lui trouver une famille qui permît à la mère de garder l’enfant avec elle afin d’éviter d’envoyer le bébé en famille d’accueil et à la mère de retourner au centre d’hébergement.
« Ma tête tournait, » écrivait Norman pour Love What Matters. « Retourner à un centre d’hébergement après avoir donné naissance ? Son enfant serait dans une famille d’accueil séparée ? » Norman ne savait pas comment elle pouvait héberger cette jeune fille et comment expliquer la situation à ses jeunes enfants. Ils n’avaient pas d’espace dans leur maison pour deux personnes de plus, surtout une mère et son nouveau bébé, mais elle savait qu’elle ne pouvait refuser.
« Mon “non” est donc devenu un “oui”, » écrit-elle. « Oui nous prendrions donc cette adolescente enceinte et accueillerions la jeune fille et son bébé dans notre maison. » Elle et son mari ont donc débuté la préparation d’un espace privé dans la maison pour les nouveaux membres de leur famille. Plus tard, dans la même journée, la jeune femme arrive et elle est très nerveuse de se joindre à cette nouvelle famille cette nouvelle situation.
« Cette jeune fille voulait désespérément une mère, sa mère, et c’est moi qu’elle eut à la place, » raconte Norman.
Après la naissance du bébé, Norman et son mari sont devenus à l’âge de 35 ans, grands-parents adoptifs de ce bébé. Ils ont dit que cette adolescente était « une des mères les plus fortes » qu’ils eussent connues : elle « a rendu notre vie meilleure. » « Ce parcours n’est aucunement ce que j’avais imaginé au début, » écrit Norman. « … Cependant… je vais laisser ma défiance et aimer intensément cette petite fille qui en veut au monde entier et qui n’a nulle part où aller, le petit garçon pour qui la vie ne sera pas facile, la jeune mère qui n’a nulle part où aller et même la jeune mère toxicomane vivant une vie remplie de regrets. Je vais trop m’y attacher à chaque instant, mais c’est définitivement une bonne chose. »
Brésil, le gouvernement Bolsonaro promeut l’abstinence (ou attente) pour éviter les grossesses d’adolescentes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pour éviter une grossesse rien de plus simple que de pratiquer l’abstinence (mais non peut-être pas difficile), autrement appelée la chasteté, mot qui doit faire frémir plus d’un cœur impudique, les plaisirs de la chair prenant beaucoup plus de place dans leur esprit que la prudence.
Damares Alves, ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l’homme au Brésil promeut, au moins depuis le mois de janvier, l’abstinence sexuelle des adolescents auprès des parents, afin que ces derniers guident les premiers d’une façon enfin efficace et morale. Elle promeut donc l’attente et le mariage. Selon LifeSiteNews :
Damares Alves, le ministre brésilien de la femme, de la Famille et des Droits de l’homme, a récemment demandé aux parents de songer à dire à leurs enfants adolescents d’attendre l’âge adulte pour avoir des relations sexuelles, déclenchant ainsi une vague de commentaires négatifs de la part des gauchistes de cette république sud-américaine.
Le ministre Alves a répondu au taux croissant de maladies sexuellement transmissibles et de grossesses chez les adolescentes en encourageant l’abstinence parmi les adolescents.
Damares Alves travaille de concert avec une campagne dirigée par des évangéliques, dont elle fait partie, ce qui fait dire aux partisans de l’avortement et militants LGBT que c’est une ingérence de l’« église » dans l’État, outre que ce plan déplût à ces hurluberlus. D’après LifeSiteNews :
Les partisans de l’avortement et du mouvement LGBT ont dénoncé la campagne, en invoquant la crainte qu’il s’agisse en fait d’une convergence entre l’Église et l’État. Selon le New York Times, Debora Diniz, professeur de droit brésilien et militante en faveur de l’avortement, a déclaré que ce programme aura « des conséquences terribles » et entraînera de nouveaux cas de grossesse chez les adolescentes et d’infections sexuellement transmissibles (IST).
Mme Diniz a affirmé que l’abstinence ne fonctionnait pas. Les prestataires d’avortement tels que Planned Parenthood et les organisations comme l’Institut Guttmacher essaient régulièrement de discréditer le fait de retarder les rapports sexuels comme moyen d’éviter les grossesses et les maladies sexuellement transmissibles chez les adolescents.
En fait, c’est l’éducation sexuelle moderne (redondance : elle n’existe que depuis le siècle dernier) qui est source de grossesse chez les adolescentes et de maladies. Planned Parenthood alimente son propre marché pourrait-on dire.
Sa mère a essayé de l’avorter, 20 ans plus tard, elles se sont rencontrées
Claire Culwell, survivante d'avortement.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image : CBN
27 février 2020 (LifeSiteNews) — Claire Culwell est l’une des conférencières pro-vie les plus connues aux États-Unis. Aujourd’hui, mère de quatre enfants, elle avait survécu à une tentative d’avortement alors qu’elle était dans le ventre de sa mère biologique âgée de 13 ans. Mais elle n’aurait peut-être pas choisi la voie qu’elle a choisie si elle n’avait pas rencontré sa mère biologique en personne il y a dix ans.
« Ses larmes m’ont poussée à agir. Sa douleur m’a poussée à agir », déclara Mme Culwell à Jonathon Van Maren, militant pro-vie, la semaine dernière en baladodiffusion. « Je ne pouvais pas rester silencieuse, car j’ai réalisé à quel point cela m’affectait. »
Mme Culwell a grandi en sachant qu’elle avait été adoptée, mais sans savoir que sa mère biologique avait essayé de l’avorter. Elle a dit qu’elle avait rencontré sa mère biologique quand elle avait une vingtaine d’années. Cinq mois plus tard, elle a raconté son histoire déchirante à un groupe de jeunes pour la première fois.
« J’ai réalisé ce jour-là que c’était bien, qu’un mal peut être utilisé pour le bien. Et donc je n’ai jamais regardé en arrière. J’ai continué à partager mon histoire pendant les dix dernières années ».
Mme Culwell a dit à Van Maren que lorsqu’elle a rencontré sa mère biologique, cela a eu un effet thérapeutique — pour les deux femmes.
Lorsqu’elle a commencé son parcours de guérison, elle a pu dire : « Claire me pardonne. Claire voit ce que j’ai vécu. Mais pas seulement cela, cela me dit que Dieu me pardonne ! »
Mme Culwell a déclaré que sa mère biologique a également partagé publiquement ce qu’elle a vécu lorsqu’elle a été forcée à se faire avorter à l’âge de 13 ans.
« C’est incroyable de voir qu’il y a eu une aussi grande délivrance », a déclaré Mme Culwell. « Personne ne devrait marcher sur la surface de la terre en tant que survivant d’avortement ou en tant que mère d’une survivante d’un avortement. »
« Je voulais qu’elle sache qu’elle était la meilleure mère pour moi, pour ce qu’elle avait fait pour moi et pour m’avoir donné ma famille et ma vie. J’ai eu une éducation incroyable grâce à son choix de me donner ma famille dans ma vie ».
Floride : Les mineures devront obtenir l’autorisation des parents pour un avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Ake/rawpixel
Le veto parental sur l’avortement des mineures peut être facteur qui sauvera plusieurs enfants à naître, quoique ce sont parfois les parents qui poussent leur fille à avorter. D’après Gènéthique :
Désormais, le consentement écrit d’au moins un parent sera obligatoire lorsqu’une fille de moins de 18 ans demandera un avortement en Floride. C’est ce qu’exige le projet de loi qui vient d’être adopté par le gouvernement de Floride. La loi devrait prendre effet le 1er juillet prochain.
La Floride est le vingt-septième état américain à rendre obligatoire le consentement parental pour l’avortement des mineures.
L’industrie de l’avortement forme des employés pour qu’ils poussent les adolescentes suicidaires à avorter
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Photo : freepik
Le livre Abortion Care, paru en 2014, a été écrit pour former les futurs travailleurs de l’avortement sur la façon de travailler dans cette industrie. Dans une section sur le service de « dispensation de conseils » dans le cadre de l’avortement, le livre raconte l’histoire d’une adolescente nommée Michelle. L’interaction de l’établissement d’avortement avec Michelle est présentée aux employés en formation comme un exemple sur la façon dont il faut agir si une situation semblable se présente dans leur centre d’avortement.
Michelle avait 16 ans et était placée en famille d’accueil quand elle est venue à l’établissement en avortements. Selon le manuel, elle était « tendue, anxieuse et tremblante ». Elle était enceinte et elle avait pris plusieurs tests de grossesse dans l’espoir d’un résultat négatif. Elle avait de la difficulté à accepter son état.
Michelle était également aux prises avec de graves problèmes de santé mentale. Elle avait récemment fait une tentative de suicide, qui avait eu lieu avant qu’elle ne se rende compte qu’elle était enceinte. Elle voyait un thérapeute. Le livre n’indique pas si le thérapeute était au courant de la grossesse de Michelle. Selon le livre :
[Michelle] disait qu’elle ne pouvait pas continuer sa grossesse, et qu’elle avait choisi d’avoir un avortement ; mais elle a aussi déclaré qu’elle ne voulait pas se faire avorter parce qu’elle sentait que ce serait « cruel », et qu’un avortement était comme abandonner son propre enfant et à en abuser. Cette information a été lâchée rapidement — une indication qu’elle était tourmentée par rapport à ce choix.
De toute évidence, Michelle était profondément ambivalente sur l’idée de se faire avorter. Elle savait qu’un avortement serait tuer, « abandonner », et « abuser » de son enfant. C’était un signe clair qu’elle se sentirait très coupable si elle en avait un. Michelle avait déjà des antécédents de pensées suicidaires et une récente tentative de suicide à son actif.
Malgré ces évidents facteurs de risque de traumatisme post-avortement, Michelle a avorté après avoir été « conseillée » par l’établissement. Rien n’indique qu’ils aient partagé d’alternative autre que l’avortement avec Michelle, qu’ils lui aient suggéré une façon d’avoir son bébé, ou qu’ils l’aient informée des risques physiques de la procédure.
Lire la suiteL’avortement détruit le futur de l’Espagne, d’après une nouvelle étude
Par Martin M. Barillas — traduit par Campagne Québec-Vie
Madrid, Espagne, 2 avril 2019 (LifeSiteNews) — Le nombre d’avortements chez les filles adolescentes et les immigrées est en hausse en Espagne, ce qui contribue de manière importante au déficit de naissance, qui aura des conséquences de grande portée pour le pays, selon une nouvelle étude publiée par L’Institut pour les Politiques Familiales (IPF).
On a découvert entre autres que plus de la moitié des adolescentes enceintes avortent. Dans le cas des immigrées, une mère immigrée sur trois a recours à l’avortement.
D'après le rapport de l'IPF […] Quatre avortements sur dix (35 0250) ont été pratiqués sur des femmes et des filles qui ont déjà avorté. En outre, 1 390 adolescentes de moins de 20 ans ont eu plus d’un avortement, 12 051 femmes (13 % du total) ont avorté plus de deux fois et 4 314 (5 % du total) ont avorté plus de trois fois.
Des filles aussi jeunes que 16 ans peuvent demander un avortement si elles ont l’autorisation de leurs parents ou tuteurs. Cependant, en prétextant la violence domestique, par exemple, elles peuvent obtenir l’aide des services sociaux du gouvernement.
Lire la suiteViolée à 13 ans, cette jeune fille choisit la vie malgré toutes les pressions qu’elle subissait pour qu’elle avorte son fils
Kali et son fils Smitlee.
Par Nancy Flanders (Live Action News) — traduit par Campagne Québec-Vie
À l’âge de 13 ans, Kali a été violée par un inconnu. Le viol l’a laissée dans un état d’anxiété et de honte tel, qu’elle ne voulait en parler à personne. Elle en a été si anxieuse qu’elle en perdit 20 lb (9 kg) et en tomba malade. Et puis, elle s’est rendu compte qu’elle était enceinte, et sa vie a basculé une fois de plus. Pourtant, en dépit des pressions la poussant vers l’avortement, elle a maintenu fermement sa décision de donner naissance à son enfant et de l’élever.
« J’ai tout dévoilé lorsque j’ai appris que j’étais enceinte. J’en étais à 12 semaines », a-t-elle expliqué à Live Action News. « J’étais au 3e mois de grossesse, et cela a donc pris 3 mois pour que ma famille sache ce qui était arrivé. Ma mère a pleuré et m’a assuré qu’il n’y aurait pas de problèmes. Elle m’appuyait à 100 %. J’étais à l’hôpital en train de vomir lorsque j’ai appris la nouvelle de ma grossesse ; elle m’a regardée et m’a dit : “Tu sais quoi ? Il n’y aura pas de problèmes”. Elle m’a déclaré qu’elle m’aiderait, quelle que fût ma décision. Elle a toujours été contre l’avortement, et quand je lui ai dit que je voulais garder le bébé, elle a pleuré et m’a répondu qu’elle m’aiderait de tous ses moyens. Elle a été mon soutien à travers tout ce qui a suivi. »
La mère et le beau-père de Kali étaient les seuls à appuyer Kali dans son choix pour la vie dès le tout début. Les amis et les membres de sa famille l’ont exhorté à avorter, et quand elle a refusé, les rumeurs et l’intimidation ont commencé à la submerger.
Lire la suiteRoyaume-Uni : les grossesses ont diminué de 42,6% chez les adolescentes après la réduction du financement de la contraception et de l’éducation sexuelle
Par le Père Mark Hodges traduit par Campagne Québec-Vie
SHEFFIELD (Angleterre), 5 juin 2017 (LifeSiteNews) – Le Catholic Herald, un journal du Royaume Uni, rapporte qu’une nouvelle étude indique que le taux de grossesse chez les adolescentes diminue lorsque le financement de l’éducation sexuelle libérale baisse.
« L’impact des réductions budgétaires sur la grossesse chez les adolescentes » une analyse des données antérieures et postérieures aux coupes dans le financement de l’éducation sexuelle basée sur la contraception en Angleterre – réductions dénoncées par les libéraux et saluées par les chrétiens.
Les chercheurs David Paton du Nottingham University Business School et Liam Wright du School of Health and Related Research de l’Université de Sheffield ont mené l’étude, qui a été publiée dans The Journal of Health Economics.
Lire la suiteEnceinte à 16 ans, j’ai rejeté l’avortement – Aujourd’hui je n’ai aucun regret
Érica et son bébé
Par Live Action News traduit par Campagne Québec-vie
(Secular Pro-Life) Vous vous réveillez un matin, comme à l’ordinaire. Mais ce matin, les choses commencent à changer très rapidement. Ce matin, vous sentez comme si vous avez besoin de vomir, sans savoir pourquoi. Pour la première fois, l’odeur des œufs que vous êtes en train de cuire vous est insupportable. Ensuite, vous remarquez que vos règles sont en retard d’une semaine, et vous ne savez pas pourquoi. Vous décidez alors de prendre un test de grossesse.
Plein de choses vous passent par la tête pendant que vous prenez le test : « Je ne peux pas être enceinte. Je n’ai que 16 ans. Je n’ai pas d’argent pour élever un bébé. Je n’ai personne pour m’aider. Je ne veux pas abandonner ma jeunesse. » Vous attendez les deux minutes avec anxiété. Et puis, le résultat du test: « Vous êtes enceinte ». Et là vous pensez : « Que puis-je faire? Je dois me faire avorter. Je ne suis pas prête à être une maman. »
Comme beaucoup de jeunes adultes et d’adolescentes, je me suis trouvée dans une situation très semblable à la vôtre. Je veux que vous sachiez que vous n’êtes pas seule, et que, quelque part, d’autres personnes comme vous sont en train de vivre la même chose.
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